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atmosphère
Une étude révèle que les microplastiques s’accumulant dans l’atmosphère pourraient avoir un impact sur les régimes de précipitation et le climat global.
L’agence météorologique et climatique de l’Organisation des Nations unies a également constaté que le CO₂ s’accumulait plus rapidement que jamais dans l’atmosphère, avec une hausse de plus de 10 % en deux décennies.
Dans un rapport publié ce lundi, l’ONU alerte sur de nouvelle augmentations qui entraîneront immanquablement des hausses de température ces prochaines années. Nous éloignant encore de l’objectif de limiter le réchauffement à +2°C.
L'Organisation mondiale de la météorologie (OMM) publie ce lundi 28 octobre son relevé annuel des différents gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère. Si le CO2 pèse pour 65 % dans le réchauffement climatique, le méthane (CH4) et le protoxyde d'azote (N2O) sont également impliqués dans le réchauffement planétaire. Un autre rapport de l'ONU-Climat demande aux pays d'augmenter l'ambition de leurs plans climat pour s'aligner sur la trajectoire climatique de l'Accord de Paris.
Malgré les engagements internationaux, les émissions de méthane n’ont jamais été aussi hautes. C’est le résultat d’une étude publiée par 69 scientifiques du consortium Global Carbon Project
Les concentrations de méthane dans l'atmosphère ne cessent d'augmenter, à un rythme qui s'est même accéléré ces dernières années, menaçant la trajectoire climatique de la planète malgré la promesse de nombreux pays de réduire drastiquement les émissions de ce puissant gaz à effet de serre, alertent des chercheurs mardi.
Les avions commerciaux récents sont conçus pour voler à des altitudes supérieures à douze kilomètres, où l’air se fait plus rare. Cela permet de réduire la traînée aérodynamique et, par conséquent, la consommation de carburant, diminuant ainsi les émissions de carbone par passager-kilomètre. Cependant, selon une étude menée par des chercheurs de l’Imperial College de Londres, cette stratégie d’efficacité énergétique a un effet secondaire inattendu : la formation accrue de traînées de condensation persistantes qui piègent la chaleur dans l’atmosphère.
Le ralentissement de la circulation océanique est une des conséquences assez méconnues du dérèglement climatique. Or, si certains scientifiques pensent que cela pourrait aboutir à un stockage de carbone plus important dans les fonds marins, une étude récente estime quant à elle que ce CO2 pourrait malheureusement davantage s’accumuler au niveau de l’atmosphère.
Certains planctons végétaux adoptent un comportement prédateur et consomment des bactéries. Cela peut contribuer au changement climatique, car ce plancton arrête la photosynthèse.
Pour limiter le réchauffement à 1,5°C, il faudra retirer de l’atmosphère d’ici à 2050 quatre fois plus de CO2 qu’aujourd’hui, grâce aux forêts, aux sols et à l’océan mais aussi à des technologies de pointe encore balbutiantes.