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sauvages

mai 2025

Les nuages de fumée et de cendres des incendies sauvages qui ont ravagé l’Australie en 2019 et 2020 ont déclenché des efflorescences algales dans l’océan Austral à des milliers de kilomètres à l’est selon une nouvelle étude dirigée par l’Université de Duke et réalisée par une équipe internationale de scientifiques dont Nicolas Cassar, chercheur associé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR) à l’IUEM.
Le virus responsable de la Covid-19 (SARS-CoV-2) aurait été acheminé à Wuhan, en Chine, par le biais du commerce d'espèces sauvages et non pas par les chauves-souris fer à cheval, ressort-il d'une étude menée par des scientifiques de l'Université libre de Bruxelles (ULB), de la KU Leuven et de trois autres universités étrangères, publiée mercredi. Les scientifiques estiment que les sarbecovirus, dont les chauves-souris sont les hôtes, "ont fait le saut vers l'homme par le biais d'événements de transmission entre une population animale et la population humaine", a expliqué l'ULB dans un communiqué.
Des chercheurs belges, britanniques et américains estiment que le virus ancêtre du Covid aurait été acheminé à Wuhan, non pas via son animal hôte les chauves-souris, mais avec d'autres animaux via le commerce d'espèces sauvages, comme lors de l'épidémie de Sras en 2002. Ce qui est aussi en adéquation avec une origine naturelle pour le virus de la Covid-19.

mars 2025

Un quart de la production du leader norvégien Mowi s’est échappée en mer le 9 février, après le passage d’une tempête, provoquant la panique chez les autorités.

novembre 2024

Bisons futés. Les monts Tarcu, dans le sud-ouest de la Roumanie, accueillent depuis une dizaine d'années un projet de réintroduction de bisons, porté par WWF Roumanie et Rewilding Europe. L’objectif est de retrouver une population viable d’herbivores à l’état sauvage. Une initiative bénéfique pour la communauté locale et pour la biodiversité, mais aussi, plus surprenant, pour le climat.

octobre 2024

Un rapport alarmant vient de mettre en lumière une situation critique : les populations d’espèces sauvages à travers le monde sont en chute libre, certaines régions enregistrant une baisse de 95 %. Alors que l’humanité continue de dégrader les écosystèmes, des experts insistent sur la nécessité d’agir de toute urgence afin d’inverser cette tendance et de permettre à la nature de se rétablir avant qu’il ne soit trop tard.
Selon la WWF, la situation est catastrophique pour la biodiversité. Le déclin est tel que le point de non-retour est proche pour la planète.
La nature disparaît à une vitesse alarmante avec un déclin de 73% de la taille moyenne des populations d’espèces sauvages surveillées en seulement 50 ans.
Le nouvel « indice planète vivante », publié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), reflète le déclin continu de la biodiversité à quelques jours de l’ouverture de la COP16, en Colombie.
Le World Wildlife Fund (WWF) a publié son nouveau rapport Planète vivante. L'ONG alerte notamment sur les populations de vertébrés sauvages qui se sont effondrées de 73% en moyenne en seulement 50 ans.

septembre 2024

Contre la famine et la sècheresse, la Namibie projette de tuer 723 animaux. Tantôt jugé cruel, inefficace ou intéressé, ce plan divise
56.875 kg. C’est la quantité de viande récoltée après l’abattage de quelque 160 animaux sauvages, en Namibie. Hippopotames, éléphants, buffles, zèbres… De quoi nourrir quelques milliers de personnes, déjà dans un premier temps. Au total, plus de 700 animaux devraient être sacrifiés.
Près de 160 bêtes sauvages ont déjà été abattues depuis le 3 septembre, dans le cadre d’une mesure gouvernementale destinée à fournir de la viande aux populations affamées par la sécheresse.
Le pays d’Afrique australe est menacé par une crise alimentaire. Les autorités ont autorisé l’abattage de plus de 700 animaux, dont des éléphants et des zèbres, censés nourrir les populations des zones les plus touchées. Les experts dénoncent un raisonnement scabreux, constituant un dangereux précédent pour la faune locale.

août 2024

Les contacts entre l'homme et la faune sauvage vont se multiplier sur plus de la moitié de la planète. Une nouvelle étude montre où les humaines et les animaux sauvages devront le plus cohabiter.
La cause de décès des chevaux sauvages : la déshydratation ou l’intoxication à l’eau de mer. Face à l’hécatombe, les habitants s’unissent.

mai 2024

Le commerce illégal d'animaux et de plantes sauvages perdure dans 162 pays à travers le monde, malgré vingt ans d'actions...

avril 2024

De l’eau dans le gaz. Décharges sauvages, traitements illégaux, perquisitions, commission sénatoriale… Le géant de l’eau en bouteille Nestlé Waters connait des turbulences depuis plusieurs semaines. Vert vous explique.

janvier 2024

Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, le nombre de colonies sauvages et de nouvelles routes pour les colons a connu une progression "sans précédent" en Cisjordanie occupée, soutient dans une nouvelle étude l'ONG israélienne Peace Now.

octobre 2023

L’évasion de 3500 saumons d’élevage en Islande inquiète les autorités locales locaux et menace la survie de leurs (presque) congénères sauvages. Une opération de capture a été lancée pour les récupérer avant qu’ils ne s'hybrident.
Les autorités de l’Etat de Nouvelle-Galles du Sud veulent réduire le nombre de «brumbies» de 19 000 à 3 000 d’ici mi-2027 dans un parc national. Ces animaux sont considérés comme une menace pour la faune et la flore australienne.

avril 2023

La Ligue pour la protection des oiseaux met en avant ce lundi 24 avril les exemples d’observations en Charente-Maritime et en Vendée l’été dernier, où les volatiles comme les autres animaux et insectes ont été affectés par le manque d’eau.

mars 2023

Certaines espèces sauvages, en piétinant la terre, en mangeant des plantes ou d’autres animaux ou par leurs excréments, contribuent à faciliter la capture du carbone. Si bien que la préservation ou la restauration de seulement neuf d’entre elles – poissons marins, baleines, requins, le loup gris, le gnou, la loutre de mer, le bœuf musqué, l’éléphant de forêt d’Afrique et le bison d’Amérique – pourrait permettre la capture de 6,41 gigatonnes de dioxyde de carbone par an, estime l’étude publiée lundi dans Nature Climate Change à laquelle ont contribué quinze scientifiques de huit pays.
Une nouvelle étude révèle que des efforts de conservation pour seulement neuf groupes clés d’animaux sauvages pourraient améliorer significativement la séquestration du carbone.
En août 2021, au cours des rencontres Reprises de terres à la ZAD de Notre-Dame-­des-Landes, des personnes issues des mondes de la paysannerie, du militantisme et de la recherche se sont réunies pour réfléchir, au cours d’un débat mouvant, à la meilleure manière de désigner les terres qui seraient retirées de tout rapport productif et largement soustraites à l’emprise humaine. Nous restituons ici une partie de leurs échanges. La version complète est à lire sur Terrestres.org.

janvier 2023

Les nouvelles biotechnologies industrielles basées sur l'ingénierie génétique sont en cours de déploiement sur tous les continents. Certaines d’entre elles ciblent particulièrement les insectes, notamment pour remplacer les pesticides chimiques dans les champs d’agriculture intensive. Des chercheurs ont démontré qu'elles pourraient causer une dégénération irréversible des abeilles, des bourdons, des papillons, et d’un grand nombre de pollinisateurs essentiels et parfois déjà menacés d’extinction, au cœur même de leur habitat naturel.

septembre 2022

Parmi les espèces les plus touchées depuis le début de l’été, une colonie de fous de Bassan localisée sur les Sept-Iles, la plus grande réserve ornithologique de France.

juillet 2022

Dans son nouveau rapport d’évaluation publié vendredi, l’IPBES appelle à gérer de façon durable la faune et la flore pour préserver le bien-être de milliards de personnes et mettre un terme au déclin de la biodiversité.
La surexploitation d'espèces sauvages - animaux terrestres, poissons, algues, champignons, plantes ou encore arbres - menace le bien-être de milliards d'êtres humains, dévoile vendredi un rapport de l'ONU, qui donne des pistes pour leur usage plus durable et met en valeur les savoirs des peuples autochtones.

mai 2022

ces deux espèces patrimoniales des Alpes sont respectivement classées « vulnérable » et « en danger » sur la liste rouge de l’Union internationale pour la conversation de la nature (UICN) des oiseaux menacés de Provence-Alpes-Côte d’Azur. Déjà, en 2017, 2019, 2020 et 2021, le tribunal administratif de Marseille avait suspendu ou annulé leur chasse à la demande des deux associations. Les juges avaient alors estimé que la chasse de ces deux gallinacés sauvages était un facteur aggravant de leur déclin. Avec, à l’appui, des études scientifiques confirmant la lente disparition de ces espèces tant en termes de répartition géographique que de population.


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