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Plusieurs pays occidentaux craignent une attaque aérienne de grande ampleur sur la capitale ukrainienne. Par précaution, ces États ont décidé de fermer temporairement leurs représentations diplomatiques, mercredi 20 novembre.
Les modèles les plus pessimistes d’évolution du climat sont plus plausibles qu’on ne l’imaginait. C’est la conclusions de scientifiques de l’EPFL qui ont développé un système de notation des simulations climatiques dans le dernier rapport du Groupe international des Experts sur le Climat GIEC. Ces travaux sont publiés dans Nature Communications.
Devant un parterre d'investisseurs à New York, le géant pétrogazier français TotalEnergies a annoncé qu'il comptait encore augmenter sa production de pétrole et de gaz jusqu'en 2030, malgré le consensus scientifique qui presse le monde d'accélérer la sortie des énergies fossiles.Les prévisions de croissance de la production relevéesCette grand-messe était scrutée des deux côtés de l'Atlantique, dans un contexte de baisse du prix des énergies - pétrole, gaz, électricité.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu mercredi légèrement à la baisse sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2024, sous l'effet d'un repli constaté au premier trimestre dans les pays de l'OCDE et notamment en Europe.La demande mondiale de pétrole devrait ainsi croître de 1,1 million de barils par jour (mb/j) en 2024, soit 140.000 barils par jour de moins que prévu par l'AIE dans son précédent rapport mensuel. La demande totale cette année devrait dépasser les 103 mb/j, estime l'agence basée à Paris.
La demande mondiale d'or noir ne devrait pas faiblir en dépit des incertitudes géopolitiques, indique mardi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole, qui maintient ses prévisions de croissance de la demande communiquées en avril.Le monde devrait ainsi consommer 104,5 millions de barils de pétrole par jour (mb/j) en moyenne en 2024, puis 106,3 mb/j en 2025 après 102,2 mb/j en 2023, selon les projections mensuelles de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep).
L'offensive russe en Ukraine va "s'intensifier" mais sans produire d'avancées "majeures", selon Washington
L'appétit pour les transports, notamment aériens, devrait continuer à soutenir la demande mondiale d'or noir en 2024, indique jeudi l'Opep dans son rapport mensuel sur le pétrole qui maintient inchangées ses projections communiquées en mars.
Ce coût du programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires commandés par l'Etat à EDF est désormais évalué à 67,4 milliards au lieu des 51,7 milliards initialement annoncés.
De la corrosion, phénomène qui avait immobilisé une partie du parc nucléaire français l'hiver dernier, a été décelée sur le réacteur de Blayais 4 (Gironde), a indiqué jeudi EDF, confirmant une information du Parisien mais soulignant que cela n'affectait pas sa prévision de production nucléaire pour cette année.
Le coût prévisionnel du programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR commandés par l'Etat à EDF est désormais évalué à 67,4 milliards au lieu des 51,7 milliards initialement annoncés, indique lundi le journal des Echos.Contactés par l'AFP, le groupe EDF et le ministère de l'Economie n'ont pas fait de commentaire.
Des analystes avancent une hypothèse plausible expliquant pourquoi plusieurs milliardaires (dont Mark Zuckerberg) construisent des bunkers ultra-luxueux et entièrement autonomes.
La demande mondiale de pétrole devrait connaître une croissance marquée en 2024, nourrie par les pays non-membres de l'OCDE, en premier lieu la Chine, et les besoins de transport, estime l'OPEP dans son rapport mensuel publié mardi.Enchaînant les années record, le monde devrait consommer 104,4 millions de barils par jour (mb/j) en moyenne cette année, puis 106,2 millions en 2025, après avoir appelé 102,1 mb/j en 2023, selon les estimations de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, identiques à son rapport de janvier.
On fait le point sur les dernières informations liées aux intempéries qui touchent la Belgique.
Pour sa pénultième édition de l’année 2023, la revue “Science” met à l’honneur la façon dont l’intelligence artificielle au service des prévisions météorologiques peut contribuer à anticiper les événements extrêmes.
À travers le monde, TotalÉnergies est impliquée dans trente-trois projets super-émetteurs, qui risquent de « faire exploser le climat ». Tel est le résultat d’un rapport publié par Greenpeace, le 25 octobre, intitulé « Les bombes climatiques de TotalÉnergies, la forêt derrière l’arbre Eacop », qui liste les projets fossiles auxquels la major participe.
Tout fioul camp. L’organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) table toujours sur une croissance ininterrompue de la demande en or noir au cours des prochaines décennies. Ses nouvelles prévisions, totalement incompatibles avec les impératifs climatiques, sont officialisées à quelques semaines de la COP28 sur le climat.
L'Arabie saoudite a revu à la baisse ses prévisions budgétaires et s'attend désormais à enregistrer un déficit pour l'année en cours, en raison de l'augmentation des dépenses et la baisse des recettes pétrolières, a annoncé le ministère des Finances.
De son côté, le prince Abdulaziz bin Salman, ministre saoudien de l'énergie, a tenté de saper les dernières prévisions de l'Agence internationale de l'énergie selon lesquelles la demande mondiale de combustibles fossiles atteindrait le Pic Oil d’ici à 2030, alors que les énergies renouvelables, moins chères et plus propres, augmentent rapidement. Il est clair que si l’AIE annonce un pic oil, certains pays vont réfléchir à deux fois à continuer dans le pétrole et les investisseurs vont se gratter la tête.
Geert Buelens est écrivain, professeur de littérature néerlandaise moderne à l’université d’Utrecht et lauréat du prix Boon pour son ouvrage Wat we toen al wisten. De vergeten groene geschiedenis van 1972. (Ce que nous savions déjà. L’histoire écologique oubliée de 1972). Fort de ses recherches historico-culturelles sur l’activisme environnemental, l’auteur flamand jette un regard sur la tragédie moderne des Cassandres de l’an 2023.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) revoit à la hausse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2023 qui s'achemine vers son "niveau le plus élévé jamais enregistré" pour atteindre 102,2 millions de barils par jour, selon son rapport mensuel publié vendredi.
Trop alarmantes, erronées ou encore orientées politiquement: les prévisions météorologiques sont souvent critiquées cet été. La télévision alémanique SRF est même accusée de truquer les températures pour créer la panique.
Les prévisions météo pour les prochaines semaines ne sont pas bonnes pour nos forêts. Selon de nombreux experts, les conditions climatiques actuelles tendent vers un été à haut risque d'incendie, et il faut s'y préparer. "Je crois qu'il va falloir équiper nos pompiers en termes de matériel et d'expertise pour pouvoir faire face à de grands feux de forêts", note Xavier Fettweis, climatologue. Forte chaleur, manque d'eau et végétations très sèches : les menaces sont multiples, en particulier dans nos Ardennes.
D’après l’Organisation météorologique mondiale (OMM), il y a 98% de chances que l’une des cinq prochaines années soit la plus chaude jamais enregistrée, battant l’année record de 2016. La probabilité qu’au moins une des cinq prochaines années dépasse 1.5 °C au-dessus des niveaux préindustriels est estimée maintenant estimée à 66%.
L'institution anticipe désormais une croissance mondiale de 2,8% en 2023, en léger recul par rapport à son estimation précédente en janvier (-0,1 point de pourcentage).
L'année 2023 sera plus chaude encore que 2022. C'est en tout cas la prévision du Met Office, le service national...
La prévision annuelle de température mondiale du Met Office pour 2023 suggère que l’année prochaine sera l’une des années les plus chaudes jamais observées. D’après le Met Office,…
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a encore réduit mardi ses prévisions de croissance de la demande de pétrole, face à "une myriade de vents économiques contraires" dans le monde. "La faiblesse persistente de l'économie chinoise, la crise énergétique en Europe, un dollar fort, tout cela pèse lourdement sur la consommation", souligne son rapport mensuel sur le pétrole. "Ce fut le cas pour l'essentiel de 2022 et cela continuera dans un avenir proche", avec une contraction de la demande attendue au dernier trimestre de cette année aussi bien dans les pays de l'OCDE que non-OCDE. La plupart des grandes économies ayant revu à la baisse leurs prévisions de croissance pour 2023, la demande de pétrole l'an prochain devrait donc croître de 1,6 million de barils par jour (mb/j), contre 2,1 mb/j en 2022.
Canicules, sécheresses, orages... La rapidité du réchauffement climatique en Europe de l’Ouest oblige les scientifiques à adapter leurs modèles.
Le dérèglement climatique pourrait être encore plus important que prévu dans l’Hexagone, selon les dernières simulations du Centre national de recherche météorologique. Explications avec le chercheur Aurélien Ribes.
L’Organisation de coopération et de développement économiques a publié, le 26 septembre, des prévisions économiques sombres pour les pays européens en 2023. L’Allemagne devrait connaître une récession, ainsi que plusieurs autres États européens, en cas d’aggravation de la crise énergétique actuelle. Les températures de cet hiver joueront un rôle important dans ce scénario. Explications.
Les côtes d’Israël menacées par l’élévation du niveau de la mer : “Les prévisions se sont aggravées”
(20/09) - Le Courrier InternationalLe niveau de la mer Méditerranée, qui borde l’État hébreu, devrait croître d’un mètre d’ici à 2050, selon une enquête menée par le journal israélien “Ha’Aretz”. Une catastrophe non seulement pour la majorité de la population du pays, qui vit dans la plaine côtière, mais également pour de nombreuses infrastructures vitales.
L'Ukraine a revu à la hausse ses perspectives de récolte pour cette année, prévoyant une augmentation de 10% malgré la guerre menée par la Russie.
Le FMI alerte sur les "risques" menaçant l'économie, notamment la guerre en Ukraine et l'inflation galopante.
L'économie allemande serait durement affectée par un arrêt des livraisons de gaz russe, selon le FMI
(20/07) - AfpUn arrêt des livraisons de gaz russe en Europe réduirait la valeur du PIB allemand de près de 5% entre 2022 et 2024, selon des prévisions du Fonds monétaire international (FMI) publiées mercredi, alors que Berlin craint un arrêt total des flux via le gazoduc Nord Stream. "Si l'on combine les effets directs, indirects et les incertitudes, la fermeture du robinet du gaz réduirait le PIB de 1,5% en 2022, de 2,7% en 2023 et 0,4% en 2024", par rapport à un scénario où l'Allemagne continue d'être approvisionnée en gaz, a indiqué l'institution dans un rapport.
La guerre en Ukraine, et son impact toujours plus grand sur les prix de l'énergie et de l'alimentation, ont poussé Bruxelles à réduire encore jeudi ses prévisions de croissance en zone euro pour cette année et l'an prochain.
La Russie devrait recevoir 1.000 milliards de roubles (13,7 milliards d'euros) supplémentaires de ses exportations d'hydrocarbures en 2022, dont une partie pourra être allouée à la poursuite de son offensive en Russie, a déclaré vendredi le ministre russe des Finances. "Nous estimons que les revenus supplémentaires issus des hydrocarbures pourraient atteindre jusqu'à 1.000 milliards de roubles, selon les prévisions élaborées avec le ministère du Développement économique", a déclaré Anton Silouanov dans une interview retransmise à la télévision.
Le réchauffement climatique se fait sentir et les événements extrêmes deviendront plus fréquents. Dans l'émission Tout un monde de la RTS, l'ex-vice-président du GIEC Jean Jouzel appelle à prendre au sérieux les prévisions des scientifiques.
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Le Produit intérieur brut de la Russie, sous le coup de sanctions massives depuis son invasion de l'Ukraine fin février, devrait se contracter de 8,5 % cette année et le PIB ukrainien s'effondrer de 35 %, selon les dernières prévisions économiques du FMI publiées mardi.