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pollution polluants éternels PFAS
Il y a peu, un trio de chercheurs a reçu le prix Nobel de chimie pour une invention surprenante, dont l’un des objectif est de participer à la lutte contre la dégradation de l’environnement. Il est ici question d’une éponge moléculaire capable de séparer de l’eau des produits chimiques dangereux, notamment les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
L’Agence nationale de sécurité sanitaire a publié mercredi deux rapports avec des recommandations sur les PFAS, prônant d’étendre le champ des contrôles de ces composés chimiques persistants dans l’environnement.
Dans un avis sur les PFAS, l’Agence nationale de sécurité sanitaire propose une surveillance beaucoup plus rapprochée de ces polluants éternels. Dans l’eau mais aussi dans l’alimentation ou pour les professionnels exposés.
Dans deux rapports publiés ce mercredi, l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a formulé des recommandations pour mieux contrôler les «polluants éternels». Elle appelle à étendre le champ des contrôles de ces molécules persistantes dans le corps et l’environnement.
Six jours après l’interdiction générale dans une commune à vingt kilomètres, la mesure prise ce lundi 20 octobre concerne les personnes sensibles résidant à Tendon.
Depuis ce jeudi 16 octobre, un site interactif mis en ligne par les ONG Générations futures et Data for good permet de visualiser les principaux polluants chimiques présents dans l’eau courante en France.
Les habitants des Arrentès-de-Corcieux ont reçu mardi 14 octobre l’interdiction d’utiliser l’eau du robinet. En cause, un taux trop élevé de polluants éternels qui bouleverse la vie de la commune.
Début septembre 2025, la société civile belge mettait la pression sur le gouvernement fédéral afin de renforcer, sans attendre, la réglementation des produits mis sur le marché afin que nous cessions d’être exposés quotidiennement aux PFAS1. Interdire l’utilisation des polluants éternels dans les biens que nous consommons, voilà ce que nous demandons. Une telle interdiction aura non seulement pour effet de limiter notre exposition en tant que consommateurs, mais également de réduire les potentiels rejets industriels contaminants nos ressources. Pour l’instant, la collectivité paie les pots cassés du manque de régulation en amont : traitement de l’eau polluée pour la potabiliser, soins de santé des personnes massivement contaminées, projets de recherche pour identifier les pistes de solutions, … Quelle politique souhaitons-nous favoriser ? Celles du « pollueur-payeur » ou bien du « pollué-payeur » ?
Selon les associations Générations futures et Vosges Nature Environnement, la contamination pourrait provenir « des rejets d’une usine de blanchiment de textile » située dans une commune voisine.
En Belgique, le problème des PFAS est bien plus vaste qu'on ne l'imagine. […] "Lorsqu'on parle de Pfas en Belgique, on fait en général référence à une liste de 10 à 20 substances reconnues. Dans les faits, ce sont plus de 10 000 substances qui se trouvent potentiellement sur le marché". D'emblée, Pierre Jamar chargé de mission chez Canopea, la fédération des associations environnementales en Belgique, plante le décor. D'après lui, la majorité des substances en circulation en Belgique sortent "complètement des radars". Toutes ne présentent pas la même dangerosité mais, selon Pierre Jamar, certaines nuisent à la santé des Belges, sans que cela ne soit connu.
Cet été, 24 ministres européens se sont soumis à un test sanguin pour les PFAS afin de sensibiliser à la contamination du Vieux continent par ces "polluants éternels", alors que la proposition pour les interdire sur le sol européen est en cours d’examen. Les résultats montrent que la moitié des politiciens testés présentent des niveaux au-dessus de seuils sanitaires.
Une étude européenne nous enlève quelque peu le plaisir de boire : tous les vins embouteillés après l’année 1988 contiennent des polluants éternels. Même les vins bio.
Le TFA, le plus petit mais aussi le plus courant des polluants éternels, pourrait bientôt être mesuré dans l’eau du robinet. C’est ce que laisse présager un projet de décret sur le contrôle sanitaire de l’eau potable, consulté par nos confrères de Contexte dans sa version non encore finalisée du 2 octobre.
A l’initiative du Danemark, une partie des ministres de l’environnement de l’Union européenne s’étaient soumis en juillet, à l’occasion d’une réunion, à une prise de sang pour mesurer la présence de polluants éternels dans leur organisme.
D’ici la mi-octobre, le sportif et influenceur écologiste va réaliser près d’une centaine de prélèvements dans le fleuve, qu’il descend en canoë depuis sa source jusqu’à la Méditerranée, pour alerter sur le scandale des polluants éternels issus de l’industrie chimique. «Libération» l’a rencontré lors d’un bivouac au sud de Lyon, dans la Drôme.
Afin d’édicter de nouvelles normes sanitaires, les autorités européennes ont demandé à l’industrie chimique de fournir des données sur l’acide trifluoroacétique, ou TFA, omniprésent dans l’environnement. L’ONG Pesticide Action Network, qui a eu accès aux études menées, dénonce une volonté de minorer les risques.
Six ans après l’incendie du 26 septembre 2019, des concentrations très importantes de PFAS imprègnent encore les sous-sols de l’usine Lubrizol de Rouen. Une pollution sous-estimée durant des années.
Le plus petit des PFAS pourrait prochainement entrer dans la liste européenne des produits chimiques reprotoxiques. Les ONG alertent depuis des années sur la contamination large de l’eau et des aliments par ce polluant éternel.
C’était l’une des grandes victoires de l’écologie cette année : en février, les parlementaires ont voté une loi pour protéger la population de la contamination aux «polluants éternels». Mais le premier décret publié pour la faire appliquer a déçu les associations de protection de l’environnement. Le deuxième décret, lui, a été reporté à la fin de l’année. On fait le point.
Plus de 43.000 signatures ont été récoltées, au travers de six pétitions différentes, afin de s'opposer et d'interdire les pesticides en Wallonie, particulièrement ceux considérés comme dangereux car s'appuyant sur des PFAS, souligne lundi Canopea.
Les riverains concernés devront dépolluer le sol de leur propriété à leurs frais.
Bruxelles Environnement a présenté jeudi, lors d'une séance d'information organisée à l'administration communale d'Uccle, les premiers résultats des analyses menées sur et autour de l'ancien site de l'entreprise Sicli, ancien fabricant d'extincteurs et de matériel de lutte contre les incendies.
Bruxelles Environnement a tenu vendredi à clarifier la situation autour de l'ancienne usine d'extincteurs Sicli, à Uccle, site au cœur d'une pollution aux PFAS, où l'on observe des dépassements jusqu'à plus de 1.000 fois la norme.
Bruxelles Environnement a présenté jeudi, lors d'une séance d'information organisée à l'administration communale d'Uccle, les premiers résultats des analyses menées sur et autour de l'ancien site de l'entreprise Sicli, ancien fabricant d'extincteurs et de matériel de lutte contre l'incendie. Les mesures révèlent des concentrations de PFAS allant de 1,4 à 530 fois la norme d'intervention. La mesure la plus élevée concerne de l'eau souterraine qui, non ingérée, ne présente aucun danger, selon un représentant de la Région.
Le premier décret d’application de la loi pour l’interdiction des PFAS est paru le 8 septembre, mais affaiblit sa portée. Kildine Le Proux de La Rivière, chargée de missions pour Générations futures, dénonce des textes « très décevants ».
On mange ce que l’industrie décide. Dans cet échange explosif, Karine Jacquemart lève le voile sur les dérives de notre système agroalimentaire : des produits ultra-transformés promus par des lobbies puissants, des aliments contaminés par des additifs, pesticides, polluants éternels — et des scandales sanitaires à répétition comme celui de Nestlé et ses eaux polluées. Elle démontre comment l’industrie verrouille les lois, influence les politiques publiques, instrumentalise les prix pour maintenir une alimentation toxique — tout en rejetant la responsabilité sur le consommateur. Mais surtout, Karine propose des solutions : sécurité sociale de l’alimentation, action citoyenne, transparence et solidarité. Un plaidoyer percutant pour reprendre le contrôle sur nos assiettes.
La mise à jour de la proposition de « restriction universelle » des PFAS dans l’Union européenne est moins ambitieuse que prévu.
Les PFAS, ou substances per- et polyfluoroalkylées, sont souvent appelées « polluants éternels ». Dans les Ardennes françaises par exemple, les habitants de plusieurs communes ont, depuis juillet 2025, interdiction de consommer l’eau du robinet pour les boissons ou la préparation des biberons.
Après plusieurs mois d’attente, les plus de 1250 citoyens ayant participé à la campagne de bio monitoring lancée dans dix communes du Hainaut et du Brabant wallon ont reçu aujourd’hui les résultats de leurs analyses sanguines. Cette initiative visait à évaluer l’impact de la présence de PFAS dans l’eau potable.
Pétition demandant l'interdiction progressive des pesticides de synthèse en Wallonie en vue de protéger la santé humaine et en particulier celle des enfants
1.276 citoyens ont participé de fin mai à début juillet à une campagne de biomonitoring organisée par l’ISSeP (institut scientifique de service public) dans la zone où l’eau est distribuée par le "Feeder du Hainaut". Ceux-ci recevront leurs résultats individuels ce mercredi 27 août, annonce le cabinet du ministre wallon de la Santé et de l’Environnement Yves Coppieters mardi dans un communiqué.
L'ASBL SOS Notre Santé, accompagnée de plus de 130 citoyens, a annoncé lundi sa constitution en partie civile dans l'affaire des PFAS. Les dossiers de constitution ont été déposés auprès de la juge d'instruction en charge du dossier.
Ce lundi 25 août 2025, SOS Notre Santé ASBL, accompagnée de plus de 130 citoyens, annonce sa constitution de partie civile dans l’affaire des PFAS. Les citoyens regrettent n’avoir toujours pas reçu de résultats concernant l’origine de l’intoxication.
La préfecture des Ardennes a interdit la consommation de l’eau du robinet pour près de 3 000 habitant·es de treize communes du département, forcé·es de changer leurs habitudes. En cause, la présence de PFAS dépassant largement les limites sanitaires. Reportage.
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Laurent Testot, journaliste scientifique et spécialiste d’histoire globale.
En 2021, le militant écologiste a fait éclater l’une des plus grandes affaires européennes d’empoisonnement de l’environnement aux PFAS par une usine près d’Anvers.
Le ministère de la Transition écologique a publié le 31 juillet une carte (l’affichage des détails peut prendre plusieurs secondes) qui recense la présence de polluants éternels dans les cours d’eaux et les robinets du territoire français. Ce sont près de 2,3 millions d’analyses qui sont désormais disponibles. La carte détaille si les PFAS sont présents dans les eaux souterraines, les eaux superficielles, l’eau distribuée ou les sites industriels.
Le ministère de la Transition écologique a publié le 31 juillet une carte de ces composantes toxiques.
Le prix Helen Darbishire 2025 a récompensé un consortium de 46 journalistes européens, dont Romane Bonnemé de la RTBF pour leur travail commun sur le lobbying de l'industrie chimique et le coût de la dépollution des PFAS, des polluants éternels.
Un collectif d’habitants a annoncé ce jeudi 31 juillet porter plainte contre X pour dénoncer la non-conformité de leur eau potable, dans l’agglomération de Saint-Louis.
La publication permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels.
« Nous savons que les PFAS peuvent, entre autres, provoquer des cancers et affecter les milieux aquatiques et les animaux. Il est crucial que nous prenions dès maintenant des mesures fortes contre la pollution par les PFAS. »
Un article scientifique publié ce mardi 22 juillet a détecté des Pfas ajoutés intentionnellement dans les cups ou encore les culottes menstruelles pour les rendre plus résistantes.
De récentes alertes ont mis en lumière la présence de produits toxiques, les PFAS et le cadmium, dans un nombre important de denrées alimentaires que nous consommons chaque jour. Alors, que peut-on encore manger ? Vert vous aide à y voir plus clair.
Le patron de Haemers Technologies affirme avoir mis au point une méthode permettant d’éliminer les polluants éternels en chauffant les sols grâce à une technique d’oxydation. Il ambitionne, à terme, de proposer sa solution dans le monde entier.
Près de 3 500 habitants de seize communes rurales ne peuvent plus boire l’eau du robinet depuis le 10 juillet en raison d’une pollution record aux PFAS. L’origine des contaminations serait liée à l’épandage de boues issues d’une ancienne papeterie sur des terres agricoles.
Le leader mondial des ustensiles de cuisine, qui a obtenu une dérogation à l’interdiction des PFAS dans ses produits et promeut l’« innocuité » de son revêtement antiadhésif, est poursuivi par trois associations.
Trois associations portent plainte contre Seb pour «pratiques commerciales trompeuses» concernant ses revêtements antiadhésifs. Elles l’accusent de passer sous silence les risques sanitaires liés à l’utilisation de ces ustensiles.
Ce jeudi, une semaine après le début de la présidence danoise du Conseil de l’UE, le ministre de l’environnement Magnus Heunicke a invité 32 ministres à se soumettre à un test sanguin pour les PFAS. Cette initiative vise à sensibiliser à la contamination du Vieux continent par ces "polluants éternels", alors que la proposition pour les interdire sur le sol européen est en cours d’examen.
Des associations ont porté plainte contre Tefal (SEB), et accusent le groupe d’induire les consommateurs en erreur en affirmant que ses poêles en Téflon sont «sûres». On vous explique.
Très volontariste dans la lutte contre les « polluants éternels », le pays scandinave entend relancer le combat pour proscrire ces substances à l’échelle du continent. Pour marquer le coup, le ministre de l’environnement du royaume a proposé une analyse à ses homologues pour dépister la présence de PFAS dans leur sang.
Des taux de « polluants éternels » supérieurs à la limite légale, de 100 nanogrammes par litre, ont été relevés. La durée de cette interdiction, qui concerne 2 800 habitants, n’a pas été précisée.
La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Pour aider les professionnels de la santé à accompagner au mieux les personnes dont on pense qu’elles pourraient présenter des concentrations élevées de PFAS, la Conférence Interministérielle santé publique a chargé le Centre Fédéral d’Expertise des soins de santé (KCE) de se prononcer sur la nécessité de faire du dépistage individuel. Aujourd’hui, le KCE vient de rendre public ses recommandations. Selon ses experts, "dans l’état actuel des connaissances, ce dépistage n’est pas opportun, sauf s’il s’inscrit dans le cadre de recherches scientifiques."
Forever chemicals have polluted the water supply of 60,000 people, threatening human health, wildlife and the wider ecosystem. But activists say this is just the tip of the Pfas iceberg
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Une pollution aux PFAS a été détectée sur le site de l’entreprise SICLI à Uccle. Mais suite à la faillite de ce spécialiste de la prévention des incendies, les analyses nécessaires n’ont pas été réalisées. Les autorités publiques vont donc reprendre la main.
PFAS : un rapport inédit de l'ONG Générations Futures révèle l'ampleur de la contamination alimentaire aux "polluants éternels".
Deux rapports d’ONG mettent en évidence une contamination quasi généralisée des aliments, à des niveaux beaucoup plus élevés que l’eau, et une réglementation insuffisamment protectrice.
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