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Enjeux ukrainiens, espionnage chinois, succès des Jeux olympiques… A l’occasion de la publication du rapport annuel de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, son directeur, Vincent Strubel, décrit notamment les effets des attaques russes.
Les technologies digitales ont investi les champs de bataille, qu’ils soient physiques ou numériques, explique le chercheur Julien Nocetti.
L’agence fédérale chargée de la cybersécurité de l’Etat a suspendu ses programmes de lutte contre la désinformation et de sécurisation des élections.
Les faits ont été revendiqués par un groupe de hackers baptisé NoName, déjà connu pour d’autres attaques et défendant les intérêts de la Russie.
Un rapport détaille les menaces pesant sur le secteur de l’eau en France en matière de cybersécurité
(27/11) - Florian ReynaudUne étude de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi) dresse un état des lieux des risques qu’encourent les entreprises et collectivités. Aucun incident majeur n’est pour l’heure à déplorer, mais les vulnérabilités sont multiples.
Plusieurs sites internet de pouvoirs publics ont été la cible d'une cyberattaque lundi matin. Selon le Centre pour la cybersecurité Belgique (CCB), l'attaque provient du collectif de pirates informatiques pro-russes "NoName057".
Les États membres de l'ONU ont approuvé, jeudi, le premier traité contre la cybercriminalité, qui devra être formellement adopté par l'Assemblée générale puis ratifié par chaque pays. Les défenseurs des droits humains craignent que le texte soit utilisé par des pays qui criminalisent l'homosexualité ou qui s'en prennent aux dissidents et aux journalistes.
Réunis à Bruxelles, les ministres de la Défense de l’Alliance se sont accordés sur des moyens de défense face à ces attaques hybrides qui se multiplient. Ils ont aussi bombé le torse face aux provocations nucléaires de la Russie.
Sandworm, un groupe de pirates informatiques actif en Ukraine et lié aux services de renseignement russes, est en passe de devenir une menace mondiale importante, a averti mercredi une importante société de cybersécurité.
Dans le cadre de notre série “L’Europe face au risque d’une guerre avec la Russie”, nous avons analysé le degré de protection de nos infrastructures énergétiques.
Alors que le Covid-19 a montré la très grande vulnérabilité de nos chaînes d'approvisionnement mondiales, les risques se multiplient. Le canal du Panama est obligé de réduire de 50% son trafic en raison d'une sécheresse intense liée à la crise climatique quand l'Australie subit une cyberattaque massive qui a mis à l'arrêt ses plus grands ports. Dans un monde en polycrises, les failles sont de plus en plus visibles.
Quels sont les risques les plus importants pour les 5 à 10 ans à venir ? La crise climatique, répondent d'emblée les sondés de la dixième édition du Future Risks Report d'Axa, qui depuis 2015 et les alertes du Giec place le climat en première position. Cette année est également marquée par l'arrivée fracassante de l'intelligence artificielle et le Big Data comme risques majeurs.
Selon les autorités chargées de la cybersécurité aux États-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande, ainsi que Microsoft, un "cyber-acteur" connu sous le nom de "Volt Typhoon" et parrainé par Pékin a infiltré les réseaux d'infrastructures critiques des États-Unis, notamment dans l'île de Guam, qui héberge une importante base militaire américaine.
L'autorité britannique de réglementation nucléaire (ONR) a mis en lumière des "lacunes" en matière de sécurité chez EDF, opérateur du parc nucléaire d'outre-Manche, notamment sur les questions de cybersécurité, a appris l'AFP lundi auprès du régulateur et de l'entreprise.
Des trolls pro-russes mènent une guerre de l'information depuis une ancienne usine de Saint-Pétersbourg, d'où ils ciblent des dirigeants occidentaux et relaient la propagande du Kremlin concernant l'Ukraine, a rapporté dimanche le gouvernement britannique qui a commandé une étude sur le sujet.
Pendant une douzaine d’heures, de nombreux clients d’Ukrtelecom ont vu leur connexion interrompue. La raison ? Une cyberattaque russe, selon les autorités ukrainiennes.
A l'issue d'une réunion extraordinaire des ministres de la Défense, il a évoqué, sans entrer dans les détails, une déploiement supplémentaire de troupes pré-positionnées sur le flanc oriental, davantage de moyens aériens et de cybersécurité ainsi que des ordres de missions « sur une base persistante » pour des navires de guerre et sous-marins.
Le scénario de la cyberattaque contre le réseau du satellite KA-SAT, survenu au premier jour de l’invasion russe, le 24 février, commence à s’éclaircir. Mardi 15 mars, lors d’une conférence de presse, le directeur adjoint de l’agence ukrainienne chargée de la cybersécurité est revenu sur les conséquences de l’attaque.
Pour Gil Shwed, le PDG de Check Point, une des principales entreprises de cybersécurité au monde, l’hyperconnexion à l’internet, que la pandémie a accélérée, a fait bondir le nombre et la sévérité des menaces numériques.
Le collectif de hackers Anonymous a revendiqué cette attaque. "Des opérations sont en cours pour maintenir les sites gouvernementaux russes hors ligne et pour diffuser des informations au peuple russe sans qu'elles ne soient soumises à la machine de censure de l'État Poutine", a déclaré le groupe sur Twitter.
L’offensive terrestre russe en Ukraine, menée depuis mercredi, s’est accompagnée par une vague d’attaques informatiques russes. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé à former une "cyberrésistance" tandis que le monde occidental se prépare à une éventuelle utilisation par la Russie de ces attaques informatiques à l’échelle mondiale.
Le patron de la commission de renseignement du Sénat américain, le démocrate Mark Warner, a déclaré au média Axios qu'il était très préoccupé par les cyberattaques lancées par le président russe Vladimir Poutine. Selon lui, celles-ci pourraient se transformer "en une guerre plus large impliquant les pays de l'OTAN, dont les États-Unis".
La consommation croissante d’électricité pour faire tourner les blockchains, sur lesquelles la cybercriminalité prolifère, a un impact environnemental et géopolitique de plus en plus préoccupant.
Selon un courtier spécialisé établi à Rotterdam (Pays-Bas), ce piratage informatique qui a commencé il y a plusieurs jours concerne en premier lieu des terminaux pétroliers, ce qui perturbe les livraisons dans plusieurs grands ports sur fond de flambée des prix de l'énergie.
Het leger heeft 26 dagen lang geen mails meer kunnen versturen naar mensen en organisaties buiten Defensie. Dat komt door een zware cyberaanval op de computers van Defensie vorige maand. De militairen konden zelfs niks opzoeken op het internet, zegt Dimitri Modaert van de militaire vakbond VSOA.
Ce rapport mesure et classe l’évolution de la perception des risques émergents, réalisé en interrogeant près de 3 500 experts et 20 000 personnes du grand public à travers le monde. Grâce à cette étude, les risques peuvent être réduits et des protections peuvent être imaginées par anticipation.
D’abord expliquée par des « perturbations dans le système informatique », l’interruption de la distribution d’essence a été attribuée par les autorités à une cyberattaque.
Le Conseil de sécurité de l'ONU tient mardi sa première réunion publique formelle sur la cybersécurité, une préoccupation croissante comme l'illustre le récent échange sur cette question entre Joe Biden et Vladimir Poutine.
Accusée de blanchir de l’argent, de financer le terrorisme ou encore la cybercriminalité, la cryptomonnaie est aussi réputée extrêmement polluante. Est-ce pour autant une fatalité ?
Un incendie dans une station électrique de l’île américaine de Porto Rico a plongé des milliers d’habitants dans le noir, jeudi 10 juin au soir, peu après que le fournisseur d’électricité a annoncé avoir subi une cyberattaque.
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Le président Joe Biden a accusé lundi un groupe criminel basé, selon lui, en Russie d'avoir mené l'attaque informatique qui a paralysé l'un des plus grands opérateurs d'oléoducs américains. Le réseau "Darkside est responsable de la mise en péril des réseaux de Colonial Pipeline", a d'abord estimé la police fédérale dans un communiqué.
Colonial Pipeline, un des plus grands opérateurs d'oléoducs américains, a dû cesser toutes ses opérations depuis vendredi après avoir été victime d'une cyberattaque, a indiqué la compagnie qui transporte de l'essence et du diesel sur plus de 8.800 km de pipelines à travers les Etats-Unis. "Le 7 mai la compagnie Colonial Pipeline a appris qu'elle était victime d'une attaque de cybersécurité", indique le groupe dans un communiqué.
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La cyberattaque d'envergure qui frappe plusieurs ministères aux Etats-Unis représente un "risque grave" et les mesures pour la contrecarrer seront "extrêmement complexes et difficiles", a prévenu jeudi l'agence américaine en charge de la cybersécurité et de la sécurité des infrastructures (Cisa). Le président-élu Joe Biden s'est déclaré "très préoccupé" par cette cyberattaque découverte le week-end dernier, assurant que la cybersécurité serait l'une des "priorités" de son gouvernement.
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