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Israël Palestine guerre Gaza Hamas Cisjordanie reconnaissance état palestinien

septembre 2025

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a nié avoir accepté le principe d'un Etat palestinien, dans une vidéo publiée mardi sur son compte Telegram après la présentation du plan de paix pour Gaza du président Donald Trump.
Donald Trump refuse l’annexion du territoire et les colons la réclament : chacun joue son rôle pour que les Palestiniens soient maintenus dans un statu quo délétère, qui sert la machine politique de Benyamin Nétanyahou.
Douze pays parmi lesquels la Belgique, la France, le Royaume-Uni, le Japon, l'Arabie saoudite et l'Espagne ont annoncé vendredi la création d'une coalition visant à soutenir financièrement l'Autorité palestinienne, à court d'argent, ses recettes fiscales étant retenues par Israël.
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.
Il y a donc eu ce billet « oui/non » sur Gaza, Israël et la Palestine (1, 2) et, comme je m’y attendais, il y a eu des réactions. Ça a été un moment plus intéressant qu’éprouvant pour lequel j’ai eu envie de prendre un peu de temps afin de l’analyser et peut être de le comprendre. J’ai écrit ces quelques réflexions, c’est long, ce sera donc assez peu lu ou partagé, mais cela n’a pas d’importance, il s’agissait pour moi d’éclaircir mes propres idées en les mettant par écrit.
La plupart des délégués des pays membres de l’ONU ont bruyamment quitté la salle, vendredi 26 septembre, au début du discours du premier ministre israélien. Mais le dirigeant s’adressait avant tout aux Etats-Unis et à son opinion publique.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a délivré jeudi par vidéo devant l'ONU un vibrant plaidoyer pour le peuple palestinien victime des "crimes" israéliens, assurant sans équivoque que le Hamas n'aurait aucun rôle dans la future gouvernance d'un éventuel Etat de Palestine.
La France, la Belgique et plusieurs autres pays ont reconnu hier soir l’Etat de Palestine. Ils tentent de mettre un peu plus la pression sur Israël à l’ouverture de la grand-messe annuelle de l’ONU à New York. En réponse, le gouvernement israélien accélère la colonisation en Cisjordanie occupée et entrave la perspective d’un futur Etat palestinien sur le terrain.
Les dirigeants japonais et sud-coréens vont participer à la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU à New York, mais aucun des deux ne suivra la décision de la France. Washington a insisté pour qu’ils ne franchissent pas le pas.
Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Après le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et le Portugal, la France s’apprête à reconnaître officiellement l’Etat de Palestine ce lundi 22 septembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
La France et plusieurs autres pays doivent reconnaître lundi l’État de Palestine, tentant de mettre un peu plus la pression sur Israël à l'ouverture de la grand-messe annuelle de l'Organisation des Nations unies (ONU) à New York qui sera dominée par la guerre à Gaza.
Le président français a prononcé ce lundi 22 septembre un discours historique à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York au cours duquel il a annoncé la reconnaissance de la Palestine par la France. Voici les principaux points de son intervention d’une vingtaine de minutes.
Le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a promis de riposter à la décision de la France et de plusieurs autres pays. La question fait l’objet d’un rare consensus parmi la classe politique israélienne. Même à gauche, le soutien à la solution à deux Etats se fait rare.
Suivi par neuf pays, Emmanuel Macron doit ce lundi 22 septembre reconnaître l’Etat palestinien à l’ONU. Une décision nécessaire et longtemps attendue, qui doit maintenant être suivie d’actes.
Avant l’annonce française, prévue pour lundi, 152 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.
Une dizaine de pays doivent reconnaître officiellement l’Etat palestinien à l’occasion du sommet lundi sur l’avenir de la solution à deux Etats, lors de l’Assemblée générale de l’ONU.
Après un soutien initial sans faille à Israël, le président français a recentré sa position sur la solution à deux Etats. Une inflexion, opérée au fil de la guerre à Gaza, qui se concrétisera par la reconnaissance de la Palestine par la France à l’ONU, le 22 septembre.
Depuis plusieurs semaines, le gouvernement israélien multiplie les annonces d’extension de colonies existantes ou de légalisation de colonies sauvages en Cisjordanie. La reconnaissance annoncée d’un État palestinien par la France et d’autres pays occidentaux accélère l'occupation israélienne de la Cisjordanie. Pour la rendre irréversible ? Reportage.
Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a affirmé dimanche que son pays devait annexer la Cisjordanie en réaction à la reconnaissance d'un Etat palestinien par l'Australie, le Canada et la Grande-Bretagne.
Emmanuel Macron doit prononcer son discours de reconnaissance de la Palestine, lundi 22 septembre dans l’enceinte des Nations unies à New York. En guise de représailles, Israël envisage de fermer le consulat français de Jérusalem et d’annexer une partie de la Cisjordanie.
Le Royaume-Uni, l'Australie et le Canada ont officiellement reconnu dimanche l'État de Palestine. Une reconnaissance qui intervient avant un sommet coprésidé par la France et l'Arabie saoudite portant sur l'avenir de la solution à deux États, à la veille de l'Assemblée générale de l'ONU.
L’Assemblée générale de l’ONU, qui se tient jusqu’au 23 septembre, se prépare à un vote crucial, sur la reconnaissance officielle de la Palestine. Ce scrutin est perçu comme un levier de la dernière chance pour relancer une solution diplomatique à deux Etats.
Malgré les critiques qu’elle suscite, l’initiative portée lundi à la tribune des Nations unies par le président français, Emmanuel Macron, est un message adressé à deux peuples.
Dans une tribune au « Monde », Michel Duclos s’interroge sur les conséquences possibles de la « déclaration de New York », adoptée le 12 septembre par l’Assemblée générale de l’ONU, qui plaide pour une solution à deux Etats. Pour lui, ce texte n’est pas une fin en soi mais une étape supplémentaire d’un long processus diplomatique.
Emmanuel Macron a défendu jeudi, dans une interview à une télévision israélienne, sa décision de reconnaître un Etat palestinien, "meilleure manière d'isoler le Hamas" à ses yeux, tout en condamnant une fois de plus vivement l'offensive à Gaza qui "détruit totalement" la "crédibilité" d'Israël.
A quatre jours de l’assemblée générale des Nations unies où de nombreux pays reconnaîtront l’Etat palestinien dans le sillage de la France, Emmanuel Macron met en garde l’Etat hébreu dans une interview à la télévision israélienne.
Le premier secrétaire du Parti socialiste a appelé à afficher le drapeau palestinien sur les mairies le 22 septembre le jour où la France doit reconnaître l’Etat palestinien.
Ce vendredi 12 septembre, 142 Etats ont signé la «déclaration de New York», à dix jours d’un sommet qui sera co-présidé par Paris et Ryad où plusieurs pays - dont la France - devraient reconnaître l’existence de la Palestine.
Bruxelles rejoint la cohorte de pays occidentaux emmenés par la France qui doivent acter cette reconnaissance à l’Assemblée générale des Nations unies, mi-juin.


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