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sécheresses
Alors que le gouvernement expérimente un nouveau dispositif de prévention contre le retrait-gonflement des argiles dans plusieurs départements, dans le Périgord, une des zones pilotes, sinistrés et élus dénoncent des critères d’indemnisation opaques.
Pour la troisième année de suite, les scientifiques ont enregistré en 2024 une fonte généralisée dans toutes les régions glaciaires. Ces six dernières années, seul un tiers des bassins hydrographiques ont connu des conditions de débit normales.
Canicules, sécheresses et incendies. Après cet été brûlant, la climatologue Valérie Masson-Delmotte déplore que le gouvernement se cantonne à de la gestion de crise. « On n’a aucun cap au-delà de 2030 », résume-t-elle.
Les sécheresses ne posent pas seulement problème pour les stocks d’eau potable et pour l’agriculture : elles occasionnent aussi des dégâts sur le bâti à travers le retrait-gonflement des argiles. Ce phénomène est en pleine expansion en France du fait du changement climatique, avec un point de bascule notable en 2015.
C’est en raison du phénomène de retrait-gonflement des argiles que les sécheresses causent des dégâts tant sur les routes – y compris les pistes cyclables – que sur les maisons et les réseaux ferrés. De nouvelles techniques en cours de développement se montrent prometteuses pour limiter l’impact du phénomène.
Le risque de retrait-gonflement des sols argileux, associé aux périodes de sécheresse, est en forte augmentation du fait du changement climatique. Il occasionne des dégâts considérables sur les bâtiments, mais également sur les routes. Rien qu’en 2022, il a coûté plus de trois milliards d’euros à la collectivité et aux assureurs. Des recherches récentes ont construit un indicateur pour prévoir l’évolution future des risques.
Si vous revenez de vacances : de France, d’Espagne ou d’Italie, vous êtes peut-être passé à proximité de champs de maïs copieusement arrosés alors que la sécheresse et la canicule sévissent. De plus en plus d’agriculteurs irriguent également en Wallonie et avec le changement climatique ou la répétition des sécheresses, va-t-on un jour voir les mêmes dispositifs d’irrigation se généraliser chez nous ?
Une perte silencieuse, invisible à l’œil nu, est en train de transformer la Terre. Depuis plus de vingt ans, l’eau douce s’évanouit peu à peu des continents, emportée par le changement climatique, les sécheresses et une exploitation effrénée des nappes phréatiques. Aujourd’hui, les scientifiques tirent la sonnette d’alarme : c’est l’ensemble de notre sécurité hydrique mondiale qui vacille.
Dans les différentes «sierras» du pays, des collectifs d’irrigateurs, éleveurs ou agriculteurs, utilisent d’anciens canaux creusés dans la terre pour retenir l’eau de pluie et lutter contre les effets du réchauffement climatique.
Dans moins de six ans, une tragédie sans précédent pourrait frapper l’une des capitales les plus peuplées d’Asie. Kaboul, qui abrite plus de 5 millions d’habitants, s’apprête à vivre un cauchemar hydrique historique : devenir la première capitale moderne au monde à voir ses réserves d’eau complètement taries. Cette catastrophe annoncée révèle l’ampleur d’une crise mondiale qui menace désormais des milliards d’êtres humains.
Depuis 2018, près de 90 000 personnes du peuple Antandroy ont été contraintes de quitter le sud de Madagascar, frappé par des sécheresses chroniques. Dans un rapport accablant, Amnesty International dénonce l’inaction des autorités face à cette crise humanitaire et aux violations des droits fondamentaux des déplacés internes. Conditions de vie indignes, expulsions forcées, familles séparées : les Antandroy sont aujourd’hui parmi les plus vulnérables du pays. Notre invité, Nciko Arnold, conseiller sur la justice climatique pour Amnesty International, revient sur les conclusions de ce rapport et sur les responsabilités des autorités malgaches et de la communauté internationale.
Plus de la moitié (52%) des sols en Europe et sur le pourtour méditerranéen étaient affectés par la sécheresse au début du mois de juillet, selon l'analyse par l'AFP des dernières données de l'Observatoire européen de la sécheresse (EDO).
Visualisez les zones concernées par des arrêtés préfectoraux liés au manque d’eau sur notre carte interactive, mise à jour quotidiennement.
La préfecture du département, qui craint une situation comparable à 2019, a décidé vendredi de plus fortes restrictions d’eau « afin de préserver les milieux naturels et garantir les usages prioritaires ».
Les fortes chaleurs et le manque de pluie ont significativement accru le risque de propagation des feux de forêt en France. Ce mercredi 2 juillet, la région parisienne, le Centre et les Pays-de-la-Loire sont aussi inflammables que les départements de l’Arc méditerranéen.
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