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Les températures dans l’Hexagone devraient atteindre des niveaux historiques par endroits ce vendredi 30 mai. Plusieurs départements vont être placés en vigilance jaune par Météo France.
Selon une étude publiée ce vendredi 30 mai, 67 épisodes de chaleur extrême ont eu lieu du 1er mai 2024 au 1er mai 2025. Tous marqués de l’empreinte du changement climatique.
Si la température mondiale augmente de 2,7 °C, ce qui correspond aux prévisions se basant sur les politiques climatiques en vigueur, 76% de la masse glaciaire actuelle disparaîtra, révèle une nouvelle étude internationale à laquelle ont collaboré des chercheurs de la VUB. Si le réchauffement est limité à 1,5 °C, ce qui correspond à l'objectif des Accords de Paris, jusqu'à 54 % des glaciers pourraient être préservés.
En 2024, l'Europe a été frappée de plein fouet et ce n'est que le début… D'après le dernier rapport du service Copernicus (qui est un programme européen d’observation de la Terre) et de l'agence météorologique mondiale et bien.. l'Europe est le continent qui s'emballe le plus vite sur la planète. Et vous savez quoi ? Ce n'est pas un accident, c'est la triste réalité d'un système qui se réchauffe à une vitesse effrayante.
La planète se rapproche inexorablement d’un réchauffement de 1,5 °C, avertit l’Organisation météorologique mondiale ce mercredi 28 mai, augmentant le risque de phénomènes météorologiques extrêmes.
Dans les cinq prochaines années, les températures mondiales devraient rester à des niveaux records ou très élevés, avertit l’Organisation météorologique mondiale mercredi, estimant ainsi qu'il y a un fort risque que la température mondiale moyenne sur la période 2025-2029 dépasse +1,5 °C de réchauffement.
Après les deux années les plus chaudes jamais mesurées, la décennie actuelle s’annonce comme la plus chaude, selon le Met Office et l’OMM.
Après deux étés plutôt maussades, juin, juillet et août devraient cette année être plus ensoleillés, selon les prévisions de Météo-France publiées ce mardi 27 mai. «Des conditions plus chaudes que la normale sont les plus probables, associées à la tendance du changement climatique sur l’Europe», anticipent les climatologues de l’institution, qui prennent toutefois beaucoup de pincettes dans leurs «prévisions probabilistes». Ainsi, cet été a 50 % de chance d’être plus chaud que les normales de saison, 30 % d’être conforme aux températures habituelles et 20 % de risque d’être plus froid. Reste que le scénario d’un trimestre ardent n’empêche pas la possibilité «d’épisodes ponctuels plus frais».
Entre 2021 et 2023, l'Antarctique a gagné de la glace, malgré l'augmentation des températures. Mais comment expliquer cette anomalie ?
Une température record pour un mois de mai – 51,6°C – a été enregistrée vendredi aux Émirats arabes unis. Le pays avait déjà connu le mois dernier une chaleur inhabituelle pour la saison, poussant les autorités à émettre des recommandations à la population. Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement climatique.
Les Emirats arabes unis ont enregistré vendredi la température la plus élevée jamais mesurée au mois de mai depuis le début des relevés en 2003, avec 51,6 degrés Celsius, selon le Centre national de météorologie (NCM).
Une étude publiée mercredi 21 mai, ausculte le phénomène de surchauffe urbaine. Plus de cinq millions de Français sont particulièrement exposés, dont 1,7 million à Paris.
Des zones du nord et du centre de la Chine suffoquaient cette semaine sous des chaleurs record pour un mois de mai, a rapporté mardi un média d'État, le pays se préparant à un nouvel été de fortes températures. La Chine subit depuis plusieurs étés une série d'événements météorologiques extrêmes, des canicules aux sécheresses en passant par des pluies diluviennes et des inondations.
La Terre, notre précieuse planète bleue, semble être un endroit stable et inaltérable dans l’immensité de l’univers. Cependant, la question de son avenir, et plus particulièrement de la fin de la vie, est une interrogation qui taraude de plus en plus de scientifiques. Le changement climatique, l’épuisement des ressources naturelles, la montée des températures et d’autres facteurs liés à l’activité humaine contribuent à rendre notre avenir incertain. Mais que disent vraiment les données scientifiques sur la fin de la vie sur Terre ? Quand cela arrivera-t-il et comment ?
Dammam, en Arabie saoudite, Al-Jahra et Hawally, au Koweït, Bassorah, en Irak, et Ahvaz, en Iran, figurent parmi les villes les plus fréquemment couronnées. Leurs records ? Des températures de 50, 52, parfois 53 °C mesurées à l’ombre— et même 38,8 °C la nuit à Bassorah en 2016, un record mondial pour une température nocturne. Ces villes battent régulièrement des sommets de chaleur que l’on croyait autrefois réservés à des zones inhabitées comme la Vallée de la Mort, en Californie.
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