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société civile
Après trois éditions dans des États autoritaires, le prochain sommet mondial (COP30) sur le climat aura lieu au Brésil du 10 au 21 novembre prochains. Les organisations de la société civile comptent profiter de leur liberté retrouvée, mais les États, eux, viennent avec leur plus mauvaise volonté.
Depuis des années, Jean-Marc Jancovici se consacre à l'étude du changement climatique et aux manières de décarboner l'économie. Son sens de la formule lui vaut d'être l'une des figures les plus populaires dans son domaine. De passage en Suisse, il explique vouloir s'adresser avant tout à la société civile.
A la veille du sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine, un collectif regroupant des organisations des droits humains et de la société civile appelle, dans une tribune au « Monde », les dirigeants mondiaux à refuser tout accord qui serait conclu sans le consentement de l’Ukraine ni celui de l’Europe.
La censure par le Conseil constitutionnel de la réintroduction de l’acétamipride a été accueillie avec un soupir dans les rangs des citoyens mobilisés. Mais le combat contre les autres dispositions du texte continue.
Une centaine d’organisations nationales et locales de la société civile appellent à une mobilisation le 29 juin pour dire non à la proposition de loi Duplomb qui annihile toutes avancées environnementales.
« L’ancien président Barack Obama a appelé les universités et les cabinets d’avocats à s’opposer à l’intimidation de l’administration du président Donald Trump et a exhorté les Américains à se préparer à « éventuellement se sacrifier » pour soutenir les valeurs démocratiques. Dans un discours prononcé jeudi soir au Hamilton College à Clinton, dans l’État de New York, M. Obama a également accusé le gouvernement Trump d’œuvrer à la destruction de l’ordre international créé après la Seconde Guerre mondiale.
Porte-parole du mouvement de désobéissance civile Riposte Alimentaire, Bertrand Caltagirone insiste sur la nécessité d’associer la population aux politiques écologiques à travers le projet d’une Sécurité sociale de l’alimentation.
Ma compagne et moi avons une petite boutique bio depuis 2002. Nous y proposons des vêtements, de l’alimentation et de l’artisanat local ou du sud. Le 25 janvier dernier, nous avons participé à une rencontre entre des acteurs du monde paysan et d’autres acteurs de la société civile. Nous avons envoyé aux personnes de nos réseaux, aux client·es de notre magasin, un résumé de cette rencontre. Nous avons contacté quelques magasins bio que nous connaissons pour leur demander de relayer l’information auprès de leur client·es également. Trois d’entre eux l’ont déjà fait. Le résumé que nous avons envoyé se trouve ci-dessous.
A l’initiative de l’association Intérêt à agir, un collectif de seize fondations, fonds de dotation et associations souligne, dans une tribune au « Monde », l’importance grandissante du contentieux stratégique dans la lutte contre le réchauffement climatique, et préconise de donner davantage de pouvoir aux associations et aux ONG désireuses d’utiliser l’arme du droit.
Solidarité avec l'Ukraine en Belgique - le site du Comité belge du Réseau européen. Des actions de solidarité entre les sociétés civiles belge et ukrainienne.
Le Conseil national de la transition écologique appelle à « affronter la réalité [du] changement climatique, de manière lucide », le pays étant plus touché que la moyenne mondiale.
Malgré la répression du Kremlin, encore accentuée depuis le début de la guerre en Ukraine, la société civile russe continue d’exister, en exil ou dans des réseaux informels, détaille la chercheuse Aude Merlin, spécialiste de l’espace post-soviétique.
La COP15 contre la désertification a débuté, lundi, à Abidjan, en Côte d'Ivoire, en présence de plusieurs chefs d'État africains, de représentants de la société civile et du secteur privé réunis pour parler désertification et sécheresse dans le monde. Des phénomènes qui touchent directement l'Irak, où des tempêtes de sable et de poussière ont récemment causé l'hospitalisation de milliers personnes. Reportage de Lucile Wassermann, correspondante de France 24 à Bagdad.
Activiste pour le climat et cofondatrice de Rise Up Movement et Fridays For Future Uganda, Vanessa Nakate fait partie d'un groupe de représentantes de la société civile ougandaise actuellement en Europe. Elles témoignent des impacts négatifs de projets pétroliers de Total en Ouganda et Tanzanie, en matière de droits humains et d'environnement. Ils dénoncent également les menaces et harcèlement auxquels certains d'entre eux font face en tant que défenseurs des droits et de l’environnement.
Le monde entier a les yeux rivés sur Glasgow, belle ville écossaise au demeurant, où se joue notre avenir en tant qu’humanité. Jamais on n’aura vu un tel décalage entre la société civile – en ce compris de nombreuses entreprises – et le monde politique et militaire. Comme si nous habitions deux planètes différentes.
Plus de 260 organisations de la société civile s’y opposent, les Nations Unies ont adressé plusieurs lettres d’interpellation à la major pétrolière, à tel point que les plus grands investisseurs du monde se sont retirés du projet ! Pourtant, Total Energies signe et persiste pour accomplir son projet pétrolier pharaonique en Ouganda, et ceci avec la complicité active de l’Etat Français.
Une trentaine d’économistes, parlementaires, syndicalistes et représentants de la société civile ont lancé un appel à réformer les règles budgétaires européennes. Ils souhaitent remplacer le “pacte de stabilité et de croissance” par un “pacte de résilience et de solidarité” plus adapté aux défis écologiques.
L’une des motions les plus attendues était la protection de 80 % du territoire amazonien d’ici à 2025, contre 45 % actuellement, selon le consortium d’organisations de la société civile Raisg. Elle a été adoptée
Le Traité sur la Charte de l’énergie permet aux entreprises d’attaquer des États qui prennent des décisions en faveur du climat. La France réfléchit à la manière de le réformer. Des organisations de la société civile appellent à en sortir.
Elisa Loncón et les nouveaux constituants issus de la société civile ont un maximum de 12 mois pour écrire une nouvelle Constitution avant de la faire valider par référendum.
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La justice climatique se développe de manière exponentielle depuis 2015, l’année 2021 illustrant en la matière une dynamique fructueuse1, qui fait évoluer le cadre juridique de manière convergente dans plusieurs contextes nationaux, et qui contribue à la mise en cohérence du cadre d'action concret des acteurs publics et privés avec les engagements pris à long terme. Les tribunaux sont de plus en plus exposés aux questions liées à l’urgence climatique, utilisée comme élément central dans des litiges de plus en plus nombreux venant consacrer ce qu’on appelle désormais les « litiges stratégiques »..
Le 28 mai prochain, le groupe pétrolier Total présentera pour la première fois une résolution sur le climat à ses actionnaires. L’idée : s’engager dans la transition énergétique et se renommer TotalEnergies. Un nouveau cap critiqué par la société civile et des investisseurs, qui y voient une fausse mue énergétique.
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Sommes-nous sous la menace d’un « effondrement » imminent, sous l’effet du réchauffement climatique et de la surexploitation des ressources ? Pour l’historien Christophe Bonneuil, la question n’est déjà plus là : des bouleversements sociaux, économiques et géopolitiques majeurs sont enclenchés et ne vont faire que s’accélérer. Il faut plutôt déplacer la question et produire une « pensée politique » de ce qui est en train de se passer : qui en seront les gagnants et les perdants ? Comment peser sur la nature de ces changements ?
Sommes-nous sous la menace d’un « effondrement » imminent, sous l’effet du réchauffement climatique et de la surexploitation des ressources ? Pour l’historien Christophe Bonneuil, la question n’est déjà plus là : des bouleversements sociaux, économiques et géopolitiques majeurs sont enclenchés et ne vont faire que s’accélérer. Il faut plutôt déplacer la question et produire une « pensée politique » de ce qui est en train de se passer : qui en seront les gagnants et les perdants ? Comment peser sur la nature de ces changements ? Migrations de masse, émergence d’un « capitalisme écofasciste », risque de conflits pour les ressources : malgré un constat brutal sur le monde qui se dessine, l’historien appelle à éviter le piège d’un « romantisme » de l’effondrement. « Une autre fin du monde est possible », affirme-t-il. Il revient aux sociétés civiles d’écrire le scénario final. Entretien.
Depuis 2015, des actions en justice climatique ont fleuri un peu partout dans le monde Mais ces dernières années, la nouveauté consiste à réclamer à l’État de prendre ses responsabilités climatiques. Au nom de ses devoirs de protection des populations, celui-ci doit répondre pour son inaction ou ses actions inefficaces dans le domaine. Si elles sont nouvelles, ces réclamations ne supposent pourtant pas d’inventer de nouveaux droits
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