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septembre 2025

Dans une vidéo tournée fin août, l'armée russe laisse entrevoir une carte affichant ses futurs objectifs de conquête en Ukraine. Simple oubli, ou propagande volontaire ?
À la Une de la presse ce lundi 1er septembre, cette opération de Reporters sans frontières (RSF) dans 150 médias internationaux pour protester contre la mort des journalistes à Gaza, le plan d'évacuation et de reconstruction de l'administration Trump pour l'après-guerre dans l'enclave et le fossé qui se creuse de plus en plus entre l'école publique et l'école privée en France, en ce jour de rentrée des classes.
Dans le monde entier, les rédactions s’inquiètent pour leurs collaborateurs palestiniens à Gaza. Environ 180 médias dans 50 pays devaient relayer, lundi 1ᵉʳ septembre, un appel de Reporters sans frontières et du mouvement Avaaz pour que cessent « les meurtres à Gaza ».
L’ONG, qui estime que 220 journalistes ont été tués par l’armée israélienne depuis l’attaque terroriste du 7 octobre 2023, lance un appel pour que cessent « les meurtres à Gaza ». Les sociétés de journalistes, dont la société des rédacteurs du « Monde », demandent l’ouverture de l’enclave palestinienne aux journalistes internationaux.
En interdisant à la presse d’accéder au territoire palestinien et en menant la guerre la plus meurtrière envers les journalistes dans l’histoire des conflits, l’Etat hébreu détruit la liberté d’informer, sans réelle réaction des Etats-Unis ou des pays de l’Union européenne.
Plus de quarante rédactions françaises, dont France 24 et RFI, participent à une campagne internationale lancée par Reporters sans frontières pour dénoncer les attaques israéliennes contre les journalistes à Gaza. L’initiative rassemble plus de 250 médias dans 72 pays.

juillet 2025

Si les réseaux sociaux et les nouveaux médias sont souvent associés à la désinformation et à la propagande étrangère, dans des pays comme la Serbie ou la Hongrie ce sont davantage les acteurs médiatiques conventionnels qui se livrent à de telles dérives, estiment Sabina Mihelj et Vaclav Stetka, chercheurs spécialistes de la région, dans une tribune au « Monde ».
Récemment, plusieurs géants européens des médias ont collaboré à la création d’un chatbot. Baptisé ChatEurope, ce dernier a tout simplement pour mission de lutter contre la désinformation en ligne. Comment fonctionne cet intelligence artificielle assez particulière ?
"Dans ce contexte où les fake news ont tendance à se multiplier, l’Union Européenne semble avoir décidé de contre-attaquer. Sous l’impulsion de l’Agence France-Presse, plusieurs médias tels que France Médias Monde, El País (Espagne), Deutsche Welle (Allemagne) et RFI Roumanie ont collaboré à la mise au point d’un nouveau chatbot. Baptisée ChatEurope, l’IA a été entrainée via un corpus journalistique sérieux, dont la vérification implique pas moins d’une quinzaine de rédactions européennes. Contrairement aux chatbots comme Gemini, ChatEurope ne synthétise pas des occurrences linguistiques probables. En effet, cette IA puise ses réponses dans des milliers d’articles déjà existants, à l’origine desquels nous retrouvons de vrais journalistes. Chaque réponse à une question est donc fidèle aux articles et mentionne clairement ses sources." texte Yohan Demeure
Le président ukrainien s'est entretenu par téléphone avec le locataire de la Maison-Blanche.

juin 2025

Une étude édifiante montre comment la désinformation climatique entrave l’action en faveur du climat. Qui désinforme ? Dans quels buts ? Comment réduire les fausses informations ? Explications.
L’Ukraine a frappé simultanément quatre bases aériennes russes ce week-end. Il s’agit de la première attaque de longue portée de ce type, mais selon une source à la Maison Blanche, les États-Unis n’étaient pas au courant de l’attaque et n’y ont pas participé.

mai 2025

Selon la rédaction, ces couvertures dénigrent l’Ukraine, « la politique migratoire de l’Angleterre, ou colportent des rumeurs sur l’identité sexuelle de Brigitte Macron » et semblent « d’abord destinées au public russe ».
La biodiversité est en mauvais état et est sévèrement menacée, ça, ce n’est pas une fake news. Une biodiversité en bon état, c’est la garantie d’une planète vivable et de territoires habitables pour les humains. Ça n’est pas une fake news. Ce qui n’est pas une fake news non plus, c’est que remettre en question les vérités scientifiques constitue une mise en danger de la démocratie. La vie en société et le contrat social ne peuvent tenir sans l’accord d’une «vérité partagée», une reconnaissance de ce qu’est la réalité.
De plus en plus d’internautes ont le réflexe de se tourner vers l’IA pour trancher un débat sur les réseaux sociaux. Mais ces modèles, qui n’ont pas été conçus pour ça, peuvent inventer des faits de toutes pièces. Même Perplexity, présenté comme plus fiable, peut être victime «d’hallucinations».


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