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La Wallonie peut atteindre l'autosuffisance alimentaire, à quelques conditions. Selon une étude menée par un chercheur de Gembloux Agro-Bio Tech, il faudrait repenser notre manière de manger et de mieux valoriser les ressources existantes.
Avant d'arriver dans nos robinets l'eau parcourt un long chemin, depuis les nappes phréatiques et les rivières wallonnes.
La commission Santé du Parlement wallon a examiné une proposition d'Ecolo visant à limiter l'usage des pesticides, sans obtenir le soutien du MR.
40 experts ont produit 40 indicateurs et 700 cartes qui permettent d’évaluer et localiser les risques climatiques auxquels la Wallonie est confrontée et ces données sont rassemblées sur le Portail Climat. Disposer d’un diagnostic robuste des vulnérabilités du territoire est un préalable à tout déploiement de politique d’adaptation et de mise en œuvre d’un programme d’action ambitieux.
Ce portail vise à mettre à disposition des personnes, entreprises et institutions wallonnes une appréciation des risques climatiques auxquels la Wallonie est confrontée. Le risque climatique désigne la probabilité qu’un phénomène météorologique ou climatique entraîne des conséquences négatives sur les sociétés, les économies et les écosystèmes. Il résulte de l’interaction entre un aléa climatique (comme une vague de chaleur ou une montée des eaux), l’exposition des éléments affectés (populations, infrastructures, ressources naturelles) et leur vulnérabilité.
Les auditions au parlement de Wallonie ont été marquées par l’intervention atypique d’Alfred Bernard, en rupture avec les autres experts. Le toxicologue, lui, ne cache pas son action politique.
C’est un zoom que nous propose l’Awac, l’Agence wallonne de l’Air et du Climat. Le réchauffement climatique est un phénomène mondial, global, mais quels seront ses effets à l’échelle de nos vies, de nos villes, de nos quartiers ? Plus de 40 experts ont dressé un état des lieux des risques climatiques pesant sur la Wallonie. Fruits de leur travail, 700 cartes sont mises à la disposition du public. Un mois de vagues de chaleur par an et des pluies trois fois plus fréquentes si la température globale augmente de 3 degrés. Aucune commune ne sera épargnée, même les plus rurales. C’est un travail inédit, doublé d’un appel à l’action.
Depuis trois mois, la présence d'un fongicide est régulièrement observée dans la Meuse dans des concentrations anormalement élevées.
Plus de 43.000 signatures ont été récoltées, au travers de six pétitions différentes, afin de s'opposer et d'interdire les pesticides en Wallonie, particulièrement ceux considérés comme dangereux car s'appuyant sur des PFAS, souligne lundi Canopea.
Une étude de l’ISSeP s’est penchée sur la dégradation réelle des sacs dits biodégradables vendus dans le commerce : sont-ils réellement biodégradables dans le compost ? Si les résultats sont concluants en milieu industriel (le compost issu des parcs à conteneurs), ils révèlent la présence de résidus persistants dans les composts domestiques et collectifs. Face à ces constats, le ministre wallon de la santé Yves Coppieters, contacté par la rédaction, recommande d’éviter l’usage de ces sacs dans les composts individuels.
L'intelligence artificielle bouscule l'enseignement supérieur, souligne la rectrice de l'UCLouvain à l'heure de préfacer la rentrée académique. L'université a donc développé sa propre IA.
Dans le nord du pays, 21 personnes ont été contaminées et cinq sont décédées. […] Deux résidents de la maison de repos "Le Lothier", à Ottignies-Louvain-la-Neuve (Brabant wallon), ont été infectés par la bactérie Stec (Escherichia coli productrice de shigatoxines), a annoncé samedi l'Agence wallonne pour une Vie de Qualité (Aviq).
Après plusieurs mois d’attente, les plus de 1250 citoyens ayant participé à la campagne de bio monitoring lancée dans dix communes du Hainaut et du Brabant wallon ont reçu aujourd’hui les résultats de leurs analyses sanguines. Cette initiative visait à évaluer l’impact de la présence de PFAS dans l’eau potable.
Pétition demandant l'interdiction progressive des pesticides de synthèse en Wallonie en vue de protéger la santé humaine et en particulier celle des enfants
Première école supérieure dédiée à l’agriculture biologique et à l’agroécologie bio.
L’entreprise Spadel a lancé de nouveaux travaux de forage à Nivezé. Les opérations, menées jusqu’à 150 mètres de profondeur, visent à augmenter les capacités de production de 10 à 15% d’ici trois ans. Cette initiative répond à l’évolution des habitudes de consommation vers l’eau, au détriment des boissons alcoolisées et sucrées.
1.276 citoyens ont participé de fin mai à début juillet à une campagne de biomonitoring organisée par l’ISSeP (institut scientifique de service public) dans la zone où l’eau est distribuée par le "Feeder du Hainaut". Ceux-ci recevront leurs résultats individuels ce mercredi 27 août, annonce le cabinet du ministre wallon de la Santé et de l’Environnement Yves Coppieters mardi dans un communiqué.
Ce lundi 25 août 2025, SOS Notre Santé ASBL, accompagnée de plus de 130 citoyens, annonce sa constitution de partie civile dans l’affaire des PFAS. Les citoyens regrettent n’avoir toujours pas reçu de résultats concernant l’origine de l’intoxication.
Produire de l’hydrogène à partir du gaz qui se trouve dans nos mines, c’est l’idée du centre de recherche Matéria Nova à Mons. Ce centre travaille en effet sur une solution pour produire de l’hydrogène à l’échelle locale au départ de méthane, le tout sans émettre de CO2 dans l’atmosphère. Cette solution innovante intéresse des industriels.
Si vous souhaitez vous rafraîchir en rivière, privilégiez les zones de baignade pour ne pas avoir de mauvaises surprises. Ce week-end, au festival des arts de la rue de Chassepierre, plusieurs campeurs ont eu la mauvaise surprise de voir que les eaux usées des toilettes du camping éphémère se retrouvaient dans la Semois. En fait, les eaux usées ne sont pas encore assainies, à 100% partout. En Province de Luxembourg, pour encore 14% de la population, les systèmes d’assainissement collectifs sont inexistants.
Si vous revenez de vacances : de France, d’Espagne ou d’Italie, vous êtes peut-être passé à proximité de champs de maïs copieusement arrosés alors que la sécheresse et la canicule sévissent. De plus en plus d’agriculteurs irriguent également en Wallonie et avec le changement climatique ou la répétition des sécheresses, va-t-on un jour voir les mêmes dispositifs d’irrigation se généraliser chez nous ?
Depuis plusieurs années, Natagora participe à la mise en place d’un réseau de mares en milieu agricole, pour restaurer la biodiversité. En raison des coupes budgétaires du gouvernement wallon, elle n’est cependant plus en mesure d’accompagner les agriculteurs qui souhaitent apporter leur petite pierre à l’édifice. Plusieurs dizaines de projets en cours pourraient être abandonnés.
La pétition lancée en France a passé ce lundi la barre des deux millions de signatures. Au cœur de la controverse, l'acétamipride, un insecticide que la loi Duplomb réintroduit en France. Chez nous, ce produit est toujours utilisé. Écolo lance donc une pétition pour l'interdire, ainsi que d'autres pesticides.
Un seul dossier ce jeudi à l’ordre du jour de la Commission de la santé, de l’environnement et de l’action sociale du Parlement de Wallonie : la contamination de l’eau de distribution à la station de captage de Ramillies. Pendant plus de cinq heures, le ministre wallon de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters, ainsi que les responsables du SPW Agriculture, Ressources naturelles et Environnement et de la SWDE ont répondu aux très nombreuses questions des parlementaires.
Les auditions sur l'utilisation des pesticides en Wallonie se sont poursuivies lundi en commission conjointe Santé-Agriculture du parlement régional. Après les représentants du monde médical et des fédérations agricoles, c'est la Cour des comptes qui est venue détailler son récent audit sur le sujet.
La Wallonie doit creuser de nouvelles mines dans son sous-sol, à la recherche de terres rares. Pour le président du MR Georges-Louis Bouchez, c'est la seule façon de réduire notre dépendance à la Chine.
Alors que 2,2 milliards sont à la clef, la Belgique peine à finaliser son plan social climat visant à compenser les effets du futur marché européen du carbone sur les plus précarisés. La Wallonie avance, Bruxelles suit, le fédéral bloque.
Cette question était au centre de l’atelier « Du SDT aux SDC : Réduire la vulnérabilité du territoire et des habitants » qui s’est tenu le 13 mars dernier dans nos locaux. L’objectif était d’examiner comment intégrer le principe de mise en œuvre SA5.P4 du SDT : « La vulnérabilité des espaces urbanisés, des infrastructures et des bâtiments est réduite en vue d’anticiper et de limiter les risques de dommages. Pour ce faire, les risques naturels sont pris en considération lors de la planification de tout projet d’aménagement, mais également lors de la conception d’infrastructures, des réseaux de communication et de transport de fluide et d’énergie. »
Un rapport du Service Public de Wallonie (SPW) publié en toute discrétion, révèle une augmentation de la contamination au TFA, le plus petit des PFAS, dans les zones wallonnes testées lors d’un second monitoring. Vingt-trois d’entre elles ont une teneur supérieure ou égal au seuil, contre treize lors du premier monitoring.
La question revient régulièrement : doit-on ouvrir de nouvelles mines en Wallonie pour participer à la transition énergétique et numérique ? La plupart des acteurs académiques et politiques s’accordent sur des arguments semblables : “oui, nous devons prendre notre part, l’Union européenne a fixé le cap, il en va de notre autonomie vis-à-vis de la Chine”. Et d’aucuns d’ajouter : “ce n’est pas juste de faire subir à des populations du Sud les pollutions de notre modèle de consommation”.
Les Wallons vivant dans des communes contaminées par les PFAS sont invités à ne plus consommer les œufs de leur poulailler, a indiqué vendredi le ministre wallon de l'Environnement, Yves Coppieters (Engagés) sur la Première (RTBF).
Ce vendredi matin, le ministre wallon de l’Environnement, Yves Coppieters (les Engagés) a déclaré sur notre antenne de la Première (RTBF) que les Wallons vivant dans des communes contaminées par les PFAS sont invités à ne plus consommer les œufs de leur poulailler.
Le gouvernement wallon vient d'approuver un portefeuille d'actions pour améliorer la santé des citoyens en agissant sur leur environnement. Baptisé ENVIeS 2025-2030, ce projet s'appuie sur les consultations menées avec les citoyens, les professionnels de la santé, les chercheurs, les administrations et les associations.
L’Europe a fixé, dans le Green Deal, un objectif de réduction de 50% de l’utilisation des pesticides sur son territoire d’ici 2030. Dans ce domaine comme dans d’autres (notamment les objectifs climatiques), la Wallonie s’inscrit dans l’objectif… sans se donner les moyens d’y parvenir. C’est ce que pointe un rapport publié début mai par la Cour des comptes.
Les connaissances scientifiques relatives au changement climatique et à ses impacts ne cessent de progresser. Les études se multiplient, elles explorent de plus en plus finement les conséquences très concrètes du réchauffement et permettent désormais de se pencher sur un territoire aussi petit que la Wallonie.
Le réchauffement planétaire aura des impacts de plus en plus marqués dans notre pays. Des chercheurs se sont penchés sur les perspectives en Wallonie. Déjà, dans un monde à 2 ºC, très probable, la facture s’élèverait à près de deux milliards par an.
Commençons par rappeler quels sont ces objectifs climatiques dont on parle tout le temps. Au niveau européen, ils ont été initiés dans le cadre du Green Deal et sont incarnés par la loi européenne pour le climat[1]. Celle-ci inscrit dans la loi “neutralité carbone pour l’Europe en 2050”, et fixe également l’objectif intermédiaire d’une réduction des émissions de 55% entre 1990 et 2030. Ces deux objectifs sont repris en Wallonie dans le Décret neutralité carbone[2].
Incontrôlable et destructeur, le raton laveur envahit la Wallonie. Introduit d’Amérique, ce prédateur prolifère à une vitesse alarmante : 100.000 individus dénombrés, des ravages en cascade dans les campagnes et les villes. Silos éventrés, poulaillers décimés, intrusions dans les maisons : les dégâts se chiffrent en milliers d’euros.
Vu la trajectoire des émissions en Wallonie, seules des mesures politiques fortes et immédiates peuvent redresser la barre (voir ici pour s’en convaincre). La Wallonie dispose déjà d’un Plan Air-Climat-Énergie (PACE 2030) approuvé par le précédent gouvernement. Nous vous en avions abondamment parlé dans cette racine. Nous soulignions à quel point il péchait déjà par un manque de précision et de chiffrage.
Le gouvernement néerlandais alerte sur la présence excessive de PFAS dans les œufs de poules élevées à domicile. En Flandre et en Wallonie, des appels à la prudence sont également lancés.
Jusqu’où iront les futures routes de l’hydrogène ? Notre pays avait mis au point des plans très ambitieux en la matière mais le nouveau gouvernement fédéral, à la recherche d’économies, est en train de revoir sa copie. Voilà qui ne fait pas forcément plaisir aux industriels concernés, particulièrement en Wallonie.
Le réchauffement climatique a des conséquences sur la flore de notre pays. Ainsi, des essences d’arbres venant du sud ou de l’est de l’Europe migrent tout doucement vers nos régions. La Société Royale Forestière de Belgique a décidé d’accélérer cette migration naturelle. Le projet européen MigForest permet de sélectionner les arbres qui seront les mieux adaptés à notre climat dans le futur.
La Convention d’Aarhus garantit l’accès à l’information, la participation du public et l’accès à la justice en matière environnementale. C’est grâce à celle-ci que nous pouvons notamment demander à consulter les informations environnementales détenues par les autorités publiques et que ces dernières doivent tenir des informations environnementales à jour et de manière transparente. C’est aussi grâce à elle que les citoyen·ne·s participent aux décisions environnementales via des mécanismes comme les enquêtes publiques.
Pourquoi l’eau que l’on boit est-elle polluée ? En Wallonie et à Bruxelles, l’eau de notre robinet vient à 80% des nappes phréatiques et 20% des eaux de surfaces comme les rivières. Ces eaux sont toutes polluées et vont subir un traitement pour être rendue « potable » dans des stations de potabilisations. Ces procédés ont malheureusement des limites et ne permettent pas d’enlever tous les polluants. Il subsiste donc une petite partie de tous ces polluants dans notre eau du robinet. Par ailleurs, il est bon de comprendre que les eaux de « sources » en bouteilles proviennent elle aussi des eaux souterraines et contiennent aussi ces polluants en quantités variables.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
La forêt représente un tiers du territoire wallon, soit la même proportion qu’à l’échelle européenne et mondiale. Elle apporte des services écosystémiques indispensables à notre société, tels que le stockage de carbone, l’atténuation des extrêmes climatiques (inondation et canicule), l’accueil de la biodiversité, la purification de l’eau et de l’air et bien d’autres.
La Déclaration de politique régionale wallonne (tout comme au niveau fédéral d’ailleurs) l’assure : « Le Gouvernement s’inscrit pleinement dans l’objectif de neutralité carbone en 2050 et un objectif intermédiaire de -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030. En collaboration avec l’Autorité fédérale et les autres entités belges, le Gouvernement se donnera les moyens de les atteindre ». De grandes inquiétudes pèsent néanmoins sur l’atteinte de ces objectifs, alors que les rares dates inscrites dans le Plan Air-Climat Énergie (PACE) sont, les unes après les autres, reportées.
Près de 11% des Wallons déclaraient avoir des difficultés à chauffer correctement leur logement en 2023, contre 2,3% en Flandre et 10% à Bruxelles, ressort-il lundi d'une étude de l'Iweps. Un chiffre surprenant selon l'institut wallon de statistiques, alors que c'est généralement Bruxelles qui occupe la position la plus défavorable en termes d'indicateurs de précarité.
Une campagne d'exploration inédite va bientôt débuter. Elle s'appellera "Walscan". Son ambition? Analyser le sous-sol wallon en profondeur, et sur une grande distance, afin de détecter de nouveaux réservoirs d'eau chaude, comme ceux qui sont exploités depuis des années en région montoise.
Une vague d’interventions sans précédent sur les contenus, le personnel et le financement de la recherche scientifique touche actuellement les agences fédérales et les institutions universitaires aux États-Unis. La mise en œuvre des nombreux décrets de Donald Trump touchant aux questions de genre, de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), aux thématiques environnementales et climatiques et à l’aide au développement se traduit par une politique de censure, d’intimidations, de licenciements et de réductions budgétaires. Les agences fédérales ayant en charge la santé (le centre de contrôle des maladies, CDC), l’environnement (l’agence de protection de l’environnement, EPA), les désastres (agence fédérale de gestion des urgences, FEMA) sont les plus immédiatement concernées et font l’objet de véritables purges dans leurs sites web, bases de données et programmes de financement. Quant à l’agence qui avait en charge l’aide au développement, l’USAID, elle a tout simplement été dissoute.
L'Institut scientifique de service public (ISSeP) et le ministre wallon de la Santé et de l'Environnement Yves Coppieters ont présenté mercredi les résultats d'un biomonitoring humain destiné à mesurer l'exposition de la population wallonne aux substances chimiques et aux polluants présents dans l'environnement, l'eau et l'air. Cette exposition n'est pas supérieure à la moyenne européenne mais les taux observés de PFAS, cadmium, plomb et mercure présentent des risques pour la santé.
Le parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles vient de lancer un projet-pilote afin d'utiliser l'intelligence artificielle (IA) pour la rédaction des comptes rendus de ses travaux en commissions parlementaires ainsi que des séances plénières.
La fédération des énergies renouvelables, Edora, déplore un plafonnement de la capacité éolienne en Wallonie et plaide pour un coup d'accélérateur, principalement sur l'octroi des permis, pour atteindre les objectifs de déploiement d'éoliennes fixés par la Région et l'UE, rapporte Le Soir.
Des quantités "très élevées" des quatre PFAS les plus dangereux ont été détectés dans l'eau de distribution à Ittre (Brabant wallon), a indiqué la députée socialiste Anne Lambelin, mardi, en commission du parlement wallon.
Le Broyeur à métaux Keyser de Courcelles a rendez-vous avec la justice le 25 février prochain. La SA Keyser et fils ainsi que son patron, Rodolphe Keyser, se retrouvent en correctionnelle pour une infraction environnementale présumée. Une quantité trop importante de COT, carbone organique total, a été relevée il y a quelques mois par la police de l’environnement.
Plusieurs cours d’eau wallons ont franchi, vendredi soir, le seuil de pré-alerte à la suite des fortes pluies qui sont tombées sur le sud du pays, avertit vendredi la cellule d’expertise pluies du Service Public de Wallonie (SPW).
Plus que jamais l’investissement public dans la rénovation représente un moyen efficace de réduire notre dépendance aux coûteuses et douteuses importations d’énergies fossiles, de réduire nos factures de gaz/mazout et, par la même, de diminuer nos émissions de GES. Ces fonds publics cruciaux sont pourtant réduits par le Gouvernement wallon.
"On est tombé de notre chaise, parce qu’on ne comprend pas vraiment le message." Gaetan Sgualdino, le président de l’Union Wallonne de la Protection Animale ne cache pas sa colère. Le budget régional 2025 prévoit une diminution de 59% des subsides alloués aux Creaves, ce qui représente plusieurs centaines de milliers d’euros.
En Wallonie, l’interdiction des chaudières à mazout, prévue dans le Plan Air Climat Energie (PACE) du gouvernement précédent, sera postposée, a assuré la ministre régionale de l’Énergie, Cécile Neven, mercredi, en séance plénière du Parlement wallon.
Alors que les députés wallons doivent approuver, ce mercredi, le budget 2025 de la Région, les associations environnementales Canopea, Natagora et WWF appellent à nouveau le gouvernement wallon à établir un plan de financement à l’horizon 2030 "qui devra se baser sur un inventaire clair des dépenses actuelles allouées à la biodiversité ainsi que sur une estimation du déficit à combler pour arriver aux objectifs et obligations internationales et européennes en matière de biodiversité d’ici à 2030".
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