Le climat est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée. L’étude du climat est la climatologie. Elle se distingue de la météorologie qui désigne l’étude du temps dans l’atmosphère à court terme et dans des zones ponctuelles. source : wikipedia
COPERNICUS – Mises à jour
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Il y a peu, un trio de chercheurs a reçu le prix Nobel de chimie pour une invention surprenante, dont l’un des objectif est de participer à la lutte contre la dégradation de l’environnement. Il est ici question d’une éponge moléculaire capable de séparer de l’eau des produits chimiques dangereux, notamment les substances per- et polyfluoroalkylées (PFAS).
Pablo Servigne s'est fait connaître avec « Comment tout peut s’effondrer » en 2015, un livre devenu un best-seller, fondateur de la collapsologie. Il publie aujourd'hui aux Liens Qui Libèrent, "Le Réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide Populaire". Objectif : braquer les projecteurs sur la participation citoyenne à la gestion de crise, à l’opposé du repli sur soi. Pour lui, le lien social devient dans des moments de crise notre meilleure stratégie et cela peut tout simplement améliorer nos vies. Pablo Servigne nous explique aussi le concept de "supervivalisme" à l'opposé du survivalisme. Bonne écoute avec Impact Positif.
La Banque centrale européenne (BCE) a publié une enquête intitulée "Keep calm and carry cash". Dans celle-ci, elle met en évidence l'importance de garder de l'argent liquide, surtout dans cette période d'incertitude croissante.
Il avait prédit le krach de 1990. Il avait prédit le krach de 2008. Aujourd’hui, l’économiste Fred Harrison avertit que le prochain effondrement aura lieu en 2025 — et cette fois, il pourrait être encore plus grave.
How does one talk about climate change when armed conflicts are spiralling out of control?
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Les conflits de Gaza et de l'Ukraine ont changé la façon de négocier. Les diplomates russes ont été formés à l'école de Gromyko : exigez le maximum de votre interlocuteur, même ce qui peut paraître exagéré. Faites monter la pression, lancez des ultimatums puis menacez de quitter la réunion.
Six chercheurs, membres du collectif Social-Ecological Transitions, parmi lesquels l’économiste Eloi Laurent et le politiste Bruno Palier, appellent, dans une tribune au « Monde », à la mise en œuvre d’une sécurité sociale écologique pour maintenir les acquis de la Sécurité sociale, créée il y a bientôt quatre-vingts ans.
La démarche de prospective Grenoble 2040 vise notamment à se préparer aux crises à venir, en envisageant les hypothèses de rupture, et préparer la population à les vivre. Lors des crises majeures, les populations non préparées développent spontanément des mécanismes d'entraide, comme l'ont montré la pandémie de COVID-19 ou d'autres catastrophes récentes. Pourtant, les secours professionnels exploitent rarement ce potentiel, et risquent ainsi d'affaiblir ces dynamiques locales. Le Groupe URD s'est intéressé à ces phénomènes et conduit un projet de recherche pour répondre aux questions suivantes: A quoi ressemble l'entraide en temps de crise ? Comment se met-elle en place, et comment évolue-t-elle dans la durée ? Quels sont les facteurs qui contribuent à son apparition ? Comment les secours interagissent-ils avec ces réseaux d'entraide ? Pendant la Biennale des Villes en Transition 2025, le Groupe URD représenté par Véronique de Geoffroy et Pablo Servigne a présenté les premiers résultats de ce projet d
An international forum for leaders addressing interconnected crises, systemic challenges, the imperative for a new approach, collaborative solutions, and adapting to inevitable consequences. - An international forum for leaders addressing interconnected crises, systemic challenges, the imperative for a new approach, collaborative solutions, and adapting to inevitable consequences. - 25 April 2025 – MagNet Community House, Pallavicini Palace, Budapest
Dernièrement, l’Union Européenne a publié sa stratégie de préparation pour prévenir et réagir aux menaces et crises émergentes. Or, parmi les éléments de cette stratégie, nous retrouvons un kit de survie assurant une réserve d’eau, de nourriture, de médicaments et d’énergie pour au moins trois jours.
"De l’eau, de la nourriture en boîte ou lyophilisée, de l’éclairage, des allumettes, une trousse de secours : il faut se préparer pour être en autonomie pendant 72 heures", explique sur La Première Hadja Lahbib, la commissaire européenne chargée de l’égalité, l’état de préparation et la gestion des crises. "Tous les citoyens ont un rôle à jouer dans une situation de crise". Tous les Etats membres travaillent sur leur capacité de résilience, la France va bientôt sortir un manuel de survie. Cela reste une compétence des Etats membres, mais la Commissaire donne le ton.
Face aux crises existentielles : anthroposphère, la grande accélération, points de bascule et limites planétaires, descente énergétique, la transition n'est pas une solution, l’espoir de la systémique, les plans d'Arthur Keller.
Invoquant des risques de guerre, la Norvège a annoncé vendredi vouloir rétablir l'obligation de construire des abris antiaériens dans les nouveaux bâtiments, l'une d'une centaine de mesures proposées pour accroître l'état de préparation du pays. "À l'avenir, nous devons tenir compte et nous préparer à gérer des crises et des guerres", a déclaré la ministre norvégienne de la Justice, Émilie Enger Mehl, également en charge des situations d'urgence.
Les Français ne voudraient plus travailler, les jeunes seraient de plus en plus flemmards, l’État-providence serait devenu trop coûteux, l’intelligence artificielle devrait faire disparaître des millions d’emplois… Autant d’idées reçues qui saturent le débat public, plombent la confiance des citoyens et nous empêchent d’engager nos sociétés dans les politiques essentielles à mettre en œuvre pour faire face aux multiples crises qui les menacent.
In 2024, global average temperatures breached the critical threshold of 1.5°C above pre-industrial levels — a tipping point long warned about by scientists. Instead of catalyzing swift global action, this milestone has only underscored a grim reality: the collapse of our global ecological and economic systems is not a distant possibility — it is unfolding before us. Climate change, combined with the many other dimensions of the polycrisis — resource depletion, biodiversity loss, political instability, and economic inequities — has created a perfect storm. This storm is not just brewing; it’s here.
Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
Après qu’un groupe d’agriculteurs, liés à la FNSEA, a muré, le 28 novembre, l’entrée de l’Inrae, à Paris, un collectif de plus de 240 chercheurs souligne, dans une tribune au « Monde », que des transitions radicales sont nécessaires et que la recherche doit rester indépendante pour faire face aux enjeux monumentaux du XXIᵉ siècle.

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