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Scientifique
Pourquoi la connaissance scientifique ne déclenche-t-elle pas l'action politique requise ? Au-delà du déni ou de l'impuissance, la cause en est peut-être plus profondément dans l'occultation structurelle de nos conditions d'existence. En dissimulant les flux matériels et en fragmentant notre perception du monde, la modernité capitaliste a créé un système où la catastrophe est à la fois sue et impensée. Contre ce « système d'invisibilité », il ne suffit pas d'informer, mais de restaurer (…)
Pendant que les débats publics tournent autour du réchauffement climatique, trois menaces silencieuses se profilent à l’horizon — chacune capable de déstabiliser nos sociétés de façon irréversible. Ces dangers ne concernent pas les glaciers ou les océans, mais notre santé, nos cognitions et l’infrastructure invisible sur laquelle repose toute notre civilisation. Et contrairement au changement climatique, les scientifiques avertissent que nous avons peut-être seulement quelques années pour agir.
La France a été choisie à ce stade par plus d'une trentaine de chercheurs qui préfèrent y poursuivre leurs travaux plutôt qu'aux Etats-Unis, où l'administration Trump a multiplié les attaques contre les scientifiques.
La dernière campagne d’inventaire forestier national livre un constat pour le moins paradoxal. Alors que la superficie boisée française n’a jamais été aussi importante depuis deux siècles, avec 17,6 millions d’hectares couvrant désormais près d’un tiers du territoire, l’état de santé de ces forêts se dégrade à une vitesse alarmante. Derrière les chiffres encourageants de l’expansion se cache une réalité beaucoup plus sombre : la mortalité des arbres a plus que doublé en dix ans, la croissance biologique ralentit et des millions d’individus présentent des signes visibles de dépérissement. L’IGN, en charge de cet inventaire, dresse un tableau contrasté qui doit nous alerter sur la vulnérabilité croissante de nos écosystèmes forestiers face aux bouleversements climatiques.
Au fond de la mer de Scotia, dans les eaux glaciales qui entourent l’Antarctique, des carottes de sédiments viennent de révéler un secret vieux de 130 000 ans. Ce que les chercheurs y ont trouvé remet en question notre compréhension du plus grand courant océanique de la planète et suggère que notre climat pourrait basculer d’une manière que personne n’avait anticipée. Car contrairement à ce que l’on pensait, cette gigantesque bande transporteuse d’eau froide n’a jamais été aussi stable qu’elle en avait l’air.
Le réchauffement climatique pourrait atteindre entre 2,7 et 3,1 °C d’ici 2100 en Belgique. Avec quelles conséquences sur notre territoire ? C’est ce que « Le Soir » a voulu explorer avec l’aide d’une quinzaine de scientifiques belges. Hausse des températures, évènements extrêmes, baisse des rendements agricoles... voici le tableau qu’ils dressent.
La Belgique veut s'attaquer à la désinformation climatique, un phénomène en croissance dans le monde et qui sape la lutte contre le réchauffement climatique.
Dans l’État de Washington, un patient hospitalisé vient de contracter une forme de grippe aviaire jusqu’ici totalement inconnue chez l’humain. Cette découverte, annoncée le 14 novembre par les autorités sanitaires américaines, marque un tournant inédit dans l’épidémie qui touche les élevages depuis plusieurs années. Mais faut-il vraiment s’inquiéter de ce nouveau venu dans la famille des virus grippaux ?
Obésité, diabète, dépression… Des chercheurs établissent, dans la revue « The Lancet », l’état de la connaissance sur ces produits, et appellent les pouvoirs publics à prendre des mesures pour la santé publique.
Les efforts de réduction des émissions étant insuffisants, il faudra retirer artificiellement du carbone de l’atmosphère pour faire baisser la température, affirment certains spécialistes. Sans prendre en compte les conséquences du stockage ni les effets irréversibles du réchauffement.
Les émissions de dioxyde de carbone issues des énergies fossiles devraient atteindre un nouveau record en 2025, selon une étude scientifique de référence qui confirme jeudi qu'il sera quasiment "impossible" de limiter le réchauffement planétaire à moins de 1,5°C. Selon le Global Carbon Project, mené par 130 scientifiques internationaux et publié comme chaque année alors que les nations sont réunies pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP30), les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente, pour atteindre 38,1 milliards de tonnes (GtCO2).
Alors que le monde se remet de la pandémie de COVID-19, des chercheurs viennent d’identifier une nouvelle souche de coronavirus chez des chauves-souris brésiliennes. Nommé BRZ batCoV, ce virus partage un élément clé avec le SARS-CoV-2, qui pourrait lui permettre de franchir la barrière entre espèces.
À 33 ans, l’ingénieure agronome s’est imposée comme l’une des voix les plus critiques de la loi Duplomb. Sur Instagram, Élise Bordet rend la science accessible pour donner envie aux citoyens d’agir pour la protection du vivant.
« Nous ne parviendrons pas à contenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5 °C dans les prochaines années. » Le 22 octobre, le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies, António Guterres, a confirmé les alertes scientifiques.
Les chercheurs se rapprochent d’une étape surprenante : la culture de cerveaux humains miniatures en laboratoire. Si ces “organoïdes cérébraux” restent aujourd’hui rudimentaires, leur évolution soulève des questions inédites sur la conscience, la douleur et la réglementation scientifique.
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