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Un avis de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection souligne « la grande complexité » et le manque de robustesse du plan de l’électricien pour renforcer le sol sur lequel doivent voir le jour deux EPR2.
EDF doit fournir des éléments prouvant que les mesures envisagées pour renforcer le sol pour l'implantation des deux futurs réacteurs EPR2 à Gravelines (Nord), au bord de la mer, sont sûres et fiables, selon des documents de l'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) rendus public jeudi. Dans un avis du 23 juillet, l'ASNR souligne qu'EDF devra "démontrer la robustesse de sa solution de renforcement de sol" de fondation du site de Gravelines, en soulignant le caractère inédit du système proposé par l'électricien, "d'une ampleur sans précédent, d'une grande complexité et sans retour d'expérience représentatif en France et à l'international".
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, a dit s'attendre mercredi soir à ce que les réparations commencent "bientôt" pour rétablir l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la situation actuelle n'étant selon lui "pas tenable". Déconnectée du réseau depuis le 23 septembre "Je continue de consulter la Russie et l'Ukraine afin que ces travaux puissent commencer dans les prochains jours", a déclaré dans un communiqué le responsable de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville a redémarré dans la nuit de mardi à mercredi, après quatre mois d'arrêt pour mener des opérations de maintenance après la découverte d'un problème de fuite sur des soupapes, a annoncé mercredi l'électricien EDF.
Le développement de la bombe et de l’énergie atomiques, souvent associé à la Seconde Guerre mondiale et au projet Manhattan, n’aurait jamais pu advenir sans les travaux réalisés en Europe avant le début du conflit – notamment ceux portés en France par Irène et Frédéric Joliot-Curie.
Le Plan national pour la gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour la période 2027-2031 fera l'objet d'un débat public pendant quatre mois, à partir de lundi, a annoncé vendredi la Commission nationale du débat public (CNDP). La CNDP a été saisie fin décembre 2024 par le gouvernement pour conduire le débat, une obligation légale, sur l'élaboration du 6e PNGMDR, une feuille de route qui fixe la stratégie de la France pour gérer les matières et déchets radioactifs du territoire, quelle que soit leur origine technique.
Depuis presque vingt ans, la Chine développe un réacteur de fusion nucléaire que l’on surnomme « soleil artificiel ». Dans le cadre de ces travaux, les ingénieurs ont récemment fabriqué un robot dont la mission sera d’assurer la maintenance complexe et couteuse de cette installation. Équipée de trois bras, cette machine est notamment capable de soulever une charge d’une soixantaine de tonnes.
L'exploitant nucléaire EDF a informé le régulateur français de l'énergie qu'il retenait l'hypothèse d'une puissance de son réacteur EPR de Flamanville (Manche) plus basse que celle communiquée officiellement, en raison d'un "rendement détérioré" non expliqué à ce jour, selon les éléments d'un rapport dévoilés mercredi. Cette information, reprise par le journal La Tribune, figure dans un rapport publié le 30 septembre par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme du secteur, qui relève qu'EDF lui "a déclaré" une puissance électrique finale de l'EPR "inférieure de 35 MW à la puissance déclarée dans le cadre des données publiques".
L’accord de défense mutuelle stratégique signé le 17 septembre entre Riyad et Islamabad, qui détient l’arme nucléaire, répond à la préoccupation des Saoudiens quant à la fiabilité des garanties de sécurité américaines face à l’émergence d’Israël comme puissance hégémonique régionale.
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe dans le sud-est de l'Ukraine, ne présente pas de "danger immédiat" tant qu'elle fonctionne grâce à ses "générateurs diesel de secours", a estimé le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). "La plus grande centrale (nucléaire) d'Europe est privée d'alimentation externe depuis au moins une semaine, ce qui constitue de loin l'événement de ce type le plus long en plus de trois ans et demi de guerre" en Ukraine, a indiqué le chef de l'AIEA Rafael Grossi dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.
Le réacteur de Tihange 1 avait 50 ans et il a été mis à l’arrêt ce mardi soir. Le mettre sous cocon et espérer le redémarrer un jour est-il envisageable ? Le ministre de l’énergie Mathieu Bihet demande à Engie de ne rien entreprendre de définitif. Le bourgmestre et les échevins de la Ville de Huy viennent de rendre un avis contre le permis de démolir le réacteur.
Moscou a affirmé mercredi que la situation était "sous contrôle" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, privée d'alimentation électrique extérieure depuis plus d'une semaine, après des propos alarmants de Volodymyr Zelensky.
La fusion nucléaire, qui alimente notre Soleil, est l’un des plus grands espoirs pour produire une énergie propre, abondante et sûre. Elle consiste à fusionner des noyaux légers, par exemple de l’hydrogène, pour former des noyaux plus lourds, en libérant une énorme quantité d’énergie. Contrairement à la fission, elle ne génère pas de déchets radioactifs de longue durée ni de gaz à effet de serre. Mais recréer cette réaction sur Terre est un défi technologique et scientifique colossal. Les prototypes sont gigantesques et très coûteux, et le numérique prend une place importante pour faciliter les essais. Depuis le milieu des années 2010, et de manière accélérée depuis 2020, des systèmes d’intelligence artificielle sont utilisés pour contrôler le plasma et améliorer la conception de futurs réacteurs.
L'alimentation en électricité de la structure de confinement abritant la partie de la centrale nucléaire de Tchernobyl détruite pendant la catastrophe nucléaire en 1986 a été coupée par un bombardement russe, a annoncé mercredi le ministère ukrainien de l'Energie. "En raison de bombardements russes sur les infrastructures énergétiques de la région de Kiev, une situation d'urgence est déclarée dans les installations de la centrale nucléaire de Tchernobyl" a indiqué le ministère ukrainien de l'Energie sur Telegram.
L'alimentation en électricité de la structure de confinement abritant la partie de la centrale nucléaire de Tchernobyl détruite pendant la catastrophe nucléaire en 1986 a été coupée par un bombardement russe, a annoncé mercredi le ministère ukrainien de l'Energie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé mercredi la Russie de constituer une "menace mondiale", après qu'un bombardement russe a coupé l'électricité alimentant la structure de confinement de l'ancienne centrale de Tchernobyl, s'ajoutant à la coupure d'électricité depuis plus d'une semaine à la centrale nucléaire de Zaporijjia. "Chaque jour où la Russie prolonge la guerre, refuse de mettre en oeuvre un cessez-le-feu complet et fiable, et continue de frapper tous nos sites énergétique - y compris ceux essentiels à la sûreté des centrales nucléaires et autres installations nucléaires - est une menace mondiale", a dénoncé M. Zelensky sur Facebook.
Une installation qui isole le réacteur détruit en 1986 de la centrale ukrainienne et empêchant «la libération de matériaux radioactifs dans l’environnement s’est retrouvée sans alimentation électrique», a annoncé ce mercredi 1er octobre le ministère de l’Energie du pays.
Après un demi-siècle d'activité, le réacteur nucléaire Tihange 1 sera déconnecté du réseau dans la nuit de ce mardi à mercredi. Le gouvernement espère toutefois qu'il ne s'agira pas d'un arrêt définitif.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes, était désormais déconnectée du réseau électrique ukrainien depuis sept jours consécutifs, jugeant la situation "critique" et potentiellement dangereuse.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué mardi que la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes, était désormais déconnectée du réseau électrique ukrainien depuis sept jours consécutifs, jugeant la situation "critique" et potentiellement dangereuse. "La situation est critique. En raison des attaques russes, la centrale a été coupée de son alimentation électrique et du réseau. Elle est alimentée en électricité par des générateurs diesel", dont l'un d'eux "ne fonctionne pas bien", a déclaré M. Zelensky dans son discours quotidien.
Le président affirme avoir envoyé un sous-marin nucléaire au large des côtes russes.
La télévision d’État iranienne a diffusé le 24 septembre un documentaire prétendant révéler des documents confidentiels liés au programme nucléaire israélien. Cependant, une partie des informations présentées comme inédites dans le documentaire peuvent être trouvées sur internet.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran ont été rétablies samedi soir. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'est enclenché à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche.
Nucléaire: le redémarrage de l'EPR de Flamanville repoussé à mi-octobre | Connaissances des énergies
(28/09) - Afp,Le redémarrage du réacteur EPR de Flamanville, à l'arrêt depuis la fin du mois de juin, a été repoussé du 1er au 17 octobre, a indiqué l'énergéticien public Electricité de France (EDF) sur son site internet consulté dimanche. Dans sa "liste des indisponibilités", EDF annonce que le réacteur ne produira aucune énergie jusqu'au 17 octobre, alors que le délai courait auparavant jusqu'au 1er du mois.
Toutes les résolutions de l'ONU relatives aux sanctions contre Téhéran pour empêcher la prolifération nucléaire en Iran, seront rétablies samedi soir, sauf coup de théâtre de dernière minute. Faute d'un accord avec Téhéran, le mécanisme de rétablissement des sanctions, dit "snapback", activé le 28 août par le groupe E3 (Allemagne, France, Royaume-Uni), s'enclenchera à minuit GMT dans la nuit de samedi à dimanche. Cela réactivera les dispositions antérieures qui avaient été suspendues avec l'accord de 2015, connu sous l'acronyme JCPOA.
Alors que les mesures coercitives doivent être rétablies ce samedi soir, le régime s’insurge et affirme qu’il ne cédera «jamais à la pression».
Le mécanisme inédit visant à obliger le Conseil de sécurité de l'ONU à rétablir les sanctions internationales contre l'Iran pour non-respect de ses engagements nucléaires doit intervenir samedi soir. Explications.
L'Ukraine a accusé samedi la Russie d'avoir coupé la centrale nucléaire de Zaporijjia du réseau électrique ukrainien depuis quatre jours et de chercher ainsi à la "voler" en la rattachant au réseau sous contrôle russe, en dépit de risques pour sa sécurité. "Nous exhortons toutes les nations préoccupées par la sûreté et la sécurité nucléaires à faire clairement comprendre à Moscou que son pari nucléaire doit cesser", a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, dans un message sur son compte X. Conquise par les troupes russes en mars 2022, au début de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine, la centrale, située à Energodar, dans la région de Zaporijjia (sud), est la plus grande d'Europe. Ses six réacteurs sont à l'arrêt mais elle a besoin d'une alimentation électrique extérieure pour continuer à les refroidir.
L’alimentation électrique externe serait coupée depuis mardi. Kyiv affirme que l’opérateur russe fait courir de grands risques en tentant de «voler» l’installation.
Pékin vient de lever le voile sur une arme qui pourrait redessiner l’équilibre des puissances nucléaires mondiales. Lors d’un défilé militaire impressionnant, la Chine a présenté le Dongfeng-5C (DF-5C), un missile intercontinental capable, selon les experts, d’atteindre n’importe quel point du globe. Une annonce qui soulève autant d’interrogations que d’inquiétudes.
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