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Richesse
Le Belge Olivier De Schutter, rapporteur spécial sur les droits de l'homme et l'extrême pauvreté de l'ONU, tente de faire bouger les lignes.
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
La sociologue Monique Pinçon-Charlot dénonce la collusion des grandes fortunes et des gouvernants pour faire triompher la croissance économique à tout prix.
Selon l’étude annuelle «World Wealth Report» de Capgemini, la fortune des plus aisés a dépassé les 90 000 milliards de dollars en 2024. Un record depuis 1997 et la première publication de ce rapport annuel.
Les 1% des Belges les plus fortunés possèdent autant que les 75% les moins fortunés, rapportent L'Echo et De Tijd mardi, citant une étude de l'économiste Arthur Apostel (UGent), publiée par le Banque nationale.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Les 10% des personnes les plus riches de la planète sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990, dévoile une étude inédite publiée dans Nature climate change.
Une étude publiée dans Nature Climate Change révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables de deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990. En établissant un lien direct entre concentration de richesse et événements climatiques extrêmes, les chercheurs pointent une responsabilité très inégalement partagée et plaident pour des taxes ciblées.
Paper in Nature Climate Change journal reveals major role wealthy emitters play in driving climate extremes. The world’s wealthiest 10% are responsible for two-thirds of global heating since 1990, driving droughts and heatwaves in the poorest parts of the world, according to a study.
La sociologue Monique Pinçon-Charlot s’attelle, dans son dernier ouvrage, en forme de miscellanées, aux liens entre la destruction de l’environnement et l’appétit pour le profit.
L’administration Trump souhaite un accord avec Kiev donnant un accès aux minerais ukrainiens pour les entreprises américaines. Washington espère ainsi compenser son important soutien militaire et financier à l’Ukraine depuis le début de la guerre avec la Russie. De quels minerais s'agit-il ? Le pays possède-t-il aussi des terres rares ? France 24 fait le point sur les ressources ukrainiennes.
La richesse des milliardaires a augmenté de 314 milliards de dollars en janvier dernier, alerte lundi Oxfam Belgique.
Méfiez-vous des chiffres. Pour impressionnants qu’ils soient, les données sur la fortune financière peuvent nous tromper. Aussi riches soient-ils, les milliardaires n’ont pas le poids qu’on imagine.
Les riches continuent de s’enrichir. Cela ne fait aucun doute. Mais ce que l’on oublie souvent de dire, c’est comment ils y parviennent, non seulement par l’exploitation habituelle, mais aussi en conduisant activement le monde vers la catastrophe tout en se protégeant des retombées.
“Si vous gagnez 10 000€ par mois, c’est un problème pour le climat”. En général, expliquer ce qu’est le changement climatique et ses impacts ne fait pas vraiment débat. Mis à part les climatosceptiques opportunistes, tout le monde s’accorde à dire que c’est un problème et qu’il faudrait le régler. En revanche, lorsque l’on discute des solutions, et surtout de justice sociale et climatique, c’est souvent là que ça commence à gronder.
Un projet de taxe mondiale des personnes les plus fortunées, soutenu notamment par la France, l’Espagne, l’Afrique du Sud et la Colombie, mais combattu par les Etats-Unis, est au menu du sommet du G20 au Brésil.
Dans une lettre ouverte envoyée ce jeudi 11 juillet aux pays du G20, d’ex-chefs d’Etat et de gouvernement défendent l’idée d’un accord mondial visant à taxer les ultra-riches, afin de lutter contre l’évasion fiscale.
Le constat n’est pas nouveau, les pistes pour le dépasser le sont davantage. Les riches polluent. Que l’on se place à l’échelle d’un pays ou d’un individu, ceux qui brassent le plus d’argent contribuent largement au réchauffement de la planète, et par conséquent, au dérèglement de son climat. Et chaque année, des ONG comme Oxfam nous le rappellent.
Alors que se tient le Forum de Davos, notre rapport annuel sur les inégalités pointe une nouvelle fois la concentration extrême des richesses notamment entre les mains de certains actionnaires.
Les inégalités ne sont pas seulement financières. Alors que les cinq plus grosses fortunes au monde ont doublé depuis 20 ans, un nouveau rapport pointe l'impact climatique des placements des plus riches. Résultat : les 10% les plus riches ont une empreinte carbone bien supérieure à ce qui avait été calculé jusqu'ici.
Alors que le Forum économique mondial de Davos, en Suisse, s'ouvre lundi et se tiendra jusqu'au 19 janvier, l'ONG Oxfam publie un nouveau rapport dénonçant le doublement du patrimoine des cinq plus grandes fortunes du monde depuis 2020.
A Orléans, une collection abrite des milliers d’échantillons de terre, avec pour ambition d’étudier et surveiller leur évolution et les organismes qui y vivent.
Les plus grandes entreprises de la planète ont versé plus de 560 milliards de dollars de dividendes au deuxième trimestre, un record sur cette période, avec une tendance encore plus accentuée en France.
Pour Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, nos pays avancés produisent assez de richesses ; l’enjeu est de mieux les répartir.
Plus le PIB par habitant d’un pays est élevé, plus la quantité de viande avalée par personne a tendance à augmenter, montre cette infographie du journal suisse “Le Temps”.
Tirés par la hausse des prix du gaz et du pétrole, les bénéfices des cinq plus grandes majors pétrolières (BP, Chevron, ExxonMobil, Shell et TotalEnergies) ont dépassé les 150 milliards de dollars (142,8 milliards d’euros) en 2022 – un niveau inédit.
Mines, hydrocarbures, richesses locales... Les mercenaires russes de Wagner continuent de s’enrichir sur le dos de l’environnement et des peuples. En Ukraine comme en Afrique. Prédation, violence et business. Tel est le credo du groupe paramilitaire russe Wagner. Depuis le début du conflit en Ukraine, cette armée privée ne cesse de gagner en influence. Son essor rapide éclaire les nouvelles logiques de la guerre dans une époque marquée par la crise écologique et la compétition générale pour (...)
Dans une lettre publiée ce mercredi et relayée par Oxfam France, plus de 200 millionnaires demandent à payer plus d’impôts «pour notre bien commun».
« Chaque milliardaire représente un échec de politique publique », affirme l’organisation, qui propose dans un rapport de réduire par deux le nombre de milliardaires d’ici à 2030.
Sans gène. Le partage juste des bénéfices issus de l’utilisation des ressources génétiques est au cœur des négociations de la 15ème conférence des Nations unies (COP15) sur la biodiversité. Derrière l’aspect technique de ce dossier se cache d’intenses jeux de pouvoir entre les pays du Sud et du Nord.
Les émissions de CO2 d’un pays sont liées au PIB par habitant mais pas seulement. Météo, efficacité énergétique… A niveau de richesse égale, deux États pourront avoir un différentiel d’émissions par habitant d’un facteur de 6.
Mémoire de recherche
Le sous-sol de ce pays d’Asie centrale suscite des intérêts de toutes parts. Particulièrement en cette période troublée, où chacun tente de s’affranchir des approvisionnements contrôlés par Moscou.
Alors que les rapports affirmant que les ménages les plus aisés polluent plus que les classes populaires, les écologistes les ciblent à travers l’interdiction des jets privés ou la mise en place d’un ISF climatique pour une transition plus juste.
Qui peut-on considérer comme riche ? Existe-t-il, en France, un « seuil de richesse » comme il en existe un pour la pauvreté ? Et comment le définir ? Dans son nouveau « Rapport sur les riches en France », publié le 1er juin, l’Observatoire des inégalités a répondu à ces questions. En voici la synthèse et les chiffres-clés.
Le "groupe des super-riches", tel que défini par le Boston Consulting Group, a augmenté d'environ 300 personnes en 2021. Il s'agit de la plus forte augmentation depuis plus de dix ans.
L’Observatoire des inégalités, dans son nouveau rapport sur la richesse en France, utilise la notion de « seuil de richesse ». Pourquoi se référer à cette notion, qui n’est pas utilisée dans le débat public, et avec quelles limites ?
Pour le président de l’Observatoire des inégalités, Louis Maurin, la définition de différents niveaux de richesse permettrait d’échapper à la focalisation démagogique sur les 1% les plus aisés.
L'environnement est devenu une préoccupation majeure, mais sa prise en compte dans des politiques économiques implique d'en proposer une forme de quantification - or, « mesurer » l'environnement soulève de difficiles questions techniques, mais aussi d'importants choix politiques et sociaux. Introduction Il est aujourd'hui largement reconnu que la Nature est une source de richesse pour nos sociétés. Mais la manière dont cette richesse peut être mesurée est un sujet complexe,.....
La Guinée, un des pays les plus pauvres du monde malgré ses richesses minières, relance le projet d’exploitation de Simandou, la « montagne de fer », un projet grevé par les litiges, la corruption et l’instabilité politique. Une malédiction commune pour les pays producteurs, mais aussi pour leurs clients, explique Philippe Escande, éditorialiste économique au « Monde ».
Les banques centrales sous-estiment la menace significative que représente la perte de la biodiversité et de ses richesses dont dépendent pourtant entreprises et institutions financières, s'inquiète jeudi un rapport auquel ont participé des banques centrales. Les effets du changement climatique sont de plus en plus intégrés dans l'évaluation des risques économiques, mais c'est beaucoup moins le cas pour des menaces similaires issues de la destruction de la nature, selon ce rapport élaboré par des chercheurs et le réseau de banques centrales NGFS (Network of Central Banks and Supervisors for Greening the Financial System).
Les 10 personnes les plus riches du monde ont ajouté, au total, 402 milliards de dollars à leur fortune déjà conséquente au cours de l'année 2021, ressort-il dimanche de l'indice Bloomberg Billionaires.
Selon les calculs du World Inequality Lab, le patrimoine est très inégalement réparti sur la planète. Exemple le plus extrême : les 1% des personnes les plus riches possèdent près de deux fois plus que les 90% des plus pauvres.
Il est vrai que le pays a une longue tradition pacifiste et écoresponsable. Il a aboli l’armée dès 1948 et sa merveilleuse biodiversité y est protégée depuis longtemps dans des parcs nationaux qui recouvrent près d’un quart de son territoire. Conscient de ses richesses naturelles, le pays a investi dans le développement durable il y a plusieurs décennies. Conséquence : 99% de l’électricité y est aujourd’hui produite par des sources d’énergie renouvelable (hydraulique, éolien, solaire, biomasse, géothermie).
Été 2021 : certains milliardaires américains ont dépensé pour quelques minutes de voyage dans l’espace l’équivalent du revenu annuel de dizaines de milliers d’autres habitants de la planète... Non seulement les très riches posent un insoutenable problème d’inégalité, mais ils constituent un désastre environnemental.
Le revenu universel est-il un bon outil pour redistribuer la richesse et encourager la transition écologique en rémunérant des activités non réalisées dans l’emploi salarié ? Denis Bayon, journaliste à La Décroissance, n’est pas de cet avis. Dans son livre L’écologie contre le revenu de base (La Dispute, 2021), cet économiste de formation s’oppose à la fois aux écologistes défendant le revenu universel et à la gauche antilibérale qui s’y oppose,
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Les gouvernements, qui ont besoin de ressources supplémentaires pour continuer à aider les plus vulnérables pour sortir de la crise, pourraient augmenter les impôts sur les plus riches ou les entreprises ayant fait plus de bénéfices pendant la pandémie, recommande le Fonds monétaire international mercredi.
Les gouvernements, qui ont besoin de ressources supplémentaires pour continuer à aider les plus vulnérables pour sortir de la crise, pourraient augmenter les impôts sur les plus riches ou les entreprises ayant fait plus de bénéfices pendant la pandémie, recommande le Fonds monétaire international mercredi.
océan Austral, aussi appelé océan Antarctique, ne ressemble à aucun autre. Les océans du monde entier captent en effet plus de 90 % de la chaleur excédentaire générée par l’utilisation de combustibles fossiles et un tiers des rejets de CO2 qui en résultent.Le cycle annuel de formation et de fonte des glaces de mer autour de l’Antarctique fait partie des phénomènes déterminants pour la planète
comment expliquer le fait que la richesse en espèces animales et végétales est plus grande dans les tropiques, les oiseaux plus colorés, mais plus petits et la végétation plus dense et productive ? La température, qui varie considérablement des pôles aux tropiques, est un facteur clé pour expliquer ces patrons. Elle a des effets immédiats et différés sur tous les niveaux d’organisation du monde vivant : de la cellule à la communauté d’espèces,
À mesure que les ressources de la nature s’épuisent, les économies dépendent davantage du capital humain.
Le PIB et ses corollaires, le PIB par habitant et le taux de croissance économique, dominent l’imaginaire des politiques publiques alors qu’ils sont fondés sur au moins une croyance fausse, la croyance que dans un monde fini l’augmentation de la richesse matérielle peut être sans fin. Par quoi remplacer le PIB (produit intérieur brut) comme indicateur phare des politiques publiques ?
Les dix hommes les plus riches du monde ont un patrimoine combiné de 858,1 milliards de dollars, soit plus que les PIB des 85 pays les plus pauvres du monde, indique lundi le site d’informations financières Learn Bonds qui a regroupé plusieurs données pour élaborer cette comparaison.
L'homme le plus riche du monde, Jeff Bezos, patron d'Amazon, détient 112 milliards de dollars en 2018.
D’après les chercheurs, il a fallu dix millions d’années à la biosphère pour retrouver sa richesse après la dernière extinction de masse.
L'économiste fait le point sur le dogme de la croissance et les indicateurs alternatifs de richesse face, notamment, à l'urgence climatique.
Le réalisateur, avec Mélanie Laurent, de «Demain», appelle à la résistance et à la construction d’un grand récit commun rejetant la croissance économique illimitée et l’accumulation de richesse comme seuls moyens de parvenir au bonheur.
Selon le rapport d'Oxfam, 3,7 milliards de personnes, soit 50% de la population mondiale, n'a pas touché le moindre bénéfice de la croissance mondiale l'an dernier, alors que le 1% le plus riche en a empoché 82%.
L’idée d’un « au-delà du PIB » (« Beyond GDP ») semble désormais bien ancrée dans le paysage intellectuel et politique de la majorité des pays de l’OCDE et d’une frange croissante de pays hors OCDE [Boarini et Mira D’Ercole, 2013 ; NDP Steering Committee, 2013]. La mise en œuvre d’un tel objectif se heurte en revanche à l’absence de modèle alternatif consensuel qui permettrait de donner sens, orientation et cohérence à la nébuleuse des enjeux divers qu’un au-delà du PIB entend intégrer [Cassiers et al., 2011].
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