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Le projet du fonds canadien Brookfield à Cambrai, dans le Nord, vise à créer un data center consommant l’équivalent de la production d’un réacteur nucléaire.
En 2024, les centres de données belges ont consommé 3,2 TWh, ce qui correspond à 4% de la consommation belge totale d'électricité, alors que la moyenne européenne se situe autour des 2%. Selon un rapport du Boston Consulting Group (BCG) que L'Echo relaie samedi, cette consommation va être multipliée a minima par trois dans les dix prochaines années. En 2035, les data centers consommeront ainsi 10% de l'électricité belge.
Les débats s’annonçaient déjà houleux. La révélation de données officielles jusque-là passées inaperçues devrait agiter davantage la réunion publique sur « la présence de polluants en ville », programmée mardi 27 mai en fin de journée à la mairie d’Ivry-sur-Seine, commune du Val-de-Marne de 61 000 habitants qui doit cohabiter avec l’un des plus grands et anciens incinérateurs d’ordures ménagères d’Europe.
Entre 2021 et 2023, l'Antarctique a gagné de la glace, malgré l'augmentation des températures. Mais comment expliquer cette anomalie ?
« Rediriger l'énergie non utilisée » L'IA générative requiert une puissance de calcul colossale pour traiter l'information accumulée dans de gigantesques bases de données et a fait bondir la demande mondiale en énergie. Bien que le Pakistan ait une puissance installée de quelque 45 000 mégawatts, ses besoins ne dépassent guère 30 000 mégawatts en été, selon l'Institut de l'économie du développement du Pakistan, et le gouvernement doit payer aux fournisseurs d'énergie indépendants sa capacité non utilisée.
Depuis, quelques années, les data centers sont au cœur d’une polémique environnementale, notamment en raison de leur côté énergivore. Et s’il était possible de les envoyer dans l’espace ? Justement, la société Latitude désire y parvenir en soutenant le projet d’une société basée aux Émirats Arabes Unis.
Le président du Haut Conseil pour le climat (HCC), Jean-François Soussana, a exprimé mercredi son inquiétude face à la politique de suppression de données scientifiques menée par l’administration Trump aux États-Unis. Lors d’une audition devant la commission du développement durable de l’Assemblée nationale, il a dénoncé une démarche « très grave », susceptible de compromettre l’accès aux preuves scientifiques à l’appui de la lutte contre le réchauffement climatique.
La Terre, notre précieuse planète bleue, semble être un endroit stable et inaltérable dans l’immensité de l’univers. Cependant, la question de son avenir, et plus particulièrement de la fin de la vie, est une interrogation qui taraude de plus en plus de scientifiques. Le changement climatique, l’épuisement des ressources naturelles, la montée des températures et d’autres facteurs liés à l’activité humaine contribuent à rendre notre avenir incertain. Mais que disent vraiment les données scientifiques sur la fin de la vie sur Terre ? Quand cela arrivera-t-il et comment ?
L'administration de Donald Trump va cesser d'alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA), selon une annonce.
Créé en 1980, ce fichier permettait de répertorier les événements climatiques extrêmes dépassant le milliard de dollars de dégâts. […] L’administration de Donald Trump va cesser d’alimenter la base de données de référence recensant les coûteuses catastrophes climatiques, selon une annonce faite jeudi 8 mai. Il s’agit d’une nouvelle conséquence des importantes réductions de financement de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Deux entreprises concurrentes ont développé des systèmes optiques prometteurs pour parvenir à réduire la consommation électrique des data centers.
Dernièrement, un collectif d’investigation sur le changement climatique et un célèbre quotidien britannique ont mené une enquête. Selon ces travaux, Amazon, Google et Microsoft continuent de construire des data centers et ce, dans des régions déjà très impactées par la sécheresse.
Aux États-Unis, au prétexte de lutter contre l’immigration illégale, le gouvernement de Donald Trump déploie des outils de surveillance d’une ampleur inégalée, qui croisent d’immenses bases de données grâce à la puissance de l’intelligence artificielle. Décryptage.
Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche il y a 100 jours, des pans entiers de ressources disponibles sur les sites gouvernementaux américains ont disparu. Des données essentielles sur le climat, la santé ou les minorités ont été effacées. Mais des groupes de chercheurs, d’archivistes et de bénévoles du monde entier se sont organisés pour les sauver.
[…] un groupe de chercheurs écossais a peut-être trouvé une solution révolutionnaire. En s’appuyant sur l’intelligence artificielle (IA) et des données comportementales historiques, ils ont développé un modèle qui peut prédire où les personnes perdues ont de fortes chances de se trouver, en reproduisant leur logique de comportement dans des situations similaires. Ce modèle pourrait radicalement transformer les missions de recherche et de sauvetage, en permettant aux équipes d’intervention de concentrer leurs efforts de manière plus ciblée et efficace.
La juge Ellen Hollander a émis jeudi une injonction préliminaire empêchant la commission pour l'efficacité gouvernementale (Doge) du patron de Tesla, proche conseiller de Donald Trump, d'accéder à des informations confidentielles, comme les dossiers médicaux, relevés bancaires ou bulletins de salaire. La Sécurité sociale (SSA), une agence fédérale notamment chargée de verser les retraites, pourra uniquement fournir des données anonymisées aux équipes de Doge, a décidé la juge.
Les opérateurs télécoms et les centres de données, régulièrement pointés du doigt pour leur impact environnemental, ont vu leurs émissions de gaz à effet de serre à nouveau progresser en 2023 en France, d'après une enquête de l'Autorité de régulation du secteur publiée jeudi. Les émissions venant des opérateurs Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ont atteint 397.000 tonnes d'équivalent CO2, en augmentation de 4% sur un an, a précisé l'Arcep, soit l'équivalent de 225 vols aller-retour entre Paris et New York. La même année, les émissions de gaz à effet de serre avaient au total diminué de 5,8% en France.
Jusqu’à la dernière goutte. D'après une enquête menée conjointement par SourceMaterial et le Guardian, Microsoft, Amazon et Google n’hésiteraient pas à construire de nouveaux datacenters dans des régions déjà frappées par la sécheresse dans le monde.
A cette échéance, les data centers nécessiteront un peu moins de 3 % de l’électricité mondiale, « soit la consommation totale d’électricité du Japon aujourd’hui », précise le rapport. Portée par l’essor de l’intelligence artificielle (IA), la consommation d’électricité des centres de données devrait « plus que doubler » d’ici à 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) publié jeudi 10 avril.
Dopée par l'intelligence artificielle, la consommation d'électricité des centres de données devrait "plus que doubler" d'ici 2030, un défi pour la sécurité énergétique et un facteur de hausse des émissions de CO2, selon un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) publié jeudi.Consulter le rapport Energy and AI (Agence internationale de l'énergie, avril 2025)
Un immense gâchis. Des millions de logements pourraient être chauffés grâce à la chaleur des centres de données gigantesques qui se multiplient. Mais faute de volonté politique, tout reste à faire.
Dans un monde où l’information est devenue à la fois omniprésente et suspecte, la destruction délibérée de bases de données scientifiques évoque de sombres souvenirs historiques. Elle représente une menace sérieuse pour l’avenir de la connaissance partagée, le progrès scientifique global et, plus fondamentalement, la richesse des nations. Depuis le 20 janvier 2025, l’administration aux commandes de la première puissance mondiale mène une campagne méthodique contre les données, particulièrement celles à caractère scientifique. Plus de 3 400 jeux de données, dont 2 000 à vocation scientifique, ont été supprimés des sites gouvernementaux américains. Cette offensive cible prioritairement les informations relatives au changement climatique, à la santé publique et à l’équité sociale.
Bases de données, archives, pages Web… Depuis son investiture à la présidence des États-Unis, le 20 janvier, Donald Trump mène une véritable croisade numérique contre la mémoire administrative du pays. De nombreux contenus liés à la diversité, à l’identité de genre, à la recherche scientifique publique, au climat et à l’environnement ont été supprimés. Avant d’être, pour certains, remis en ligne de manière tronquée, falsifiée ou vidée de leur substance.
Les exploitants de nouveaux projets bas carbone communiquent fréquemment sur les émissions de CO2 « évitées ». Cette notion d'émissions évitées peut également constituer un argument commercial, rappelle l'Ademe (« par l’achat de ce produit, vous économisez x tonnes de CO2 pour le climat »).
"Nous n'utiliserons pas nos compétences techniques pour fragiliser" l'appareil d'Etat: une vingtaine de fonctionnaires américains intégrés aux effectifs pilotés par Elon Musk, missionnés pour sabrer dans les dépenses publiques et l'administration fédérale, ont présenté leur démission collective mardi dans un courrier adressé à la Maison Blanche.
Cancel que ça s’arrête ? Depuis l’investiture de Donald Trump à la Maison-Blanche, nous assistons à un autodafé numérique de tout ce qui touche de près ou de loin à des politiques jugées trop progressistes. Le processus est méthodique et tout y passe. Analyse.
Alors que le gouvernement Trump enchaîne les fermetures de sites web fédéraux, de nombreuses organisations non partisanes s’efforcent d’archiver les données scientifiques, concernant notamment la santé et le climat, avant qu’elles ne disparaissent pour toujours. Une tâche ardue, constate “MIT Technology Review”.
La commission pour l'efficacité du gouvernement américain (Doge), dirigée par Elon Musk, est en train de se préparer un accès à un système ultra sensible du fisc où se trouvent des données financières détaillées des contribuables et entreprises, affirment lundi plusieurs médias.
Le secteur de l'électricité en opération séduction: à l'occasion du sommet de l'intelligence artificielle (IA) à Paris, le groupe électricien français EDF et le gestionnaire du réseau haute tension RTE ont dévoilé leurs offres pour attirer sur le territoire national des centres de données, très gourmands en énergie.Le gouvernement a dévoilé la carte des régions avec les 35 sites "prêts à l'emploi" qui pourront accueillir les centres de données dédiés à l'IA, ces gigantesques bâtiments qui stockent les données et fournissent les énormes capacités de calcul requises par l'IA.
Au sommet de l’IA à Paris, la France a annoncé la construction prochaine d’un centre de données capable de soutenir le développement de chatbots "made in Europe". Alors que la tendance est aux investissements massifs dans les infrastructures, cette course à la puissance de calcul n’est pas sans problème.
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