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En utilisant des impulsions lumineuses ultrarapides, des chercheurs sont, pour la première fois, parvenus à contrôler en temps réel l’incertitude quantique — un principe selon lequel il est impossible de mesurer simultanément et avec précision deux propriétés d’une particule. S’appuyant sur les caractéristiques physiques uniques de la lumière comprimée, ces travaux pourraient ouvrir la voie à des systèmes de communication quantique ultrarapides et sécurisés.
Pendant des décennies, l’hydrogène a été présenté comme le carburant du futur qui n’arrivait jamais. Trop cher à produire, impossible à stocker sans risque, nécessitant des infrastructures colossales. Mais une équipe de l’Université Brunel de Londres et l’entreprise Genuine H2 viennent de fracasser ces trois obstacles d’un seul coup. Leur technologie transforme l’eau de mer directement en hydrogène utilisable, le stocke dans un film plus fin qu’une feuille de papier, et promet de décarboner le transport maritime en quelques années. Si ça fonctionne à l’échelle annoncée, nous assistons peut-être à la naissance d’une véritable révolution énergétique.
Dernièrement, l’UNESCO a désigné plusieurs nouvelles « réserves de biosphère » dans plus d’une vingtaine de pays, dont deux en France. Cette décision donne lieu à une nouvelle assez surprenante. Désormais, le territoire d’un pays entier est une de ces réserves. Quel est ce pays ?
Imaginez télécharger un film entier en quelques millisecondes, ou regarder de la vidéo 8K sans la moindre interruption, même au fin fond de la campagne. Ce qui relevait encore de la science-fiction il y a peu devient aujourd’hui réalité grâce à une découverte qui pourrait bouleverser notre rapport aux communications sans fil. Des chercheurs ont mis au point une puce révolutionnaire qui ouvre la voie à la 6G, cette technologie qui promet de transformer radicalement notre monde numérique d’ici 2030.
Au-dessus du pôle Sud, un phénomène météorologique exceptionnel est en train de se produire. Les données satellitaires de la NASA révèlent que le vortex polaire antarctique, cette gigantesque masse d’air glacé qui tourne au-dessus du continent blanc, montre des signes alarmants de déstabilisation. Ce qui inquiète particulièrement les météorologues, c’est que ce bouleversement intervient beaucoup plus tôt que prévu et avec une intensité inhabituelle. Les conséquences pourraient se faire sentir bien au-delà des terres australes, jusqu’à modifier les conditions météorologiques de régions entières à travers le globe.
Imaginez une souris âgée de l’équivalent de 90 ans humains qui retrouve la vivacité cognitive d’un jeune adulte. Ce scénario est devenu réalité dans un laboratoire catalan, où des chercheurs ont accompli ce que la médecine jugeait irréalisable : inverser complètement la maladie d’Alzheimer. Leur arme secrète ? Des nanoparticules microscopiques qui réparent le système de défense du cerveau, ouvrant une perspective révolutionnaire pour les millions de personnes touchées par cette pathologie dévastatrice.
Chaque jour, sans même le savoir, vous ingérez l’équivalent d’une carte de crédit en microplastiques. Ces particules invisibles ne se contentent pas de traverser votre organisme : elles modifient profondément l’écosystème bactérien de votre intestin, avec des conséquences que la science commence tout juste à comprendre. Une étude autrichienne présentée ce mois-ci révèle pour la première fois comment ces fragments de plastique reprogramment littéralement votre flore intestinale.
En supposant que l’administration Trump « arrive finalement à son terme, il pourrait falloir une décennie pour revenir au niveau où nous étions il y a six mois », estime le chercheur britannique de 83 ans, s’alarmant d’un « énorme problème ».
Imaginez un monde où les murs et les fondations de vos bâtiments ne se contentent plus de soutenir un toit, mais deviennent eux-mêmes des sources d’énergie. C’est le défi relevé par une équipe de chercheurs de l’Université d’Aarhus, au Danemark, qui a réussi à transformer un matériau aussi banal que le ciment en un dispositif capable de stocker et de restituer de l’électricité. Leur innovation ouvre la voie à des infrastructures à la fois structurelles et énergétiques, un concept jusqu’ici réservé à la science-fiction.
Depuis presque vingt ans, la Chine développe un réacteur de fusion nucléaire que l’on surnomme « soleil artificiel ». Dans le cadre de ces travaux, les ingénieurs ont récemment fabriqué un robot dont la mission sera d’assurer la maintenance complexe et couteuse de cette installation. Équipée de trois bras, cette machine est notamment capable de soulever une charge d’une soixantaine de tonnes.
Depuis quelques années, un groupe indépendant informe sur la pollution atmosphérique des sites industriels du monde entier. Cette information prend la forme d’une carte interactive affichant l’emplacement de ces sites polluants. Dernièrement, la plateforme a fait l’objet d’une évolution et montre désormais les panaches de particules fines qui s’en échappent.
William Benedetto, directeur du cinéma l’Alhambra à Marseille, et Samah Karaki, neuroscientifique, évoquent la place de la science et de la culture dans l’écologie et affirment la volonté de la rendre accessible à tous.
Le géant de l’automobile électrique vient de franchir une étape que personne n’attendait si tôt. Dans une vidéo publiée par Elon Musk, le robot humanoïde Optimus exécute des mouvements de kung-fu avec une fluidité qui redéfinit les standards de la robotique grand public. Cette démonstration inattendue soulève une question cruciale : sommes-nous en train d’assister à l’émergence du produit le plus disruptif de la décennie ?
Entre les années 1930 et 1970, des milliers de tonnes de produits chimiques ont été déversées au large de Los Angeles. Pendant des décennies, ces barils mystérieux ont posé un grave problème environnemental. On croyait à l’origine qu’ils contenaient principalement du DDT, un pesticide cancérigène bien connu. Mais des recherches récentes révèlent que le véritable contenu de ces barils pourrait être encore plus surprenant et inquiétant.
La fraude scientifique est devenue une « industrie », selon une analyse alarmante Des réseaux mondiaux sophistiqués infiltrent les revues scientifiques pour publier de faux articles […] Depuis des années, les enquêteurs qui étudient la fraude scientifique tirent la sonnette d’alarme sur l’ampleur et la sophistication de l’industrie qui produit en série de fausses publications. Aujourd’hui, une enquête approfondie a mis au jour des preuves d’une série d’acteurs malveillants tirant profit de la fraude. L’étude, basée sur l’analyse de milliers de publications, de leurs auteurs et de leurs éditeurs, montre que les usines à articles ne sont qu’une partie d’un système complexe et interconnecté qui comprend des éditeurs, des revues et des courtiers.
Et si les machines pouvaient raisonner avec l’efficacité du cerveau humain, tout en consommant une fraction de l’énergie nécessaire aux géants actuels de l’intelligence artificielle ? C’est le pari audacieux d’une équipe de chercheurs de l’Académie chinoise des sciences, à Pékin, qui vient de présenter SpikingBrain 1.0, un modèle de langage de nouvelle génération. Inspiré du fonctionnement neuronal, ce système pourrait bouleverser notre manière de concevoir l’IA, en alliant rapidité, sobriété énergétique et indépendance technologique.
Des chercheurs ont développé un système pouvant capturer le CO₂ présent dans l’eau de mer et de le convertir en précurseurs de plastique biodégradable. Basé sur une conversion électrochimique facilitée par une bactérie marine génétiquement modifiée, le procédé atteindrait un rendement de 70 % pour une consommation d’environ 3 kWh par kilogramme, ce qui permettrait de réduire le coût de capture du CO₂ par rapport aux systèmes actuels.
Ce mardi 10 octobre, l’Académie royale des sciences de Suède a dévoilé les lauréats du 119e prix Nobel de physique. John Clarke, Michel H. Devoret et John M. Martinis ont reçu cette distinction suprême pour une découverte qui semblait relever de la science-fiction : ils ont réussi à observer des phénomènes quantiques non pas à l’échelle microscopique habituelle, mais dans un circuit électrique suffisamment grand pour tenir dans une main. Une prouesse scientifique dont les retombées révolutionnent déjà notre quotidien, des smartphones aux futurs ordinateurs quantiques.
Et si une seule invention permettait de s’attaquer à deux des plus graves crises environnementales du siècle ? C’est le pari d’une équipe de chercheurs de l’Université de Copenhague, qui vient de dévoiler un matériau capable de capturer le dioxyde de carbone tout en recyclant les plastiques les plus polluants. Une avancée qui pourrait bien changer la donne dans la lutte contre le réchauffement climatique et la pollution des océans.
La liberté académique fait des universités des espaces d’échange d’idées. Essentielle au développement d’une recherche indépendante, elle subit aujourd’hui de multiples attaques aux États-Unis, un des pays qui a pourtant contribué à son essor. Retour sur l’histoire de ce concept – de l’Allemagne au continent américain.
Au Japon, une société tente de révolutionner la construction par impression 3D en utilisant de la terre et quelques autres matériaux renouvelables. Un modèle de maison a été fabriqué en se passant totalement de béton et ce, sans perdre en solidité.
Depuis plus de vingt ans, Wikipédia incarne l’encyclopédie collaborative par excellence, consultée par des milliards d’internautes à travers le monde. Pourtant, l’un de ses propres cofondateurs vient de dénoncer publiquement ses dérives éditoriales, déclenchant une réaction inattendue : Elon Musk annonce le développement de « Grokipedia », une plateforme concurrente développée par sa startup xAI. Entre accusations de biais politique et promesses d’alternative plus libre, cette controverse soulève des questions essentielles sur qui contrôle vraiment la connaissance en ligne.
La participation du médiatique expert climat dans des vidéos valorisant les solutions «durables» du groupe industriel français lui vaut d’être accusé de «science washing».
La participation du médiatique expert climat dans des vidéos valorisant les solutions "durables" du groupe industriel français lui vaut d'être accusé de "science washing".
Alors que le développement de logiciels a été l’un des premiers domaines à adopter l’IA, celle-ci n’apporterait que des gains de productivité modestes par rapport au battage médiatique qui l’entoure, selon une récente enquête. Elle aurait même tendance à ralentir les développeurs, ceux-ci devant passer par des étapes de révisions rigoureuses pour corriger les hallucinations générées.
Un variant surnommé « Frankenstein » : quand le virus brouille les pistes L’émergence du variant « Frankenstein » marque une nouvelle étape dans l’évolution du coronavirus. Son surnom évocateur n’est pas dû au hasard : il s’agit d’un variant composite, fruit de multiples recombinaisons entre différentes souches. Ce brassage génétique lui confère une physiologie singulière, parfois imprévisible.
L'Académie des sciences appelle, dans un rapport publié jeudi, à l'adoption d'un accord international bannissant toute initiative "publique ou privée" de modification du rayonnement solaire pour refroidir la Terre, en mettant en garde contre la "probabilité d'un chaos climatique incontrôlable".
Des scientifiques ont inventé des « robots spermatozoïdes »... Et ils pourraient un jour vous servir
(01/10) - Brice LouvetDans les laboratoires de l’Université de Twente, aux Pays-Bas, une équipe de chercheurs vient de franchir une frontière que beaucoup pensaient infranchissable. Ils ont réussi à transformer de véritables spermatozoïdes en microrobots pilotables à distance, capables de naviguer avec précision dans le système reproducteur féminin. Cette prouesse technologique, qui relève autant de la science-fiction que de la médecine de pointe, pourrait révolutionner notre approche des traitements de fertilité et ouvrir des perspectives thérapeutiques inédites.
Nouvelle salve de censure aux États-Unis : vendredi, le Bureau de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables a reçu pour consigne de bannir plusieurs mots tels que «réchauffement climatique» ou encore «émissions» de ses futurs rapports.
Le chercheur François Gemenne apparait dans des vidéos tournées par le géant français des matériaux de construction Saint-Gobain. Un exemple de «science washing», selon plusieurs observateurs. Autrement dit, l’entreprise aurait noué ce partenariat rémunéré avec le scientifique pour acheter sa crédibilité.
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