Veille 2.1

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Sélection du moment:

Le projet vise à protéger les lignées originaires du Gondwana qui ont survécu à une époque antérieure à la séparation des continents.
Nous accompagnons l'agriculture wallonne vers l'agroécologie - Notre projet se distingue d’autres structures par un accompagnement global de votre ferme
Les mégaprojets reposant sur la consommation massive de bois se multiplient en France. Une demande industrielle inconciliable avec la préservation de forêts vivantes, qui s’opère avec le concours des pouvoirs publics.
Ce sigle effrayant, pour “Wounded child, no surviving family”, utilisé par les travailleurs humanitaires reflète la réalité d’un conflit dans lequel 40 % des victimes seraient des mineurs, rappelle “The Guardian”. Et la situation ne peut qu’empirer.
La réédition de ce « manifeste biorégionaliste », déjà recensé dans nos pages, entre en résonance avec l'exigence, désormais critique, de refonder l'architecture à partir de l'attention portée aux territoires et à leurs écologies. L'ouvrage de Mathias Rollot s'ouvre par un constat : la catastrophe écologique et sociale a déjà eu lieu. Il pose ensuite une question : « Pourquoi vouloir encore parler d'“architecture'', alors que les défis actuels sont avant tout d'ordres sociétaux, climatiques, politiques ? »
Depuis 1998, nous publions tous les deux ans le Rapport Planète Vivante qui mesure l'état de la biodiversité sur la planète. Cette année encore, le constat est sans appel. Si nous voulons sauver le vivant, il est crucial de s’accorder, de toute urgence, sur un objectif international ambitieux.
Tous les deux ans, l'ONG analyse la perte de la biodiversité à l'échelle planétaire, afin de "poser les jalons d’actions à venir en fournissant des éléments de réflexion".
N’apparaît-il pas aujourd’hui vital de mieux le préserver, à l’aune de la crise climatique et écologique en cours ? Reconnaître le bassin du Saint-Laurent comme une entité vivante, indivisible est un véritable sujet de droit qui permettrait, de la façon la plus efficace qui soit, de le préserver pour les générations actuelles et futures.
Diamant Palace, jour 1308. Avec Philippe Descola (anthropologue) et Rachel Devresse (activiste, zadiste) Au 1308e jour d'occupation du Diamant Palace, notre radio pirate questionne le concept de nature. Celui-ci n'a pas toujours existé et n'existe toujours pas dans l'ensemble des sociétés humaines. En Occident, il en dit beaucoup sur notre représentation du monde et la place que nous nous donnons parmi les autres espèces vivantes. Qu'est-ce que l'anthropocentrisme ? Pourquoi les villes modernes sont-elles "la fin des mondes" ? Y a-t-il des points communs entre les Achuars d'Amazonie et les zadistes d'Europe occidentale ? Jouer à Dieu nous rendra-t-il immortels ?
Il y a moins d'un mois, des microplastiques étaient détectés pour la première fois dans le sang humain, démontrant la capacité de déplacement de ces particules. Cette fois, c'est dans des poumons que la pollution a été constatée.
C’est l’autre actualité dramatique, celle dont-on parle peut-être moins fréquemment ces dernières semaines, bien qu’elle touche toutes les générations vivantes et à venir. Le dernier rapport du GIEC a été rendu public hier, il n’est pas réconfortant, mais permet un peu d’optimisme. Nous avons atteint un point de non-retour, mais nous pouvons encore nous adapter, pour limiter les dégâts, et les victimes.
Près de 50 000 hectares de forêt ont déjà brûlé en France en 2022, un chiffre jamais atteint depuis 2006. La monoculture de résineux est mise en cause.
Des scientifiques ont fixé 9 limites planétaires à ne pas dépasser pour conserver la viabilité du système terre pour toutes les espèces vivantes.
David Graeber. Son histoire de la dette, donc du capitalisme, n'a pas seulement bouleversé ma vision du monde; elle l'a remise à l'endroit. Il n'est tout simplement pas possible de comprendre le monde actuel tant qu'on n'a pas saisi, entériné, incorporé le contenu de son essai DETTE, 5000 ans d'histoire. Eh bien, Au commencement était.. va encore plus loin dans le passé de l'humanité et remet en question la quasi totalité de nos racines en tant qu'espèce vivante.
Nous le savons, le réchauffement climatique pourrait avoir, à terme, des conséquences désastreuses pour notre planète et les espèces vivantes qui y évoluent. Mais ne serait-ce pas déjà le cas ? Et notamment en ce qui concerne les glaciers à travers le monde ?
Nouveaux adhérents, label bio, circuits courts... Réunies le 2 octobre à Marseille, les Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) ont dressé le bilan de leurs vingt années d’existence en France.
En juin 2019, Étienne Davodeau entreprend, à pied et sac au dos, un périple de 800 km, entre la grotte de Pech Merle et Bure. Des peintures rupestres, trésors de l'humanité encore protégés aux déchets nucléaires enfouis dans le sous-sol, malheur annoncé pour les espèces vivantes.
La végétalisation de la ville et sa biodiversité sont indispensables pour rendre les cités de demain plus vivantes et, par là, plus vivables. Mais si la plupart des collectivités ont intégré cette réflexion, les actions ne suivent pas toujours. Plaidoyer pour un véritable « urbanisme écosystémique ».
Un demi-siècle après le début de la résistance à l’extension du camp militaire du Larzac, la lutte y est toujours vivante. Le système de gestion des fermes et terres agricoles qui y règne mêle décisions collectives et valorisation de l’usage contre la propriété privée. Il attire des nouvelles générations prêtes à reprendre le flambeau.
La biodiversité de cette région d’exception est gravement menacée. Le changement climatique y est plus rapide et l’impact des activités humaines plus fort qu’ailleurs avec pour conséquence directe, selon le rapport « Méditerranée Vivante », l’effondrement de sa biodiversité. Près de 30 ans après les engagements du Sommet de Rio, et malgré des lueurs d’espoir liées aux nombreux efforts de conservation, les résultats présentés dans le rapport sont sans appel...
Biorégion, Biorégion… voilà ce que serait le nouveau mantra. Depuis les mouvements de l’alternative radicale jusqu’à l’environnementalisme gestionnaire, depuis les mondes de la recherche jusqu’aux …
Les engrais azotés de synthèse sont une menace peu connue mais aussi grave que le réchauffement climatique ou l’effondrement de la biodiversité ! Claude Aubert, fondateur de Terre vivante et ingénieur agronome, pionnier de l’agriculture bio en France, vient de sortir un livre coup de poing « Les apprentis sorciers de l’azote, la face cachée des engrais chimiques ». Il explique, alerte, et propose des solutions pour supprimer l’excès d’azote dans l’agriculture et dans notre alimentation.
Alors que les conditions de survie de l’humanité sont en jeu, nous avons besoin d’enclencher une nouvelle ère dépassant les systèmes extractifs dominants et faisant de l’économie le moteur d’une nouvelle relation entre la Terre et l’humain. Aujourd’hui, une multitude de pratiques nouvelles montre que l’économie peut respecter les capacités régénératrices des ressources naturelles tout en permettant l’innovation et l’évolution humaine ; que l’humain peut devenir co-créateur, avec toutes les espèces vivantes, des équilibres planétaires et constructeur de son équilibre social.
Tan­dis que la des­truc­tion de l’ha­bi­tat d’in­nom­brables espèces vivantes et de ces espèces elles-mêmes s’in­ten­si­fie au niveau mon­dial, la pré­sente pan­dé­mie de coro­na­vi­rus pour­rait n’être que le début d’une ère de pan­dé­mies inter­na­tio­nales.
l’annonce de la disparition d’espèces peu emblématiques offre-t-elle l’opportunité de réfléchir à la signification de la biodiversité entomologique. Les insectes sont à cet égard très édifiants : cette classe d’invertébrés représenterait en effet à elle seule plus de 64 % des espèces vivantes. Présents dans presque tous les milieux (y compris nos villes), de tailles et de mœurs très différentes, les insectes ont dans nos cultures des statuts très contrastés.
Et la doter d’une personnalité juridique, pour la protéger, comme l’a fait la Nouvelle-Zélande avec l’un de ses fleuves ? Tandis que les droits des fleuves, montagnes et forêts victimes de destructions causées par l’homme et le dérèglement climatique sont réévalués partout dans le monde, l’association La Seine n’est pas à vendre étudie la possibilité de doter la Seine d’une personnalité juridique pour mieux la protéger. Nous en avons discuté avec Thierry Paquot, philosophe de l’urbain, qui s’inquiète des destructions irréversibles causées par l’urbanisation à l’échelle planétaire, et Valérie Cabanes, juriste en droit international et représentante en Europe de l’Alliance mondiale pour les droits de la nature,


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vivante

juillet 2024

Le projet vise à protéger les lignées originaires du Gondwana qui ont survécu à une époque antérieure à la séparation des continents.

février 2024

Nous accompagnons l'agriculture wallonne vers l'agroécologie - Notre projet se distingue d’autres structures par un accompagnement global de votre ferme

janvier 2024

Les mégaprojets reposant sur la consommation massive de bois se multiplient en France. Une demande industrielle inconciliable avec la préservation de forêts vivantes, qui s’opère avec le concours des pouvoirs publics.

décembre 2023

Ce sigle effrayant, pour “Wounded child, no surviving family”, utilisé par les travailleurs humanitaires reflète la réalité d’un conflit dans lequel 40 % des victimes seraient des mineurs, rappelle “The Guardian”. Et la situation ne peut qu’empirer.

juin 2023

La réédition de ce « manifeste biorégionaliste », déjà recensé dans nos pages, entre en résonance avec l'exigence, désormais critique, de refonder l'architecture à partir de l'attention portée aux territoires et à leurs écologies. L'ouvrage de Mathias Rollot s'ouvre par un constat : la catastrophe écologique et sociale a déjà eu lieu. Il pose ensuite une question : « Pourquoi vouloir encore parler d'“architecture'', alors que les défis actuels sont avant tout d'ordres sociétaux, climatiques, politiques ? »

octobre 2022

Depuis 1998, nous publions tous les deux ans le Rapport Planète Vivante qui mesure l'état de la biodiversité sur la planète. Cette année encore, le constat est sans appel. Si nous voulons sauver le vivant, il est crucial de s’accorder, de toute urgence, sur un objectif international ambitieux.
Tous les deux ans, l'ONG analyse la perte de la biodiversité à l'échelle planétaire, afin de "poser les jalons d’actions à venir en fournissant des éléments de réflexion".

mai 2022

N’apparaît-il pas aujourd’hui vital de mieux le préserver, à l’aune de la crise climatique et écologique en cours ? Reconnaître le bassin du Saint-Laurent comme une entité vivante, indivisible est un véritable sujet de droit qui permettrait, de la façon la plus efficace qui soit, de le préserver pour les générations actuelles et futures.

avril 2022

Diamant Palace, jour 1308. Avec Philippe Descola (anthropologue) et Rachel Devresse (activiste, zadiste) Au 1308e jour d'occupation du Diamant Palace, notre radio pirate questionne le concept de nature. Celui-ci n'a pas toujours existé et n'existe toujours pas dans l'ensemble des sociétés humaines. En Occident, il en dit beaucoup sur notre représentation du monde et la place que nous nous donnons parmi les autres espèces vivantes. Qu'est-ce que l'anthropocentrisme ? Pourquoi les villes modernes sont-elles "la fin des mondes" ? Y a-t-il des points communs entre les Achuars d'Amazonie et les zadistes d'Europe occidentale ? Jouer à Dieu nous rendra-t-il immortels ?
Il y a moins d'un mois, des microplastiques étaient détectés pour la première fois dans le sang humain, démontrant la capacité de déplacement de ces particules. Cette fois, c'est dans des poumons que la pollution a été constatée.
C’est l’autre actualité dramatique, celle dont-on parle peut-être moins fréquemment ces dernières semaines, bien qu’elle touche toutes les générations vivantes et à venir. Le dernier rapport du GIEC a été rendu public hier, il n’est pas réconfortant, mais permet un peu d’optimisme. Nous avons atteint un point de non-retour, mais nous pouvons encore nous adapter, pour limiter les dégâts, et les victimes.

mars 2022

Près de 50 000 hectares de forêt ont déjà brûlé en France en 2022, un chiffre jamais atteint depuis 2006. La monoculture de résineux est mise en cause.

janvier 2022

Des scientifiques ont fixé 9 limites planétaires à ne pas dépasser pour conserver la viabilité du système terre pour toutes les espèces vivantes.

décembre 2021

David Graeber. Son histoire de la dette, donc du capitalisme, n'a pas seulement bouleversé ma vision du monde; elle l'a remise à l'endroit. Il n'est tout simplement pas possible de comprendre le monde actuel tant qu'on n'a pas saisi, entériné, incorporé le contenu de son essai DETTE, 5000 ans d'histoire. Eh bien, Au commencement était.. va encore plus loin dans le passé de l'humanité et remet en question la quasi totalité de nos racines en tant qu'espèce vivante.

novembre 2021

Nous le savons, le réchauffement climatique pourrait avoir, à terme, des conséquences désastreuses pour notre planète et les espèces vivantes qui y évoluent. Mais ne serait-ce pas déjà le cas ? Et notamment en ce qui concerne les glaciers à travers le monde ?

octobre 2021

Nouveaux adhérents, label bio, circuits courts... Réunies le 2 octobre à Marseille, les Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne (Amap) ont dressé le bilan de leurs vingt années d’existence en France.
En juin 2019, Étienne Davodeau entreprend, à pied et sac au dos, un périple de 800 km, entre la grotte de Pech Merle et Bure. Des peintures rupestres, trésors de l'humanité encore protégés aux déchets nucléaires enfouis dans le sous-sol, malheur annoncé pour les espèces vivantes.

septembre 2021

La végétalisation de la ville et sa biodiversité sont indispensables pour rendre les cités de demain plus vivantes et, par là, plus vivables. Mais si la plupart des collectivités ont intégré cette réflexion, les actions ne suivent pas toujours. Plaidoyer pour un véritable « urbanisme écosystémique ».

août 2021

Un demi-siècle après le début de la résistance à l’extension du camp militaire du Larzac, la lutte y est toujours vivante. Le système de gestion des fermes et terres agricoles qui y règne mêle décisions collectives et valorisation de l’usage contre la propriété privée. Il attire des nouvelles générations prêtes à reprendre le flambeau.

juin 2021

La biodiversité de cette région d’exception est gravement menacée. Le changement climatique y est plus rapide et l’impact des activités humaines plus fort qu’ailleurs avec pour conséquence directe, selon le rapport « Méditerranée Vivante », l’effondrement de sa biodiversité. Près de 30 ans après les engagements du Sommet de Rio, et malgré des lueurs d’espoir liées aux nombreux efforts de conservation, les résultats présentés dans le rapport sont sans appel...

mars 2021

Biorégion, Biorégion… voilà ce que serait le nouveau mantra. Depuis les mouvements de l’alternative radicale jusqu’à l’environnementalisme gestionnaire, depuis les mondes de la recherche jusqu’aux …

février 2021

Les engrais azotés de synthèse sont une menace peu connue mais aussi grave que le réchauffement climatique ou l’effondrement de la biodiversité ! Claude Aubert, fondateur de Terre vivante et ingénieur agronome, pionnier de l’agriculture bio en France, vient de sortir un livre coup de poing « Les apprentis sorciers de l’azote, la face cachée des engrais chimiques ». Il explique, alerte, et propose des solutions pour supprimer l’excès d’azote dans l’agriculture et dans notre alimentation.

décembre 2020

Alors que les conditions de survie de l’humanité sont en jeu, nous avons besoin d’enclencher une nouvelle ère dépassant les systèmes extractifs dominants et faisant de l’économie le moteur d’une nouvelle relation entre la Terre et l’humain. Aujourd’hui, une multitude de pratiques nouvelles montre que l’économie peut respecter les capacités régénératrices des ressources naturelles tout en permettant l’innovation et l’évolution humaine ; que l’humain peut devenir co-créateur, avec toutes les espèces vivantes, des équilibres planétaires et constructeur de son équilibre social.

septembre 2020

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mars 2020

Tan­dis que la des­truc­tion de l’ha­bi­tat d’in­nom­brables espèces vivantes et de ces espèces elles-mêmes s’in­ten­si­fie au niveau mon­dial, la pré­sente pan­dé­mie de coro­na­vi­rus pour­rait n’être que le début d’une ère de pan­dé­mies inter­na­tio­nales.

octobre 2019

l’annonce de la disparition d’espèces peu emblématiques offre-t-elle l’opportunité de réfléchir à la signification de la biodiversité entomologique. Les insectes sont à cet égard très édifiants : cette classe d’invertébrés représenterait en effet à elle seule plus de 64 % des espèces vivantes. Présents dans presque tous les milieux (y compris nos villes), de tailles et de mœurs très différentes, les insectes ont dans nos cultures des statuts très contrastés.

décembre 2018

Et la doter d’une personnalité juridique, pour la protéger, comme l’a fait la Nouvelle-Zélande avec l’un de ses fleuves ? Tandis que les droits des fleuves, montagnes et forêts victimes de destructions causées par l’homme et le dérèglement climatique sont réévalués partout dans le monde, l’association La Seine n’est pas à vendre étudie la possibilité de doter la Seine d’une personnalité juridique pour mieux la protéger. Nous en avons discuté avec Thierry Paquot, philosophe de l’urbain, qui s’inquiète des destructions irréversibles causées par l’urbanisation à l’échelle planétaire, et Valérie Cabanes, juriste en droit international et représentante en Europe de l’Alliance mondiale pour les droits de la nature,

octobre 2018

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avril 2017

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