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universités

mai 2025

Dans un entretien au « Monde », le professeur de philosophie américain explique pourquoi il a décidé de s’exiler au Canada. Il justifie ce départ par les assauts de l’administration Trump contre les campus américains, même si son université a été jusqu’ici relativement épargnée. Jason Stanley est professeur de philosophie, spécialisé dans les pratiques et le langage des régimes autoritaires. Il a décidé de quitter Yale et de rejoindre la Munk School of Global Affairs and Public Policy de l’université de Toronto, au Canada.

avril 2025

Donald Trump, en conflit ouvert avec la prestigieuse université Harvard, l'a accusée jeudi d'être une "institution antisémite d'extrême-gauche" et une "menace pour la démocratie", dans un long message sur son réseau Truth Social.
Une centaine de signataires, incluant des présidents d’universités, s’opposent à l’ingérence gouvernementale menaçant l’enseignement supérieur américain.
La presse a très récemment révélé la décision du Président Trump de suspendre les financements fédéraux de la plus prestigieuse Université américaine : Harvard. On parle de plus de 2,2 milliards de dollars qui seraient gelés ; d’autres menaces pèsent sur les dispositifs fiscaux dont l’Université américaine bénéficie. De nombreuses Agences fédérales de recherche ont également été l’objet de coupes sombres et des milliers de chercheurs, ont été licenciés sur le champ. Ces décisions ont, contestablement, pour ambition de museler ces Institutions productrices de savoir et, tout particulièrement, en limitant la liberté académique. Sans que nous n’en soyons là aujourd’hui en Belgique, force est de constater que l’inquiétude est grande dans le monde académique.
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
C’est un refus qui passe très mal auprès de Donald Trump. Celui de la prestigieuse université Harvard contre les exigences du président américain, voulant remettre en cause son fonctionnement, ses politiques d’admission des étudiants et de recrutement du personnel ainsi que ses programmes académiques. "L’université ne renoncera pas à son indépendance ni à ses droits constitutionnels", a assuré lundi son président, Alan Garber, dans une lettre retentissante adressée aux étudiants et aux enseignants.
L’administration Trump a annoncé lundi le gel de 2,2 milliards de dollars de subventions à Harvard, sur fond de tensions liées aux mobilisations étudiantes contre la guerre à Gaza. L’université américaine, comme d’autres, est visée par la Maison Blanche, qui dénonce une mauvaise gestion des actes jugés antisémites sur les campus.
Aux États-Unis, voilà quelques années que les programmes scolaires et les universités sont régulièrement pris pour cible par les militants ultraconservateurs. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, cet assaut contre l’éducation prend une ampleur inédite et se décline au niveau fédéral comme dans les districts scolaires.
Après l’université new-yorkaise Columbia, la prestigieuse Harvard située dans l’agglomération de Boston, se voit menacer de perdre ses subventions fédérales. L’administration lui reproche de laisser prospérer «l’antisémitisme» sur son campus.

mars 2025

En multipliant les menaces contre les personnes et les institutions qu’il considère comme hostiles, le président américain instaure un climat délétère qui fragilise les institutions américaines.
Un établissement sous tutelle. L’université new-yorkaise Columbia a accepté vendredi 21 mars d’engager les réformes drastiques demandées par l’administration de Donald Trump, pour ne pas perdre ses 400 millions de dollars de subventions fédérales. Il s’agit d’une concession majeure pour la prestigieuse université, depuis plusieurs semaines sous le feu du président américain.
Cette annonce est directement liée à la perte « de plus de 800 millions de dollars de financements » de l’agence de développement américaine, décidée par l’administration Trump, précise l’établissement spécialisé dans la recherche médicale. Ces suppressions devraient affecter des travaux menés tant aux Etats-Unis que dans le monde entier.
We must learn from the past. We cannot remain silent in the face of authoritarian attacks on our peers, even if they have not yet come for us.
« Responsables obscurantistes », « coupes financières massives », « menaces sur l’autonomie institutionnelle »… Votre nouveau rapport détaille la « pression sans précédent » mise par l’administration Trump sur la science. Vous attendiez-vous sincèrement à de telles décisions politiques ?
Dès 2021, dans une allocution à la conférence du conservatisme national qui se tient à Orlando, l’actuel vice-président des Etats-Unis, J.D. Vance identifiait l’ennemi qu’il y aura lieu de combattre lorsque le pouvoir aura été repris : les universités.
L’université Columbia s’est vu priver de 400 millions de dollars de subventions pour ne pas avoir assez protégé les étudiants et le personnel juifs, aux yeux des républicains. D’autres institutions sont dans le collimateur de Donald Trump, qui fait de l’enseignement supérieur une cible.
Le gouvernement français a demandé aux acteurs de la recherche de réfléchir aux dispositifs à mettre en place pour...
Le ministre de l’Enseignement supérieur a demandé aux acteurs de la recherche de réfléchir à l’accueil des scientifiques qui quitteraient prochainement les Etats-Unis en raison de la politique menée par Donald Trump.

février 2025

Une vague d’interventions sans précédent sur les contenus, le personnel et le financement de la recherche scientifique touche actuellement les agences fédérales et les institutions universitaires aux États-Unis. La mise en œuvre des nombreux décrets de Donald Trump touchant aux questions de genre, de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), aux thématiques environnementales et climatiques et à l’aide au développement se traduit par une politique de censure, d’intimidations, de licenciements et de réductions budgétaires. Les agences fédérales ayant en charge la santé (le centre de contrôle des maladies, CDC), l’environnement (l’agence de protection de l’environnement, EPA), les désastres (agence fédérale de gestion des urgences, FEMA) sont les plus immédiatement concernées et font l’objet de véritables purges dans leurs sites web, bases de données et programmes de financement. Quant à l’agence qui avait en charge l’aide au développement, l’USAID, elle a tout simplement été dissoute.

juillet 2023

Face aux défis climatiques actuels, les jeunes générations attendent des formations du supérieur qu’elles leur transmettent les compétences nécessaires.


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