
– Outil de recherche de références documentaires –
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
performance
« La nature menacée devient menaçante : notre excès de contrôle nous a fait perdre le contrôle. Il va maintenant falloir vivre dans un monde fluctuant, c’est-à-dire inventer la civilisation de la robustesse, contre la performance. » Olivier Hamant Face aux bouleversements du monde en cours et à venir, le développement durable, entre géo-ingénierie contreproductive et tout-électrique mal pensé, crée de nombreux futurs obsolètes. Émergent alors les contre modèles de la décroissance et de la sobriété heureuse, nettement mieux alignés avec le monde qui vient. Mais la frugalité peut-elle réellement mobiliser ? Ne risque-t-elle pas non plus de se réduire à d’autres formes d’optimisation ? Et si, pour être sobre et durable, il fallait d’abord questionner une valeur nettement plus profonde : l’efficacité. Le monde très fluctuant qui vient appelle un changement de civilisation. Ce chemin demande surtout de valoriser nos points faibles et inverse toutes les recettes.
Le site
Accrochez-vous à une révélation captivante : Olivier Hamant explore comment la société, gouvernée par la performance, peut être mise en question à travers des exemples saisissants tels que le blocage du canal de Suez et l'effet rebond des frigos. Sommes-nous vraiment sur la bonne voie en cherchant à performer tout le temps ?
Conférence du 23 Septembre 2025 à l'ICES de la Roche Sur Yon. Olivier Hamant – Directeur de l’Institut Michel SERRES, nous invite à repenser notre relation au monde vivant à travers le prisme de la robustesse. Il expose les limites du culte de la performance, qui mène à des impasses écologiques, et propose la robustesse comme antidote. N.B. Olivier HAMANT était parmi les intervenants à l’Université de la Terre en mars 2025 à l’UNESCO.
Le biologiste Olivier Hamant alerte : le culte de l’ultra-performance de nos sociétés conduit au burn-out généralisé des êtres humains et des écosystèmes. La nature, elle, fonctionne bien différemment en privilégiant la robustesse – cette capacité à résister, coopérer et s’adapter malgré les différentes crises. Face aux défis environnementaux et sociaux qui s’amplifient, il devient urgent de changer de paradigme. Et si, au lieu de produire et de consommer toujours plus, nous apprenions à construire des systèmes capables de s’adapter, de coopérer et de se régénérer sur le long terme ? Comment penser une société qui valorise la robustesse ? On a interviewé Olivier Hamant sur le sujet !
Dans cette vidéo, Olivier Hamant nous aide à comprendre les enjeux écologiques et économiques actuels, en nous invitant à repenser nos modèles de consommation et de production. En nous faisant prendre conscience de l’urgence des crises environnementales et sociales, il propose des solutions radicales basées sur la coopération plutôt que sur la compétition. À travers cet entretien, Hamant critique le capitalisme traditionnel et nous propose de sortir du cercle de la performance infinie pour embrasser une économie plus juste et plus résiliente, capable de faire face aux crises multiples de notre époque.
Une agence du gouvernement des États-Unis réfléchi à un moyen de modifier les globules rouges des soldats américains.
Les données d’Eurostat indiquent que l’industrie française a émis 31% de gaz à effet de serre de plus que l’industrie allemande en 2021 (380 g éq. CO2 par euro de valeur ajoutée en 2021 contre 290 g éq. CO2/€ VA outre-Rhin).L'industrie allemande émet proportionnellement moins de gaz à effet de serre que sa concurrente française, mais la France affiche une nette avance en matière d'électrification des procédés, indique jeudi une étude qui jauge les performances environnementales des deux puissances industrielles.
Pourquoi la quête de performance crée une époque de turbulences ? Comment s'inspirer de la robustesse du vivant pour construire des systèmes plus durables ? "La nature menacée devient menaçante : notre excès de contrôle nous a fait perdre le contrôle. Il va maintenant falloir vivre dans un monde fluctuant, c'est-à-dire inventer la civilisation de la robustesse, contre la performance." Olivier Hamant est chercheur INRAE à l’Ecole normale supérieure de Lyon, directeur de l’Institut Michel-Serres, est biologiste et auteur de La troisième voie du vivant (Odile Jacob).
Des chercheurs proposent un nouveau concept de réacteur à fusion nucléaire combinant le tokamak au stellarator, améliorant ainsi considérablement les performances et la viabilité.
Changer de COP. Alors que s’est ouverte, jeudi, la 28ème conférence des Nations Unies (COP28) sur le climat à Dubaï, une alter COP, organisée par le collectif Scientifiques en Rébellion, a installé ses quartiers à Bordeaux.
Le biologiste Olivier Hamant vient de publier fin août 2023 Antidote au culte de la performance. La robustesse du vivant dans la collection Tract chez Galimard. Ce directeur de recherches à l’INRAE, spécialiste des plantes et la biologie moléculaire et cellulaire critique la notion de performance. L’idée et la recherche de la performance se montrent omniprésentes dans la pensée et l’action humaine, alors que, selon lui, le vivant mise plutôt sur la robustesse. Au-delà du champ des recherches scientifiques, ses travaux conduisent à plusieurs réflexions sur la manière dont les sociétés humaines peuvent et doivent faire face aux défis environnementaux. Il les a aussi développés dans La Troisième voie du vivant en 2022 chez Odile Jacob. Olivier Hamant a accepté de répondre par écrit à quelques questions posées par GoodPlanet Mag’ autour de la robustesse et de la performance.
France Stratégie, le Commissariat général à la stratégie et à la prospective, est un organisme de réflexion, d’expertise et de concertation placé auprès du Premier ministre. 4 missions orchestrent son action : Évaluer, Anticiper, Débattre, Proposer
Les majors pétrolières ont fait une très, très bonne année 2022. Elles tirent des bénéfices record de la crise de l’énergie. TotalEnergies, Shell et BP ont réalisé, à elles trois, plus de 87 milliards de dollars de profits, tout comme Exxon (55,7 milliards de dollars pour 2022). Si l’univers boursier salue ces performances, elles sont préoccupantes pour le climat rappellent avec force les ONG. D'autant que BP a d’ores et déjà annoncé revoir ses objectifs de neutralité carbone à la baisse et que les nouveaux projets fossiles comme celui d’EACOP porté par TotalEnergies, trouvent de nouveaux moyens de financement.
Une étude pointe l'écart entre l’énergie utilisée par une habitation et son DPE, à peine plus prédictif que s’il avait été attribué au hasard. Cette évaluation a pourtant une grande importance en termes immobiliers et environnementaux.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.

