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Les pays riches ont enfin abattu leurs cartes à la conférence sur le climat de l'ONU à Bakou en proposant 250 milliards de dollars par an pour l'action climatique dans les pays en développement, selon un projet d'accord. Ce dernier est jugé "inacceptable" par les pays africains et fustigé par les ONG engagées dans la défense de l'environnement. Les négociations se poursuivent vendredi soir.
Près d’un tiers des pays de l’OCDE ont enregistré une nette augmentation de l’immigration légale l’année dernière. Une tendance qui reflète la forte demande de main-d’œuvre dans les pays les plus prospères, explique le “Financial Times”.
A deux jours de la fin de la COP29 à Bakou, les pays riches se voient réclamer entre 440 et 900 milliards de dollars par an d'aide climatique pour le monde en développement, ont rapporté mercredi les ministres chargés de débloquer les négociations.Les pays développés sont pour leur part toujours silencieux sur le montant qu'ils sont prêts à contribuer, au-delà de leur promesse précédente de 100 milliards annuels, pour le "Nouvel objectif collectif quantifié" (NCQG selon son sigle anglais) de finance climatique que doit établir la conférence de l'ONU.
Vingt-cinq pays, riches pour la plupart, se sont engagés mercredi à la COP29 à ne plus ouvrir de centrale au charbon, dans l'espoir d'emmener d'autres pays vers la fin du charbon.Le Royaume-Uni, qui vient de fermer sa dernière centrale au charbon, le Canada, la France, l'Allemagne et l'Australie, très gros producteur de charbon, ont signé cet appel volontaire pendant la conférence sur le climat de l'ONU en Azerbaïdjan. La Chine, l'Inde et les Etats-Unis n'y sont pas.
G20 à Rio : lancement d'une Alliance globale contre la faim, l'idée de taxer les super-riches avance
- France24,Au sommet du G20 à Rio de Janeiro, les négociations climat ont fait du surplace lundi après la COP29 de la semaine passée. Le président brésilien, à la tête du forum, a cependant réussi à lancer une Alliance globale contre la faim et a obtenu un engagement commun à coopérer pour une taxation effective des plus fortunés.
Le sommet des plus grandes économies de la planète s’est ouvert lundi sous la houlette du président brésilien de gauche. Celui-ci a notamment réussi à mettre sur orbite son Alliance globale contre la faim et la pauvreté et a convaincu ses homologues d’endosser l’idée d’une coopération pour taxer les plus fortunés.
Les dirigeants du G20 ont endossé lundi l’idée de coopérer pour taxer "effectivement" les personnes très fortunées, une initiative que poussait le président brésilien Lula et saluée comme une avancée "historique".
Le déclin brutal de l’environnement n’était pas censé être le fruit de la politique agricole commune. Et pourtant, c’est le cas, assène cette journaliste du quotidien britannique “The Guardian”.
Du 11 au 22 novembre, la COP29 s’est donné pour objectif de trouver les financements nécessaires aux pays plongés dans la crise climatique. Aux premières loges, le continent africain subit de plein fouet des changements climatiques désastreux dont il n’est pas responsable, note “Le Djely”. Le titre guinéen appelle dès lors à un sursaut africain sur ces questions, tout en dénonçant l’impuissance de ces grands raouts climatiques.
La COP29 a démarré le 11 novembre en Azerbaïdjan. Le montant et le financement du fonds à destination des pays les plus vulnérables au changement climatique sera au cœur des négociations.
Utilisés par moins de 0,01 % de la population dans le monde, les avions d’affaires ont vu leurs émissions augmenter de 46 % depuis 2019, selon une étude publiée ce jeudi 7 novembre.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
En Colombie, où se tient le sommet mondial sur la biodiversité, les négociations entrent dans leur dernière phase. Et se bloquent sur le financement et le partage des ressources génétiques.
Les émissions de carbone des plus riches, qui incluent des yachts de luxe, des jets privés et des investissements dans des industries polluantes, compliquent de plus en plus la limitation du réchauffement climatique à 1,5 °C. Selon un rapport d’Oxfam, si l’ensemble de la population mondiale émettait des gaz à effet de serre au même rythme qu’un milliardaire moyen, le budget carbone restant pour respecter la limite de 1,5 °C serait épuisé en moins de deux jours.
Les 50 milliardaires les plus riches du monde engendrent des émissions de CO2 démesurées, par rapport à celles des plus pauvres.
Le nouvel objectif de finance climatique mondiale, qui sera âprement débattu lors de la COP29 à Bakou, devra avoir un solide socle de financements publics "en son coeur", a pressé jeudi le patron de l'ONU Climat, Simon Stiell, en direction des pays développés.Cette année, la COP (11-22 novembre) doit se conclure par un nouvel objectif pour la finance dans les pays en développement ("Nouvel objectif collectif quantifié", ou NCQG selon son sigle anglais).
Le constructeur automobile allemand Volkswagen a accepté de verser 23 millions d'euros à 10.000 clients en Autriche dont...
Les promoteurs de l’hydrogène le présentent souvent comme une pièce maîtresse de la transition énergétique. La molécule a un rôle à jouer, mais elle est souvent présentée sous un jour trop optimiste.
En dix-sept ans, les riches n’ont rien appris, rien compris, rien changé. Ils se gavent. Les milliardaires ont multiplié leur fortune, la catastrophe écologique s’amplifie, la crise sociale est mondiale. Le lien entre ces phénomènes ? Les inégalités. On n’évitera pas le désastre climatique si l’on ne ramène pas les ultra-riches à la raison. C’est ce qu’explique ce livre détonnant, où une analyse implacable se combine à un dessin complice et surprenant.
On estime que les émissions de carbone des 1 % les plus riches de la planète sont équivalentes à celles des deux tiers les plus démunis de la planète.
Les intempéries ont provoqué des milliers d’évacuations, de vastes coupures d’électricité et des ruptures du réseau de transport. Le premier ministre polonais, qui a annoncé une aide aux régions sinistrées, a dit vouloir inciter l’Union européenne à financer les dommages.
Les fortes précipitations ont entraîné des inondations « d’une ampleur extraordinaire » en Roumanie. La Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, l’Autriche et la Hongrie sont également touchées par de fortes pluies et des vents parfois violents.
Marquant la fin d'une ère de manifestations intenses, Letzte Generation a décidé de cesser ses activités en Autriche.
C'est un accord historique que viennent de trouver les pays du G20 pour renforcer la taxation des milliardaires au niveau international.
Un projet de taxe mondiale des personnes les plus fortunées, soutenu notamment par la France, l’Espagne, l’Afrique du Sud et la Colombie, mais combattu par les Etats-Unis, est au menu du sommet du G20 au Brésil.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
L'Autriche a annoncé mardi la mise en place d'une commission pour se sevrer du gaz russe, qui représente toujours 90% de ses importations plus de deux ans après le début de l'invasion de l'Ukraine.Cette instance sera "chargée d'examiner le contrat de livraison entre Gazprom et le groupe autrichien OMV", prolongé il y a six ans jusqu'en 2040, et d'analyser "les possibilités et les risques" en cas de rétractation, a déclaré à la presse la ministre écologiste de l'Environnement Leonore Gewessler.
Jean-Marc Jancovici, polytechnicien, inventeur du bilan carbone et auteur de la bande dessinée best-seller « Le Monde sans fin », estime à quatre le nombre de vols par habitant auxquels il faudrait se limiter.
Matériaux d’utilité publique pour certains, éléments polluants à bannir absolument pour d’autres. C’est ainsi que pourrait se résumer, aujourd’hui, la vision – Ô combien contrastée – de notre société à l’égard des matières plastiques. Avec la prise de conscience collective du réchauffement climatique et de la pollution des écosystèmes, de nombreuses voix se sont élevées pour interdire l’usage des plastiques dans notre quotidien. Mais est-ce réellement une bonne option ? Est-ce que le bannissement ne va pas induire des effets environnementaux encore plus délétères ? Quelles sont les options d’améliorations revendiquées qui pourraient être envisagées par le secteur de la plasturgie ? Décryptons ensemble le « dilemme des plastiques » ou comment concilier les bénéfices indispensables avec la nécessité de réduire les impacts environnementaux du secteur.
Qu’il s’agisse de son programme ou des votes de ses députés, le Rassemblement national est clairement engagé contre l’écologie. Populiste, le parti d’extrême droite s’oppose à toutes mesures favorables au climat ou au vivant. Un oubli vaut parfois mille mots. Quatre jours à peine après la dissolution de l’Assemblée nationale par le président Emmanuel Macron, le Rassemblement national avait déjà finalisé ses professions de foi, synthétisant les ambitions du parti pour les trois années à venir. Sans (...)