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mai 2024

La Commission européenne est catégorique : pour lutter contre le dérèglement climatique, la technique de capture et de stockage du dioxyde de carbone (CO₂) sera indispensable. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Où en est le déploiement de cette technologie ? Et quels freins l’entravent ? Décryptage.

avril 2024

Écosystèmes terrestres et marins, calottes glaciaires, biodiversité, cours d’eau, océan… Sur notre planète, tout est connecté. Mais d’après un rapport récent, les dynamiques de ces différents systèmes seraient déstabilisées par les activités humaines, et ce jusqu’à franchir des points de non-retour. Explications.

mars 2024

À l’échelle de la planète, seulement 3% de l’eau terrestre est de l’eau douce... À l’occasion de la Journée mondiale de l’eau, zoom sur une ressource précieuse et pourtant menacée.
La biodiversité joue un rôle protecteur sur le fonctionnement des écosystèmes dans des conditions climatiques désavantageuses, selon deux études menées par des scientifiques du CNRS1 et leurs collègues allemands et chinois, à paraitre le 18 mars dans les revues Global Change Biology et PNAS.

février 2024

Une branche du CNRS a poussé ses chercheurs à se positionner publiquement en faveur des nouveaux OGM. Le retour de cette vieille technique de propagande industrielle a choqué de nombreux scientifiques, notamment écologues.

janvier 2024

La société du pétrole sur laquelle s'est bâtie notre prospérité ne s’est pas faite sans sacrifices. Gwenola Le Naour et Renaud Bécot, co-directeurs d'un ouvrage sur ce sujet, lèvent le voile sur les dégâts causés par cette « pétrolisation » du monde, en France et à l'étranger.
Dans le cadre du projet Icovac-France, un rapport accessible à tous fait le point des recherches menées sur les aspects humains et sociaux de la vaccination durant la pandémie de Covid-19.

décembre 2023

Avec le changement climatique, un tiers de la population mondiale devrait se retrouver confrontée à la raréfaction de la ressource en eau. Cela ne va pas sans susciter des tensions croissantes, à l’international comme à l’échelle locale, et interroge la façon dont nous gérons et utilisons la ressource en eau.

novembre 2023

Alors que la COP28 débute à Dubaï, le climatologue Robert Vautard en décrypte les enjeux et revient sur son nouveau mandat en tant que coprésident du groupe I du Giec, en charge de l’évaluation des aspects physiques du changement climatique.
En France comme aux États-Unis, une même question taraude les scientifiques : comment le sol s’est-il formé ? Pour y répondre, deux expériences sont menées en parallèle entre l'Arizona, au sein de Biosphère2, et la lisière de la forêt de Fontainebleau, à l'Écotron Ile-de-France. Grâce à des conditions contrôlées, ces deux sites d'écologie expérimentale permettent d'étudier le fonctionnement des écosystèmes et de suivre précisément les échanges de nutriments entre la roche, l’eau et les plantes.
Captage et stockage de l’eau sont intimement liés au développement des sociétés humaines. Géoarchéologue, Louise Purdue retrace l’histoire des techniques hydrauliques, du simple puits jusqu’aux réseaux complexes de canaux et galeries. Elle raconte leur évolution au gré des contraintes, démographiques et environnementales.

septembre 2023

Sandra Lavorel vient de décrocher la médaille d’or du CNRS pour ses travaux pionniers en écologie fonctionnelle. Son obsession : le fonctionnement des écosystèmes et des services qu’ils sont susceptibles de rendre aux sociétés humaines. Son terrain de jeu favori : les Alpes, où elle mime les effets du réchauffement climatique sur les prairies d'altitude.
Les mégabassines, dont les premiers déploiements suscitent débats et violences, ne peuvent être la seule réponse au stress hydrique. Pour l’écologue Vincent Bretagnolle, il est urgent de ralentir le cycle de l’eau. En clair, la retenir dans les sols en restaurant les écosystèmes, au lieu de précipiter son évacuation vers l’océan.

juillet 2023

Aujourd'hui, nous allons explorer l'un des phénomènes climatiques les plus puissants et mystérieux de notre planète et qui vient de faire son retour : EL NIÑO. 🌊 Avec Christophe Cassou, directeur de recherche au CNRS, Climatologue et auteur principal du GIEC va nous aider à décrypter ce phénomène complexe qui peut avoir des répercussions énormes sur le climat mondial, provoquant des changements dans les modèles de température, de précipitations et même d'écosystèmes, on a retrouvé sa trace un peu partout à travers l'histoire des civilisations en étant l'un des facteurs voir le principal acteur de leur effondrement. Aujourd'hui EL NIÑO dans un contexte de changement climatique dû aux activités humaines nous plonge dans l'inconnu.
Événements, concours, médaille… Cette année, l'Institut des sciences de l'information et de leurs interactions du CNRS valorise les sciences informatiques éco
Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.
Des chercheurs ont découvert un gisement potentiel d’hydrogène naturel dans le bassin houiller lorrain… Lequel pourrait être le plus gros réservoir mondial de ce gaz !

juin 2023

Le CNRS et l'établissement public IFPEN Energies nouvelles ont annoncé vendredi le lancement en commun d'un vaste programme de recherche destiné à développer de "nouveaux procédés industriels décarbonés" et à aider l'industrie à réduire ses émissions de CO2 pour lutter contre le réchauffement climatique.
L’exploitation minière des grands fonds marins pourrait être autorisée dès cette année dans les eaux internationales. Or, cette industrie risque de mettre en danger des écosystèmes dont les scientifiques commencent à peine à entrevoir la richesse et l’importance, en affectant la capacité de l’océan à stocker du carbone. Explications à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, le 8 juin.

mai 2023

Terrestrial ecosystems have taken up about 32% of the total anthropogenic CO2 emissions in the past six decades1. Large uncertainties in terrestrial carbon–climate feedbacks, however, make it difficult to predict how the land carbon sink will respond to future climate change2. Interannual variations in the atmospheric CO2 growth rate (CGR) are dominated by land–atmosphere carbon fluxes in the tropics, providing an opportunity to explore land carbon–climate interactions3–6. It is thought that variations in CGR are largely controlled by temperature7–10 but there is also evidence for a tight coupling between water availability and CGR11. Here, we use a record of global atmospheric CO2, terrestrial water storage and precipitation data to investigate changes in the interannual relationship between tropical land climate conditions and CGR under a changing climate. We find that the interannual relationship between tropical water availability and CGR became increasingly negative during 1989–2018 compared to 1960–1989
Plusieurs dizaines d’années ont été nécessaires pour faire admettre la réalité de la crise climatique et des risques associés. Mais qu’en est-il de la crise de la biodiversité ? Selon l’écologue Philippe Grandcolas, coauteur de l’ouvrage « Tout comprendre (ou presque) sur la biodiversité », il y a encore un refus de prise de conscience, alors que nous abordons la 6ᵉ crise d’extinction de masse.
Tout comprendre (ou presque) sur la biodiversité - (EAN13 : 9782271146816) édité par CNRS Editions - À défaut d’en prendre la pleine mesure, tout le monde a au moins entendu parler du changement climatique et des risques associés. La biodiversité, elle,

avril 2023

Chaque année, près de 40 milliards de tonnes de CO₂, l'un des principaux gaz à effet de serre, sont rejetées dans l’atmosphère du fait de la combustion des énergies fossiles. Une part importante est capturée par les océans, la végétation et le sol. Découvrez dans ce documentaire comment les scientifiques du CNRS tentent de mieux comprendre ces puits naturels de carbone, de prédire leur évolution mais aussi d'augmenter leur capacité de stockage, voire d'imaginer des puits artificiels.
L'objectif de limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C issu de l'accord de Paris de 2015 semble de plus en plus hors de portée. Des études suggèrent que la modification du rayonnement solaire (SRM) pourrait freiner temporairement l'augmentation de la température globale jusqu'à ce que les niveaux de gaz à effet de serre aient été réduits. SRM est un type de géoingénierie qui vise à réduire la température planétaire en modifiant le bilan radiatif du système terrestre. Les méthodes proposées comprennent l'injection d'aérosols stratosphériques, l'amincissement des cirrus et l'éclaircissement des nuages marins. SRM n'agit pas sur les causes du changement climatique et ne remplace donc pas l’atténuation ainsi que la capture et le stockage du carbone atmosphérique (CDR). Une nouvelle étude impliquant un laboratoire du CNRS-INSU, étudie la durée d'un tel déploiement temporaire.
Pour mieux comprendre le rôle que jouent les nuages sur le climat et son évolution, Sandrine Bony, coordinatrice de la campagne aéroportée EUREC4A, a étudié le comportement des cumulus d’alizés au-dessus de l’océan Atlantique.
La Fondation Ice Memory, qui collecte des échantillons de glace du monde entier, lance une nouvelle expédition dans l’archipel du Svalbard, en Norvège. Objectif : prélever deux carottes de glace contenant l’histoire climatique et environnementale de ces 300 dernières années.

mars 2023

Éoliennes et panneaux photovoltaïques ont en commun l’utilisation de métaux pour leur fabrication. En permettant de réduire l’utilisation des énergies fossiles et carbonées, certains de ces métaux ont un rôle stratégique dans la transition énergétique. Cependant, les coûts environnementaux de leur exploitation et de leur utilisation sont encore élevés.
Apparues il y a plus de cinquante ans, les marées vertes en Bretagne mobilisent différentes spécialités scientifiques… dont l’anthropologie. Les marées vertes sont bien connues depuis le début du XXesiècle en Europe. Elles sont, en milieu marin, l’un des symptômes fréquents des phénomènes d’eutrophisation, c’est-à-dire d’enrichissement des eaux en nutriments en provenance des bassins versants, lié au développement des activités humaines. Les témoignages historiques disponibles insistent tous sur l’impression saisissante que ces brusques proliférations d’algues produisent sur les observateurs : comment une croissance si rapide est-elle possible ?
À l’occasion du sommet sur l’intelligence artificielle qui se tient le jeudi 29 mars au Collège de France et à l’issue duquel le président de la République doit présenter la stratégie nationale dans ce domaine, (re)découvrez tous nos contenus sur cette technologie qui pourrait à terme « augmenter » presque chaque moment de notre vie. Reconnaissance faciale, assistant intelligent, voiture autonome, où en est l’intelligence artificielle ? Laisserons-nous ces systèmes interpréter nos scanners médicaux ou rendre la justice ? L'automatisation du travail touchera-t-elle tout le monde ? Comment éviter les dérives éthiques ?
Après huit années de travaux, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat a publié hier son sixième rapport de synthèse. Directeur de recherche au CNRS, Gerhard Krinner, qui en a coordonné une partie, nous en dit plus sur ce rapport approuvé par les 195 États siégeant à l’ONU, et qui constitue désormais la référence scientifique pour les négociations climatiques à venir.
Alors qu'un traité international visant à renforcer la protection des océans vient d'être négocié à New York, Pascale Ricard, spécialiste du droit international de l’environnement et de la mer, revient sur les réglementations en vigueur et sur la difficulté, à travers le cas de la pollution plastique, de les mettre en œuvre.
À l’occasion de la parution prochaine de la synthèse du sixième rapport d'évaluation du Giec, Hélène Guillemot, historienne des sciences, retrace l'évolution des connaissances sur le climat depuis le XIXe siècle et la manière dont se sont forgées les certitudes sur le dérèglement en cours.

février 2023

Avant le One Forest Summit organisé les 1er et 2 mars à Libreville, au Gabon, l’écologue Jonathan Lenoir nous explique les enjeux qui entourent la préservation des écosystèmes forestiers, dans le contexte du réchauffement climatique global.
Les grandes agglomérations laissent peu de place à la biodiversité, en la cantonnant souvent à un rôle esthétique. Il est urgent de repenser les villes afin de les rendre plus viables pour la faune, la flore, donc pour Homo sapiens.
Au sein du projet Climatoscope, David Chavalarias et ses collègues étudient la structure, les tactiques et les arguments des réseaux climatosceptiques sur Twitter. Des réseaux bien organisés, particulièrement actifs depuis quelques mois, dont l’objectif est de semer le doute sur la réalité du changement climatique, et de ralentir toutes les actions visant à réduire l’empreinte de l’humanité sur le climat.
Alpha et Oméga des politiques économiques depuis l’après-guerre, le PIB permet-il de répondre aux objectifs de la transition écologique ? Pour certains économistes, cet indicateur strictement monétaire ne prendrait pas en compte les « irréversibilités » que sont les dommages à l’environnement.
Alors que le dérèglement climatique s’intensifie, une étude du CNRS montre que le réseau social hébergent des comptes climato-sceptiques de plus en plus nombreux.

janvier 2023

Phénomène planétaire, l’urbanisation ne cesse de gagner du terrain, changeant nos paysages mais aussi nos modes de vie et d’organisation sociale. Ainsi, en 2050, la population des villes aura été multipliée par 30 depuis 1900 et occupera 2 % de la surface du globe. Un constat qui pose des questions économiques autant qu’environnementales ou sociétales.
Elle a eu une intuition de génie, qui lui a valu le prix de l’Inventeur européen de l’année 2022. Claude Grison, chimiste bio-inspirée, a développé des méthodes pour décontaminer les sols et l’eau grâce à des plantes. Mieux encore : les métaux ainsi récupérés servent de catalyseurs « écolos » pour la synthèse de médicaments ou de produits cosmétiques.
Ce projet de recherche SISAE, pour Simulation prospective du système alimentaire et de son empreinte carbone, mobilisant différents centres d’expertise — CNRS (Centre national de la recherche scientifique), CIRED (Centre international de recherche sur l’environnement et le développement), INRAE (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement), Solagro…
Alors qu’on sait désormais que l’origine des maladies s’ancre dans une combinaison alliant génétique et environnement, les recherches sur l’exposome tentent de caractériser l’ensemble des déterminants environnementaux à la santé.
Autrefois rare dans nos campagnes, le sanglier est aujourd’hui considéré comme un nuisible qu’on pourchasse sans relâche. L’écologue Raphaël Mathevet explique comment les populations de sangliers ont été développées à partir des années 1970, et s’interroge : qu’avons-nous fait de cet animal sauvage ?

décembre 2022

La population humaine vit de plus en plus éloignée de la nature et de nombreuses interactions avec la nature sont en déclin à travers le monde. C’est ce que révèle une étude publiée dans la revue Frontiers in Ecology and the Environment par une équipe franco-allemande. L’étude met en évidence une distanciation grandissante entre nos lieux de vie et les espaces naturels et synthétise les connaissances actuelles sur l’évolution récente des interactions homme-nature. Les auteurs appellent à une meilleure considération individuelle et institutionnelle de l’importance de ces interactions dans la protection de la biodiversité.
L'Arctique est une région qui se réchauffe quatre fois plus vite que le reste du globe. Des phénomènes météorologiques locaux pourraient en partie expliquer le phénomène : les dépressions arctiques. Des scientifiques français sont partis au Svalbard pour étudier plus précisément leur impact sur les températures locales.
À l’occasion de la COP15, Philippe Grandcolas, directeur adjoint scientifique à l’Institut écologie et environnement du CNRS, revient sur les grands enjeux de la conférence prévue à Montréal, au Canada, du 7 au 19 décembre.
Entretien avec Michel Thiebaut de Schotten, qui propose un nouveau modèle du cerveau permettant une meilleure compréhension de son fonctionnement et une meilleure prise en charge des troubles neurologiques.

novembre 2022

Sophie Dubuisson-Quellier, sociologue, membre du Haut conseil pour le climat, revient pour CNRS Le Journal sur le concept de sobriété, ses objectifs et ses verrous.
Sans nier les gains de performance promis par les réseaux 5G, des scientifiques se sont demandé pourquoi et comment leur exploitation s’avère finalement aussi coûteuse en énergie.
Crues et tempêtes dévastatrices, canicules et vagues de froid en toute saison... les événements extrêmes se multiplient sur la planète. Mais comment attribuer avec certitude telle ou telle catastrophe au changement climatique ? Les scientifiques font actuellement des pas de géants pour répondre à cette question majeure.

octobre 2022

Depuis quelques années, les nanoparticules ont envahi notre environnement quotidien… Pour mieux appréhender leur impact sanitaire, plusieurs études se sont intéressées à leurs effets sur notre organisme et nos cellules.
En adaptant à la France la méthode utilisée par le Giec pour estimer le réchauffement planétaire, des scientifiques viennent de revoir à la hausse les températures qui attendent l'Hexagone. D'ici 2100, cette augmentation serait de 3,8°C par rapport au début du XXe siècle, et ce dans un scénario d'émissions modérées de gaz à effet de serre.

septembre 2022

Quelles sont les ressources du sous-sol ? Quels en sont les usages possibles dans le cadre de la transition énergétique ? Du stockage à la production d’énergie, de l’exploitation minière à l’enfouissement de CO₂, zoom sur les potentiels, les risques associés et la légitimité de ces promesses souterraines.

août 2022

La sensibilité climatique représente l’augmentation de la température de surface de la Terre pour un doublement de la concentration atmosphérique de gaz à effet de serre. Une équipe de scientifiques du laboratoire d’études en géophysique et océanographie spatiales (LEGOS / OMP /CNRS / IRD / CNES) et du centre national de recherches météorologiques (CNRM / CNRS / Météo France) a estimé cette sensibilité, les résultats montrent que le climat est plus sensible que prévu aux émissions de gaz à effet de serre (GES). Cela suggère que les réductions d’émissions de GES devront être encore plus importantes pour tenir les engagements des accords de Paris, ainsi que les recommandations du dernier rapport du GIEC1 .
Une carotte de glace d’une dizaine de centimètres de diamètre, extraite des profondeurs des calottes polaires lors d’expéditions internationales aussi éprouvantes pour les hommes que pour les machines : tel est l’objet au cœur de l’ice core science, une spécialité scientifique qui a joué un rôle essentiel dans la mise au jour de l’impact des activités humaines sur le climat terrestre. Comment a émergé l’idée que la glace polaire pouvait receler des indices permettant de retracer l’histoire de ce climat ? De quelle manière l’ice core science s’est-elle constituée et développée au cours des dernières décennies ? Comment est-elle organisée aujourd’hui ? Et comment ses résultats peuvent-ils être mobilisés dans les débats autour de l’« anthropocène » ? De l’installation sur les inlandsis de l’Antarctique ou du Groenland à la diffusion de spectaculaires courbes, en passant par les « manips » effectuées dans les laboratoires et la création du GIEC, cette enquête restitue une aventure scientifique décisive, en ouvran

juillet 2022

Cet été, Paris se transforme en laboratoire pour comprendre et limiter un phénomène redouté des citadins : l'îlot de chaleur. Découvrez dans ce film publié avec LeMonde.fr ces recherches menées dans le cadre du grand projet Paname 2022 sur la qualité de l’air et le climat urbain.

juin 2022

Jean-Baptiste FRESSOZ est historien des sciences, des techniques et de l'environnement, ainsi que chercheur au CNRS. Il s'intéresse particulièrement à la question de la transition énergétique, qui selon lui est largement mystifiée, et empêche de comprendre le bourbier dans lequel nous sommes plongés avec la crise environnementale.

mai 2022

Face aux ravages du climatoscepticisme, le CNRS a sorti un livre au titre évocateur « Tout comprendre (ou presque) sur le climat ». Afin que les politiques s’emparent enfin des enjeux climatiques, le Président du CNRS en a envoyé 1000 à tous les députés, sénateurs et présidents de Région en France. Un succès littéraire qui s’infiltre jusque dans les plus grands groupes du CAC40, le but : lever les blocages pour amorcer un changement sociétal à la hauteur de la gravité de la situation.
Chaque semaine sur notre site, «l’Albatros hurleur», une chronique écologique de David Grémillet, directeur de recherche au Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS-La Rochelle Université). Aujourd’hui, l’impact des éoliennes sur les oiseaux migrateurs.
Bien qu’elles ne représentent que 4 % de la surface totale de l’Union européenne, les agglomérations concentrent 75 % de sa population et 70 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2). Horizon Europe compte notamment sur les smart cities pour baisser ce dernier chiffre. Mais de quoi s’agit-il ?

avril 2022

Pour Fabio D’Andrea, chercheur au CNRS, les deux pays sont de plus en plus confrontés à des canicules pendant lesquelles les températures atteignent des niveaux qui, il y a quinze ans, étaient très rares sur Terre.