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environnement écologie

novembre 2025

La promesse d’un air plus respirable et de métropoles apaisées semblait à portée de main. Sur fond d’interdictions graduelles, les véhicules les plus polluants s’effaçaient des rues sous le regard parfois résigné, parfois soulagé des riverains. Pourtant, en mai dernier, l’Assemblée nationale a tranché : la suppression ou l’assouplissement des ZFE est votée. En une session mouvementée, des années de petites victoires sur la pollution urbaine s’évanouissent.

octobre 2025

Souvent assimilée à un courant politique, l’écologie est avant tout une science à part entière, qui étudie les interactions du vivant avec son environnement. Pourtant, en France, ce terme est devenu symbole de militantisme au risque d’invisibiliser le travail précieux des écologues, alors même que leurs connaissances sont indispensables pour affronter la crise environnementale en cours. […] Dans « l’Écologie est une science », publié par les éditions Belin, Sébastien Barrot, directeur de recherche à l’IRD, présente son domaine de recherche, encore trop méconnu du grand public. Nous reproduisons ci-dessous un extrait de son avant-propos.
L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
En 2015, l’Accord de Paris sur le climat semblait signer une nouvelle ère, celle du consensus international face à la gravité du dérèglement climatique, celle du passage à l’action. Pourtant, on assiste depuis au démantèlement des politiques environnementales. Les programmes politiques et les discours ouvertement anti-écologiques prolifèrent. Malgré le désastre écologique, toute tentative de mise en œuvre d’une transition à la hauteur des enjeux suscite une puissante réaction, un greenbacklash planétaire.
Le 25 mai 1970, un mois à peine après le premier Jour de la Terre qui vit des millions d’Américains manifester pour la défense de l’environnement, le New York Times évoquait déjà l’hypothèse d’un ecological backlash, d’un retour de bâton contre l’écologie. La menace n’était pas prise au sérieux. La vague environnementaliste semblait portée par la démocratie américaine elle‑même.
William Benedetto, directeur du cinéma l’Alhambra à Marseille, et Samah Karaki, neuroscientifique, évoquent la place de la science et de la culture dans l’écologie et affirment la volonté de la rendre accessible à tous.
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse

septembre 2025

Why Environmental Writing Isn’t Resonating As Much Anymore Active hope, not optimism. And why facts alone no longer move people. Environmental pieces aren’t landing like they used to. Writers, researchers, and activists are noticing the shift: climate content that once sparked engagement now fades into the background. The question isn’t whether people care about the planet — it’s that many readers are moving past narratives of awareness and individual action (or at least I think they should!). They want to understand power. They want to understand systems. They want hope rooted in collective transformation, not optimism sold as personal therapy. We Know the Planet Is Dying. So Now What?
Le parti d’extrême droite a fait sa rentrée politique ce week-end et a lancé sa campagne municipale tout en appelant à des élections législatives anticipées. Entre désir d’incarner «l’alternance» et obsession migratoire, les cadors du RN ont réservé quelques saillies aux énergies renouvelables et aux politiques sur l'écologie. Vert était sur place.
Le parti à la flamme lance sa campagne pour les prochaines élections municipales, ce dimanche à Bordeaux. L’écologie sera-t-elle mentionnée ? Au moins pour fustiger les idées des formations de gauche, jugées «punitives». Vert s’est penché sur l’évolution de la doctrine du Rassemblement national sur les questions liées au changement climatique.
En pleine révolution industrielle, la Britannique Octavia Hill s’est battue pour que les plus pauvres aient accès à une nature non détériorée, pour que les villes se végétalisent, et contre la pollution atmosphérique urbaine.

août 2025

Cet été, « The Conversation » vous emmène à la rencontre de figures de pionnières, mais souvent méconnues, en matière d’écologie. Aujourd’hui, redécouvrons la figure de l’Américain George Perkins Marsh, diplomate, savant du XIXe siècle et précurseur du concept de durabilité.


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