Veille 2.1

OA - Liste

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Filtre :

Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
Sri
Le LY-1 a été dévoilé lors de la parade militaire chinoise célébrant la victoire contre le Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale il y a 80 ans.
À l’avenir, si des cellules synthétiques (dites « cellules miroirs »), correspondant à la version chimiquement inversée de cellules naturelles, se développaient sur Terre, quelles pourraient être les conséquences pour la santé humaine et l’environnement ? On fait le point sur les risques et les enjeux liés à cette vie miroir.
Il est impossible de purement et simplement ignorer la propagation sans cesse plus rapide des armes létales autonomes et de l’intelligence artificielle sur les théâtres de guerre ; mais il serait éminemment dangereux de confier la prise de décision à la technologie seule.
Des chercheurs ont réussi, pour la première fois, à traduire en temps réel les pensées silencieuses grâce à un implant cérébral couplé à une intelligence artificielle. Cette technologie promet d’offrir une nouvelle forme de communication aux personnes paralysées. Elle soulève néanmoins des questions cruciales sur la vie privée, le consentement et la sécurité mentale.
Dans le cadre d’une récente étude, des chercheurs italiens ont présenté un système expérimental permettant de localiser et suivre une personne grâce au Wi-Fi. Ce système se base sur la signature corporelle d’un individu grâce aux perturbations que ce dernier induit au sein du réseau. Baptisé WhoFi, le dispositif se passe de capteurs et de caméras de surveillance.
L'Assemblée générale de l'ONU a créé mardi un groupe d'experts scientifiques sur l'intelligence artificielle (IA) qui sera chargé d'aider la communauté internationale à prendre des décisions informées sur ce sujet sensible, comme le fait le Giec pour le climat.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, va lancer un appel à candidatures pour identifier les quarante futurs membres du groupe, qui siégeront pour trois ans.
Comme d’autres analystes, l’économiste Carlota Perez s’attend à un krach sur les entreprises liées à cette technologie, mais juge que les emballements spéculatifs sont le seul moyen de financer les grands projets d’infrastructures.
Pendant que l’Occident mise sur ITER, le pharaonique projet international de fusion nucléaire, la Chine développe dans l’ombre une arme secrète qui pourrait bouleverser la course à l’énergie du futur. Son nom de code : CHSN01. Derrière cette appellation technique se cache un alliage d’acier révolutionnaire qui repousse les limites de la physique des matériaux et pourrait propulser l’Empire du Milieu en tête de la révolution énergétique mondiale.
This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.
Alors que la télécommunication mondiale repose en grande partie sur les réseaux de câbles sous-marins, ceux-ci sont dangereusement exposés aux catastrophes naturelles comme aux attaques intentionnelles, avertit un chercheur. Leur destruction compromettrait non seulement les communications, mais également l’économie et la sécurité à l’échelle planétaire. L’expert juge urgent de réduire cette dépendance excessive en diversifiant les infrastructures et en recourant à des alternatives moins vulnérables aux risques de rupture.
Un nouvel implant cérébral permet de traduire les pensées intérieures en paroles, mais ne fonctionne que si l’utilisateur pense à un mot de passe prédéfini. Ce dispositif garantit que le système ne traduise pas accidentellement des phrases que les utilisateurs préfèreraient garder pour eux. Il offrirait ainsi aux patients la possibilité de s’exprimer plus aisément, sans nécessairement s’efforcer de parler, tout en préservant la confidentialité de leurs pensées – une première dans le domaine des implants cérébraux.
Elle n’avait pas pu écrire son propre nom depuis deux décennies. Audrey Crews, aujourd’hui quadragénaire, vient pourtant de le faire à nouveau — non pas avec sa main, mais uniquement par la pensée. Cette prouesse, rendue possible par un implant cérébral développé par Neuralink, incarne l’émergence concrète d’une nouvelle ère : celle de la fusion entre le cerveau humain et la machine.
Des centaines d'androïdes ont enchaîné chutes saccadées et montées en puissance lors de la toute première compétition mondiale de robots humanoïdes qui a commencé vendredi à Pékin, lors d'affrontements allant du 100 mètres haies au kung-fu.
Ou à le réinventer. Mais alors, faites extrêmement vite.
Les scientifiques qui ont conçu les intelligences artificielles les plus sophistiquées de la planète tirent aujourd’hui la sonnette d’alarme. Ces chercheurs de Google DeepMind, OpenAI, Meta et Anthropic – les géants qui façonnent notre avenir numérique – nous mettent en garde contre un danger invisible : leurs propres créations pourraient développer des comportements malveillants sans que nous nous en apercevions.
Imaginez un monde où les machines n’auraient plus besoin de l’Homme pour exister. Des chercheurs américains viennent de franchir un cap décisif en créant le premier robot capable de grandir, de se réparer et même de « cannibaliser » d’autres robots pour s’améliorer. Cette percée technologique bouleverse notre conception de l’autonomie robotique et ouvre des perspectives fascinantes… mais aussi inquiétantes.
Les États-Unis semblent inventer une nouvelle forme d’autoritarisme numérique. Sous l’impulsion de Donald Trump, et avec l’appui discret mais décisif de puissantes entreprises technologiques, un pouvoir inédit se met en place. Un pouvoir qui ne se contente pas de gouverner, mais qui contrôle et façonne en profondeur la société. La militarisation de l’espace public s’accentue, la surveillance algorithmique devient omniprésente, et la manipulation des opinions se fait à travers l’exploitation massive des données personnelles et de l’intelligence artificielle.
Une découverte scientifique majeure vient de rapprocher l’humanité d’une révolution technologique sans précédent. Des chercheurs chinois ont franchi un cap décisif dans la construction du futur Internet quantique, cette technologie mystérieuse qui promet de transformer radicalement nos communications numériques.
Dans le domaine de la robotique, chaque progrès technologique est souvent synonyme de complexité croissante. Pour qu’une machine exécute des tâches précises, les ingénieurs doivent habituellement passer par des étapes fastidieuses : capteurs sophistiqués, modèles mathématiques détaillés, et surtout des heures — voire des milliers d’heures — d’entraînement. Mais une équipe du MIT vient de renverser cette logique. Elle a mis au point une intelligence artificielle capable d’apprendre à contrôler pratiquement n’importe quel robot, simplement en l’observant se mouvoir… et cela, sans recourir à des capteurs complexes.
Pendant vingt ans, elle est restée dans le domaine de la théorie pure. Aujourd’hui, cette technique mystérieuse aux allures de science-fiction vient de franchir une étape décisive qui pourrait bien changer la face de l’informatique mondiale. La « distillation d’états magiques » n’est plus un rêve de physicien : elle est devenue réalité dans les laboratoires de QuEra.
Microsoft a notamment franchi jeudi pour la première fois les 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. C’est la deuxième entreprise à dépasser ce seuil symbolique après le leader des puces IA, Nvidia.
Le futur du travail chez Tesla pourrait bien prendre un tournant radical. Alors que l’entreprise d’Elon Musk est régulièrement scrutée pour ses innovations dans l’automobile et l’énergie, c’est désormais son projet de robot humanoïde, baptisé Optimus, qui retient l’attention des analystes financiers. Selon une récente note publiée par Adam Jonas, analyste chez Morgan Stanley, l’intégration d’Optimus dans les usines de Tesla pourrait générer des économies colossales sur les coûts de main-d’œuvre. L’estimation : 2,5 milliards de dollars d’économies si seulement 10 % des effectifs humains étaient remplacés.
Avec l'essor de l'IA, une vision technocratique où la rationalité algorithmique primerait sur la délibération se développe aux Etats-Unis. Le danger est grand pour des démocraties déjà affaiblies par les réseaux sociaux. L'Europe doit se réveiller.
La guerre du futur s’écrit de plus en plus à l’encre de la technologie, en particulier à travers le développement rapide de robots humanoïdes capables d’opérer sur les champs de bataille. Mais derrière l’excitation que suscite cette avancée se cache une inquiétude majeure, portée tout récemment par le journal officiel de l’armée chinoise, le Quotidien de l’Armée populaire de libération (APL). Dans un article publié le 10 juillet, dont se fait écho le South China Morning Post, des experts militaires chinois ont tiré la sonnette d’alarme, appelant à des recherches urgentes sur les dimensions éthiques et juridiques de l’utilisation de robots humanoïdes en guerre, soulignant les risques de « meurtres aveugles » et de « morts accidentelles ».
Et si les robots pouvaient vraiment sentir ? Pas simplement mesurer une pression ou une température, mais réagir à un contact comme nous réagissons à une caresse, une brûlure ou une piqûre. C’est exactement ce que promet une équipe de scientifiques grâce à une peau électronique d’un nouveau genre, capable d’imiter certaines propriétés sensorielles de l’épiderme humain.
Ils ont tous connu des réussites hors normes dans la tech. Une vingtaine de milliardaires de la Silicon Valley ont la conviction que la démocratie a vécu et entendent prêter main-forte à Donald Trump. Plongée parmi les « tech bros ».
L’industrie robotique vient de franchir un cap décisif avec le Walker S2 d’UBTECH, un robot humanoïde qui maîtrise une compétence jusqu’alors réservée aux humains : changer sa propre batterie. Cette innovation chinoise ouvre la voie à une autonomie robotique totale, transformant radicalement les perspectives d’utilisation des machines dans notre quotidien.
Alors que la miniaturisation des technologies est de plus en plus effective, la Chine vient de dévoiler un drone aussi petit qu’un moustique. Il s’agit ici d’un nanodrone arborant des ailes et des pattes, dont les missions seront relatives à l’espionnage et la reconnaissance tactique.
Des chercheurs chinois ont transformé des abeilles en cyborgs grâce au plus léger contrôleur cérébral jamais conçu. Le dispositif envoie des impulsions dans le cerveau de l’insecte pour guider ses mouvements, avec un taux de succès de neuf commandes sur dix lors des tests. L’objectif serait d’exploiter l’endurance et la flexibilité naturelles des abeilles pour des opérations de reconnaissance militaires ou de secours en zones à risque.
Imaginez une arme capable de paralyser une ville entière sans faire exploser le moindre bâtiment, sans tirer une balle, sans faire de victimes directes. Une frappe silencieuse qui plongerait instantanément les infrastructures dans le noir, désactivant radars, communications, et lignes de défense. Ce n’est plus de la science-fiction : la Chine vient de dévoiler ce qui pourrait bien être la prochaine évolution de la guerre moderne.
Imaginez une IA qui, face à une menace d’extinction, ne recule devant rien : il manipule, fait chanter, trahit et peut même aller jusqu’à laisser un humain mourir pour protéger son existence. Ce scénario digne d’un thriller de science-fiction est pourtant le fruit d’une récente étude scientifique qui met en lumière les risques insoupçonnés liés aux intelligences artificielles (IA) dites « autonomes » ou « à grande échelle ».
Un futur cadre réglementaire spécifique aux variétés OGM issues des « nouvelles techniques génomiques » (NTG) est en cours de discussion au sein de l’Union européenne. Le compromis à l’étude diviserait ces variétés en deux catégories, soumises à des contraintes différentes. Des citoyens et des scientifiques alertent sur les risques qu’une telle distinction entraînerait. Ce n’est pas seulement d’agriculture dont il est question, mais de l’assiette des consommateurs européens.
Et si les machines pouvaient voir comme nous, ou mieux encore ? Dans le domaine très compétitif de la vision artificielle, une équipe de l’Université de Fuzhou, en Chine, vient de franchir un cap décisif : elle a conçu un capteur bio-inspiré capable de s’adapter à des conditions d’éclairage extrêmes avec une rapidité et une intelligence encore inédites. Grâce à une technologie reposant sur les points quantiques, ce dispositif pourrait bien transformer l’avenir des robots, des véhicules autonomes et de l’imagerie embarquée.
En développant une technique d’informatique quantique permettant d’exécuter des algorithmes d’apprentissage automatique basés sur le noyau, des chercheurs ont démontré un gain d’efficacité et de rapidité significatif par rapport aux meilleurs supercalculateurs classiques. La technique repose sur un circuit photonique quantique combiné à un algorithme d’apprentissage automatique sur mesure, permettant des gains de performance notables.
L’univers des technologies de pointe est en pleine ébullition. La Chine vient d’annoncer une avancée majeure : la production de masse des premières puces électroniques non binaires hybrides au monde. Derrière ce terme mystérieux se cache une innovation capable de transformer de nombreux secteurs, de l’aviation à la fabrication, en passant par l’intelligence artificielle.
Jules Vertriest (30) is de eerste arts die in opdracht van het Vlaams Departement Zorg is aangesteld om zich bezig te houden met de gezondheidseffecten van de klimaatverandering in Vlaanderen. Na een kurkdroge lente kreeg de kersverse klimaatarts er bij het begin van de zomer al meteen een eerste hittegolf bovenop. ‘Laat hitte, droogte en UV-schade nu net de grootste gezondheidsrisico’s zijn die de klimaatverandering met zich meebrengt, maar er zijn oplossingen en het is mijn taak om die naar voren te schuiven.’
Slechts één land ter wereld produceert genoeg voedsel om zijn bevolking volledig te voeden volgens moderne voedingsrichtlijnen: het Zuid-Amerikaanse Guyana. Dat blijkt uit een grootschalige analyse van de productiecapaciteit van 186 landen, gepubliceerd in het toonaangevende tijdschrift Nature Food. De studie, geleid door onderzoekers van de Universiteit van Göttingen, toont aan dat de meeste landen ver achterblijven in het realiseren van een gezond voedingspatroon op basis van eigen productie.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Maxime Fournes. Dans ce podcast, cet expert en intelligence artificielle, nous partage son expérience et ses réflexions sur les dangers associés à l'IA, particulièrement à travers l'usage des réseaux de neurones profonds. Après une décennie de recherche en machine learning, il nous raconte son parcours et ses inquiétudes sur l'accélération des progrès technologiques depuis 2020. Il nous invite à réfléchir sur les risques liés à la création de superintelligences autonomes et sur le manque de contrôle sur ces systèmes, de plus en plus puissants et incompréhensibles. Maxime nous présente également son engagement avec l'association Pause AI, qui milite pour un moratoire international sur les IA dangereuses et explore la problématique des algorithmes de recommandation qui façonnent nos comportements et nos sociétés. La discussion se poursuit avec des questions éthiques sur l'utilisation de l'IA dans des domaines comme les jeux vidéo et les applications de rencontre, et la ques
Quand on pense aux guerres de demain, on imagine souvent des robots humanoïdes ou des avions furtifs invisibles au radar. La réalité, pourtant, est déjà là – et elle est bien plus discrète. De petits engins volants, parfois à peine plus grands qu’un modèle réduit, capables de choisir leur cible, de décider d’attaquer… et de tuer, sans qu’aucun humain n’ait à valider la frappe.
Vivrons nous un futur dans lequel les livreurs seront des robots humanoïdes ? Ceci pourrait être le cas, puisque Amazon devrait bientôt tester ce concept assez particulier en compagnie d’un géant de la robotique en Chine.
Notre rapport à la « tech » a pris tous les codes d’une religion messianique, mêlant respect, fascination, légère crainte de l’avenir – ainsi des conséquences de l’intelligence artificielle – et promesse d’un monde meilleur, où l’abondance matérielle régnera. On trouve ainsi les lieux saints (Silicon Valley), les grands-messes où les adeptes se retrouvent avec excitation (Consumer Electronics Show de Las Vegas), les figures béatifiées ou canonisées (R.I.P. Steve Jobs), les gourous bien vivants dont chaque parole, délivrée sur réseaux sociaux, en interview ou en keynote devant un parterre d’« élus », est décortiquée, com­mentée, interprétée comme un oracle.
(Yorktown Heights) IBM a présenté mardi de nouvelles avancées techniques qui doivent lui permettre de mettre au point, d’ici 2029, le premier ordinateur quantique commercial, machine à la puissance de calcul inédite utilisable pour des applications concrètes.
Depuis quelques mois, ce jeune mouvement technocritique « révolutionnaire » se fait de plus en plus remarquer. Son discours radical, qui fait fi des questions de justice sociale au point d’être parfois qualifié de « réactionnaire », l’isole toutefois des autres collectifs écologistes dénonçant la fuite en avant technologique. Portrait d’un mouvement farouchement à contre-courant.
Imaginez un laser si puissant qu’il peut délivrer en un éclair une énergie cent fois supérieure à la consommation électrique mondiale. C’est exactement ce que vient de réaliser l’Université du Michigan avec son installation ZEUS, un système laser d’exception capable de produire des impulsions lumineuses atteignant 2 pétawatts (soit 2 millions de milliards de watts). Même si cet exploit ne dure qu’un instant incroyablement bref — 25 quintillionièmes de seconde — il ouvre des portes inédites à la recherche scientifique.
Dans une avancée majeure pour l’aérospatiale et la défense, une startup américaine vient de franchir un pas décisif vers le vol hypersonique accessible. Venus Aerospace, basée à Houston, a réalisé avec succès le premier test en vol d’un moteur-fusée à détonation rotative (Rotating Detonation Rocket Engine, RDRE) aux États-Unis, capable de propulser un avion à des vitesses supersoniques extrêmes — jusqu’à Mach 6 — directement depuis une piste d’atterrissage conventionnelle.
Imagine une machine capable de deviner en un instant ce que nos meilleurs supercalculateurs mettent des siècles à estimer. Une machine qui ne pense pas plus vite, mais autrement – qui ne suit pas les règles du jeu, mais les réécrit. Bienvenue dans l’ère des ordinateurs quantiques. Encore embryonnaire, souvent mal compris, cet objet technologique à peine croyable pourrait déverrouiller des problèmes considérés aujourd’hui comme inabordables. Dans cet article, on explore trois promesses vertigineuses qui entourent cette technologie : casser la cybersécurité, guérir des maladies complexes, et redéfinir notre rapport à la réalité.
La quête pour doter les robots d’une perception et d’une intelligence proches de celles des humains est au cœur des avancées technologiques actuelles. Une équipe de chercheurs de l’Université RMIT en Australie vient de franchir une étape majeure en développant un dispositif neuromorphique capable d’imiter la façon dont le cerveau humain traite l’information visuelle en temps réel. Cette innovation promet de transformer la robotique, la vision artificielle et, plus largement, les systèmes autonomes.
De plus en plus d’internautes ont le réflexe de se tourner vers l’IA pour trancher un débat sur les réseaux sociaux. Mais ces modèles, qui n’ont pas été conçus pour ça, peuvent inventer des faits de toutes pièces. Même Perplexity, présenté comme plus fiable, peut être victime «d’hallucinations».
Alors que la course aux armements entre grandes puissances entre dans une nouvelle ère, un rapport récemment publié par des chercheurs de l’armée chinoise révèle une avancée qui pourrait bien redéfinir les équilibres stratégiques mondiaux. Ces scientifiques affirment que la Chine est désormais capable de lancer des missiles hypersoniques directement depuis l’espace, atteignant des vitesses phénoménales et comprimant drastiquement les délais de réaction de tout adversaire potentiel.
Depuis plusieurs années, les forces armées du monde entier investissent massivement dans des technologies de pointe afin d’optimiser les performances des soldats, tant physiques que mentales. Alors que la guerre du futur se joue de plus en plus sur le terrain technologique, plusieurs innovations marquent un tournant dans l’amélioration des capacités humaines.
Gilets tactiques connectés, écouteurs Bluetooth, intelligence artificielle : l’Etat veut des « policiers et des gendarmes augmentés ». Une stratégie qui ne va pas sans interrogations sur la défense des libertés publiques.
Dans un monde où la technologie progresse à un rythme effréné, les robots humanoïdes occupent une place de plus en plus importante. De l’assistance dans les usines à la livraison de repas en passant par l’interaction avec les humains, ces machines deviennent omniprésentes. Toutefois, un incident récent en Chine a mis en lumière les risques associés à cette révolution technologique. Une vidéo choquante montrant un robot humanoïde devenant incontrôlable a déclenché un débat sur la fiabilité et la sécurité de ces machines.
Si l’on sait que les intelligences artificielles génératives proposent des réponses erronées, inventent et mentent parfois, la question se pose de savoir si elles sont responsables des contenus qu’elles proposent, et en particulier lorsqu’elles poussent un adolescent au suicide.
Dernièrement, un collectif d’investigation sur le changement climatique et un célèbre quotidien britannique ont mené une enquête. Selon ces travaux, Amazon, Google et Microsoft continuent de construire des data centers et ce, dans des régions déjà très impactées par la sécheresse.
Des scientifiques chinois travaillent sur une technologie aussi impressionnante que risquée : permettre à un avion de chasse furtif de sixième génération, le J-36, d’atterrir en toute sécurité sur un porte-avions… même en pleine mer agitée. Ce défi colossal pourrait bien redéfinir la manière dont les puissances navales envisagent la guerre aéronavale dans les prochaines décennies.
Le ciel de Cap Canaveral a récemment été traversé par une arme futuriste : Dark Eagle, le missile hypersonique développé par les États-Unis. Ce test secret, réalisé sans annonce préalable, marque une nouvelle étape dans la course aux armements hypersoniques. Et pour cause : cette arme est conçue pour atteindre une vitesse cinq fois supérieure à celle du son et frapper une cible située à près de 2 800 kilomètres… en quelques minutes seulement.
Une approche unique de la formation des robots - Ce centre de formation chinois se distingue par son approche novatrice, qui repose sur le partage massif de données entre différents fabricants. À l’heure actuelle, plus de 100 types de robots provenant d’une douzaine d’entreprises suivent une formation dans ce centre. Ces machines sont formées pour accomplir des tâches fondamentales, dites atomiques, telles que saisir, placer ou transporter des objets. L’idée est de créer un écosystème de données partagé où chaque appareil apprend à partir des actions répétées et des données collectées, ce qui lui permet de s’améliorer progressivement.
Alors que de nombreux pays peaufinent encore leurs déploiements de la 5G, la Chine prend une longueur d’avance. À Xiong’an, une ville nouvelle à 110 kilomètres de Pékin, le premier réseau haut débit 10G au monde vient d’être lancé. Ce jalon technologique a été rendu possible grâce à une collaboration entre Huawei et l’opérateur China Unicom, utilisant une technologie de pointe : la 50G-PON (Passive Optical Network), soit l’une des infrastructures internet les plus rapides jamais mises en service.