Focus Climat

OA - Liste

url courte : focusclimat.eu

COPERNICUS – Mises à jour

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

Résultats pour:
climatique

janvier 2025

Tout au long de sa course à la Maison Blanche, Donald Trump a promis de détricoter les politiques climatiques de son prédécesseur : sortir de nouveau des Accords de Paris, déréglementer l'industrie du gaz et du pétrole mais aussi revenir sur le grand plan pour la transition énergétique adopté par Joe Biden. Ces dernières semaines, le candidat défait multiplie cependant les mesures pour protéger son bilan environnemental. Explications.
La violence des incendies en Californie est surtout attribuable au changement climatique, qui accentue les sécheresses et les pluies extrêmes.
Alors que les incendies scarifient la Californie, le rôle des assurances devient de plus en plus critique face aux dégâts climatiques. Certaines délaissent les zones à risque. Ailleurs, les primes explosent. Les inégalités d’accès s’accentuent. Un débat qui nous concerne.
Ce lundi 13 janvier, des militants de Just Stop Oil ont peint des inscriptions sur la tombe du naturaliste dans l’abbaye de Westminster pour dénoncer l’inaction climatique.
Remplacer nos forêts par des plantations d’espèces censées être plus résilientes face au changement climatique. L’idée fait du chemin. Mais ce remède ne risque-t-il pas d’être pire que le mal ?
Devenue une véritable source d'inspiration et une icône pour celles et ceux qui aujourd'hui font de l’urgence climatique et de l'écologie des priorités et des combats à mener, la pensée de l’anthropologue Philippe Descola est l’une des plus marquantes de notre temps.
Alors que l’intelligence artificielle ne cesse de se développer et de s’insérer dans nos usages, la question de son impact sur le climat se pose de plus en plus. Le numérique va-t-il aggraver notre empreinte écologique ? Peut-il être un allié pour la réduire ? On s’interroge en compagnie de Benoît Frénay, professeur d’informatique à l’UNamur, spécialiste en intelligence artificielle et Hugues Ferreboeuf, chef de projet pour The Shift Project, l’organisation présidée par Jean-Marc Jancovici, les invités du Tournant.
Alors que 2024 a vu des records de chaleur être battus et que 2025 s’ouvre sur les images de Los Angeles en flammes, le retour au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis présage d’un recul politique en complète contradiction avec l’urgence climatique.
Le principal moteur de la surchauffe réside dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, essentiellement en raison de la combustion de charbon, de pétrole et de gaz. Elle a entraîné une multiplication des canicules, inondations, sécheresses et incendies.
Xavier Fettweis, climatologue à l'ULiège redoute un emballement du réchauffement climatique.
Les flammes qui ravagent les quartiers de stars, en banlieue de Los Angeles, provoquent une onde de choc dont la portée symbolique est colossale.
Chaque année la grippe et d’autres virus causent des vagues d’infections qui "peuvent mettre sous tension le système de soins au niveau des généralistes et des hôpitaux, et peuvent avoir un impact important sur la société en termes économiques ou d’absentéisme. C’est pourquoi une série de mesures sont prises, dont la protection par la vaccination des personnes plus âgées par exemple. On a tiré beaucoup de leçons et on a acquis de l’expérience de la période Covid. Mais on ne peut pas empêcher le fait que chaque année on sera confronté à ces épidémies", explique le docteur Emmanuel André, microbiologiste à l’hôpital universitaire UZ Leuven, interrogé sur La Première. C’est ainsi que, comme cela avait été mis en place lors de la crise Covid, chaque semaine un groupe d’experts surveille les infections respiratoires afin de donner des recommandations préventives dans les hôpitaux, par exemple.
A mesure que la planète se réchauffe, l’influence du changement climatique prend le pas sur d’autres phénomènes naturels affectant le climat.
Destiné à analyser la production, la réception et les usages des expertises et des argumentaires dans les procès climatiques, cet ouvrage est le résultat de travaux de recherche conduits dans le cadre du projet de recherche ANR PROCLIMEX dont l’un des objectifs est de mettre en lumière les stratégies judiciaires. L’ouvrage rassemble des chercheurs, des avocats, des juristes d’ONG qui étudient l’expertise sous l’angle du droit. Et afin de rendre compte de la finesse des jeux d’acteurs et des co-productions de savoirs complexes hors et dans le procès, des sociologues des sciences ou des usages militants du droit, ethnographes des mobilisations environnementales, politistes et climatologues éclairent les processus de construction de preuves (respect des trajectoires et objectifs climatiques), les discours et récits socio-juridiques à l’œuvre, les tentatives d’objectivation (comptabilité carbone). Déterminante pour l’issue du procès, la production des expertises soulève des questions fondamentales notamment liées
Alors que les aléas climatiques se multiplient, anticiper les périodes de sécheresses et d'inondations devient crucial. Un champ de la science œuvre à cela : la modélisation hydrogéologique.
Ouragans en Europe, vagues de chaleur en Arctique, ou pluies diluviennes dans le désert : le changement climatique est en train de bouleverser la géographie et l'ampleur des catastrophes naturelles. D'où cette question, à quoi vont ressembler les catastrophes climatiques de demain ? Pour y répondre, nous recevons Davide Faranda, climatologue et physicien de formation, directeur de recherche CNRS, ses recherches portent sur les liens entre les évènements climatiques extrêmes et le changement climatique. Il s'intéresse particulièrement aux catastrophes naturelles et à leur lien avec le changement climatique. Davide Faranda revient sur le danger des catastrophes climatiques avec cette question : le pire est-il à venir ? Les évènements climatiques extrêmes, au-delà d'un seuil de réchauffement, vont-ils nous empêcher de nous adapter ? Interview réalisée par Maxime Thuillez à l'Académie du climat
J’ai eu le plaisir de commencer l’année au micro de Stephane Pedrazzi pour « Les voix de l’économie » dans la Matinale de Radio Classique. 👁️‍🗨️ Malgré une actualité 2024 incroyablement dense, nous avons raté l’éléphant au milieu du couloir. 👀 L’effondrement écologique se manifeste par la multiplication des Rhinocéros Gris et des Cygnes Noirs sur l’économie mondiale. Les conditions d’habitabilité de la planète sont en train de changer profondément, tout comme notre accès à une énergie abondante. 🦏 Le concept de Rhinocéros Gris de l’économiste et politiste américaine Michele Wucker désigne un risque très probable et à fort impact, mais négligé du fait de son évolution lente. Le Rhinocéros Gris se situe entre "l'éléphant dans la pièce" (un danger totalement évident) et le "cygne noir" (un événement improbable). 🌡️ En France, les Rhinocéros Gris sont les trois saisons supplémentaires du changement climatique. La saison du trop chaud en été, la saison du trop d’eau en automne et la saison du trop sec sur le
Dans les Carpates ukrainiennes, les traditions de Noël sont menacées par des températures de plus en plus douces. “The Kyiv Independent” met en lumière ces rituels en mutation, entre chants de Noël sous la pluie et sculptures de glace qui disparaissent peu à peu.
Selon plusieurs études, le changement climatique pourrait augmenter le risque de séismes dans le monde. En cause, la fonte des glaces, la montée des eaux et la multiplication des évènements météorologiques extrêmes, qui déstabiliseraient les plaques tectoniques.
Une étude sur les vêlages en Antarctique apporte des réponses, tout en mettant en lumière un aspect moins visible mais plus préoccupant.

décembre 2024

Entretien avec l'historien Dipesh Chakrabarty, spécialiste du changement climatique et des études post-coloniales. Son dernier ouvrage, Une planète, plusieurs mondes, paraît ce 3 octobre aux éditions CNRS.
Le journalisme gagnerait à couvrir ce qui ne se passe pas, par-delà ce qui se produit. Il peut se révéler plus important encore qu’en certaines circonstances des choses n’adviennent pas, que ce qui se donne à traiter comme « faits ». Ainsi, le non-événement de l’année en Acadie et au Nouveau-Brunswick concerne l’absence presque complète de considérations lors de la dernière campagne électorale pour l’enjeu même du XXIe siècle, les perturbations climatiques et la catastrophe écologique dans lesquels nous nous enlisons collectivement.
L'année 2024 a connu environ 41 jours de canicule dangereux pour la santé humaine, rapporte une nouvelle étude.
Alors que la priorité de l’Etat devrait être de lutter contre les causes du changement climatiques, il se retrouve contraint de payer pour réparer les conséquences d’événements de plus en plus intenses et fréquents.
Les jours glacials d’hiver disparaissent comme neige au soleil dans plus d’une quarantaine de pays depuis dix ans, montre une nouvelle étude. Moins de jours de froid, mais plus de semaines à la chaleur infernale, a calculé une autre étude. En cause, à chaque fois : la crise climatique.
Alors que les dirigeants mondiaux se sont réunis à la COP29 en Azerbaïdjan pour discuter de l’action climatique, des scientifiques se demandent s’il est encore possible de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius par rapport aux moyennes préindustrielles.
Ouragans, sécheresses, inondations : la facture alarmante du réchauffement climatique en 2024
Le président américain Joe Biden a présenté jeudi sa feuille de route climatique pour les États-Unis, fixant un nouvel objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait toutefois être rapidement balayé par son successeur Donald Trump. Le pays, deuxième plus grand pollueur au monde derrière la Chine, prévoit à présent une baisse de ses émissions de l’ordre de 61 à 66% d’ici à 2035 par rapport à 2005, selon ce plan d’action soumis aux Nations unies.
..C’est une crise des vivants : sous la forme de la sixième extinction des espèces, comme de la fragilisation des dynamiques écologiques par le changement climatique, et de la réduction des potentiels d’évolution de la biosphère. Mais c’est aussi une crise d’autre chose, de plus discret, et peut-être plus fondamental. Ce point aveugle (c’est l’hypothèse de travail), c’est que cette crise actuelle, plus qu’une crise des sociétés humaines d’un côté, plus qu’une crise des vivants de l’autre, est une crise de nos relations au vivant.
L'année 2024, attendue comme la plus chaude dans le monde, sera aussi l'une des plus chaudes et des plus pluvieuses pour la France, poursuivant une décennie de températures hors normes mais conformes aux projections des climatologues, a annoncé jeudi Météo-France.
Climate Central a évalué comment le réchauffement des températures, attribué au dérèglement climatique, a affecté le nombre de jours à + 0°C en décembre, janvier et février dans 123 pays de l'hémisphère nord entre 2014-2023.
Jusqu’à trois semaines de gel en moins dans les régions les plus au nord du continent européen sont imputables au réchauffement climatique, d’après un rapport publié mardi 17 décembre par l’organisme américain Climate Central.
Après deux années de veille médiatique, QuotaClimat publie ce jour un rapport international révélant une augmentation alarmante des discours de désinformation climatique dans les médias d’information.
Alors que 2024 sera la première année au-dessus d'1,5°C de réchauffement climatique, une étude révèle que cela pourrait accélérer l'extinction des espèces animales.
Cosigné par une dizaine de membres du collectif Scientifiques en rébellion, l’ouvrage, qui replace la question de l’engagement des chercheurs dans une perspective historique, rappelle que dépolitiser la science conduit à protéger les intérêts dominants.
Selon un rapport de l’Agence d’observation atmosphérique et océanique américaine, la région polaire vient d’opérer un «changement spectaculaire» : elle n’est désormais plus un puits de carbone, mais bien une source supplémentaire.
De précédentes études, dont celles du GIEC, estimaient que la neutralité carbone d'ici 2050 permettrait de limiter le réchauffement climatique sous les 2 °C. Une nouvelle étude basée sur une IA de prédiction avancée avance cependant que cet objectif est en réalité presque hors d’atteinte.
Les pertes économiques liées aux catastrophes naturelles et climatiques ont atteint les 300 milliards d'euros en 2024.
La toundra arctique dégèle et émet désormais plus de carbone qu’elle n’en stocke, ce qui aggravera les effets du dérèglement climatique.
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale


Présélections :

espace50x10 facebook