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alimentaire
L'agriculture d’aujourd’hui repose largement sur l’utilisation d’engrais issus de la pétrochimie pour l’azote (N) et d’origine minière fossile pour le phosphore (P), le potassium (K), etc. Ces ressources proviennent presque exclusivement du commerce international et rendent nos systèmes alimentaires très fragiles sur le plan géopolitique. Parallèlement, l’activité biologique des sols est négligée, appauvrissant la fertilité des terres. Collecter les excréments à la source et les traiter pour produire des matières fertilisantes (engrais, composts), c’est retrouver un lien ville-campagne, faire un pas vers l’agroécologie, introduire plus de circularité dans la gestion des ressources… Alors que les agglomérations urbaines grandissent et que les ressources s’amenuisent, il est grand temps de (re)déployer un assainissement écologique à la campagne et de le ramener jusqu’au cœur des villes. Par le passé, pourtant, des solutions existaient. L’humanité a toujours dû faire face à ces problématiques, l’énergie nous a
Dans un premier temps, Arthur Keller propose une caractérisation systémique des principaux enjeux auxquels l'humanité doit faire face et des défis majeurs inédits qu'il nous faut relever. Il explicite la différence fondamentale qui existe entre approches multidimensionnelles et approche systémique, cette dernière permettant d'appréhender différemment les enjeux ainsi que l'espace des réponses pertinentes possibles. Il souligne les erreurs méthodologiques majeures qui sont commises dans la manière d’aborder ces enjeux. Dans un second temps, il s'attache à réfuter certaines options qui sont fréquemment présentées comme des « solutions » et à pointer les limites des outils existants pour reconcevoir les marges de manœuvre qu'il nous reste pour réagir. Dans un troisième temps enfin, il explique ce qu'il est (encore) possible d'entreprendre pour assurer la résilience des territoires, avec un zoom sur les enjeux de sécurité alimentaire, et proposera une approche globale, en fournissant aux participantes et
Serge Zaka, ingénieur agronome, docteur en agroclimatologie.
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Description : C’est une information qui n’a pas du tout fait la une et qui est pourtant cruciale pour notre avenir. Le 31 mai 2023, 40 scientifiques expliquaient dans la revue Nature pourquoi la Terre pourrait devenir inhabitable. Sur les 8 seuils de “sécurité et justice” indispensables pour « assurer la sûreté des personnes et la stabilité de la planète », 7 ont déjà été dépassés… Ce qui est inédit ici, c’est que les scientifiques ont intégré aux limites de notre planète, la justice et donc la dimension humaine. En montrant les points à partir desquels la déstabilisation du système Terre allaient avoir des effets néfastes pour les êtres humains avec des épidémies, des canicules, des pénuries alimentaires ou encore des migrations forcés. Johan Rockström qui a piloté l’étude, le dit « Si la planète était un corps, tous ses organes seraient affectés. Ses poumons, mais aussi ses reins, son foie… » La guérison est encore possible mais elle suppose la révolution d’un système économique qui prospère aujourd’hui sur
Lors de son récent passage dans la province (décembre 2022), Arthur Keller a rencontré un collectif citoyen à l'occasion d'un atelier à Neufchâteau. Au progr...
On dit que l'estomac est le nerf sensible de la révolution. Ainsi, qu'arrive-t-il lorsque la planète ne sait plus se nourrir?
Dérèglement climatique, pandémie de Covid-19, hausse démographique : les causes de la crise alimentaire actuelle étaient déjà nombreuses. Depuis le mois de février, s’ajoute désormais le conflit entre la Russie et l’Ukraine, deux pays majeurs dans la production et l’exportation de blé. Le prix de la tonne est passé de 300 à 450 euros en trois mois. Un record, qui pourrait avoir des conséquences dramatiques sur notre alimentation. Pourquoi le blé est-il au cœur de la crise alimentaire? Comment est-il devenu un enjeu géostratégique ? Et à quoi doit-on s’attendre dans les mois à venir ? Sébastien Abis, chercheur associé à l’IRIS et directeur général du Club Déméter, répond à nos questions.
À quel point va-t-on manquer d’eau ? Alors qu’en 1974 déjà, René Dumont, candidat à la présidentielle, nous alertait. La question est plus que jamais d’actualité. Les années se suivent et commencent dangereusement à se ressembler. Les températures atteignent des records historiques pour la saison et la sécheresse sévit en France depuis des mois. Début mai, 15 départements avaient déjà mis en place des restrictions d’eau face à la sécheresse. Les spécialistes alertent sur le fait que nous allons commencer l’été avec des réserves d’eau très basses. Alors comment s’adapter face au manque d’eau ? Comment préparer l’été alors que les scientifiques et les agriculteurs craignent le pire ? Quelles solutions s’offrent à nous pour limiter les dégâts, préserver notre sécurité alimentaire et tenter d’inverser la tendance ? Réponses dans cet entretien de Paloma Moritz avec Emma Haziza, hydrologue.
Le Déméter (Iris éditions) est une véritable bible agricole qui chaque année propose une série de réflexions, d’analyses et de prospectives sur les grandes ruptures et autres enjeux stratégiques traversant les mondes agricoles et agroalimentaires. Sa 27e édition questionne l’impact de la crise sanitaire de COVID 19 sur ces secteurs.
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Bruno Denis, l’agriculteur conventionnel, et Dorothée, la maraîchère bio, nous montrent les conséquences concrètes des contraintes climatiques sur le cycle de l’Eau. Nicolas Stilmant, Bourgmestre de Fauvillers, aborde les nécessaires évolutions locales pour s’y adapter.
Résilience locale. Comment se préparer au mieux aux chocs qui secouent la société ? Interview de Nicolas Stilmant bourgmestre de Fauvillers
Le problème mondial de l'Eau. Entretien avec Riccardo Petrella.
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En Autriche, des chercheurs ont entrepris une expérience inédite : cultiver la totalité de ce que mange un Européen moyen dans un champ de 4400 mètres carrés. Il est rapidement apparu que les cultures fourragères et les produits importés occupaient deux fois plus de surface que les produits végétaux et locaux. Un documentaire porteur d'espoir pour démontrer la nécessité de se nourrir autrement.
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