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sylvestre huet
Le réchauffement climatique serait-il en train de s'emballer ? Les climatologues sont-ils passés à côté d'une accélération du changement en cours ? Le sujet est chaud chez les climatologues... comme dans les discussions de comptoir ou des articles de journalistes.
Comment financer l'action contre le changement climatique ? Alors que la planète explose tous les records de chaleur depuis le début des relevés météorologiques, voici les réponses de Jean-Charles Hourcade, l'un des chercheurs les plus impliqués dans l'économie du changement climatique. Auteur coordinateur pour le groupe 3 du GIEC de 1995 à 2007, et auteur … Continuer la lecture de « Comment financer l’action climatique ? »
Claude Lorius vient de décéder à 91 ans, apprend-on aujourd'hui. Le scientifique laisse au journaliste le souvenir des rencontres, nombreuses depuis le début des années 1990. Le souci de faire passer le message des découvertes glanées dans les glaces de l'Antarctique. Alors, plutôt qu'une image récente du vieil homme, voici celle de cette aventure au ...
Depuis lundi matin, à Interlaken en Suisse, se tient la réunion plénière du GIEC, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat. Le GIEC doit y adopter son 6ème rapport de synthèse qui sera publié lundi 20 mars. Un rapport très attendu. Les rapports de synthèse du GIEC, parus en 1990, 1995, 2001, 2007 et …
Ce matin, sort en librairie Giec, urgence climat le rapport incontestable expliqué à tous. Fondé sur les rapports complets des trois groupes de travail du GIEC, parus en 2021 et 2022, il en restitue l’essentiel. Son coeur est en effet constitué par trois chapîtres qui suivent au plus près le texte des experts, mais avec des choix drastiques de réduction. Une obligation incontournable puisque les rapports complets titillent les dix mille pages.
Réalisé par des milliers d’experts de toutes nationalités et adopté par les gouvernements à l’ONU, le rapport du Giec fait consensus. Sylvestre Huet, journaliste spécialiste des questions climatiques, le synthétise et le décrypte afin que chacun puisse y avoir accès.
La «grippette», «l’infection respiratoire la plus facile à soigner» de Didier Raoult, la COVID-19 donc, a tué environ 15 millions de fois en deux ans. C’est ce qu’affirme une équipe de l’Organisation mondiale de la sante (OMS) dans un article paru ce jour dans la revue scientifique Nature.
A l’heure du recours en urgence aux centrales à charbon pour générer de l’électricité, un retour s’impose aux leçons du smog mortel de Londres, survenu il y exactement 70 ans, début décembre 1952. Un article qui vient de paraître dans la revue Environnement, risques et santé permet de revenir sur cet épisode catastrophique mais également déclencheur de politiques publiques visant à assainir l’air de nos villes.
Durant cet été 2022 caniculaire, les centrales nucléaires ont-elles nui à la vie de nos cours d’eau ? La question est logique, au vu des températures et des débits estivaux. Même si les épisodes caniculaires ont été bien plus courts qu’en 2003, leur répétition a soumis les éco-systèmes à rude épreuve
Nous sommes en 2022. Exactement trente ans après la signature de la Convention Climat de l’Organisation des Nations Unies. Signée en 1992, par la presque totalité des gouvernements et ratifiée ensuite par la plupart des parlements de la Planète. Par cette Convention, les parties signataires s’engageaient à « préserver le système climatique pour les générations présentes et futures
Le résultat est particulièrement démonstratif du caractère climato-compatible de cette source d’électricité, puisqu’il affiche moins de 4 grammes d’équivalent CO2 par kWh produit. Très exactement 3,7 grammes tous gaz à effet de serre confondus dans cette unité d’équivalent CO2 qui permet de les compter ensemble (le chiffre pour le seul CO2 émis tombe à 3,1 grammes). Pourquoi démonstratif ? Tout simplement parce qu’il s’agit d’un chiffre parmi les plus bas possibles relativement à n’importe quel autre moyen de production d’électricité.
Les températures moyennes d’avril 2022 à la surface de la planète sont d’accord avec le dernier rapport du GIEC. Bon, ok, c’est un peu trop anthropomorphiste comme vision des choses naturelles. Alors disons que ces températures, qui n’ont pas d’idées ni d’intentions et ne lisent pas les rapports du GIEC, correspondent tout à fait avec ce que les experts y écrivent.
Le dernier rapport de l’Agence internationale de l’énergie le confirme : l’appel à une sortie de crise sanitaire climato-compatible n’a pas été entendu. Malgré des restrictions d’activité encore en cours, l’année 2021 a vu un tel rebond des émissions de CO2 liées aux énergies fossiles que le creux de 2020 est déjà effacé. Plus 6% et un total de 36,3 milliards de tonnes envoyées vers l’atmosphère. Un chiffre boosté par l’effet prix : en 2021, le gaz a commencé la hausse aujourd’hui explosive de ses prix, ce qui a reporté la production d’électricité vers du charbon, encore plus émissif en CO2, notamment aux États-Unis et en Europe.
Alors que l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe fait flamber le prix du pétrole et du gaz, notre addiction aux énergies fossiles est souvent dénoncée (comme ici par des ONG). Mais est-ce le bon mot ? Et donc une bonne façon d’affronter la difficulté ? Question secondaire, la licence journalistique au regard de la précision du vocabulaire est-elle une bonne excuse si le mot n’est pas celui qui convient ? Il faut, malheureusement, répondre un triple non à cette triple question.
Sobriété. C’est l’un des mots clés des scénarios énergétiques sous contraintes climatiques récemment publiés par RTE, l’Ademe ou l’association Negawatt. C’est le mot que l’on trouve aussi bien dans les manifestes lancés par les militants du climat que sous la plume des scientifiques ou de responsables politiques pour désigner l’un de moyens nécessaires à l’atteinte des objectifs climatiques de l’Accord de Paris signé en 2015.
L’équipe de la Nasa et de l’Université Columbia de New York vient de publier son bilan climatique de l’année 2021. Le voici résumé en quelques graphiques
Face à la puissance - Une histoire des énergies alternatives à l’âge industriel François Jarrige, Alexis Vrignon. Ré-écrire l’histoire du côté des vaincus est toujours révélateur, passionnant, source de réflexions inédites. D’abord parce que, dominé, ce côté est systématiquement sous-traité par l’historiographie. Ensuite parce qu’il débouche souvent sur une histoire plus « vraie » en en éclairant des pans entiers restés dans l’ombre.
Cette note présente le résumé pour décideurs du groupe 1 et son document « réponses aux questions fréquentes » (FAQ en anglais) à travers une sélection de graphiques rapidement commentés. Elle ne porte donc que sur la physique du climat.
De moins en moins d’oxygène. Et des températures de plus en plus élevées. Où ? Dans les lacs des régions tempérées. Un nouveau signal d’alarme tant cet effet du changement climatique est susceptible de modifier tous les écosystèmes lacustres frappés.les lacs ne représentent que 3% environ de la surface des terres émergées. Mais leur rôle écosystémique et dans le cycle de l’eau est bien plus important que ce petit pourcentage.
Les glaciers de la planète Terre fondent à vitesse accélérée. Avec une perte de masse de glace d’environ 267 milliards de tonnes par an depuis l’an 2000. L’accélération ? La perte totale de glace est passée de 227 gigatonnes (un giga égale un milliard) de glace par an entre 2000 et 2004 à 298 gigatonnes par an entre 2015 et 2019.
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Les calottes de glace sont-elles éternelles ? Comment le climat des 1 000 dernières années a-t-il évolué ? En quoi le changement produit par l’homme est-il inédit ? Comment les gaz à effet de serre influencent-ils le climat ? La sécurité alimentaire est-elle en danger ? La France est-elle un bon élève du climat ?
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L’Organisation météorologique mondiale vient de publier son rapport sur le climat en 2019. Aux données physiques, elle ajoute quelques informations sur les risques climatiques.
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Les modèles de climat qui nous promettent le changement climatique le plus fort ont raison. C’est la conclusion d’une équipe de chercheurs de Corée du Sud et des Etats-Unis dans un article (1) paru hier dans la revue Sciences Advances. Une conclusion venue… du nord et du passé.
L’année 2019 n’est pas encore terminée, mais les spécialistes du calcul des émissions de CO2 les connaissent déjà. Ce matin, les climatologues du Global Carbon Project publient trois articles (1) dans des revues scientifiques sur leur analyse des tendances 2019.
Le changement climatique accélère son tempo. Sous les coups de boutoirs d’un effet de serre lui aussi en phase d’accélération. Démonstration en quelques graphiques.
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Depuis Jésus, on avait pas vu ça. Un climat pareil. Avec du réchauffement partout, sur toute la planète simultanément, et aussi rapidement. Le rapport avec Jésus ? Donc Dieu et tout ça ? Aucun. C’est juste que les climatologues sont parvenus à reconstituer les températures de la planète de manière assez précise à la surface de toute la Terre depuis… 2000 ans.
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Le verdict est tombé, un peu tard pour cause de shutdown sur les agences américaines, mais il montre une année 2018 où cela a chauffé fort sur la Terre. Et ce n’est pas la faute au Soleil, précisent des scientifiques américains puisque l’astre du jour était… au creux de son cycle. Revue de détail.
En quelques tableaux, il est possible de comprendre l’essentiel des relations entre les éléments du trio ( climat, économie, co2) sur la période 1990/2017, autrement dit celle du « grand paradoxe » des trente dernières années : en 1990, publication du premier rapport du GIEC, et depuis, une augmentation considérable de ces émissions, suivant le pire des scénarios envisagés.
L’analyse des températures au mois de juillet 2018, récemment publiée par la Nasa, montre qu’il s’agit du troisième mois de juillet le plus chaud depuis le début des relevés thermométriques en moyenne planétaire.
Les optimistes avaient tort. Ils ont cru, sur la foi des bilans énergétiques et d’émissions de CO2 de 2014 à 2016 que le monde s’était engagé dans une voie vertueuse.
La date anniversaire de l’accident nucléaire de Fukushima, consécutif au séisme géant et au tsunami du 11 mars 2011 qui ont causé près de 19 000 morts, permet de revenir sur quelques questions. La plupart des articles publiés dans la presse à cette occasion ont en effet été très peu prolixes sur l’état des réacteurs ou celui de la décontamination des territoires.
Même pas besoin du pétrole et du gaz, le charbon suffit à tuer l’Accord de Paris. C’est ce que deux articles récemment publiés dans des revues scientifiques affirment.
La Nasa vient de publier sur Youtube une vidéo visualisant l’évolution des températures planétaires depuis 1880 – le début des relevés thermométriques – et jusqu’à décembre 2017.
En 2018, la Chine va accélérer son programme électro-nucléaire. L’un des événements attendus en sera la connexion au réseau du premier EPR opérationnel, Taishan-1, conçu par Areva. Pourtant, sa construction a démarré en novembre 2009, deux ans… après celle de l’EPR de Flamanville.
La glace de la calotte polaire du Groenland est-elle en train de fondre vraiment plus vite qu’auparavant ? Et le changement climatique provoqué par nos émissions de gaz à effet de serre en est-il vraiment responsable ?
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Donald Trump veut diminuer les crédits de la Nasa consacrés à l’étude de la Terre. Avec une chute de plus de 150 millions de dollars pour son budget 2018 relativement à l’année 2017. On le comprend. Avec les températures planétaires du mois de juillet que l’équipe du Goddard Institute for Space Studies (GISS), associée à l’Université Columbia de New York, vient de publier, il se trouve une nouvelle fois contredit par l’Agence spatiale des États-Unis.
Avec 0,92°C au dessus d’une moyenne climatologique calculée sur la période 1951/1980, janvier 2017 est au dessus de janvier 2015, et au troisième rang des mois de janvier depuis le début de la série des relevés thermométriques planétaires
Un climato-sceptique vient de ravir la présidence des États-Unis d’Amérique en la personne de Donald Trump. Il a annoncé son intention de déchirer l’Accord de Paris, ou simplement d’utiliser le fait qu’il n’est pas contraignant sur l’essentiel, les volumes d’émissions de gaz à effet de serre, ce qui affaiblit considérablement le discours de ceux qui y voient une « prophétie auto-réalisatrice« .
Comme les sept premiers mois de l’année, août 2016 détient le record de température annonce l’équipe Nasa/Université Columbia de New York. Malgré la décrue nette du phénomène El Niño dans l’Océan Pacifique tropical, 2016 devrait donc également décrocher la première place du classement, détrônant… 2015.
En mai 2016, l’indicateur de température planétaire dépasse de 0,93°C la moyenne 1951/1980. C’est ce qui ressort de l’analyse publiée par l’équipe Nasa/Université Columbia de New York. La température calculée sur la période de janvier à mai 2016 dépasse cette moyenne de 1,15°C, un niveau très élevé, montrant que l’objectif fixé à la COP-21 de viser une hausse maximale de 1,5°C relativement à la période pré-industrielle (1750) est hors de portée.
Dans son discours d'ouverture de la COP-21, François Hollande a ouvert la voie à l'inscription dans l'accord "universel et contraignant", d'un autre objectif climatique que celui retenu à Copenhague en 2009. Ne pas dépasser 2°C d'élévation de la température moyenne de la planète relativement au niveau pré-industriel. L'accord pourrait contenir un ajout présenté comme un meilleur objectif, "1,5°C", prudemment précisé d'un "si c'est possible", a avancé le Président de la République.
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Que faut-il savoir du dossier climatique pour prendre part au débat citoyen sans se faire duper ? Que valent les slogans des uns et des autres ?
Même si elles sont tenues, les promesses des États à la COP-21 ne permettront pas d'atteindre les objectifs climatiques visés. C'est ce qu'affirme une étude du Grantham Institute, de la London School of Economics