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juin 2025

L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS.
L'Iran dispose des capacités techniques pour recommencer à enrichir de l'uranium d'ici "quelques mois", a indiqué le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi dans une interview à la chaîne américaine CBS. Près d'une semaine après les bombardements américains sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Ispahan, tous s'accordent, même Téhéran, à dire que ces centrales ont été considérablement endommagées, mais des questions demeurent sur l'efficacité réelle de ces frappes. Le président américain Donald Trump a par exemple suggéré que le programme nucléaire iranien avait été retardé de "plusieurs décennies".
Selon le «Financial Times», qui cite des officiels européens briefés, les frappes américaines sur des sites nucléaires iraniens n’auraient pas affecté les stocks d’uranium hautement enrichis, probablement déplacés au préalable.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
Rappel des principales étapes, alors que les Etats-Unis ont bombardé dimanche trois importants sites nucléaires iraniens, en appui de l’offensive lancée le 13 juin par Israël.
Israël estime avoir "déjà retardé d'au moins deux ou trois ans la possibilité" pour l'Iran de disposer de la bombe atomique, après une semaine de frappes sur des centaines de sites militaires et nucléaires, affirme le ministre des Affaires étrangères israélien dans un entretien publié samedi.
L’armée de l’Etat hébreu a touché samedi 14 juin deux sites pétroliers près de Téhéran ainsi qu’un complexe de production gazière au sud. Les cours de l’or noir avaient déjà bondi de plus de 10 % vendredi.
Au-delà de la seule opération militaire, l’attaque d’Israël sur l’Iran s’est appuyée, affirment des analystes, sur un méticuleux travail du Mossad, son service de renseignement extérieur, capable depuis des années d’infiltrer le pouvoir de la République islamique.
Les frappes israéliennes et iraniennes se poursuivent sans relâche ce dimanche, faisant au moins treize morts en Israël et près de 80 victimes en Iran, où le ministère de la Défense a été ciblé.
Le service de renseignement extérieur israélien a réussi à infiltrer le territoire et le pouvoir de la République islamique, pour détruire des défenses aériennes et réduire la capacité de riposte iranienne.
Après le lancement de l’opération «Rising Lion» par Israël, la veille, l’Iran a riposté et engagé un bras de fer à coups de bombardements inédits qui se sont poursuivis jusque tard dans la nuit, dans les deux pays.
Israël a mené vendredi des frappes d'une ampleur sans précédent contre des sites militaires et nucléaires en Iran, et tué de hauts responsables, Téhéran lançant en retour des vagues de missiles balistiques. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération, "une des plus grandes opérations militaires de l'histoire", durerait "de nombreux jours". Les frappes, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz (centre). L'Iran a tiré en retour vendredi et samedi matin des dizaines de missiles balistiques contre Israël dont certains ont atteint le territoire israélien.
L’Iran a lancé dans la nuit de vendredi à samedi sa riposte contre Israël, après les bombardements sans précédent de l’État hébreu sur ses installations nucléaires. Malgré les appels de la communauté internationale à la retenue, Israël a promis de poursuivre ses frappes.
Téhéran a tiré plusieurs salves de missiles sur le territoire de l’Etat hébreu vendredi soir et dans la nuit de samedi, en réponse à l’opération israélienne «Rising Lion». Certains missiles se sont abattus dans la région de Tel-Aviv.
Israël et l'Iran poursuivent samedi leurs échanges de frappes meurtrières, déclenchés par une attaque israélienne massive contre des sites militaires et nucléaires iraniens à laquelle Téhéran riposte avec ses missiles balistiques. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a souligné que l'opération durerait "de nombreux jours". Les premières frappes israéliennes de vendredi, menées avant l'aube par 200 avions contre une centaine de cibles, ont notamment visé l'usine d'enrichissement d'uranium de Natanz, dans le centre de l'Iran.


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