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Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
Des données inédites révèlent que des projets d’exploitation déjà planifiés à travers la planète sont susceptibles de rejeter à eux seuls des quantités de CO₂ largement supérieures au budget carbone restant à l’humanité pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.
Malgré l’urgence climatique, les investissements mondiaux dans les énergies fossiles continuent de croître, soutenus par un réseau dense de financements bancaires.
Développer des matériaux nouveaux semble toujours nécessaire pour répondre à des besoins urgents en médecine ou dans le registre de la transition écologique. Pourtant, l’extraction des matières premières nécessaires à leur fabrication et leur mauvaise capacité de recyclage engendrent des impacts environnementaux très lourds. Comment résoudre ce dilemme ?
L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
Les chercheurs se rapprochent d’une étape surprenante : la culture de cerveaux humains miniatures en laboratoire. Si ces “organoïdes cérébraux” restent aujourd’hui rudimentaires, leur évolution soulève des questions inédites sur la conscience, la douleur et la réglementation scientifique.
Face à la recrudescence des cas de DNC, Annie Genevard, la ministre de l’Agriculture, a décidé, ce vendredi 17 octobre, de fermer le marché à l’export des veaux, vaches et bœufs.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO₂) dans l'atmosphère ont augmenté d’un montant record en 2024, atteignant de nouveaux sommets et provoquant un réchauffement à long terme supplémentaire et des conditions météorologiques extrêmes, selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
La coalition Global Sumud Flotilla a annoncé que plusieurs de ses navires avaient été arrêtés ce mercredi 8 octobre au large de la bande de Gaza alors qu’ils tentaient d’apporter une aide humanitaire au territoire palestinien.
Nouvelle salve de censure aux États-Unis : vendredi, le Bureau de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables a reçu pour consigne de bannir plusieurs mots tels que «réchauffement climatique» ou encore «émissions» de ses futurs rapports.
Il s’agit du quatrième incident recensé cette semaine dans le pays, qui doit accueillir la semaine qui vient un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays de l’Union européenne.
Dans ces documents, il est fait mention d'une possible visite du patron de Tesla sur l'île de Jeffrey Epstein.
A l’issue du sommet climat organisé par l’ONU, plus de 100 pays, dont la Chine, ont publié, ou ont promis de le faire d’ici à la COP30, de nouveaux engagements de réduction de CO₂. Un tour de force dans un monde fracturé par les guerres et les conflits commerciaux.
Le gouvernement suédois est prêt à prêter jusqu'à 220 milliards de couronnes (20,2 milliards d'euros) aux groupes d'énergie pour la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, dans le cadre de la relance de sa production, a-t-il annoncé vendredi.
L'Australie a dévoilé jeudi un nouvel objectif de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% d'ici 2035 par rapport à 2005, un objectif qui n'est toutefois pas jugé assez ambitieux par les défenseurs de l'environnement.
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