– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
filtre:
plus4
Comme une centaine de territoires volontaires, quelque 90 communes béarnaises lancent un projet pilote pour anticiper un climat réchauffé de 4°C. Première étape : faire un diagnostic des risques, qui mêlent pluies diluviennes, sécheresse et feux de forêt.
Quel impact aura le changement climatique sur le PIB ? Une nouvelle étude estime que les pertes seront bien plus importantes qu'estimées jusqu'à présent, atteignant 40% de PIB en moins en moyenne par habitant et par an d'ici la fin du siècle dans un scénario de réchauffement à +4°C.
Le climat se réchauffe. Il va continuer à le faire. Alors le gouvernement français a demandé aux acteurs du pays de réfléchir à la manière de « s’adapter » à une hausse de la température moyenne en France de 4°C par rapport à l’ère préindustrielle, ce qui correspond à une hausse planétaire de +3 °C environ.
Températures et précipitations moyennes, variabilité interannuelle, événements extrêmes et impacts climatiques… À quoi ressemblera la France avec un réchauffement de 4 °C (par rapport à la période préindustrielle) ? Il est indispensable de connaître précisément les évolutions climatiques futures pour s’adapter.
Records de chaleurs, de pluies, de sécheresses... Dans un rapport, Météo-France décrit le climat d’une France à +4 °C, soit la hausse des températures prévue pour 2100. Des canicules s’étendant de mi-mai à mi-septembre, et pouvant durer deux mois continus ; des épisodes de sécheresse durant des années ; une multiplication par dix des jours de vagues de chaleur et de nuits tropicales ; des montagnes privées de neige pendant la majorité de l’hiver…
Chaleur tourne. Dans un rapport publié ce jeudi, Météo-France brosse le portrait d’une France à +4°C en 2100, pour comprendre clairement à quoi il faut s’attendre en matière de climat et d’événements extrêmes d’ici la fin du siècle. Édifiant.
Dans un rapport publié jeudi, Météo-France décrit le futur climatique du pays si les politiques climatiques actuelles se poursuivent. « C’est un autre pays qui nous est raconté », prévient le climatologue Davide Faranda.
Cette semaine, le rédacteur en chef de Vert a lu pour vous les 341 pages du plan national d’adaptation au changement climatique, présenté par le gouvernement lundi. Un document qui oscille entre bonnes idées et grandes inconnues.
Jean-François Soussana, le président de l’instance consultative indépendante, estime, dans un entretien au « Monde », que le plan, présenté lundi 10 mars par le gouvernement, ne propose pas assez d’adaptations de grande ampleur et que les financements restent très insuffisants.
La France s'adapte ... Vivre à plus de 4° - La trajectoire de réchauffement de référence pour l’adaptation au changement climatique anticipe à ce jour une hausse de la température moyenne dans l’Hexagone qui atteindra +4 °C à la fin du siècle.
Le gouvernement présente lundi la version finale du plan national d’adaptation au changement climatique, qui vise à préparer les secteurs économique et social. Le littoral, la montagne, les secteurs agricole et forestier sont en première ligne.
Publiée avec plus d'un an de retard, la version finalisée du nouveau plan national d'adaptation au changement climatique, le PNACC 3, a été présentée ce lundi 10 mars. Il vise à s'adapter à un monde à +4°C.
Ilian Moundib, ingénieur en Stratégie de Résilience Climatique, auteur de "S'adapter Fake or Not", était l'invité de Laure Closier dans Good Morning Business, ce jeudi 12 décembre. Ils sont revenus sur les nouvelles projections de hausse de températures en France d'ici la fin du siècle par Météo-France et les moyens de s'adapter à ce changement climatique, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dévoilé par le gouvernement le 25 octobre, le plan national d’adaptation au changement climatique (ou PNACC) invite à interroger la notion même d'adaptation. Peut-on réellement s'ajuster à une telle hausse des températures ? Et surtout, à quel prix ? Entretien avec Vivian Dépoues, chercheur à l’Institut de l’économie pour le climat.
Face au chaos climatique, l’impossible adaptation au capitalisme punitif. Les inondations meurtrières en Espagne révèlent dramatiquement l’illusion d’une adaptation au réchauffement climatique. Avec déjà + 1,2 °C, comment imaginer que nos politiques publiques pourront anticiper une hausse de 4 °C ?
Les contours du PNACC , plan d'adaptation au changement climatique, sont enfin dévoilés, avec 51 mesures pour adapter la France à +4 degrés.
Franceinfo revient sur les points importants de ce texte, présenté vendredi, qui repose sur cinq axes et liste 51 mesures.
Que nous apprend la comparaison des politiques nationales d’adaptation au changement climatique ? Quel pari font-elles sur le réchauffement futur ? Font-elles l’inventaire des risques et vulnérabilités présents sur leur territoire ? Envisagent-elles des mesures contraignantes ? L’exercice de parangonnage auquel se livre ce rapport tente de répondre à ces questions et permet de situer l’ambition de notre pays en la matière.
Évaluer les implications économiques des politiques climatiques est essentiel pour piloter l’action publique. D’importants progrès ont été faits sur l’évaluation des coûts de l’atténuation avec notamment la publication en 2023 du rapport sur les incidences économiques de l’action pour le climat. Mais comme le souligne la Cour des Comptes dans son rapport public annuel 2024, les questions restent beaucoup plus émergentes pour l’adaptation. Nos travaux récents nous permettent néanmoins de dégager 5 premières conclusions sur ce sujet..
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Le ministre de la Transition écologique organise le 23 janvier une rencontre autour de l’adaptation au changement climatique. Il présentera fin février un plan national sur ce sujet. Saluée par certains experts, la démarche pose question.
Les gouvernements prévoient de produire environ 110 % de plus de combustibles fossiles en 2030 que le niveau qui serait compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, et 69 % de plus que ce qui serait compatible avec une hausse de 2°C, selon un rapport de l’Onu.
Un rapport des Nations unies et de différents organismes de recherche démontre à quel point les projets des principaux pays producteurs de charbon, de pétrole et de gaz sont en décalage avec les scénarios permettant de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
A novel tool for flexible spatial and temporal analyses of much of the observed and projected climate change information underpinning the Working Group I contribution to the Sixth Assessment Report, including regional synthesis for Climatic Impact-Drivers (CIDs).
This week, the world broke the daily temperature record. This is yet another demonstration that climate change is out of control and one reason more for increased #ClimateAction ambition and justice. Emissions continue to grow while leaders persist in delaying the key measures needed to change this. This is the moment when we all need to assume our responsibilities. #climatechange
Mardi 23 mai, le gouvernement français a lancé une consultation publique sur l’hypothèse d’un réchauffement des températures de + 4°C d’ici 2100. Un scénario qui ne devrait pas épargner le vignoble français. Du goût du vin à notre façon de le boire, en passant par la disparition ou la transformation des principales régions viticoles, Usbek & Rica, dans son numéro publié en octobre 2022, se penchait justement sur le futur du vignoble français. Nous reproduisons ici en intégralité cet article de Julie Reux, fondatrice du journal Vinofutur.
Le ministre de la Transition écologique lance mardi une consultation sur l’adaptation de la France à un réchauffement climatique dont la trajectoire pourrait mener à une hausse de 4°C de la température moyenne. Mais à quoi ressemblerait la France avec un tel scénario ? Éléments de réponse.
Dans une interview accordée à Franceinfo en février 2023, le ministre de la Transition écologique Christophe Béchu avait affirmé « qu’il faut préparer une France à + 4 degrés de réchauffement ». L’annonce avait fait beaucoup de bruit, et quelques mois après, ce chiffre de + 4 degrés est toujours source d’incompréhensions.
Selon les derniers travaux du Giec, si tous les Etats du monde n’accentuent pas leurs efforts, le réchauffement climatique sera compris entre +2,8°C et +3,2°C en 2100 en moyenne au niveau mondial, ce qui correspond à +4°C pour la France. Mais alors, à quoi ressemblerait le pays avec une telle hausse des températures ?
Jusqu’alors, les plans de l’Etat ne prenaient en compte que l’hypothèse d’un réchauffement de la planète en dessous de 2°C.
Selon le CNTE, la France métropolitaine doit se préparer à un réchauffement climatique pouvant aller jusqu'à +4 °C.
Localtis : Le Conseil national de la transition écologique (CNTE) a rendu, ce 4 mai, son avis sur la trajectoire de réchauffement référence à +4°C (en France métropolitaine), à partir de laquelle sera notamment bâti le prochain Plan national d’adaptation au changement climatique (Pnacc) attendu pour 2024.
Le Conseil national de la transition écologique appelle à « affronter la réalité [du] changement climatique, de manière lucide », le pays étant plus touché que la moyenne mondiale.
Christophe Béchu a appelé fin février à se préparer à un scénario « pessimiste » dans lequel la France se réchaufferait de 4 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Le GIEC dit que la fenêtre climatique se referme, mais ne soyons pas dupes: nous sommes déjà cuits.
Politologue et membre du Giec, François Gemenne appelle à un sursaut collectif pour se préparer à faire face au scénario d’une hausse de 4°C des températures d’ici à 2100.
L’adaptation est enfin inscrite à l’agenda du gouvernement français. Il faut dire que l’année 2022 a fait accélérer la prise de conscience sur le fait que les impacts du changement climatique se font déjà sentir, y compris en France. Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a ainsi appelé à se préparer à un réchauffement de +4°C. Est-ce à dire que l'Exécutif fait une croix sur l’Accord de Paris ?
Lors d’une conférence sur l’adaptation des territoires organisée le 30 janvier 2023 par France Stratégie et l’Institut de l’Économie pour le Climat (I4CE), le ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, a annoncé souhaiter étudier deux scénarios de réchauffement pour la stratégie d’adaptation de la France : +2 °C et +4 °C. La signification de ces deux chiffres – périmètre, échéance, etc. – n’était pas tout-à-fait claire au moment de l’annonce, ce qui a provoqué de nombreuses réactions, plus ou moins pertinentes.
La France rendra fin 2023 une stratégie pour se préparer à une hausse de 4 °C. Sans pour autant annoncer une diminution des émissions de gaz à effet de serre. L’exercice arrive à point nommé, alors que la France traverse une deuxième sécheresse historique en deux ans, avec trente-deux jours sans véritable pluie. Le gouvernement va proposer une nouvelle stratégie d’adaptation aux effets du changement climatique — végétaliser les villes contre les canicules, ne plus bétonner le littoral, etc. —, qui sera (...)
Pour le ministre de la Transition écologique, la France doit lutter contre le dérèglement climatique, tout en prévoyant le pire. Tous les acteurs du ministère se réunissent ce jeudi pour «commencer à construire une trajectoire à 4 °C».
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.