– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
Anne Brès
Le 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat s’est achevé samedi à Belém (Brésil) par l’adoption d’un texte «plat» et «sans ambition» sur l’action climatique. Faute de consensus sur un plan de sortie des énergies fossiles, le Brésil a promis de continuer le travail avec les pays volontaires. Ils seraient plus de 80.
À quelques heures de la fin officielle du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat, la présidence brésilienne a présenté un projet de texte très décevant, immédiatement rejeté par une trentaine de pays. Pour espérer un sursaut collectif, elle doit donner des gages à chacun. L’intransigeance de la France sur tous les sujets financiers n’aide pas.
Intrusion, blocages, manifestations… Les représentant·es autochtones mettent une pression constante sur le 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat qui se déroule aux portes de l’Amazonie brésilienne. Leur porte-voix la plus charismatique, déjà célèbre au Brésil, a su braquer sur elle les caméras du monde entier et forcer le gouvernement brésilien à réagir. Vert l’a rencontrée.
En marge du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil), le ministre de l’environnement ukrainien a réclamé 43 milliards de dollars (37 milliards d’euros) de réparations climatiques à la Russie, pour compenser les immenses dégâts environnementaux et financer une reconstruction «plus verte» après la guerre. Une première.
Après une semaine de négociations, l’ambiance est prudemment optimiste au 30ème sommet mondial sur le climat à Belém (Brésil). Malgré des clivages tenaces entre pays, la présidence brésilienne manœuvre très habilement et de timides avancées se profilent sur la sortie des énergies fossiles ou la taxation des billets d’avion.
La coalition Kick Big Polluters Out a identifié plus de 1 600 lobbyistes des énergies fossiles parmi les 40 000 inscrit·es au 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). C’est la plus forte concentration jamais observée à une COP.
Forêts en bourse, agrocarburants ou marchés carbone : la COP30 ou le sacre des «fausses solutions» ?
(13/11) - Anne-Claire PoirierQuelques jours après le début du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat, la tournure des discussions inquiète alors que l’hôte brésilien promeut des solutions jugées inefficaces voire dangereuses, avec la bénédiction des pays riches.
À quelques encablures du sommet onusien et de ses zones d’exposition officielles, le gouvernement brésilien a installé une «Agrizone», sponsorisée par les grands noms de l’agrobusiness. Les organisations de la société civile enragent de cette collusion affichée et dénoncent les multiples ravages de l’agriculture industrielle.
À l’occasion de la COP21, le 12 décembre 2015, près de 200 pays s’engageaient pour la première fois à lutter collectivement contre le réchauffement climatique en votant l’Accord de Paris. Dix ans plus tard, alors que s’ouvre ce lundi le sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil), le monde est encore loin d’être tiré d’affaire, malgré des progrès significatifs. Le tour en cinq graphiques.
Après trois éditions dans des États autoritaires, le prochain sommet mondial (COP30) sur le climat aura lieu au Brésil du 10 au 21 novembre prochains. Les organisations de la société civile comptent profiter de leur liberté retrouvée, mais les États, eux, viennent avec leur plus mauvaise volonté.
Contenir le réchauffement de la planète à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle était l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris de 2015.
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Selon le rapport annuel de la FAO sur la faim, 40 millions de Brésiliens sont sortis de l’insécurité alimentaire entre 2022 et 2024, soit une chute de prévalence notable de deux tiers.
Un phénomène encore sous-estimé, aggravé par le réchauffement, qui pourrait bouleverser notre lutte contre le CO₂. Chaque année, la foudre tue 320 millions d’arbres à travers le monde. Un chiffre colossal, passé inaperçu jusque-là, que des chercheurs viennent enfin de mettre en lumière.
L’Union européenne, la Chine ou encore le Canada ont suspendu leurs importations de volailles en provenance du pays sud-américain.
Fléau récurrent au Brésil, les incendies de végétation, pour la plupart d’origine humaine, ont ravagé l’an dernier 30,8 millions d’hectares, une surface en hausse de 79 % par rapport à 2023, et ont surtout touché l’Amazonie. Une dévastation qui reflète notamment les effets d’une longue sécheresse liée au changement climatique, mais pour laquelle le gouvernement brésilien est aussi mis en cause.
Au Brésil, l’agro-industrie accusée d’avoir financé un complot visant à assassiner le président Lula
(23/12) - Anne-Dominique CorreaL’ancien ministre de la défense de Jair Bolsonaro aurait reçu de l’argent « de personnes de l’agronégoce » pour un projet d’élimination du président Lula, de son vice-président et d’un juge du Tribunal suprême fédéral, selon l’ancien aide de camp de l’ex-président d’extrême droite.
Depuis 2018, environ 38 600 ânes ont été abattus en moyenne chaque année au Brésil, entraînant une réduction de la population de 60 % entre 2018 et 2023. L’espèce est désormais menacée d’extinction dans le pays.
Face aux sécheresses qui s’intensifient, Marlène Vissac développe une pratique « hydronomique ». À contre-courant des pratiques intensives, l’éleveuse de brebis plante des arbres et enrichit ses sols.
Le 24 mars, trois « écureuils » se sont perchés sur des peupliers en face de la Cour européenne des droits de l’Homme, à Strasbourg. Ils dénoncent la répression subie par les opposants à l’autoroute A69.
Les écureuils, des militants installés dans les arbres sur le trajet de l'A69, ont été relaxés par la justice, dans une décision qui pourrait faire jurisprudence.
Le président du Brésil a toutefois posé son veto à quatorze alinéas d’un texte controversé, négocié depuis des années et qui vise à libéraliser l’homologation de pesticides dans le pays.
De la sécheresse en Espagne aux inondations dans la Corne de l'Afrique, en passant par la fonte de la banquise en Antarctique et les incendies au Canada… Comme l'année dernière, 2023 a été marquée par de nombreux records alarmants pour la planète. Mais, en parallèle, les derniers mois ont aussi été marqués par quelques avancées importantes dans la lutte contre le dérèglement climatique. France 24 retrace l'année du climat.
Et si l’on pouvait produire du bois sans jamais couper d’arbres ? Les tailler de manière à ce qu’ils en donnent toute leur vie ? C’est ce que permettent deux techniques d’élagage bien particulières : la trogne et le Daisugi. Pratiquées pendant des siècles, elles ont peu à peu sombré dans l’oubli.
La déforestation en Amazonie brésilienne a reculé entre août 2021 et juillet 2022, mais dans l’ensemble elle est en forte hausse depuis l’arrivée au pouvoir du président sortant Jair Bolsonaro, selon des données officielles publiées mercredi 30 novembre.
Après un premier tour où il a talonné Lula, le président Jair Bolsonaro peut encore espérer rempiler pour un second mandat. Alors que l’état de la forêt amazonienne divise les deux finalistes de la présidentielle, voici quelques chiffres.
Selon les chiffres publiés lundi par l'Institut national de recherches spatiales, le Brésil a enregistré plus de feux de forêt en Amazonie sur les neuf premiers mois de l'année que sur l'ensemble de 2021. Depuis son arrivée au pouvoir, le président d'extrême droite Jair Bolsonaro, proche des grands propriétaires terriens et de l'agrobusiness, a favorisé la déforestation du "poumon de la Terre".
Les spécialistes estiment que le pays de Jair Bolsonaro a régressé de trente ans sur cette question. En 1998, comme aujourd’hui, près de 32 millions de Brésiliens souffraient de la faim.
abs_empty
La déforestation en Amazonie brésilienne a atteint 877 km2 en octobre, un record pour ce mois de l'année depuis cinq ans, selon les données officielles publiées vendredi, tandis que le gouvernement Bolsonaro a annoncé des objectifs climatiques ambitieux à la COP 26.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.


