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Le constat vient de tomber à Abu Dhabi, et il confirme ce que les scientifiques redoutaient depuis des années. L’Union internationale pour la conservation de la nature a dévoilé samedi lors de son Congrès mondial des chiffres qui résonnent comme un signal d’alarme : près de 100 espèces supplémentaires d’abeilles sauvages européennes ont rejoint la liste des espèces menacées de disparition en l’espace d’une décennie. Un effondrement silencieux qui menace directement les fondations de notre sécurité alimentaire.
Le monde est au seuil d’une «réalité nouvelle» sous l’effet du changement climatique dont certaines conséquences sur les récifs d’eau chaude sont probablement déjà irréversibles, alerte une étude publiée lundi 13 octobre.
Des médias rapportent que des centaines de personnes détenues dans le centre de rétention pour immigrés en situation irrégulière, situé en Floride et connu sous le nom d'"Alcatraz des alligators", ont disparu de la base de données en ligne de la police américaine de l'immigration (ICE). Selon des associations de défense des droits des immigrés, il n'est ainsi plus possible de les localiser.
Huit glaciers ont totalement disparu en Suède en 2024 à cause de la chaleur extrême, tandis que trente autres sont menacés, alerte la glaciologue Nina Kirchner.
Le territoire chinois devient dangereux non seulement pour ses propres citoyens mais aussi pour les étrangers qui ne peuvent bénéficier sur place d’aucun recours.
Ces derniers temps, nous semblons dangereusement abandonner notre empathie, cette capacité à se mettre à la place d’autrui pour ressentir ses souffrances. L’empathie n’est pourtant pas qu’une preuve de gentillesse. La conserver, c’est une garantie de vivre ensemble, et donc un ciment des démocraties. Chronique dans Le Monde en direct.
Lorsque nous évoquons l’Amazonie, nous pensons instinctivement à ses fleuves majestueux serpentant à travers la végétation luxuriante. Pourtant, au-dessus de nos têtes se déploie un réseau hydrologique encore plus impressionnant : des rivières invisibles qui transportent chaque jour plus d’eau que l’Amazone elle-même. Ces « rivières volantes » constituent l’un des mécanismes les plus fascinants et méconnus de notre planète, orchestrant la distribution des précipitations à travers tout le continent sud-américain.
Sur les hauteurs de Chamonix (Haute-Savoie), la Mer de glace devrait perdre encore au moins 80% de son volume d’ici la fin du siècle. Symbole de l’accélération du réchauffement climatique, la probable disparition de ce glacier historique bouleverse l’économie locale, et notamment le tourisme.
Entre fonte et effondrements réguliers, la situation des glaciers du monde n’est pas au beau fixe, bien au contraire. Une récente infographie a rappelle la manière avec laquelle se forment les glaciers et comment ces derniers s’écoulent vers les océans. Dernièrement, une catastrophe en Suisse a également rappelé l’existence de certains risques.
Cymene Howe et Dominic Boyer, de l’Université Rice, viennent de publier un commentaire dans Science qui ouvre un peu plus les yeux sur un sujet que l’on aimerait garder bien au frais : le coût humain de l’effondrement de nos glaciers. Spoiler alert : ce n'est pas pas un spin off des "Marcheurs Blancs" Game Of Thrones.
Des mots mêmes du ministre des Finances israélien, c’est une décision historique. Israël va "développer 22 nouvelles localités en Judée-Samarie". Les mots sont choisis avec soin et démontrent l’ambition israélienne. De localités, le droit international parle plutôt de colonies. Et la Judée-Samarie est en réalité le territoire palestinien reconnu par l’ONU comme étant la Cisjordanie occupée par Israël. 500.000 Israéliens vivent aujourd’hui au milieu de trois millions de Palestiniens. Augmenter encore les colonies, c’est probablement enterrer tout espoir d’un jour voir un État palestinien émerger.
La fonte des glaciers est une métamorphose plutôt qu’une disparition, selon Nastassja Martin et Olivier de Sépibus. Dans « Les Sources de glace », l’anthropologue et le photographe appellent à repenser nos liens avec ces géants.
La Russie a commis les "crimes contre l'humanité" de disparitions forcées et de torture dans le cadre de la guerre en Ukraine, selon une commission d'enquête internationale indépendante des Nations unies.
La cour administrative d’appel de Bordeaux a annulé ce mercredi 18 décembre l’autorisation environnementale délivrée en 2017 pour les retenues du marais poitevin, donc celle de Sainte-Soline.
L’année passée, la température terrestre a grimpé d’environ un demi-degré. Il s’avère aujourd’hui que la planète dans l’ensemble a vécu une année ensoleillée. Les nuages bas étaient 4% moins abondants que les années précédentes. L’année 2023 a vu une augmentation impressionnante du réchauffement climatique. Les océans étaient particulièrement chauds, notamment l’Atlantique, qui a battu tous les records. Les climatologues ont qualifié ce changement de plusieurs adjectifs expressifs, incluant ‘gobsmackingly bananas.’
La banquise arctique, symbole emblématique de la beauté et de la fragilité de notre planète, est en train de disparaître à un rythme alarmant.
Crier aux loutres. Alors que les activités humaines provoquent un déclin massif de la biodiversité, doit-on s’inquiéter de l’extinction de certains végétaux ou animaux en particulier, parce qu’elle provoquerait la disparition de tous les autres ? On fait le point.
Ces 50 dernières années, la taille moyenne des populations d’animaux sauvages suivies par le Fonds mondial pour la nature (WWF) a diminué de 73 %. Voici 3 chiffres du rapport « Planète vivante » pour saisir l'ampleur de la crise.
Pour réagir de façon appropriée à la crise écologique actuelle, il faut comprendre ce qui en est à l’origine. Quelles sont les causes de la sixième extinction de masse dans laquelle nous sommes entrés ? Le réchauffement climatique est-il vraiment l’unique coupable ?
Avec l’été, les petites bêtes sont de retour et donnent l’impression de pulluler. Plusieurs études européennes montrent que leur nombre ne fait que diminuer depuis des années, mettant en péril les écosystèmes et notre alimentation.
Cela ressemble à de la science-fiction, mais c'est la réalité : le disparition des vautours en Inde a des conséquences dévastatrices pour le Santé humaine et l'économie du pays. La raison est facile à dire : ces oiseaux de proie ils nettoient les carcasses infectées et, en les éliminant, ils réduisent les populations d'autres charognards, comme les chiens sauvages qui peuvent transmettre des maladiesvoire mortel, par exemple le colère. De plus, sans vautours à proximité, les agriculteurs se débarrassent du bétail mort en le jetant dans les cours d’eau.
La liste rouge des espèces menacées en France s’allonge ce mercredi 3 avril en intégrant pour la première fois des champignons, victimes de la destruction des habitats naturels et du changement climatique.
L'activité humaine a mené à l’extinction de 1430 espèces d’oiseaux, soit deux fois plus que précédemment estimé. Cela signifierait qu’il existe un grand nombre d’espèces disparues non découvertes.
Le gouvernement l'assure: "on ne transigera pas avec la sûreté nucléaire". Experts et associations mettent cependant en garde contre des risques liés à la réforme en cours, tandis que des élus prônent un système "moins rigide" pour faciliter la relance du nucléaire civil.Un projet de loi doit être présenté mercredi pour fusionner l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), auteure des décisions sur les centrales, et l'Institut de radioprotection et sûreté nucléaire (ISRN), expert du secteur.
D’après la dernière «liste rouge» du Comité français de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) publiée le 21 novembre, 41 % des espèces de plantes de l’île sont actuellement menacées de disparition.
La Disparition du Fleuve Mississippi : Une Conséquence Dire de la Sécheresse et des Températures Élevées - TS2 SPACE
Les auteurs d'une étude, publiée lundi dans la revue PNAS, ont recensé l'extinction de 73 genres. Ce phénomène aurait dû prendre 18 000 ans, et non 500.
Pour la première fois, une étude quantifie les effets néfastes des gaz à effet de serre sur les ours polaires. Ces travaux pourraient bouleverser une loi étasunienne favorable aux énergies fossiles.
Il est bien connu que de nombreuses grandes espèces de vertébrés ont disparu à la fin du Pléistocène dans la plupart des régions du monde. La cause de l’extinction de cette mégafaune reste incertaine, même si le changement climatique et les impacts humains ont souvent été pointés du doigt. Selon une nouvelle analyse approfondie, les deux causes seraient effectivement impliquées, et même intimement liées. Les détails de ces travaux sont publiés dans la revue Science.
Des chercheurs de plusieurs universités et instituts de recherche néerlandais et belges, parmi lesquels la VUB, ont averti que plusieurs espèces animales sont menacées de disparition en raison des effets des retombées d'azote dans la nature. Entre autres, les insectes à métamorphose complète comme les papillons, les abeilles et les mouches. "L'augmentation des dépôts d'azote d'origine humaine modifie la qualité des sols dans les écosystèmes naturellement pauvres en nutriments", ont expliqué les scientifiques. En Flandre, ce phénomène est principalement dû à l'agriculture. "En conséquence, les conditions de vie des espèces végétales et animales changent également. Les plantes qui bénéficient d'un surplus d'azote deviennent souvent dominantes, ce qui conduit à l'enherbement des landes ou à la présence de ronces dans les zones boisées."