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La maladie virale et contagieuse a entraîné l’élimination de centaines de bovins en Savoie et Haute-Savoie cet été. Elle s’est rapidement propagée après qu’un premier cas a été détecté le 29 juin. […] Deux mois après l’apparition de la dermatose nodulaire contagieuse (DNC) dans des troupeaux bovins en Savoie, le ministère de l’Agriculture a maintenu sa stratégie combinant la vaccination et l’abattage total des foyers – bien que celle-ci ait de nouveau été contestée lors du parlement sanitaire réuni ce jeudi 28 août. Le conseil national d’orientation de la politique sanitaire animale et végétale, instance de consultation composée des syndicats agricoles, vétérinaires et scientifiques spécialistes, surnommé le parlement sanitaire, s’était réuni sous la présidence de la ministre Annie Genevard.
Leurs responsabilité dans l'échec des conférences sur le climat ou le plastique est de plus pointée du doigt. Quelles sont les solutions?
Alors que François Bayrou, premier ministre mutique sur les questions environnementales, quittera vraisemblablement Matignon au lendemain du vote de confiance de l’Assemblée le 8 septembre, voici quelques-uns des chantiers climatiques les plus vitaux après un nouvel été cauchemar, selon Loup Espargilière.
Le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a exhorté mardi le gouvernement religieux de droite à conclure un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas afin de mettre fin à la guerre et d'obtenir la libération des otages.
La loi Duplomb ou la proposition de loi sur l’autoroute A69 ont été adoptées en contournant l’Assemblée nationale à travers des tactiques gouvernementales, faussant la logique parlementaire. Du côté de l’opposition, l’obstruction systématique par le dépôt de milliers d’amendements est également problématique. La démocratie représentative semble aujourd’hui dysfonctionnelle. Comment remédier à cette situation ?
Le gouvernement américain a ordonné vendredi l'arrêt des travaux sur un immense projet de parc éolien en mer, pourtant achevé à 80%. Il s'agit du dernier d'une série de coups d'arrêt imposés à des projets d'énergie éolienne.
Le gouvernement de Donald Trump, président climatosceptique et farouche détracteur des éoliennes, a lancé une enquête sur les importations aux Etats-Unis des composants de cette énergie renouvelable, ne fermant pas la porte à l'imposition éventuelle de droits de douane. Initiée le 13 août 2025 par le secrétaire au Commerce, mais rendue publique jeudi, cette procédure est menée dans le cadre de la section 232, qui permet au gouvernement américain de protéger un secteur d'activité par des droits de douane s'il estime qu'il y a risque pour la sécurité nationale. Sont concernées, les "importations d'éoliennes et de leurs pièces et composants", précise ce document.
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Après Doel 4 et Tihange 3, l'exécutif fédéral envisage de reporter la fermeture du réacteur de Tihange 1, prévue le 1er octobre prochainLe gouvernement fédéral ne veut pas seulement prolonger Doel 4 et Tihange 3 de 20 ans au lieu de dix, il veut aussi une prolongation du réacteur nucléaire de Tihange 1, dont la fermeture est prévue le 1er octobre prochain, lit-on mardi dans L'Echo et De Tijd.
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Alors que l’armée a accepté une nouvelle intervention massive à Gaza, le ministre de la défense et le chef des forces armées israéliens s’opposent sur la stratégie. Le désaccord profond inquiète après la remise en question, depuis deux ans, de hauts fonctionnaires, magistrats et militaires, accusés de manquer de loyauté envers Benyamin Nétanyahou.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.
Almost 100 countries reject draft treaty as ‘unambitious’ and ‘inadequate’
A Genève, les représentants de 184 pays ont beaucoup de difficultés mercredi à s’entendre sur les mesures nécessaires pour réduire la pollution plastique au niveau mondial, et les négociateurs censés rendre un texte de traité international jeudi sont "au bord du gouffre", selon une déléguée.
Plus de 180 pays négocient depuis le 5 août un traité mondial contre la pollution plastique, à Genève, en Suisse. Mais l’opposition des grands producteurs menace d’affaiblir l’accord. Jules Vagner, cofondateur de l’association Zéro Plastique, suit ces débats cruciaux et met en garde contre un texte sans réelle ambition.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a déploré mercredi 13 août le blocage par plusieurs pays producteurs de pétrole (et donc de plastique) des laborieuses négociations en cours à Genève sur un accord international.
La commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, a appelé mardi à faire aboutir les négociations très difficiles en vue d'un traité sur la pollution plastique, censées se conclure jeudi après 10 jours de tractations à Genève.
Les recteurs et rectrices des dix universités belges appellent samedi, dans une déclaration commune, le gouvernement fédéral à agir face à "la violence et à la déshumanisation" en cours dans les territoires palestiniens occupés. "Nous ne pouvons rester silencieux face aux conditions inhumaines et à la grave crise humanitaire à Gaza", affirment-ils, alors que le conflit a engendré plus de 60.000 morts palestiniens.
Le premier traité international permettant de lutter efficacement contre la pollution plastique qui menace les écosystèmes et la santé humaine est "à portée de main", malgré le "brouillard" qui pèse actuellement sur l'avancée des négociations, a estimé samedi la secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Inger Andersen.
Le gouvernement de Donald Trump, connu pour ses réticences concernant les énergies renouvelables, a annoncé jeudi mettre fin à un dispositif de subventions fédérales pour l'installation de panneaux solaires sur les toits de centaines de milliers de foyers américains défavorisés. C'est l'Inflation reduction act, l'immense loi climatique du démocrate Joe Biden passée en 2022, qui mettait en place ce programme de soutien au photovoltaïque, prévu pour bénéficier à plus de 900.000 familles via diverses structures.
Une étude récente porte sur la production de quatre types de polymères vierges par les Etats.
Sept pays, conduits par la Chine, les États-Unis et l'Arabie Saoudite, ont produit deux tiers (66%) des quatre types de plastiques les plus courants dans le monde en 2024, selon le cabinet britannique de conseil environnemental Eunomia et Zero Carbon Analytics, un groupe de recherche.
Alors que les négociations du traité mondial sur les plastiques débutent à Genève, un nouveau rapport ainsi qu’un film de l’Environmental Justice Foundation (EJF) révèlent que les efforts déployés pour lutter contre la pollution plastique en se concentrant sur la gestion des déchets échouent totalement en Thaïlande. Ces « fausses solutions » détournent l’attention de la cause première : la surproduction et la surconsommation. Ce constat souligne l’urgence d’un accord s’attaquant à la crise du plastique à la source, selon l’EJF (*).
Le mouvement chiite a affirmé, mercredi, que les autorités avaient commis un « péché grave » en annonçant, mardi, avoir chargé l’armée de préparer un plan d’action pour lui retirer ses armes. Ses opposants saluent en revanche une « décision historique ».
Conclure un premier traité mondial contre la pollution aux plastiques s’avère crucial. Pourtant, les Etats restent divisés sur la façon de faire face à ce fléau dont les déchets ravagent la planète et menacent la santé humaine.
Sous l'égide de l'ONU, près de 180 pays se réunissent mardi à Genève. L'objectif : écrire un traité mondial visant à réduire la pollution plastique après l'échec des discussions menées à Busan, en Corée du Sud, fin 2024.
À partir de ce mardi, les représentant·es de 180 pays se retrouvent en Suisse pour tenter de se mettre d’accord sur un traité international visant à réduire la pollution plastique. Pourquoi les précédentes négociations ont-elles échoué ? Que reproche-t-on exactement à ce matériau ? Vert vous explique ce qui se joue actuellement sur les rives du lac Léman.
Le vote a été aussitôt invalidé par la Cour suprême israélienne, en conflit larvé avec le Premier ministre depuis plusieurs années, qui a jugé que la procédure était «inappropriée».
Depuis 2018, près de 90 000 personnes du peuple Antandroy ont été contraintes de quitter le sud de Madagascar, frappé par des sécheresses chroniques. Dans un rapport accablant, Amnesty International dénonce l’inaction des autorités face à cette crise humanitaire et aux violations des droits fondamentaux des déplacés internes. Conditions de vie indignes, expulsions forcées, familles séparées : les Antandroy sont aujourd’hui parmi les plus vulnérables du pays. Notre invité, Nciko Arnold, conseiller sur la justice climatique pour Amnesty International, revient sur les conclusions de ce rapport et sur les responsabilités des autorités malgaches et de la communauté internationale.
Le document, publié le 29 juillet, expose les arguments qui ont conduit l’administration Trump à revenir, mardi, sur une décision-clé datant de 2009 pour la régulation des émissions de gaz à effet de serre, mettant encore un peu plus à mal la lutte contre le changement climatique aux Etats-Unis.
Le ministère de la Transition écologique a publié le 31 juillet une carte de ces composantes toxiques.
La publication permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels.
L’administration y voit l’une des plus grandes mesures de dérégulation de l’histoire des Etats-Unis.
Le gouvernement de Donald Trump s'apprête à renverser la décision qui sert de fondation à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial. […] En 1970, le Congrès américain a donné, via le Clean Air Act, le pouvoir à l'Agence de protection de l'environnement (EPA) de réguler "la pollution de l'air qui peut raisonnablement mettre en danger la santé publique".
Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Prévot, fera une proposition au gouvernement en septembre sur la reconnaissance de la Palestine, avant l'assemblée générale des Nations Unies, a-t-il annoncé vendredi sur X.
L’arme de la faim est utilisée par la coalition de Benyamin Nétanyahou pour inciter les Palestiniens à partir. Elle veut les masser dans une « ville humanitaire », dans le sud de l’enclave, en prélude à leur possible transfert vers des pays étrangers.
Le ministère de la transition écologique a dû modifier un projet d’arrêté qui visait à limiter les prélèvements de certaines espèces, à la satisfaction des chasseurs. Le gouvernement estime que cet arbitrage permettra de mieux connaître le nombre d’oiseaux tués en France chaque année.
Usés par les coupures de courant répétitives et les factures d'électricité paradoxalement exorbitantes, de plus en plus de Pakistanais installent sur leurs toits des panneaux solaires, prenant de court le gouvernement éprouvé par des milliards de dollars de déficit. Autrefois apanage des quartiers riches, le solaire se révèle depuis peu être la première source d'énergie nationale et a fait son apparition dans les quartiers moins favorisés, où les habitants se serrent la ceinture pour pouvoir se l'offrir.
Menaces sur le Tour de France, manifestations, pressions politiques… mobilisée depuis le 20 juin, la Fédération nationale des chasseurs a obtenu la révision d’un projet d’arrêté du ministère de la transition écologique, qui prévoyait de suspendre ou restreindre les «prélèvements» de plusieurs espèces menacées. On vous explique.
Cet arrêt net de la procédure demandé par la ministre de la justice américaine s’inscrit dans le tournant vaccinosceptique du gouvernement de Donald Trump.
L’administration américaine vient de recruter trois scientifiques célèbres pour leurs positions à rebours du consensus scientifique sur le climat. Leur embauche intervient après le licenciement de centaines de chercheur·ses à l’origine d’un rapport pour élaborer les politiques américaines de réponse au dérèglement climatique.
C'est une page qui se tourne. Sur proposition du ministre de la Santé publique Frank Vandenbroucke, le Conseil des ministres a approuvé vendredi un projet d’arrêté royal par lequel "le Roi" (le gouvernement) proclame la fin de l’épidémie de coronavirus Covid-19, annonce-t-il dans un communiqué.
La pression était trop forte. Le président de l’université de Virginie, dans l’est des Etats-Unis, a annoncé sa démission, vendredi 27 juin, alors qu’il doit faire face à l’ouverture d’une enquête par l’Etat fédéral sur les pratiques du campus pour favoriser la diversité. « Je suis disposé à me battre pour mes convictions et je crois profondément en cette université », a déclaré, dans un communiqué, James Ryan, qui dirige l’établissement depuis 2018. « Mais je ne peux pas décider unilatéralement de lutter contre le gouvernement fédéral pour sauver mon emploi », a-t-il ajouté pour expliquer sa décision.
Jamais les institutions chargées de défendre l’environnement, la santé publique et les travailleurs n’ont subi autant d’attaques, financières, législatives et symboliques, de la part de la classe politique française. Alors que les crises écologiques dépassent des seuils critiques reconnus par un consensus scientifique incontestable, et que les enjeux sanitaires ne cessent de s’aggraver, la crise du monde agricole a été l’occasion pour le gouvernement et les organisations patronales de resservir un discours anticontrôles et antinormes. Contentant ainsi le lobby de l’agro-industrie, une circulaire, datée du 4 novembre 2024, instaure pour les administrations de l’Etat un « contrôle annuel unique » dans le secteur agricole.
Trois organisations de défense de l’environnement demandent la « publication immédiate » d’une étude sur l’exposition aux pesticides des personnes vivant en zone viticole. Selon nos informations, ses résultats sont jugés « très préoccupants » par les experts.
Les industriels seront incités à concevoir des emballages davantage recyclables ou réemployables, a annoncé la ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, jeudi 12 juin. La France est aujourd’hui très en retard sur les objectifs européens.
Le gouvernement a signé mardi le contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028 qui acte la relance de l'atome en France et le programme EPR2 de construction de six nouveaux réacteurs de grande puissance à horizon 2038. Il y a une ambition "de se projeter dans les prochaines décennies", a déclaré Marc Ferracci, ministre de l'Industrie et de l'Energie, lors de la signature du contrat en marge des "Journées Perspectives" de la filière à Massy (Essonne).
La Conférence des Nations unies sur l’océan, qui se tient à Nice du 9 au 13 juin, va confier à une structure intergouvernementale une gigantesque boîte à outils destinée à mieux prévoir les impacts du changement climatique.