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juillet 2025

Un seul dossier ce jeudi à l’ordre du jour de la Commission de la santé, de l’environnement et de l’action sociale du Parlement de Wallonie : la contamination de l’eau de distribution à la station de captage de Ramillies. Pendant plus de cinq heures, le ministre wallon de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters, ainsi que les responsables du SPW Agriculture, Ressources naturelles et Environnement et de la SWDE ont répondu aux très nombreuses questions des parlementaires.
Près de 3 500 habitants de seize communes rurales ne peuvent plus boire l’eau du robinet depuis le 10 juillet en raison d’une pollution record aux PFAS. L’origine des contaminations serait liée à l’épandage de boues issues d’une ancienne papeterie sur des terres agricoles.
Et si une simple fenêtre pouvait extraire de l’eau potable de l’air, même dans les endroits les plus secs du monde ? C’est l’exploit que viennent de réaliser des chercheurs du MIT avec un dispositif révolutionnaire : un panneau vertical de haute technologie capable de collecter de l’eau directement dans l’atmosphère, sans électricité, et ce, même dans la Vallée de la Mort, le désert le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
La préfecture du département, qui craint une situation comparable à 2019, a décidé vendredi de plus fortes restrictions d’eau « afin de préserver les milieux naturels et garantir les usages prioritaires ».
Des taux de « polluants éternels » supérieurs à la limite légale, de 100 nanogrammes par litre, ont été relevés. La durée de cette interdiction, qui concerne 2 800 habitants, n’a pas été précisée.
Neuf agriculteurs de Charente-Maritime utilisant des mégabassines illégales depuis 2010 ont été condamnés, le 8 juillet, pour délits environnementaux, avec de lourdes peines financières.
Dans les Deux-Sèvres, la Coopérative de l’eau qui gère les mégabassines est en difficulté financière. Les coûts de ces ouvrages ont explosé, alors que s’accumulent les jugements défavorables et les ras-le-bol d’agriculteurs.
Nestlé a déposé une nouvelle demande d’autorisation pour continuer à exploiter seulement deux puits sur cinq sur le site Perrier. Le préfet du Gard demande au groupe de prouver que son eau reste naturellement pure, après le retrait annoncé des filtres illégaux.
La construction par l’Ethiopie du grand barrage de la Renaissance vient de s’achever mais inquiète toujours le Soudan et l’Egypte, situés en aval, qui craignent pour leurs ressources en eau.
Des restrictions sont également en vigueur dans l’ensemble du département voisin du Nord, placé en vigilance renforcée la semaine dernière.
La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Trois réseaux de transport de gaz en Espagne et en France ont annoncé jeudi la création d'une société commune franco-espagnole, BarMar, qui pilotera la construction du futur pipeline maritime devant acheminer de l'hydrogène entre Barcelone et Marseille. Cette infrastructure s'inscrira dans le cadre du projet européen plus vaste H2Med, visant à relier les réseaux d'hydrogène de la péninsule ibérique à l'Allemagne et au nord-ouest de l'Europe "pour approvisionner le continent en hydrogène vert abordable", précise H2Med sur son site internet.
Près du village de Valderoure, un projet d’installation de panneaux photovoltaïques porté par Engie créerait un risque pour la ressource en eau d’une dizaine de communes, selon des citoyens, élus locaux et scientifiques. La totalité des participants à l’enquête publique achevée ce jeudi 3 juillet se dit contre.
Sur la commune de Durbuy, l’eau de distribution n’est plus potable sur une partie du réseau de Barvaux. Une pollution bactérienne a été détectée dimanche. Plusieurs analyses ont été réalisées ainsi que des purges. La situation devrait se normaliser d’ici la fin de la journée. En attendant, une distribution de bouteilles d’eau est organisée à 14 heures dans le parc communal de Barvaux.l’hypothèse la plus probable, et c’est quasiment certain, c’est la contamination du réseau de distribution par de l’eau de pluie via le raccordement d’un circuit d’eau de pluie au réseau de distribution"


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