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Météorologique
L’année 2024 vient de marquer un tournant climatique que les scientifiques redoutaient depuis des décennies. Pour la première fois depuis le début des enregistrements, le dioxyde de carbone a atteint un niveau record qui ne laisse aucune place au doute : notre planète s’engage vers un réchauffement dont les effets se feront sentir pendant des siècles. Ce n’est pas une hypothèse, c’est un constat établi par l’Organisation météorologique mondiale.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO₂) dans l'atmosphère ont augmenté d’un montant record en 2024, atteignant de nouveaux sommets et provoquant un réchauffement à long terme supplémentaire et des conditions météorologiques extrêmes, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Au-dessus du pôle Sud, un phénomène météorologique exceptionnel est en train de se produire. Les données satellitaires de la NASA révèlent que le vortex polaire antarctique, cette gigantesque masse d’air glacé qui tourne au-dessus du continent blanc, montre des signes alarmants de déstabilisation. Ce qui inquiète particulièrement les météorologues, c’est que ce bouleversement intervient beaucoup plus tôt que prévu et avec une intensité inhabituelle. Les conséquences pourraient se faire sentir bien au-delà des terres australes, jusqu’à modifier les conditions météorologiques de régions entières à travers le globe.
Onze mois après des inondations meurtrières, Valence et sa région sont sous haute surveillance et se préparent à affronter un nouvel épisode de pluies extrêmes.
Alors que plus d’un million de personnes fuient les côtes chinoises, le super typhon Ragasa défie les lois de la physique atmosphérique. Avec des vents atteignant 285 km/h, cette tempête monstre approche dangereusement de la limite théorique maximale que notre planète peut générer. Les scientifiques observent avec fascination et inquiétude un phénomène qui repousse les frontières de ce que nous pensions possible en matière de puissance météorologique, tout en révélant comment le changement climatique réécrit les règles du jeu.
Pour la troisième année de suite, les scientifiques ont enregistré en 2024 une fonte généralisée dans toutes les régions glaciaires. Ces six dernières années, seul un tiers des bassins hydrographiques ont connu des conditions de débit normales.
Alors que l’été tire à sa fin, les climatologues scrutent attentivement les eaux du Pacifique tropical à la recherche de signaux précurseurs qui pourraient bouleverser les conditions météorologiques mondiales. Leur verdict tombe : La Niña, ce phénomène climatique capricieux qui influence le temps sur l’ensemble de la planète, menace de faire son retour cet automne. Bien que les experts prédisent un épisode probablement faible et éphémère, les conséquences sur votre quotidien hivernal pourraient néanmoins être significatives. Décryptage d’un phénomène naturel qui continue de défier les prévisions les plus sophistiquées.
Le changement climatique attise les feux de forêt, qui polluent l’air sur des milliers de kilomètres
(05/09) - Libération,Afp,Dans son bulletin annuel publié ce vendredi 5 septembre, l’Organisation météorologique mondiale rappelle l’importance de lutter de front contre les incendies pour préserver la qualité de l’air.
Pour l’agence onusienne, les conditions sont réunies pour l’apparition du phénomène climatique de refroidissement du Pacifique.
La température moyenne relevée entre le 1ᵉʳ juin et le 31 août a été de 16,10 °C, avec quatre vagues de chaleur et un pic de 35,8 °C le 1ᵉʳ juillet dans le Kent (sud-est de l’Angleterre), a annoncé Met Office, lundi.
Après avoir annoncé la suspension du partage de données satellitaires indispensables au suivi des cyclones dans l’Atlantique Nord, les autorités américaines ont renoncé in extremis à cette décision qui inquiétait de nombreux scientifiques.
Les banques centrales ont modélisé l’impact économique d’un scénario météorologique catastrophe. En Europe, l’effet serait similaire à celui de la grande crise financière de 2008.
L'agence météorologique nationale et les autorités du comté de Kerr se reprochent mutuellement le défaut d'information qui a coûté la vie à plus de cent personnes.
Le centre du Texas a été frappé par une catastrophe naturelle d’une ampleur dramatique. Des crues soudaines, d’une intensité rarement observée, ont submergé la région de la rivière Guadalupe, emportant tout sur leur passage, faisant plus de 80 victimes et ravageant notamment des camps d’été, dont le tristement célèbre Camp Mystic. Ce désastre, qui a profondément choqué la population locale, soulève aujourd’hui une question majeure : les alertes météorologiques ont-elles été à la hauteur de l’urgence ?
Le bilan provisoire des inondations qui se sont abattues sur le Texas ce week-end fait état de plus de 80 morts et de nombreux disparus. Si les alertes ont bien été émises, la coordination sur le terrain pour mettre à l'abri les citoyens semble avoir été défaillante. En cause, les coupes budgétaires de l'administration Trump au sein du Service météorologique national.
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