– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
négociation
Réunis depuis cinq jours à Genève pour tenter de trouver un accord pour prévenir les pandémies, après les erreurs commises pendant l'épidémie de Covid-19, les diplomates des pays membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) font du surplace.
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ne voit aucun signe indiquant que le président russe Vladimir Poutine souhaite mettre fin à la guerre en Ukraine.
Réunis à Busan, en Corée du Sud, les représentants de plus de 170 pays ont échoué ce dimanche 1er décembre à parvenir à un accord. Le plastique est pourtant un fléau aux conséquences funestes pour la santé, l’environnement et le climat.
Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique, ont échoué à aboutir à un accord et continueront à une date ultérieure, a annoncé dimanche le diplomate qui préside le processus.
Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, Volodymyr Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes" et d'un "pas en avant avec l'Otan".
Dernier traité pour Busan. Depuis lundi 25 novembre et jusqu’au 1er décembre, 175 pays se réunissent à Busan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial qui doit limiter la pollution plastique. Les pays pétroliers tentent de freiner les négociations, tandis qu’une coalition d’États de «haute ambition» souhaite limiter la production de matière vierge. Un accord est-il possible ? Vert fait le point.
Au moins 220 représentants de l’industrie fossile et chimique participent aux négociations sur un traité mondial à Pusan. Ils s’opposent à toute réduction de la production de plastique.
En Corée du Sud, 178 pays entament lundi le dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique, à Busan, en Corée du Sud. Les participants ont "63 heures de travail" pour s'entendre sur des telles que le plafonnement de la production de plastique, l'interdiction éventuelle de substances chimiques toxiques ou encore le financement des mesures qui seront prévues par le traité.
Le cinquième et dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique s’est ouvert lundi à Busan, en Corée du Sud, au lendemain de la fin chaotique à Bakou de la COP29 sur le climat dont les résultats ont déçu les pays en développement. "Cette conférence est bien plus que la rédaction d’un traité international. C’est l’humanité qui se mobilise face à une menace existentielle. Les décisions que nous prendrons dans les sept prochains jours façonneront l’histoire", a déclaré lundi le diplomate équatorien qui préside les débats, Luis Vayas Valdivieso.
Les pays les plus pauvres et vulnérables au changement climatique ont laissé éclater leur colère samedi contre la présidence azerbaïdjanaise de la conférence de l'ONU à Bakou, estimant n'avoir pas été entendus sur leurs besoins financiers et promettant de continuer à se battre en prolongation.Après plus de 24 heures de retard, la séance de clôture de la COP29 a enfin débuté samedi soir, par un appel du président de la conférence, Moukhtar Babaïev, à ce que les pays surmontent leurs "divisions".Cette séance pourrait durer une partie de la nuit et inclure des suspensions.