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Sociale
Un rapport piloté par l’UCLouvain, et associant l’ULB et Sciences Po Paris, propose des pistes pour adapter la sécurité sociale face aux risques climatiques comme les risques d’inondation, de vagues de chaleur ou encore de pandémie. Un rapport commenté dans notre podcast Les Clés.
Pourquoi avons-nous tant de mal à nous adapter au changement climatique ? Quand l’asphalte chauffe, le thermomètre ne suffit pas à guider notre action : c’est notre manière de lire ses chiffres qui va décider de nos gestes. Perceptions, émotions et normes sociales forment un récit qui guide nos comportements – et qui façonne nos vulnérabilités face aux chaleurs extrêmes.
Dans le quartier d’Outremeuse, une initiative inédite voit le jour : des citoyens, en partenariat avec la maison médicale "La Passerelle", développent un projet pilote de sécurité sociale de l’alimentation.
Depuis 2019, les membres du collectif pour une Sécurité sociale de l’alimentation échangent, construisent et portent un projet de société à la hauteur des enjeux agricoles et alimentaires. Forts de travaux bien plus anciens, ils partagent leurs expériences, leurs convictions et leurs points de vue pour essayer de penser les institutions d’une socialisation de l’agriculture et de l’alimentation, seule voie à même de répondre aux urgences démocratiques, sociales et écologiques auxquelles nous sommes confrontés.
The Other Economy - Ressources bibliographiques et documentaires sur les enjeux économiques et écologiques
Dans la commune de Loos-en-Gohelle, le modèle de participation citoyenne qui combine chantiers participatifs, monnaie locale et sécurité sociale alimentaire est rentré dans les mœurs. Un succès basé sur l’accessibilité populaire.
Alors que les risques environnementaux se multiplient et que la transition écologique est de plus en plus complexe, l’idée d’une « Sécu verte » fait son chemin. Portée par un think tank français, la notion vise à faciliter l’accès à la transition écologique mais également, lutter contre les inégalités pour plus de justice sociale.
Le Belge Olivier De Schutter, rapporteur spécial sur les droits de l'homme et l'extrême pauvreté de l'ONU, tente de faire bouger les lignes.
La pièce maîtresse du programme économique et sécuritaire du président américain pourrait être votée ce lundi 30 juin au Sénat, avec à la clé un désastre social et climatique.
Il y a dix ans entrait en vigueur la loi relative à l'économie sociale et solidaire (ESS), dite loi Hamon, qui a défini le périmètre de cette économie solidaire, démocratique et à lucrativité limitée. A cette occasion, Novethic a rencontré celui qui fut l'instigateur de cette loi, Benoît Hamon, ancien ministre et désormais président d'ESS France, pour évoquer l'importance de ce secteur, face aux dérives du capitalisme contemporain.
Le changement climatique bouleverse la donne en matière de gestion des risques naturels. Il pourrait rendre obsolète et inefficace le système assurantiel, chargé aujourd’hui d’indemniser les logements sinistrés, comme l’industrialisation a révolutionné la couverture des risques sociaux au xixe siècle.
Six chercheurs, membres du collectif Social-Ecological Transitions, parmi lesquels l’économiste Eloi Laurent et le politiste Bruno Palier, appellent, dans une tribune au « Monde », à la mise en œuvre d’une sécurité sociale écologique pour maintenir les acquis de la Sécurité sociale, créée il y a bientôt quatre-vingts ans.
Le département de l’efficacité gouvernementale, chargé par le président Donald Trump de couper dans les dépenses publiques, pourra ainsi exploiter les informations confidentielles de millions d’Américains, comme les dossiers médicaux, relevés bancaires ou bulletins de salaire.
Als we willen dat iedereen zich kan aanpassen aan klimaatverandering, zijn technische ‘ingenieursoplossingen’ alleen niet voldoende. Daarvoor is ook een sterke sociale infrastructuur nodig. Juist nu de overheid het maatschappelijke middenveld onder druk zet, verschijnt er een studie van de Wetenschappelijke Raad voor het Regeringsbeleid (WRR) die hier dieper op ingaat.
Ce qu’il se passe dans le secteur de l’économie sociale du réemploi du vêtement face aux plateformes de vente en ligne mondiale, sur fond de fast fashion, d’exportation de déchets en Afrique et de pollution aux microplastiques (fibres textiles issues du pétrole), est révélateur. Pour nous c’est LE cas d’école actuel qui nous invite à sortir définitivement, des politiques de transition des années 2010-2020, c’est-à-dire d’une stratégie écologique individuelle (éco-citoyenneté), entrepreuneuriale (éco-entreprise) ou même de politique publique de soutien régional à la transition (subisdes, accompagnement, labels, formations, incubateurs, etc.).
La simplification administrative est à souhaiter, pas le renoncement à la transparence environnementale et sociale.
Pour financer des baisses d’impôts bénéficiant surtout aux plus riches, le président s’attaque aux dépenses de santé publique. Si son projet de loi est voté, possiblement dès ce mercredi 21 mai, plus de 8 millions de personnes pourraient perdre leur assurance maladie.
Waarom ecologisten op 1 mei meestappen – voor mensen, klimaat en democratie.
Historicus Jacques Pauwels benadrukt het cruciale belang van geschiedenis om het waarom van hedendaagse conflicten te kennen. Media en politici verkopen een simplistisch zwart-wit-verhaal van goeden tegen slechten, zonder oorzaken uit te leggen. Oekraïne, Gaza of de toenemende sociale ongelijkheid: voor wie de échte geschiedenis niet kent is oorlog iets dat zomaar, plots gebeurt, zonder dat je daar iets aan kan doen. Niets is minder waar.
La juge Ellen Hollander a émis jeudi une injonction préliminaire empêchant la commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) du patron de Tesla, proche conseiller de Donald Trump, d'accéder à des informations confidentielles, comme les dossiers médicaux, relevés bancaires ou bulletins de salaire. La Sécurité sociale (SSA), une agence fédérale notamment chargée de verser les retraites, pourra uniquement fournir des données anonymisées aux équipes de Doge, a décidé la juge.
France Chimie, le principal représentant du secteur, alerte ce mercredi 16 avril sur les conséquences sociales potentielles de la politique de droits de douane de Donald Trump et du dumping pratiqué par la Chine et les États-Unis.
Les démocrates s’opposaient en bloc à ce texte qui, selon eux, augure d’un dépeçage en règle de la Sécurité sociale – qui, aux États-Unis, verse des retraites et certaines aides publiques – et de Medicaid, l’assurance santé de nombreux Américains aux revenus modestes. De nombreux experts budgétaires avertissent effectivement que, pour parvenir à une réduction de 1 500 milliards de dollars dans les dépenses de l’Etat fédéral, il faudra passer par des coupes majeures dans ces programmes fédéraux.
Réviser en profondeur le Green Deal, c'est ce que propose l'Union européenne. Une "dérégulation massive" dénoncée par les professionnels et ONG.
Le député écologiste Boris Tavernier promeut une loi sur la Sécurité sociale de l'alimentation. Dans ce Grand entretien, il décrit le projet comme « le plus enthousiasmant depuis des décennies ». Le texte sera étudié jeudi 20 février à l'Assemblée.
Plus d’une vingtaine d’organisations réunies au sein de la coalition Hiatus, parmi lesquelles La Quadrature du Net et la Ligue des droits de l’homme, estiment, dans une tribune au « Monde », qu’il faut résister au déploiement massif de l’intelligence artificielle, au nom des droits humains, sociaux et environnementaux.
La lecture de l’accord fédéral de l’Arizona laisse un goût amer s’accordent à dire les membres de la Coalition Climat ! Les politiques du nouveau gouvernement fédéral ne permettront pas à la Belgique de respecter ses objectifs européens, ni de se conformer au jugement de l’Affaire Climat, ni encore d’atteindre la neutralité climatique comme convenu dans l’Accord de Paris. Par ailleurs, l’Arizona prévoit de faire des économies sur la solidarité internationale alors que ce sont les plus vulnérables, ici et ailleurs, qui sont et seront le plus durement touchés par la crise climatique.
Une note de la Direction générale des finances publiques révélée par «le Monde» montre que les revenus des 0,1 % des ménages français les plus aisés se sont envolés de 119 % entre 2003 et 2022. De quoi creuser encore les inégalités.
Contexte: Construire une protection sociale-écologique pour une transition juste […] Nos régimes de production et de consommation déstabilisent profondément la biosphère depuis des décennies, exacerbant des vulnérabilités existantes et causant de nouveaux risques qui menacent de plus en plus la stabilité sociale et politique partout sur la planète. Ces risques, qualifiés de risques sociaux-écologiques, sont de deux types: Les risques de transformation biophysique sont liés aux effets sociaux induits par les événements extrêmes (ex.: inondations, canicules, pandémies) et les événements à évolution lente (ex.: montée du niveau des mers) résultant de la déstabilisation anthropique de la biosphère. Les risques de transition sociotechnique sont liés aux effets sociaux des réponses aux risques de transformation biophysique. Ils couvrent les effets directs des politiques environnementales (ex.: mise en place de zones à faibles émissions, primes à la rénovation énergétique des logements, taxes carbone), ainsi que leu
Avant une renégociation probable de la CSRD, le Collège des Directeurs du Développement Durable appelle l'UE à maintenir le cap.
De nieuwe regels die Mark Zuckerberg aankondigde voor zijn sociale mediaplatforms zijn een aanval op het idee van waarheid zelf en daarmee op de democratie.
A peine entrée en vigueur, la CSRD est déjà menacée par l'un des principaux dirigeants européens. Dans une lettre à la présidente de la Commission européenne, le chancelier allemand Olaf Scholz demande officiellement la révision de la directive sur la durabilité des entreprises. Une posture qui inquiète les professionnels de la transition écologique et sociale.
Près de Paris, l’association Halage travaille à développer la biodiversité sur un terrain utilisé pendant plus de deux siècles pour stocker débris et matériaux. Un projet écologique doublé d’une dimension sociale.
Comment expliquer que l’écologie échoue encore à se définir comme une véritable force politique et une cause sociale ? Analyser les rapports de classes pourrait-il nous aider à comprendre ce qui retarde la bifurcation écologique ? Une politique de planification écologique qui ne pourra se faire sans les classes populaires.
Santé publique France (SPF) a publié ce mardi 10 décembre les conclusions de la première étude sur la vaccination contre le Covid-19 chez les 5- 11 ans. Elle met en lumière «des disparités régionales et sociales».
L’environnementalisme qui entend adapter la nature aux exigences de la société capitaliste, comme l’écologie autoritaire qui prétend imposer la sobriété au monde échoueront parce qu’elles continuent d’opposer la nature et la société. En restant prisonniers de cette dualité, nous ignorons que les mauvais traitements infligés à la nature sont le résultat des dominations internes à la société humaine. Il ne saurait donc y avoir d’écologie sans transformation de la société par elle-même. Tel est le dépassement qu’opère Murray Bookchin - ouvrier syndicaliste, activiste libertaire et intellectuel autodidacte - en théorisant l’écologie sociale.
Le déclin brutal de l’environnement n’était pas censé être le fruit de la politique agricole commune. Et pourtant, c’est le cas, assène cette journaliste du quotidien britannique “The Guardian”.
Le budget carbone mondial serait épuisé en moins de deux jours si toute la population consommait comme les 50 personnes les plus riches de la planète, a écrit l’organisation internationale Oxfam dans un rapport publié à veille de la dernière COP climat. Et les pauvres seraient les premières victimes du réchauffement.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
Les 50 milliardaires les plus riches du monde engendrent des émissions de CO2 démesurées, par rapport à celles des plus pauvres.
Chaque coup de chaud sur nos villes relance les débats sur l’adaptation de nos villes, mais les infrastructures sociales sont systématiquement oubliées. C’est pourtant elles qui feront la différence face à des chocs dont l’ampleur dépasse de plus en plus la capacité des institutions à aider les populations.
La sécurité sociale de l'alimentation (ASS) vise à rendre le système alimentaire plus juste et durable (1). Présentation ici de 5 projets pilotes belges en cours. Les résultats doivent pousser les nouveaux gouvernements à changer d'échelle. Et passer de quelques centaines à des milliers d'affiliés dans les caisses locales.
Longtemps marginale, la production de saumon d’élevage s’est muée en véritable industrie, concentrée entre les mains de quelques multinationales. Une massification qui pose des problèmes environnementaux, du bien-être animal au bilan carbone.
Augmenter la taxe sur les billets d'avion permettrait de réduire les émissions de CO2 du secteur, et toucherait surtout les plus riches.
Jean-Baptiste Comby publie en 2015 un livre intitulé La question climatique. Genèse et dépolitisation d’un problème publique, dans lequel il démontre comment, dans les années 2000, en France, le changement climatique a été construit, dans les médias généralistes, de façon conformiste et individualisante. Le livre Ecolos, mais pas trop… Les classes sociales face à l’enjeu environnemental, présente un prolongement de ces réflexions. Malgré une actualité politique importante depuis le milieu des années 2010, il n’y a pas de transformation sociale à la hauteur des enjeux environnementaux. En ce sens, le postulat de Comby appelle à s’appuyer sur un des éléments de base de la sociologie : les classes sociales.
Les catastrophes environnementales sont là, indubitables. Face à elles, quelle écologie construire, quelles alliances développer, quelles actions collectives mettre en œuvre ? Dans ce livre d’entretiens, Daniel Tanuro, ingénieur agronome et militant écosocialiste, répond aux questions d’Alexis Cukier et de Marina Garrisi. Il propose un diagnostic limpide, des analyses tranchantes et des propositions radicales en vue d’une révolution écologique et sociale. Apports et limites des rapports du GIEC, derniers développements des luttes écologistes (par exemple des Soulèvements de la Terre), transformations du capitalisme et de l’impérialisme, débats au sein du marxisme écologique, enjeux écologiques du syndicalisme, programme de transition écosocialiste… sont expliqués et analysés avec une grande clarté.
Expulsion des populations jugées indésirables, bétonnage d’espaces naturels, pollution routière et aérienne accrue : les Jeux olympiques bouleversent le paysage écologique et social. Voici une carte des destructions franciliennes. Derrière le conte de fée sportif, les Jeux olympiques sont synonymes de destructions sociales et écologiques. Bétonnage d’espaces naturels, constructions tous azimuts... Côté nettoyage social, les « indésirables » — sans-abri, personnes migrantes, habitants et habitants des (...)
Les 11 et 12 mai 2024 a été créée à Cordes sur Ciel (Tarn-France) « L ‘Association d’écologie sociale communaliste, l’Adventice », impulsée par l’informel Réseau d’Écologie Sociale et Communaliste. Il s’agit là d’une évolution assurant l’engagement de chacune et chacun d´entre nous dans le but de développer par tous les moyens à notre portée, l’écologie sociale et son projet communaliste.
Ce livre se présente sous la forme de deux longs entretiens (menés par Alexis Cukier et Marina Garrisi) auxquelles correspondent autant de parties. Dans la première, intitulée « Ce que l’on sait », l’intellectuel et militant anticapitaliste belge propose une analyse globale de la catastrophe écologique. Dans la deuxième, intitulée « Ce que l’on peut faire », il discute de différentes pistes pour y faire face et dessine une stratégie de transformation écosocialiste.
Si l’écologie est encore peu politique et radicale, c’est que les individus ont des intérêts trop divergents. De nouvelles alliances sociales pourraient être la solution, explique dans un livre le sociologue Jean-Baptiste Comby. « L’écologie sépare, voire oppose, celles et ceux qu’elle devrait réunir. Comment sortir de cette ornière qui l’empêche de jouer le rôle d’un mouvement politique fédérateur, émancipateur et transformateur ? » C’est la question que tout le monde se pose, en particulier en observant (...)
Raison d'être, entreprise à mission, code civil... 5 ans après, que reste-t-il de la loi PACTE pour la RSE ? On fait le bilan.
Sous l’égide de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), un sommet « de haut niveau » se tient à Paris ce 14 mai pour évaluer les voies de l’accélération de la modernisation des systèmes de cuisson rudimentaires.
Encore un rapport accablant sur l’élevage de saumons. Publié le 7 mai dernier par une nouvelle ONG française appelée Seastemik, il accumule les chiffres alarmants sur la filière, dénoncée comme « une bombe écologique et sociale ». Ainsi, Seastemik a calculé que « pour nourrir et élever un seul saumon d’élevage, il faut pêcher jusqu’à 440 poissons sauvages ». Elle rappelle que ces poissons sont prélevés, notamment, au large de l’Afrique de l’Ouest, concurrençant ainsi la pêche de subsistance et participant au « (...)
Entretien avec Daniel Tanuro, écosocialiste, membre de la 4e Internationale et de la Gauche anticapitaliste belge, et auteur de nombreux ouvrages sur l’écologie. Il vient de publier un nouvel ouvrage : "Écologie, luttes sociales et révolution"
Aujourd’hui l’écologie sépare, voire oppose, celles et ceux qu’elle devrait réunir, tant elle reste dispersée entre des intérêts souvent antagoniques. Comment sortir de cette impasse ?
L’élu européen Nouvelle Donne préconise, dans une tribune au « Monde », un électrochoc pour sauver le climat et la cohésion sociale.
Dans un livre dense mais innovant, les chercheurs Cédric Durand et Razmig Keucheyan tentent de dessiner un modèle de planification écologique compatible avec les limites planétaires.
À Cadenet, village du Vaucluse, des habitant·es ont réfléchi ensemble, durant plusieurs mois, à leurs aspirations pour une alimentation désirable. Leur convention citoyenne locale a débouché sur la création (…)
Porte-parole du mouvement de désobéissance civile Riposte Alimentaire, Bertrand Caltagirone insiste sur la nécessité d’associer la population aux politiques écologiques à travers le projet d’une Sécurité sociale de l’alimentation.
Faim prêt·es. Ce mardi, une caisse commune de l’alimentation est officiellement activée auprès de 400 Girondin·es. Objectif : faciliter l’accès à une nourriture durable pour tous·tes.
Le géant danois Orsted réduit ses objectifs de production après avoir abandonné deux projets offshore aux Etats-Unis, le suédois Vattenfall se retire de l’appel d’offres français sur l’éolien flottant, Shell, Engie et Iberdrola résilient des contrats d’achat d’électricité : rien ne va plus pour l’éolien en mer.