– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
inondations focusclimat
Pour son édition du 29 novembre, un mois jour pour jour après la terrible catastrophe qui a ravagé l’est et le sud de l’Espagne, le journal valencien “Las Provincias” a décidé de commémorer les plus de 200 personnes décédées dans la région.
Face aux inondations croissantes au Royaume-Uni, une approche audacieuse émerge : restituer des terres à la mer. Cette stratégie, mise en œuvre dans le Somerset, pourrait révolutionner la gestion des risques climatiques. Comment cette méthode contre-intuitive pourrait-elle protéger les populations côtières ? Plongée dans une initiative qui défie les conventions.
La catastrophe qui a frappé l’Espagne, conséquence du réchauffement climatique et du retard dans les politiques d’adaptation, doit nous alerter à un moment d’affaiblissement de l’écologie politique et de recul des exigences liées au climat.
La violence des inondations dans le sud-est de l’Espagne est un reflet du changement climatique, mais également la conséquence d'un étalement urbain qui n'a pas pris l'eau en compte, explique l’urbaniste Clément Gaillard.
Dans une tribune au « Monde », la géographe Magali Reghezza-Zitt alerte quant aux risques majeurs que l’inaction climatique engendre : chaque dixième de degré supplémentaire augmente de façon exponentielle les extrêmes hydroclimatiques.
En Espagne, des pluies torrentielles ont provoqué des inondations dans le sud et l’est du pays, entraînant la mort de 205 personnes. Cet évènement est symptomatique d’une perturbation du cycle de l’eau, d’un climat qui se dérègle ; et est aggravé par une perméabilisation des sols aveugle et insensée. Face à l’effondrement climatique, l’inaction politique tue.
Les opérations de recherche se poursuivent, jeudi, dans le sud-est de l'Espagne. Le pays est sous le choc après les pires inondations depuis plus de cinquante ans, qui ont fait au moins 95 morts et de nombreux disparus.
Expert en catastrophes naturelles, le géologue Antonio Aretxabala analyse les raisons du très lourd bilan humain et matériel après les inondations qui ont fait près de cent morts en Espagne.
Selon la neuvième édition du rapport britannique “The Lancet Countdown”, qui fait référence, la chaleur, les sécheresses et les inondations impactent de plus en plus fortement la santé des humains, dans le monde entier.
Alors que des inondations dévastatrices ont fait des dizaines de morts depuis mardi soir dans la région de Valence, le climatologue Robert Vautard explique qu’il s’agit là d’une des conséquences funestes du changement climatique.
L'eau monte dans la capitale du Tchad, N'Djamena, après des pluies hors du commun. Dans les quartiers délaissés du sud de la ville, les jeunes s'activent pour construire des digues et repousser l'inondation.
Maisons sous l'eau, centres-villes submergés... Jeudi 17 octobre, en Ardèche, l’épisode cévenol a été le plus intense jamais enregistré sur deux jours depuis le début du XXe siècle. Pour les habitants, c’est un électrochoc.
Le changement climatique se traduit par un renforcement des extrêmes secs et des extrêmes humides, comme lors de l’épisode de fortes pluies qui a eu lieu dans le centre-est et le sud-est de la France, explique le climatologue Aurélien Ribes dans un entretien au « Monde ».
Inondations et sécheresses sont les deux faces d’une même crise : des experts mondiaux ont ainsi alerté le 17 octobre sur la « catastrophe de l’eau » en cours. Le rapport a été publié par la Commission mondiale sur l’économie de l’eau, qui réunit des spécialistes internationaux sur ce sujet, au sein d’une sorte de « Giec de l’eau », le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat.
L'ouragan Milton traverse en ce moment la Floride d'Ouest en Est, dévastant tout sur son passage, deux semaines seulement après Helene.
Le dérèglement climatique augmente la proportion des cyclones les plus intenses dans l’Atlantique nord ainsi que la quantité de pluies générée par ces phénomènes.
Une planète plus chaude, c'est aussi une planète plus arrosée. On l'aura particulièrement constaté en ce mois de septembre diluvien.
Selon une étude publiée mercredi 25 septembre, les précipitations de la mi-septembre dans la région ont été «7 % plus intenses» à cause de la hausse planétaire des températures.
Les intenses précipitations qui ont entraîné des inondations mortelles en Europe centrale ces dernières semaines ont été aggravées par le dérèglement climatique dû aux activités humaines, relève l’étude d’attribution publiée ce 25 septembre.
Les pertes humaines et les dégâts causés par le passage de la tempête Boris en Europe de l'Est sont importants. Des pluies 20 % plus fortes en raison du changement climatique.