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Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
Des défenseurs de l'environnement ont appelé jeudi des banques à se retirer du projet de la société EACOP qui a annoncé la veille avoir bouclé la première tranche du financement externe du plus long oléoduc chauffé du monde, entre l'ouest de l'Ouganda et un port tanzanien. Un oléoduc chauffé de 1 443 km
Un tiers des discours des banques centrales aborde désormais le thème du changement climatique. Comment ces institutions, traditionnellement focalisées sur l’inflation, en sont-elles arrivées là ?
Au mépris de leurs engagements écologiques, les groupes Crédit Agricole, BNP Paribas et BPCE investissent en toute discrétion dans des multinationales des énergies fossiles accusées de pollution en Amazonie, révèle une enquête de Disclose, en partenariat avec France 24 et RFI. Ces investissements rapportent chaque année aux banques françaises plus de 45 millions d’euros.
Bank of America, Goldman Sachs, Citigroup, et désormais Morgan Stanley: les départs des groupes bancaires américains se succèdent au sein de la Net-Zero Banking Alliance (NZBA).
Les banques françaises, malgré leurs promesses vertes, continuent de financer les énergies fossiles tandis que des alternatives existent.
Les politiques ambitieuses d'exclusion du charbon des banques françaises laissent apparaître des failles, selon Reclaim finance.
Les grandes banques françaises ont continué d'investir dans le charbon entre 2021 et 2023 alors qu'elles avaient "à maintes reprises affiché leur sortie" du secteur, selon une étude de Reclaim Finance publiée mardi.20 groupes « problématiques » soutenus par BNP Paribas"Malgré une baisse des financements au secteur du charbon depuis 2019, notre analyse montre que de nombreuses transactions problématiques persistent entre 2021 et 2023" dans le développement de nouvelles mines ou centrales à charbon, affirme l'ONG.
Engagées sur le papier à réduire leur empreinte carbone, les grandes banques persistent à vouloir financer des activités fortement émettrices de gaz à effet de serre, pointe un centre de recherche conseillant les investisseurs vers des placements bas-carbone, mardi dans un rapport.Des 26 établissements bancaires transnationaux interrogés par le centre Transition Pathway Initiative (TPI) basé à la prestigieuse London School of Economics, 22 sont prêts à financer de nouvelles activités liées au charbon, et 24 l'exploitation de nouveaux champs pétroliers et gaziers.
Deux chercheurs britanniques ont tracé la provenance de plus de 500 milliards de dollars ayant financé les multinationales responsables de la déforestation en Amazonie brésilienne et leurs résultats accablent une nouvelle fois la BNP Paribas. La banque française a porté à elle seule 3 % des financements irriguant, sur la période 2014-2023, les 39 multinationales passées au crible par les chercheurs. Celles dont l’activité dans la production de soja, de bœuf, d’huile de palme et de pâte de bois destinée à (...)
Vous avez peut-être déjà entendu dire que pour participer à la transition climatique, une des choses les plus efficaces que vous pouviez faire était de changer de banque. Qu'en est-il réellement ?
Une vingtaine de pays pro-nucléaires souhaitent que les grandes institutions financières et les banques de développement internationales s'impliquent dans le financement du nucléaire civil dans le monde, ont-elles déclaré à l'issue de leur réunion en fin de semaine jeudi et vendredi à l'OCDE à Paris.
Réunis à New York, les représentants de 14 banques et institutions financières se sont déclarés prêts à soutenir davantage l’atome civil afin d’atteindre l’objectif fixé par la COP28 : le triplement des capacités du secteur d’ici 2050. Un “tournant”, selon le “Financial Times”.
Frédéric Chomé est un physicien belge, fondateur et manager général de Factor-X – the Climate Consulting Group, un bureau de conseil en stratégie climatique et développement durable à destination des entreprises et des pouvoirs publics à travers l’Europe. Aider les citoyens, les communautés et les entreprises du monde à réduire leurs émissions de GES en agissant sur la consommation d'énergie, les transports, la gestion des déchets et les comportements d'approvisionnement. Frédéric nous parle de la place de l'argent dans les banques, l'impact colossal du carbone derrière et comment y remédier.
En France, si l’abandon du charbon et, dans une moindre mesure, celui du pétrole font (relativement) consensus, le gaz naturel jouit d’une complaisance certaine. Est-ce parce qu’il a été identifié comme un « allié de la transition énergétique » par les grands groupes d’hydrocarbures, comme le reprennent en chœur les médias et les politiques français ?
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté ou arrangé l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
Plus fossile à dire qu’à faire. Malgré certains efforts, le financement des banques aux producteurs d’énergie fossile est toujours bien trop important à l’échelle mondiale pour limiter le réchauffement climatique, révèle un rapport de huit ONG.
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
La chute est particulièrement notable pour BNP Paribas, assignée en justice début 2023 sur son devoir de vigilance.
Couper le financement de TotalEnergies en refusant de lui prêter de l'argent: près de 60 ONG ont appelé mercredi banques et investisseurs à "ne pas participer" à l'apport d'argent frais de l'entreprise qui continue "sa stratégie climaticide". Ces organisations viennent principalement de France (les Amis de la Terre, Attac), d'Afrique (Justiça Ambiental du Mozambique, le Cecic en Uganda), mais sont aussi implantées à l'international (Reclaim Finance, Extinction Rebellion).
Depuis la signature des accords de Paris en 2015, les principaux groupes bancaires de l'Union européenne ont octroyé un total de 256 milliards d'euros de crédit aux entreprises qui menacent les forêts, les savanes et d'autres écosystèmes confrontés à des situations climatiques critiques, selon un rapport du cabinet d'études néerlandais Profundo, rendu public par Greenpeace International, Milieudefensie, Harvest et Global Witness.
Les banques européennes ont investi 308,9 milliards de dollars dans des entreprises opérant dans les colonies israéliennes illégales, révèle mardi une enquête internationale à laquelle ont pris part la coupole d'ONG flamande 11.11.11 et FairFin.
Portant sur les vingt plus grands établissements de l’UE, l’étude d’une ONG britannique affirme ce mercredi qu’aucune donnée ne permet de vérifier si leurs investissements «verts» participent réellement à la transition écologique.
Les banques et institutions financières belges ont investi près de 11 milliards d'euros dans les combustibles fossiles...
C'est une mine d'informations. La plateforme CarbonBombs, mise en ligne ce mardi 31 octobre, cartographie l'ensemble des 425 bombes climatiques présentes dans le monde, ces sites d'extraction de charbon, gaz et pétrole qui peuvent émettre chacun au moins un milliard de tonnes de CO2 et mettre en péril nos engagements climatiques. Elle permet aussi d'identifier les entreprises et les banques associées à ces projets climaticides.
Après l’Espagne, la Suède, la Lituanie, et, bien sûr, l’Italie, voilà que les Pays-Bas souhaitent mettre en place une "taxe exceptionnelle sur les revenus des banques". Le 22 septembre dernier, les députés néerlandais ont approuvé une proposition de loi visant à relever le niveau d’imposition des banques et à appliquer une taxe de 15% sur les rachats d’actions par ces mêmes banques. Réaction immédiate sur les marchés financiers : la valeur d’ABN Amro Bank et d’ING Group a chuté à la Bourse d’Amsterdam.
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Selon un nouveau rapport [d’ActionAid du 4 septembre], les banques déversent dans les pays du Sud des milliers de milliards de dollars dans l’expansion des firmes du secteur des fossiles, soit le plus émetteur de carbone de la planète [1].
Ces institutions, dont l’intervention reste précieuse en cas de choc économique, sont aujourd’hui appelées à adopter une vision plus proactive que réactive.
Le Crédit Agricole, la BNP et BPCE sont mis en demeure de cesser de financer le géant minier suisse Glencore, décrié pour son bilan environnemental. La procédure a été lancée par une ONG colombienne. Enquête sur une affaire révélatrice des ambigüités des banques en matière d’environnement.
Les entreprises des secteurs fossiles engrangent des bénéfices record, et elles peuvent toujours compter sur le soutien des banques, notamment françaises. D’après le quatorzième rapport Banking on climate chaos (en français : Capitaliser sur le chaos climatique), produit par un consortium d’associations écologistes, les banques françaises sont celles qui, en Europe, ont financé le plus massivement les énergies fossiles en 2022.
Selon le rapport annuel « Banking on Climate Chaos », rédigé par des ONG, les 60 premières banques mondiales ont assuré 673 milliards de dollars de financements aux producteurs de charbon, de pétrole et de gaz en 2022.
En 2022, le secteur bancaire a continué d’investir dans l’industrie fossile, plus lucrative que jamais. Piétinant au passage ses propres engagements climatiques.
Plusieurs ONG dénoncent l’augmentation des financements français auprès de l’industrie fossile. Une situation contradictoire aux engagements de neutralité carbones d’ici 2050 pris par les banques françaises.
INFOGRAPHIES. Les énergies fossiles, dont la consommation est la principale cause du changement climatique, continuent de bénéficier d'importants investissements privés et de subventions publiques.
Des militants se sont réunis mercredi à Paris devant les bureaux de deux banques impliquées dans le financement d'un projet controversé d'exploitation pétrolière de TotalEnergies en Afrique de l'Ouest, dans le cadre d'une journée d'action organisée dans plusieurs villes dans le monde. Une trentaine de jeunes activistes réunis sous la bannière "Stop Total" ont manifesté dans le 8e arrondissement devant les locaux parisiens de la banque japonaise Sumitomo Mitsui Banking Corporation (SMBC) et de la britannique Standard Chartered.
Dans un contexte de resserrement des politiques monétaires, comment les banques centrales peuvent-elles intervenir pour accélérer la transition environnementale ? Nous traduisons et commentons pour la première fois le discours clef d’Isabel Schnabel, membre du directoire de la BCE et l’une des figures les plus influentes de la politique monétaire de la zone euro.
Il est possible, au moins en partie, de jauger la crédibilité environnementale d’un placement sans être ingénieur financier.
La BCE met un ultimatum aux banques qui n'ont pas encore intégré les risques du changement climatique. D'après un sondage, 60% des banques européennes seraient concernée.
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