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Seul parc national de l'Oregon, Crater Lake est aussi unique en son genre. La fracassante démission de son directeur, en juin, révèle le danger que les coupes budgétaires de l'Administration Trump font courir à la protection de la nature en Amérique.
Si la justice permet de mettre les états face à leur responsabilité en matière de climat, elle reste plus timide en ce qui concerne les autres enjeux environnementaux1, particulièrement en Belgique. Le concept de « préjudice écologique » a par exemple été reconnu pour la première fois assez tardivement2, en 2021, dans l’Arrêt Tenderie3 et n’est toujours pas entré dans le Code civil belge. Or, comme le rappellent Canopea et d’autres associations de protection de l’environnement, environ 95 % de nos habitats naturels sont en état défavorable, menaçant les équilibres écologiques et l’avenir des générations présentes et futures. Le GIEC et l’IPBES soulignent d’ailleurs la nécessité d’agir face à la sixième extinction de masse.
En Australie, une espèce de mammifère disparaît tous les cinq ans. Pourtant, la nature a été absente de la campagne pour les élections du 3 mai, après un mandat marqué par les promesses non tenues du gouvernement travailliste.
Espèces en danger : l’administration Trump envisage d’autoriser la destruction des habitats naturels
(17/04) - Libération,Luc MathieuL’administration Trump a proposé mercredi 16 avril d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger en excluant la protection de leur habitat, une mesure aussitôt contestée par les organisations écologistes.- […] Que signifie l’interdiction de «faire du mal» aux plantes ou animaux menacés d’extinction ? L’administration Trump poursuit sa vaste opération de détricotage des acquis en matière de protection de l’environnement, en suggérant désormais d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger. Le ministère de l’Intérieur, chargé aux États-Unis de l’environnement, a ainsi proposé mercredi 16 avril d’exclure la protection de l’habitat des plantes ou animaux menacés, provoquant une nouvelle fois la colère des organisations écologistes.
Dans cet épisode, Arnaud reçoit Laurent Testot, journaliste, historien et vulgarisateur scientifique reconnu pour ses travaux sur l’histoire globale et les grands changements environnementaux. Auteur de plusieurs ouvrages, dont « Cataclysme » et « Omokanis », il nous livre une réflexion fascinante sur l’impact humain sur la Terre. Avec Laurent, nous explorons l'impact de l'humanité sur la Terre, de la domestication des chiens aux mutations écologiques du Sahara, en décryptant les grands défis de l'Anthropocène : l'accélération de la crise climatique, la sixième extinction de masse et l'influence des politiques mondiales. C'est une réflexion urgente pour repenser notre rapport à la nature, à l'agriculture et aux écosystèmes.
Quatre mois après la brutale clôture de la COP16 en Colombie, au cours de laquelle aucun accord financier n’avait été trouvé, les négociations ont débouché sur un compromis lors d'une seconde session à Rome.
EPA sortie de l’auberge. Mercredi, Donald Trump a dit vouloir réduire de 65% les effectifs de l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Une menace qui s’inscrit dans le projet du président de supprimer les normes protectrices du climat et de la santé humaine.
Un référendum porté par les Jeunes Ecologistes suisses visant à inscrire dans la Constitution le respect des limites naturelles de la planète a été massivement rejeté ce dimanche 9 février. Près de 70% des votants s’y sont opposés.
La fin de mandat des présidents américains s’accompagne souvent d’une création accrue de monuments nationaux. Mais Joe Biden pourrait bien être le dernier à jouir de ce privilège.
Alors que les députés wallons doivent approuver, ce mercredi, le budget 2025 de la Région, les associations environnementales Canopea, Natagora et WWF appellent à nouveau le gouvernement wallon à établir un plan de financement à l’horizon 2030 "qui devra se baser sur un inventaire clair des dépenses actuelles allouées à la biodiversité ainsi que sur une estimation du déficit à combler pour arriver aux objectifs et obligations internationales et européennes en matière de biodiversité d’ici à 2030".
Les consensus scientifiques sur les causes et conséquences du dérèglement climatique et la médiatisation des aléas qui y sont liés témoignent d’une prise de conscience de la menace pesant sur la stabilité de nos existences. La mise en œuvre de politiques environnementales depuis plusieurs décennies dans un contexte d’accélération d’effets délétères ne peut qu’acter l’échec de notre modèle consumériste à se réguler.
Les courants marins de l’océan Atlantique, qui façonnent une grande partie du climat mondial, changent de manière préoccupante. L’un des phénomènes les plus inquiétants est l’affaiblissement de la circulation méridionale de retournement de l’Atlantique (AMOC), un système de courants vitaux pour l’équilibre climatique de la Terre. En effet, ce processus, connu sous le nom de « grand convoyeur océanique », joue un rôle clé dans la régulation des températures et des conditions météorologiques à travers le monde. Selon des chercheurs, l’effondrement des courants de l’océan Atlantique pourrait être imminent, avec des conséquences catastrophiques au niveau mondial.
La Fondation Paix et Réconciliation a recensé 361 assassinats de défenseurs de l'environnement depuis 2018 en Colombie, dans son rapport présenté mercredi. L'ONG fustige le "haut degré d'impunité" des assassins, pour la plupart des dissidents de l'ex-guérilla des Farc et membres de l'ELN.
Laurent Testot est conférencier et journaliste indépendant, spécialisé en histoire globale et environnementale, contributeur régulier du magazine Sciences Humaines. Il exerce également comme formateur, notamment pour l’IHEST (Institut des hautes études pour la science et la technologie, ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche). Il dirige la collection de livres « Histoire globale » chez Nouveau Monde éditions.
L'étrange hypothèse qui structure ce livre est que la seule chose plus dangereuse que la guerre pour la nature et le climat, c'est la paix. Nous sommes en effet les héritiers d'une histoire intellectuelle et politique qui a constamment répété l'axiome selon lequel créer les conditions de la paix entre les hommes nécessitait d'exploiter la nature, d'échanger des ressources et de fournir à tous et toutes la prospérité suffisante.
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