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capitalisme
Si le capitalisme et sa propension à croître à l’infini n’est pas compatible avec le respect des limites planétaires, par quel système le remplacer et comment organiser ce grand basculement ? Bienvenue dans l’ère du post-capitalisme, une nouvelle phase de civilisation qui va nous amener à complètement repenser notre logiciel économique. Timothée Parrique est un économiste originaire de Versailles, en France. Il est actuellement chercheur à la School of Economics and Management de l'Université de Lund (Suède). Il est titulaire d'un doctorat en économie du Centre d'études et de recherches sur le développement (Université de Clermont Auvergne, France) et du Stockholm Resilience Centre (Université de Stockholm, Suède). Timothée est l'auteur de Ralentir ou périr. L'économie de la décroissance (septembre 2022, Seuil), une adaptation pour un large public de sa thèse de doctorat. Il écrit fréquemment sur la croissance verte et le découplage ; il est également l'auteur principal de « Decoupling debunked - Eviden
Et si, demain, les pays n’existaient plus ? Si les États-nations, ces piliers de l’organisation politique moderne, cessaient d’exister, non pas sous l’effet d’une guerre ou d’un effondrement brutal, mais par une dissolution méthodique, orchestrée par les forces mêmes qui, autrefois, prospéraient en leur sein ? Et si, au lieu de 200 pays aux frontières bien définies, nous vivions dans un monde morcelé en milliers de micro-juridictions privées, chacune régie non plus par des lois communes, mais par les intérêts d’une poignée de grandes fortunes et d’entreprises multinationales ? Ce scénario n’est pas une pure fiction, mais bien une vision du monde portée par une frange influente de penseurs libertariens, investisseurs et entrepreneurs de la Silicon Valley. Des figures comme Peter Thiel, cofondateur de PayPal et idéologue du techno-libertarianisme, considèrent que les États-nations, avec leurs institutions démocratiques et leurs régulations, sont des entraves à l’innovation et à la liberté économique. Selon eux,
Frédéric Lordon, philosophe et économiste français, donne une conférence sur la nécessaire sortie du capitalisme pour la survie de l'espèce et de notre société. Il nous régale, comme d'habitude, de ses punchlines et de sa pertinence. Arrêtez d'être éco-anxieu, soyez éco-furieux !
Professeur de Philosophie à l'Université de Moncton - Campus de Shippagan- dans la province du New Brunswick, grand ouest canadien, Alain Deneault revient en France pour la sortie de son dernier ouvrage « Faire que » (Lux éditeur). Deux cent pages de jus…
Entretien avec Daniel Tanuro, écosocialiste, membre de la 4e Internationale et de la Gauche anticapitaliste belge, et auteur de nombreux ouvrages sur l’écologie. Il vient de publier un nouvel ouvrage : "Écologie, luttes sociales et révolution"
Et si ce pouvoir de la fiction était plutôt utilisé pour changer la trajectoire funeste de nos sociétés et inventer un nouveau récit ? Et si l’art nous donnait l’envie de résister et de nous battre pour un monde plus juste et soutenable ? Pour en parler, Paloma Moritz reçoit Alain Damasio, le plus politique des auteurs de science fiction, célèbre pour la puissance de son imaginaire et ses critiques incisives de la société de contrôle 2.0. Un auteur qui a choisi de raconter des luttes enviables plutôt que de décrire un monde enviable. Son espoir quand il écrit est que son roman donne envie au lecteur de changer de sa vie et la société qui la structure.
Philosophe et économiste français, Frédéric Lordon est certainement l’un des penseurs les plus importants de la gauche contemporaine. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)1,2,3 et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS. A travers ses écrits il démontre la nécessité de sortir du capitalisme, mais surtout d’imaginer un système économique, écologique et socialement soutenable. Il s’appuie sur les propositions du sociologue Bernard Friot de “salaire à vie” et de caisses économiques pour proposer un projet qui révolutionne la manière de rémunérer les travailleuses et travailleurs et les droits de propriété dans l’économie. Il y ajoute aussi des réflexions stimulantes sur la transition vers ce qu’il n’hésite pas à nommer le “communisme”.
La croissance verte est un leurre dangereux pour Hélène Tordjman, économiste et maître de conférences à l'Université Sorbonne Paris-Nord. Elle vient de publier "La croissance verte contre la nature, critique de l'écologie marchande" (Éd. de la Découverte) et est l'invitée d'Ali Laïdi.
Nous sommes le 4 février 2120. Paris est-il toujours Paris ? Des bisons broutent-ils la prairie autour du Rond-Point ? Et le théâtre est-il désormais une ferme en permaculture, un atelier low-tech ou un centre d’hébergement pour les migrants climatiques ?
Certains y voient une folie irréaliste et dangereuse, d'autres un mot problématique et inapproprié, mais ses défenseurs pensent que c'est LA solution aux maux de ce monde, la seule échappatoire au capitalisme : la décroissance.
En Belgique, l’économie sociale est méconnue et pourtant, elle représente 1 emploi sur 8 ! Alternative concrète aux dérives du capitalisme, on la retrouve dans quasi tous les secteurs d’activité. Adelaïde Charlier part à la rencontre de jeunes étudiants et entrepreneurs qui ont choisi cette voie inspirante.
Le problème mondial de l'Eau. Entretien avec Riccardo Petrella.
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Quelle tristesse et quelle perte ! Bernard Stiegler n’est plus. Penseur radicalement libre et gourmand d’avenir, il faisait scintiller la philosophie en vigie vitale.
George Monbiot. George delves deep into the invisible ideologies trashing our planet. In this video George talks in depth about capitalism, consumerism and neo-liberalism.
Conférence du 19 février 2020, organisée par Ogmios et les étudiants de Sciences Po Lyon, en partenariat avec l'association Volonterre. Intitulé : Le 21ème siècle, un contexte politique et écologique inédit.
La terminologie effondriste est désormais utilisée dans une grande partie de la presse pour qualifier les risques écologiques autant qu'économiques et politiques. Un changement brutal de situation semble craint par beaucoup d'analystes, et nous devons désormais anticiper un avenir dans tous les cas de plus en plus contraint. Dans cet objectif, tentons de comprendre le lien entre la finitude des ressources et notre impact collectif sur le vivant afin d'estimer de leur influence sur l'évolution des cadres politiques qui organisent nos sociétés. L'intervention questionne les stratégies politiques potentiellement inefficaces ou contre-productives en monde contraint, en contextualisant la lutte anticapitaliste au coeur de la grande accélération.
Comment agir dans un monde qu’on effondre ?
Jouzel & Larrouturou en direct...