– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
migrations
Des médias rapportent que des centaines de personnes détenues dans le centre de rétention pour immigrés en situation irrégulière, situé en Floride et connu sous le nom d'"Alcatraz des alligators", ont disparu de la base de données en ligne de la police américaine de l'immigration (ICE). Selon des associations de défense des droits des immigrés, il n'est ainsi plus possible de les localiser.
Une révolution technologique vient de bouleverser notre compréhension de l’une des migrations les plus spectaculaires de la planète. Des chercheurs britanniques ont utilisé l’intelligence artificielle pour recenser les gnous du Serengeti, et les résultats défient cinquante années de certitudes scientifiques. Cette découverte soulève des questions cruciales sur l’avenir de ces herbivores emblématiques et remet en cause nos méthodes traditionnelles d’observation de la faune sauvage.
En plein backlash écologique, “2049, ce que le climat va faire à l’Europe”*, le nouveau livre de Nathanaël Wallenhorst, chercheur en sciences de l’environnement, devrait fonctionner comme un électrochoc. Pénurie, famine, mortalité liée à la chaleur, migrations…voilà un aperçu de ce qui nous attend. Entretien.
A quoi ressemblerait notre vie quotidienne, en 2049, sur une Terre qui franchirait les principaux points de basculement ? Fort de savoirs sans cesse actualisés, Nathanaël Wallenhorst anticipe d’une façon très concrète ce que pourrait être 2049 côtés écosystème, climat et société. Aurons-nous toujours des saisons en 2049 ? De quoi sera faite notre alimentation ? Quels seront nos loisirs ? Climat, eau, santé et migrations, l’auteur raconte notre quotidien dans ce futur proche si rien ne change.
Une centaine de magistrats ont été limogés depuis janvier. Deux de ces ex-juges témoignent à «Libération» du démantèlement de l’Etat de droit américain et de la transformation de leurs tribunaux en «chambres d’enregistrement» de la dérive autoritaire de l’exécutif.
Le département d’Etat compte vérifier plusieurs critères, dont les dépassements de la date de validité, les infractions à la loi, les activités criminelles, la participation à toute forme d’activité terroriste ou le soutien à une organisation terroriste.
Fin mai, Téhéran avait donné « jusqu’au 6 juillet » aux « 4 millions d’Afghans illégaux » pour quitter son territoire.
Dans trente jours, tous les enfants nés sur le sol américain n’auront plus automatiquement la nationalité américaine, contrairement à la promesse que leur fait la Constitution des Etats-Unis depuis plus de cent cinquante-cinq ans. Tel est le résultat de la décision de la Cour suprême, annoncée vendredi 27 juin, au dernier jour de sa session annuelle.
De temps en temps cela vaut la peine de s'arrêter un peu sur ce que nous sommes en train de vivre pour mesurer les bascules, les tournants qui sont à l'œuvre. Et, à ce niveau, l’enchaînement des événements en cours à Los Angeles a de quoi faire frissonner.
À Los Angeles, les descentes musclées de l’agence fédérale de contrôle de l’immigration (ICE) contre des sans-papiers en pleine rue ou sur leur lieu de travail suscitent toujours l’indignation. Tandis que certains dénoncent une mise en scène destinée à provoquer des tensions, l’envoi de troupes de la Garde nationale et des Marines alimente la colère et fait craindre une montée en puissance des expulsions.
La situation restait tendue dans la nuit de dimanche à lundi à Los Angeles après trois jours d'affrontements entre forces de l'ordre et manifestants contre la politique migratoire de Donald Trump, qui affirme que la situation ne cesse de se détériorer dans la mégalopole démocrate et demande l'envoi des troupes.
Plusieurs centaines de militaires des Marines, un corps d'active de l'armée américaine, "vont être déployés à Los Angeles", a indiqué à l'AFP un haut responsable américain, marquant un nouveau durcissement de la réponse fédérale aux heurts survenus dans la grande ville californienne.
Le président américain a ordonné le déploiement de la garde nationale à Los Angeles, contre l’avis du gouverneur, le démocrate Gavin Newsom, qui dénonce « le fantasme fou d’un président dictatorial ». Plus largement, le gouvernement fédéral est engagé dans un bras de fer contre cet « Etat sanctuaire » protégeant les migrants.
La Maison Blanche a autorisé l’envoi de 2 000 soldats. Un « spectacle », selon le gouverneur démocrate de l’Etat californien, Gavin Newsom, qui n’a pas demandé de renforts pour rétablir l’ordre dans la ville.
Volker Türk parle d’une situation avec « de graves préoccupations », alors que 142 000 personnes ont été expulsées des Etats-Unis entre le 20 janvier et le 29 avril et que le sort d’au moins 245 Vénézuéliens et d’une trentaine de Salvadoriens reste incertain.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.