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Hamas
Pour nuancer (voire dépasser) l’idée selon laquelle les spécialistes de droit international seraient divisé.es sur la question de Gaza, les signataires de cette carte blanche font le point sur les différents aspects du conflit : illicéité de l’occupation, caractère criminel des attaques du 7 octobre, absence de « légitime défense » au sens de la Charte des Nations unies pour un Etat occupant, caractère disproportionné et criminel de la riposte israélienne au regard du droit international humanitaire et des droits humains, établissement d’un génocide, devoirs des Etats tiers…
Les prêtres et religieuses catholiques et orthodoxes entendent rester dans la ville de Gaza, où l'armée israélienne a resserré ces derniers jours son étau en vue d'une offensive annoncée, ont annoncé mardi ces deux communautés religieuses.
Le Danemark n'exclut pas une reconnaissance d'un État palestinien, à condition que celui-ci soit démocratique, a déclaré mardi la Première ministre danoise.
Le chef de l'opposition israélienne, Yair Lapid, a exhorté mardi le gouvernement religieux de droite à conclure un accord avec le mouvement islamiste palestinien Hamas afin de mettre fin à la guerre et d'obtenir la libération des otages.
La Première Dame de Turquie, Emine Erdogan, appelle samedi Melania Trump à écrire au Premier ministre israélien en faveur des enfants palestiniens de Gaza, comme elle l'a fait pour les petits Ukrainiens.
Le ministre israélien de la Défense a lancé un nouvel avertissement ce vendredi 22 août, alors que son armée s’apprête à prendre le contrôle de la ville, la plus grande de l’enclave.
Même si Israël reste suspendu à la décision de Benyamin Nétanyahou sur l’accord temporaire de cessez-le-feu, les manœuvres autour de la plus grande ville de l’enclave palestinienne, présentée comme un « bastion » du Hamas, ont déjà commencé. D’ici à quelques semaines, plus de 120 000 réservistes devraient être sur le terrain.
Si les Gazaouis sont les premières victimes des violations des droits humains dans l’enclave, les retombées économiques pourraient être catastrophiques aussi pour Israël, prévient, dans une tribune au « Monde », un collectif de professeurs d’économie européens et américains, dont dix Prix Nobel.
Les troupes israéliennes poursuit les bombardements jeudi à Gaza-ville avec l'objectif de prendre, selon l'armée, ce dernier grand bastion du Hamas dans le territoire palestinien.
Le colonel à la retraite et expert de la défense éclaire sur la nouvelle offensive de Netanyahu.
Un projet clé de construction en Cisjordanie occupée – le quartier E1 – a été approuvé, mercredi, par Israël. "L'administration civile a approuvé la planification pour la construction de ce quartier" qui coupera le territoire palestinien en deux, empêchant la création d'un éventuel État palestinien", s'est félicité le maire de la colonie israélienne voisine.
La présidence française dénonce mardi les propos du Premier ministre israélien, considérant cette accusation comme "erronée, abjecte". Benjamin Netanyahu a accusé Emmanuel Macron "d'alimenter le feu antisémite" en France en appelant à la reconnaissance internationale de l'État de Palestine.
La délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas a accepté, lundi, la nouvelle proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza présentée par l'Égypte et le Qatar. Elle prévoit une trêve initiale de 60 jours et la libération en deux étapes des otages.
Des manifestations ont débuté dimanche en Israël pour réclamer la fin de la guerre à Gaza et la libération des otages. Cette mobilisation intervient alors que le gouvernement a annoncé vouloir prendre le contrôle de la ville de Gaza, la plus grande ville de l'enclave où résident environ un million de Palestiniens.
Guerre Israël-Hamas : La France "appelle Israël à abandonner (son) projet" de colonie en Cisjordanie
(16/08) - Afp,Le ministère des Affaires étrangères français condamne le projet de colonie israélienne en Cisjordanie.
You are some of the leading reporters and editors who have covered the Netanyahu genocidal mass murder and mayhem in Gaza. This important plea asserts that you all know better than to rely only on the extensive understatement of the deaths and serious injuries put forward by Hamas. You need to DO BETTER for your readers by digging deeper into the much higher estimates of deaths by experts in disaster casualties. Eye-witness accounts which do not support the Hamas undercount.
Dans une lettre, une centaine d'ONG dénoncent, jeudi, une nouvelle législation israélienne les empêchant d'intervenir à Gaza. Soixante demandes d'aide ont été rejetées pour le seul mois de juillet. C'est le cas si les autorités israéliennes estiment qu'une ONG nie le caractère démocratique d'Israël ou "promeut des campagnes de délégitimation" contre le pays.
Comme la France, plusieurs pays s’apprêtent à reconnaître la Palestine à la fin de l’été. «Libération» fait le point sur les Etats qui ont déjà annoncé leur intention de le faire, et ceux qui l’ont déjà fait par le passé.
Le secrétaire général Antonio Guterres affirme que les forces israéliennes pourraient bientôt figurer sur la liste des abuseurs sexuels.
Près de 500 retraités et réservistes de l’armée de l’air se sont rassemblés devant le quartier général de l’armée, mardi, pour demander l’arrêt des combats et permettre le retour des otages encore détenus par le Hamas.
Dans une tribune intitulée « Juifs, révoltez-vous ! », publiée vendredi sur le site israélien Haaretz, l’ancien président de la Knesset, Avraham Burg exhorte les Juifs du monde entier à saisir la Cour internationale de justice contre Israël pour les crimes de guerre commis à Gaza. « Ce n’est pas un rejet de notre peuple ; c’est une défense de son âme », affirme l’ancien haut responsable du Parti travailliste. Focus.
Emmanuel Macron a réitéré lundi sa proposition d'une "mission de stabilisation sous mandat de l'ONU" pour sécuriser la Bande de Gaza, dénonçant "un désastre annoncé" et "une fuite en avant dans la guerre permanente" après l'annonce d'un plan israélien de conquête de la ville de Gaza.
Au lendemain de l’annonce du plan israélien pour la conquête de la ville de Gaza, environ 100 000 personnes sont descendues dans la rue pour exiger la fin du conflit et la libération des otages.
Dans le processus de reconnaissance de l'État palestinien, c'est à nouveau la logique du "deux poids, deux mesures" qui prévaut.
La décision du premier ministre israélien de passer outre l’opposition de la haute hiérarchie militaire, qui l’a mis en garde contre les lourdes conséquences d’une occupation, marque une grave rupture.
La Belgique participera à la "Global Sumud Flotilla", une initiative internationale visant à acheminer de l'aide humanitaire vers Gaza, a annoncé samedi le mouvement Global Movement to Gaza.
« Nous devons faire tout ce qui est humainement possible » pour que cesse « la barbarie » en cours, implore l’auteur dans une tribune au « Monde ». Il en appelle à l’union de tous, « politiques et artistes, progressistes et conservateurs, religieux et laïcs, Israéliens, Européens et Américains ».
Le Conseil de sécurité de l'ONU tiendra samedi à 19h00 GMT (21h00 HB) une réunion d'urgence sur Gaza, après l'annonce du plan israélien pour le contrôle de la ville, ont indiqué vendredi à l'AFP plusieurs sources diplomatiques.
L'armée israélienne devra "exécuter" les décisions politiques sur la guerre dans la bande de Gaza, a affirmé mercredi le ministre de la Défense, au moment où des dissensions s'expriment dans ses rangs face à la perspective d'une occupation totale du territoire palestinien.
Le militant de la gauche pacifiste israélienne assure par ailleurs rester « désespérément fidèle » à l’idée d’une solution à deux Etats, la Palestine et Israël, dans une interview pour « La Repubblica ».
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
De nouveaux raids aériens et bombardements israéliens ont fait au moins 32 morts selon la Défense civile à Gaza. L'agence palestinienne Wafa évoque pour sa part 35 morts et le média Al Jazeera établit un bilan de 57 décès. La plupart seraient majoritairement des personnes frappées alors qu'elles attendaient de l'aide alimentaire dans une enclave menacée par la famine.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
C'est ce qu'a annoncé mardi le Premier ministre britannique.
Le président américain Donald Trump a annoncé lundi que les États-Unis allaient mettre en place des "centres alimentaires" à Gaza, ajoutant qu'il y avait des signes d'une "réelle famine" dans le territoire palestinien.
Le Hamas "doit abandonner le contrôle" de la bande de Gaza et rendre les armes, a plaidé lundi le Premier ministre palestinien Mohammad Mustafa à la tribune de l'Assemblée générale de l'ONU.
Selon la défense civile palestinienne, une frappe de drone sur un camp de déplacés près de Khan Younès, dans le sud de l’enclave, a notamment fait neuf morts mardi. Les négociations indirectes pour un cessez-le-feu ont repris mardi matin à Doha.
Yasser Abou Shebab, chef d’une milice accusée de piller des camions d’aide humanitaire dans le territoire palestinien, a affirmé dimanche dans un entretien diffusé par une radio israélienne pouvoir se déplacer « librement » dans les zones sous contrôle de l’armée israélienne, avec laquelle il dit communiquer. Le chef d’un groupe armé palestinien opposé au Hamas a reconnu, dimanche 6 juillet, dans un entretien diffusé par une radio israélienne, qu’il coopère avec l’armée israélienne pour mener des actions dans le sud de la bande de Gaza.
L’organisation a commencé à fournir de l’aide humanitaire le 26 mai, après un blocus de plus de deux mois imposé par Israël. Mais les distributions ont rapidement donné lieu à des scènes de chaos causées par des tirs meurtriers de la part de l’armée israélienne.
Une enquête du quotidien Haaretz confirme les faits rapportés par les ONG encore présentes dans l'enclave. Des civils palestiniens perdent quotidiennement la vie en tentant de se rendre au centre de distribution d'aide alimentaire mis en place par les autorités israéliennes avec le soutien des États-Unis.
Un médecin américain, entré récemment dans le territoire palestinien, s’est vu confisquer par la sécurité israélienne les boites de lait en poudre qu’il avait mises dans ses bagages. Ce produit manque terriblement à Gaza où une cinquantaine d’enfants sont morts de faim depuis le mois de mars.
Le ministère de la santé de l’enclave palestinienne a publié un document identifiant, avec nom, âge et numéro de carte d’identité, les 55 202 Palestiniens tués par l’armée israélienne depuis le 7 octobre 2023. Un bilan non exhaustif, puisqu’il ne comprend pas les disparus, estimés à environ 12 000.
Dans un article publié par le quotidien «Haaretz», ce vendredi 27 juin, des militaires israéliens racontent avoir reçu l’ordre de tirer sur les foules de Gazaouis rassemblés pour recevoir de l’aide alimentaire, alors même qu’ils ne représentaient aucun danger.
Alors que les pourparlers semblent s’améliorer et que la pression monte au sein même d’Israël, le bilan des bombardements à Gaza qui dépasse désormais les 56 000 morts nous rappelle une nouvelle fois qu’il n’y a plus un instant à perdre.
Reprenant les réflexions de Victor Klemperer sur la façon dont le nazisme s’est d’abord emparé du langage, l’essayiste Marc Weitzmann s’interroge sur les mots employés pour décrire le «monstrueux cauchemar» des Gazaouis.
Chaque jour, plusieurs dizaines de Palestiniens sont tués aux abords des quatre sites de distribution d’aide mis en place par une organisation américaine sous supervision de l’armée israélienne.
Enregistrée à Genève mais pilotée par d’anciens militaires et paramilitaires américains, la Gaza Humanitarian Foundation (GHF) fait l’objet d’une enquête en Suisse, en raison de ses liens avec des sociétés de sécurité privées et d’irrégularités juridiques.
Le président américain mobilise des fondamentalistes chrétiens, idéologiquement proches des suprémacistes israéliens, en soutien à la campagne multiforme de destruction de Gaza, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu dans sa chronique.
Les distributions, confiées depuis la fin mai à la très controversée Gaza Humanitarian Foundation, ont basculé dans le chaos. Enquête sur une catastrophe logistique et humanitaire.
L'Assemblée générale de l'ONU a appelé jeudi à un cessez-le-feu à Gaza et à la libération des otages israéliens retenus par le Hamas. Le texte adopté met aussi en cause Israël, réclamant à tous les États de "prendre individuellement et collectivement toutes les mesures nécessaires" pour "garantir qu'Israël s'acquitte de ses obligations" en matière de droit international.
Dans un entretien accordé à France 24, l'ancien Premier ministre israélien, Ehud Olmert, et l'ancien ministre palestinien des Affaires étrangères, Nasser Al-Qudwa, défendent leur vision d'une solution à deux États au Proche-Orient, malgré la guerre dévastatrice à Gaza et les violences en Cisjordanie. Ehud Olmert accuse Israël de mener "une guerre qui n'a plus de légitimité" depuis la reprise des opérations le 18 mars dernier, tandis que Nasser Al-Qudwa – neveu du défunt dirigeant palestinien Yasser Arafat – appelle à une pression internationale accrue.
Un rapport publié vendredi 6 juin 2025 par l’International Crisis Group (ICG), une organisation indépendante qui œuvre pour la prévention des guerres, dénonce "l’expérimentation de la famine à Gaza", comme l’indique son titre : "Gaza : The Starvation Experiment".
Face à la politique criminelle menée à Gaza par le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, il est impossible de se taire et de ne pas soulever la question de la proportionnalité de la réponse au pogrom commis par le Hamas, le 7 octobre 2023, explique la théologienne Anne-Marie Pelletier dans une tribune au « Monde ».
Le président américain Donald Trump devrait dire "Assez, c’est assez", estime l’ancien Premier ministre israélien Ehud Olmert, dénonçant la poursuite "criminelle" de la guerre à Gaza pour "des intérêts personnels" et plaidant pour une solution à deux Etats, unique garantie de paix durable selon lui.
A Rafah, dans le sud de l’enclave, le Hamas fait face à la montée d’un groupe rival, commandé par un chef de gang et soutenu par Israël. Le mouvement islamiste a répondu par une campagne de terreur visant cette opposition.
Ancien ministre de la défense et opposant à Benyamin Nétanyahou, Avigdor Lieberman a affirmé, jeudi, que le gouvernement « transférait des armes à des groupes de voyous et de criminels ».
Les autorités israéliennes reconnaissent soutenir et armer un clan palestinien opposé au Hamas dans la bande de Gaza, affirmant que cela sert leurs "buts de guerre" et "sauve des vies de soldats" engagés dans l'offensive contre le mouvement islamiste dans le territoire palestinien.
L’ancien premier ministre israélien estime, dans une tribune au « Monde », que le gouvernement de Benyamin Nétanyahou mène une guerre à des fins personnelles. Les crimes commis et les souffrances infligées aux Palestiniens sont à ce point contraires aux intérêts de l’Etat hébreu que ses dirigeants sont des « ennemis intérieurs », juge-t-il.
Tuvalu, Fidji, Maldives, Bahamas… ces pays sont plus que jamais menacés par la hausse du niveau des mers. À quelques jours de la conférence mondiale sur l’océan (Unoc), ils appellent les dirigeants du monde entier à mettre les questions liées à l’océan au centre de leurs politiques climatiques.
Un navire de la Coalition de la flottille pour la liberté s'est mis en route dimanche en fin de journée à destination de Gaza pour apporter de l'aide humanitaire, a confirmé un porte-parole de la Coalition de la flottille pour la liberté à l'agence de presse dpa.
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