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2025
Last month was the hottest January on record, blitzing the previous high and stunning climate scientists who expected cooler La Niña conditions to finally start quelling a long-running heat streak. The Copernicus Climate Change Service said January was 1.75C hotter than pre-industrial times, extending a persistent run of historic highs over 2023 and 2024, as human-caused greenhouse gas emissions heat the planet.
Les températures ont encore atteint des records ce mois de mars 2025, le plus chaud d’Europe depuis l’ère préindustrielle, rapporte l’observatoire européen Copernicus ce mardi 8 avril. En Arctique, la glace de mer hivernale est à son niveau le plus bas jamais enregistré.En Europe, le mois de mars 2025 a été le plus chaud jamais enregistré depuis l’ère préindustrielle. Selon un rapport de l’observatoire européen Copernicus publié ce mardi 8 avril, les températures ont été majoritairement supérieures à la moyenne sur l’ensemble du Vieux Continent, les anomalies chaudes les plus importantes ayant été relevées en Europe de l’Est et dans le sud-ouest de la Russie.
Les températures mondiales se sont maintenues à des niveaux historiquement élevés en mars, poursuivant une série de près de deux ans de chaleur extraordinaire sur la planète, dans la fourchette haute des prévisions scientifiques sur le réchauffement climatique.
Depuis son investiture, Donald Trump multiplie les attaques contre les sciences aux États-Unis. Coupes budgétaires, gel des embauches et interdiction de mots dans les articles scientifiques inquiètent les chercheurs outre-Atlantique. Et nombre d’entre eux pourraient bien songer à changer d’air pour poursuivre leur carrière en Europe ou au Canada. Une chercheuse américaine a accepté de témoigner auprès de France 24 de ses difficultés personnelles actuelles.
Les États-Unis hypothèquent-ils leur avenir scientifique ? Depuis janvier, l’offensive budgétaire de l’administration Trump, pilotée par le Département de l’efficacité gouvernementale (DOGE), fragilise profondément la recherche publique. Face à ce climat délétère, plus de 75 % des scientifiques interrogés par la revue Nature envisagent l’exil, majoritairement vers le Canada ou l’Europe, tandis que la Chine poursuit son ascension.
Plus de 1 900 scientifiques membres de l’Académie nationale des sciences ont co-signé une lettre ouverte tirant la sonnette d’alarme sur « le réel danger » que représente l’administration Trump pour la science. Dès le début de son second mandat, le président a apporté de grands bouleversements portant directement atteinte à la communauté scientifique et aux recherches du pays.
Evoquant une « crise sans précédent » alors que 58 millions de personnes risquent de perdre une aide vitale, le Programme alimentaire mondial de l’ONU (PAM) a annoncé, vendredi 28 mars, une chute de 40 % de ses financements pour 2025.
Géochimiste de renommée internationale, Charles Langmuir est professeur à Harvard. Il s'intéresse en particulier à l'évolution de notre planète et à la place de l'être humain sur Terre. Le scientifique américain lance l'alerte pour la planète et "les attaques contre la science" dans son pays.
Au-delà de Ryanair, c’est tout le transport aérien qui prédit une année 2025 de tous les records. Selon l’IATA, les compagnies aériennes du monde entier devraient transporter 5,2 milliards de passagers : ce sera la première fois de leur histoire que les compagnies franchiront le seuil symbolique des 5 milliards de passagers, rapportaient nos confrères du Monde.
Au moins un chercheur de l'UCLouvain a été le destinataire d'un questionnaire envoyé par l'USAID, l'agence américaine pour le développement international. Une démarche qui évoque, pour certains, la campagne de courriels lancée récemment par Elon Musk contre les institutions américaines. L'université belge a immédiatement réagi.
L’effroi et la sidération laissent place à la confusion et aux incertitudes. Les attaques de l’administration de Donald Trump contre les sciences du climat et de l’environnement se poursuivent aux Etats-Unis. Dans le même temps, les actions en justice contrent une partie de leurs effets. « La situation actuelle est incroyablement chaotique, indique Rachel Cleetus, directrice des politiques du programme climat et énergie de l’Union of Concerned Scientists. Cela a un effet extrêmement préjudiciable et paralysant sur le travail vital des scientifiques du gouvernement fédéral. »
Les coupes claires effectuées dans les agences gouvernementales américaines mèneront-elles à des désastres climatiques ou météorologiques? L'Europe a-t-elle une carte scientifique à jouer? Attention, terrain et données sensibles.
Un chercheur indien et un étudiant palestinien arrêtés et menacés d’expulsion. Une médecin libanaise et un chercheur français interdits d’entrer sur le territoire. Sur fond de soupçon de terrorisme, l’administration Trump menace les libertés académiques.Gare aux opinions personnelles aux Etats-Unis, elles peuvent mener à une expulsion du territoire. Khan Suri, de nationalité indienne, chercheur à l’université de Georgetown, a été arrêté lundi 17 mars et est menacé d’expulsion, rapporte le média Politico. L’homme a pourtant «reçu un visa en bonne et due forme pour entrer aux Etats-Unis afin de poursuivre ses recherches doctorales sur la consolidation de la paix en Irak et en Afghanistan», souligne son employeur.
Depuis son entrée en fonction, Donald Trump et son administration ont multiplié les décisions qui ont plongé le monde de la science dans le chaos.
"Les systèmes énergétiques européens sont confrontés à une année difficile, car le continent sort de cet hiver avec des niveaux de stockage de gaz inférieurs à la moyenne", ce qui pousse les prix à la hausse, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans une note fin février. Essentiels pour la sécurité énergétique, les stocks couvrent encore 30% de la consommation hivernale gazière de l'UE, selon la Commission européenne.
C’EPA fini. L’administration de Donald Trump poursuit sa vague de licenciements dans les agences fédérales, et les scientifiques sont toujours en première ligne. Le patron de l’Agence américaine de protection de l’environnement, Lee Zeldin, prévoit de congédier plus de mille biologistes, chimistes et autres expert·es, selon le New York Times.
Trois ans après une crise énergétique sans précédent, l'Europe n'est pas encore sortie du tunnel: avec des réserves de gaz très basses en fin d'hiver, le spectre de coûteuses tensions d'approvisionnement ressurgit sur fond de craintes pour l'industrie étranglée par les prix de l'énergie."Les systèmes énergétiques européens sont confrontés à une année difficile, car le continent sort de cet hiver avec des niveaux de stockage de gaz inférieurs à la moyenne", ce qui pousse les prix à la hausse, a mis en garde l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans une note fin février.
Une "purge". C’est ainsi que nombre de scientifiques à travers le monde définissent la nouvelle politique de Donald Trump à l’égard du monde de la recherche. Début mars, un collectif dénonçait même dans le journal "Le Monde" une menace pour "l’un des piliers de la démocratie [américaine] : la liberté académique et scientifique" après les coupes budgétaires décidées par la nouvelle administration à la Maison Blanche. ... Face à ce constat, "une douche froide pour le monde académique américain" souligne Marius Gilbert, l’ULB veut se montrer solidaire évidemment, mais aussi concrètement mobiliser des moyens en proposant des postes disponibles. Comment ? En association avec son pendant flamand, la VUB, l’idée est de recruter 36 mandats postdoctoraux pour des chercheurs d’autres pays.
La Vrije Universiteit Brussel (VUB) souhaite attirer des chercheurs américains à Bruxelles, en réponse à ce qu'elle considère comme une "ingérence préoccupante" de l'administration Trump dans la liberté de la recherche académique aux États-Unis. L'université a ouvert un total de 12 postes postdoctoraux avec une attention particulière pour les chercheurs américains, annonce-t-elle lundi.
Ils étaient cinq, cinq PDG milliardaires, présents lors de l’investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2025 à Washington. Elon Musk (Tesla, SpaceX, X), Mark Zuckerberg (Meta), Jef Bezos (Amazon), Sergey Brin (Alphabet) et Bernard Arnault (LVMH). Cinquante jours à peine après ce qu’ils semblaient considérer comme un motif de réjouissance, la bourse leur a infligé un sévère retour à la réalité. Après une période de hausse généralisée, les différents tarifs douaniers, imposés ou annoncés par le nouvel occupant de la Maison blanche, ont douché les enthousiasmes. En tout, selon Bloomberg, leurs fortunes ont été amputées de quelque 210 milliards de dollars.
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