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La situation humanitaire dans la bande de Gaza est "probablement la pire depuis le début de la guerre il y a 18 mois" entre Israël et le Hamas, a prévenu lundi le Bureau des affaires humanitaires de l'Onu (Ocha) dans un communiqué.
Une frappe israélienne a sévèrement endommagé dimanche l'un des rares hôpitaux encore en fonction dans la bande de Gaza, Israël affirmant avoir ciblé un "centre de commandement" du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a rejeté cette allégation.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et d’anciens ambassadeurs appelle, en Europe, à dénoncer sans ambiguïté l’idéologie suprémaciste qui anime désormais le gouvernement de l’Etat hébreu : il vient de créer une « Autorité d’émigration », visant à « relocaliser » plusieurs millions de Palestiniens de Gaza puis, probablement, de Cisjordanie.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé mardi la situation à Gaza, qualifiant l'enclave palestinienne de "champ de mort" en raison du blocus par Israël de l'aide humanitaire. Une accusation rejetée par le gouvernement israélien, qui affirme qu'il n'y a "pas de pénurie" d'aide.
Le Parlement israélien a adopté, jeudi matin, une loi polémique qui renforce l'influence du pouvoir politique dans la nomination des juges, un vote immédiatement contesté par l'opposition devant la Cour suprême. Ce vote a provoqué les manifestations les plus importantes de l'histoire du pays.
Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
Résolu à assurer son maintien au pouvoir, le Premier ministre s’efforce désormais de limoger les responsables institutionnels qui le gênent. Dans la société israélienne, la contestation s’intensifie. [...] Fou de jalousie. Observant son copain d’avant, avec qui il faisait des virées mémorables dans les bars de New York dans les années 80, lui jeune ambassadeur, l’autre déjà promoteur immobilier prometteur, Benyamin Nétanyahou n’en revient pas. Pourquoi devrait-il accepter les limites que lui impose la démocratie alors que son pote Donald Trump est libre comme l’air, poussant le luxe jusqu’à poursuivre ses ennemis sans aucune contrainte judiciaire ?
Le ministre israélien de la Défense a menacé vendredi d'annexer des parties de Gaza [...] "J'ai donné l'ordre à (l'armée) de saisir davantage de territoire à Gaza, tout en évacuant la population, et d'étendre les zones de sécurité (le long de la frontière à l'intérieur de la bande) de Gaza pour protéger les localités israéliennes", a déclaré vendredi le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, dans un communiqué.
Les bombardements font suite « au refus répété du Hamas de libérer » les otages, selon Israël. Le ministère de la santé du Hamas fait état de 330 morts à Gaza.
Le cessez-le-feu rompu. Israël a mené dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 mars des frappes d’une ampleur sans précédent sur la bande de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, il y a deux mois. Celles-ci ont fait au moins 413 morts et «des centaines de blessés», selon la Défense civile du territoire palestinien, déclenchant immédiatement de multiples réactions à l’international.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Une commission d’enquête des Nations Unies estime ce jeudi 13 mars que «les autorités israéliennes ont en partie détruit la capacité des Palestiniens à Gaza - en tant que groupe - à faire des enfants». Israël «rejette catégoriquement» ces accusations.
Alors que la trêve vacille, Tel-Aviv prive Gaza de sa dernière source d’électricité extérieure. Une stratégie qui vise à forcer le groupe islamiste à céder sur la gouvernance future de l’enclave, mais qui aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Après avoir coupé, dimanche dernier, l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé ce dimanche couper l’approvisionnement en électricité de la zone. Cette annonce a été faite par le ministre de l’Energie Eli Cohen.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Donald Trump a lancé mercredi un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort", le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Israël exige la "démilitarisation totale de la bande de Gaza" pour passer à la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de trêve conclu en janvier avec le Hamas par le biais d'une médiation internationale, a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères israélien.
L'Egypte a présenté un plan de 53 milliards de dollars pour reconstruire Gaza sur cinq ans, axé sur les secours d'urgence, la reconstruction et le développement économique à long terme, selon un projet de document que l'AFP a pu consulter.
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.
Une enquête interne de l'armée israélienne sur l'attaque du 7 octobre a reconnu l'"échec total" de l'armée à empêcher l'attaque de commandos du Hamas à partir de Gaza, qui a fait plus d'un millier de morts en Israël, a déclaré un responsable militaire jeudi.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a proposé mardi que l'Egypte assume la responsabilité de la bande de Gaza pour huit ans une fois la guerre terminée, en échange d'un allégement massif de sa dette.
Historienne et anthropologue, directrice de recherche au CNRS, Stéphanie Latte Abdallah est spécialiste du Moyen-Orient. Elle explique à Vert pourquoi l’écologie palestienne qu’elle qualifie d’«existentielle» est une forme de résistance à la destruction d’une terre et du peuple qui y vit.
Les services secrets ukrainiens ont piégé des milliers de lunettes destinées aux opérateurs contrôlant les drones de combat russes, rapporte le New York Times. Une opération qui n’est pas sans rappeler le sabotage des bipeurs du Hezbollah par le Mossad en septembre 2024.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le Hamas est prêt à libérer tous les otages restants dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël après 15 mois de guerre, a déclaré mercredi l'un de ses responsables.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
Cette mesure, annoncée alors que le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se trouve à Washington, impose des restrictions financières et de visas aux personnels de la CPI qui aident aux enquêtes de la cour sur les citoyens américains ou leurs alliés.
Le président américain a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la CPI, accusée d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».
La porte-parole de la Maison-Blanche a tenté mercredi de clarifier les annonces faites la veille par Donald Trump sur la présence américaine dans l’enclave palestinienne.
L’administration américaine s’est efforcée mercredi de nuancer la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza, et le chef de l’ONU a mis en garde contre un «nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le président républicain a affirmé mardi que les États-Unis souhaitaient développer le territoire palestinien et a répété que ses habitants pourraient être transférés vers la Jordanie ou l’Égypte. Une annonce extraordinaire qui, si elle était appliquée, pourrait avoir des “implications considérables” pour le Moyen-Orient, note la presse américaine.
En prônant une prise de contrôle durable de la bande de Gaza par les Etats-Unis après en avoir chassé les Palestiniens, le président américain fait sienne la vision de l’extrême droite raciste et suprémaciste israélienne et annonce un crime de guerre.
La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
Le président américain a suscité mardi 4 février, une vague de stupeur internationale en annonçant son ambition de faire de Gaza «la Côte d’Azur du Moyen-Orient». Retour sur ses propos.
"Prendre le contrôle de la bande de Gaza" et transférer ses habitants vers d’autres pays, le projet du président états-unien Donald Trump pour l’enclave palestinienne a provoqué mercredi une vague de réactions internationales plus ou moins indignées. Le petit territoire palestinien jouit depuis le 19 janvier d’une trêve entre le mouvement islamiste du Hamas, qui le gouverne, et Israël, après plus d’un an de guerre qui l’a laissé exsangue. La suite de cette trêve est en négociation.
Les propos de Trump en faveur d'un déplacement forcé des Gazaouis ont trouvé un écho négatif dans l’ensemble de la communauté internationale, à l’exception des républicains américains et de la coalition nationaliste au pouvoir en Israël.
Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, juge «grotesque» l’idée que la bande de Gaza puisse être habitable d’ici cinq ans, comme le prévoit l’accord de cessez-le-feu avec Israël.
La neutralité est une complicité. Il est urgent que nos universités assument une responsabilité collective, défendent sans équivoque la justice et alignent leurs politiques sur leurs principes déclarés.
La fin annoncée jeudi 30 janvier des activités de l’agence officielle représente un traumatisme pour les millions de personnes qui en bénéficient, à travers écoles, soins et services essentiels, depuis des années.
Des milliers d’Israéliens, parfois des familles entières, ont quitté le pays pour s’installer à l’étranger. En cause, l’insécurité et la guerre à Gaza, mais aussi la politique du gouvernement Nétanyahou et le poids de la religion dans le pays.
L'idée lancée par Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers la Jordanie et l'Egypte s'est heurtée à de nouvelles critiques mardi, pendant que des milliers de Palestiniens continuaient à rentrer dans le nord du territoire, en ruines après 15 mois de guerre.
Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.
Le président américain Donald Trump a confirmé samedi avoir débloqué une livraison de bombes de 2.000 livres (907 kg) à Israël, suspendue l'an dernier par l'administration de son prédécesseur Joe Biden.
A bord d’Air Force One, le républicain a exposé samedi 25 janvier sa solution pour abriter les Gazaouis forcés au déplacement après quinze mois de bombardements sur leur territoire.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.
Des milliers de personnes - 7000 selon les chiffres communiqués par la police à la RTBF - ont entamé, depuis la gare de Bruxelles-Nord dimanche à 14h, une marche pour réclamer un cessez-le-feu permanent dans la bande de Gaza. Le cortège a traversé les rues du centre-ville pour arriver vers 16h00 à la gare de Bruxelles-Midi.
Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag ont été libérées en échange de 200 prisonniers palestiniens, comme prévu par l’accord de trêve entre Israël et le Hamas.
La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le Hamas a annoncé vers 9h30 ce dimanche avoir publié les noms de trois otages israéliennes devant être libérées dans l'après-midi. Israël annonce dans la foulée que le cessez-le-feu avec le Hamas entre en vigueur à 10h15, heure belge. Le début de la trêve avec le Hamas a été reporté en raison de l'absence de cette liste d'otages à fournir par le mouvement palestinien, avait indiqué ce dimanche matin le porte-parole de l'armée israélienne.
Après 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, Israël a annoncé dimanche la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Le retard est lié à la publication par le Hamas du nom des otages devant être libérées ce jour.
L’accord de trêve scellé entre Israël et le Hamas est appliqué dans la bande de Gaza depuis ce dimanche 19 janvier. Un “douloureux processus”, entré en vigueur avec quelques heures de retard, qui prévoit des échanges entre otages israéliens et prisonniers palestiniens et doit durer six semaines.
Même si l’arrêt des violences semble fragile, la libération des trois premières otages israéliennes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu dimanche à Gaza fait naître un espoir dans un Proche-Orient en plein bouleversement.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Le gouvernement israélien, qui doit donner son feu vert jeudi à l’accord annoncé par le Qatar et les États-Unis, a remercié mercredi les deux présidents américains, dont les équipes ont étroitement collaboré sur le sujet. Cette coopération “rare” à Washington, bénéficie à chacun des deux dirigeants, note la presse américaine.
L’accord porte sur trois phases de cessez-le-feu, qui comprennent la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, celle de prisonniers palestiniens, l’entrée d’aide humanitaire dans l’enclave et le retrait progressif des troupes israéliennes.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
En utilisant une méthode statistique déjà éprouvée dans des conflits, des chercheurs ont tenté d’établir un compte des morts dans l’enclave. Ils sont parvenus au chiffre de 64 260 sur les neuf premiers mois de la riposte israélienne.
Alors que la Croix-Rouge réclame un accès "sûr et sans entrave" à la bande de Gaza, l'Unicef indique de son côté qu'au moins 74 enfants ont été tués en raison de la violence dans la bande de Gaza au cours de la première semaine de 2025, indique mercredi l'Unicef. Les victimes ont perdu la vie lors d'attaques de grande ampleur sur la ville de Gaza, Khan Younès ainsi que la zone humanitaire d'Al-Mawasi.
Nous dénonçons les injustices partout où elles se produisent. Nous condamnons autant l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 que les actes commis par Israël à Gaza, en Cisjordanie ou au Liban, ainsi que toutes les souffrances infligées aux populations civiles.
Des personnes sont mortes de froid à Gaza, dont des nourrissons, mais l’aide humanitaire reste insuffisante en raison des restrictions d’accès, a alerté vendredi la cheffe de l’agence de l’ONU pour les migrations, Amy Pope.
Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.
Le Comité international de la Croix-Rouge a jugé, lundi, que le système sanitaire dans le nord de la bande de Gaza était "anéanti" après plus d'un an de bombardements menés par Israël.
Le journal israélien est l’un des rares médias du pays à montrer la réalité de la guerre du côté palestinien. Une approche critique qui lui vaut d’être en première ligne face aux attaques du gouvernement contre les médias.
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se montre incapable d’abandonner sa logique de guerre au profit d’une logique de paix, même après avoir réduit à néant la bande de Gaza et fait la preuve de la surpuissance militaire de son pays.
L'OMS a annoncé vendredi que le dernier grand hôpital opérationnel dans le nord de Gaza était "hors service" après un raid de l'armée israélienne contre des combattants du Hamas près de cet établissement, pris d'assaut selon le mouvement islamiste palestinien.
Aujourd'hui, nous joignons notre voix à celle d'autres associations pour dénoncer cette entreprise effroyable. Malheureusement, la reconnaissance de plus en plus large qu'Israël commet bien un génocide à Gaza ne suffit pas à l'arrêter ou le freiner.
L’attaque américaine intervient quelques heures après la revendication, par les rebelles, d’un tir d’un missile sur le centre d’Israël, allié de Washington, faisant 16 blessés légers.
En continuant de soutenir militairement et financièrement leur allié israélien malgré les accusations étayées qui le visent, nombre d’Etats, dont la France, se dérobent à leur responsabilité et mettent à mal le droit international.
Israël a indiqué samedi qu'un "projectile" tiré depuis le Yémen, où il a bombardé cette semaine les rebelles houthis, avait frappé son territoire près de Tel-Aviv, faisant 14 blessés.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Dans un rapport accablant et très documenté, publié ce jeudi 5 décembre, l’ONG assure que l’opération militaire israélienne dans l’enclave palestinienne répond à trois des cinq actes interdits au titre de la Convention de 1948.
Les recherches ont permis de rassembler suffisamment d’éléments pour conclure qu’Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.
L’ancien ministre de la Défense israélien Moshé Yaalon a affirmé samedi que l’armée israélienne menait un "nettoyage ethnique" dans la bande de Gaza, provoquant un tollé au sein de la classe politique.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Les États-Unis et la France ont annoncé mardi qu'ils veilleront à ce que l'accord de cessez-le-feu au Liban, qui entre en vigueur mercredi, soit "mis en œuvre dans son intégralité". Un accord qui "protégera Israël de la menace que représentent le Hezbollah et les autres organisations terroristes opérant depuis le Liban", et créera les "conditions nécessaires" au rétablissement durable du "calme" selon Emmanuel Macron et Joe Biden.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban, négocié entre les parties par les États-Unis et la France, est entré en vigueur à 4 heures mercredi matin (heure libanaise). Selon Benyamin Nétanyahou, cette trêve de soixante jours, qui a vocation à devenir permanente, permettra à l’État hébreu de concentrer ses efforts sur le Hamas et l’Iran.
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
Outre les dizaines de milliers de morts, la guerre israélienne a fait plus de 100 000 blessés parmi les habitants de Gaza, dont beaucoup d’enfants. “The New York Times” est allé à la rencontre de ceux qui ont eu la chance d’être évacués et opérés au Qatar.
La guerre d’Israël dans la bande de Gaza bafoue un des droits fondamentaux : l'accès à l’eau. Cette « instrumentalisation de l’eau » a de lourdes conséquences sur les Gazaouis, déplore l’auteur de cette tribune.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
Après plus d’un an de conflit à Gaza, la Cour pénale internationale a provoqué la fureur d’Israël en émettant jeudi des mandats d’arrêt sans précédent contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
L’armée israélienne favorise le pillage de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en s’en prenant notamment aux forces de police palestiniennes qui tentent de le combattre, accusent vendredi 29 ONG dans un rapport commun.
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Une vidéo filmée dans la bande de Gaza montre l’ampleur des destructions dans l’enclave. Selon une estimation basse, au moins 58,7 % du bâti du territoire est dégradé ou détruit.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a plaidé lundi pour l'annexion de la Cisjordanie par son pays, donnant ordre à l'administration civile et militaire de préparer l'infrastructure nécessaire à cette annexion, selon le Jerusalem Post.
Les dirigeants arabes et musulmans ont réaffirmé lundi leur appel en faveur de la création d’un Etat palestinien souverain, avec Jérusalem-Est comme capitale, à l’issue d’un sommet des pays arabes et musulmans à Ryad.
La famine menace dans le nord de la bande de Gaza, dans un contexte d'intensification des opérations de l'armée israélienne et d'un arrêt quasi total de l'aide alimentaire, alerte samedi un rapport de l'ONU.
Les femmes et les enfants représentaient "près de 70 %" des victimes dans la bande de Gaza, a affirmé l'ONU vendredi. Le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme a mené une minutieuse vérification d'un décompte partiel des victimes – 8 119 sur plus de 34 500 au total – de la guerre menée par Israël contre le Hamas.
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.
Malgré l'opposition des États-Unis et la mise en garde du Conseil de sécurité de l'ONU, la Knesset a adopté lundi l'interdiction pour l'Unrwa d'exercer ses activités sur le territoire israélien. Un vote lourd de conséquences humanitaires et politiques qui oblige la communauté internationale à repenser toute l'aide aux Palestiniens.


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avril 2025

La situation humanitaire dans la bande de Gaza est "probablement la pire depuis le début de la guerre il y a 18 mois" entre Israël et le Hamas, a prévenu lundi le Bureau des affaires humanitaires de l'Onu (Ocha) dans un communiqué.
Une frappe israélienne a sévèrement endommagé dimanche l'un des rares hôpitaux encore en fonction dans la bande de Gaza, Israël affirmant avoir ciblé un "centre de commandement" du mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a rejeté cette allégation.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs et d’anciens ambassadeurs appelle, en Europe, à dénoncer sans ambiguïté l’idéologie suprémaciste qui anime désormais le gouvernement de l’Etat hébreu : il vient de créer une « Autorité d’émigration », visant à « relocaliser » plusieurs millions de Palestiniens de Gaza puis, probablement, de Cisjordanie.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a dénoncé mardi la situation à Gaza, qualifiant l'enclave palestinienne de "champ de mort" en raison du blocus par Israël de l'aide humanitaire. Une accusation rejetée par le gouvernement israélien, qui affirme qu'il n'y a "pas de pénurie" d'aide.

mars 2025

Le Parlement israélien a adopté, jeudi matin, une loi polémique qui renforce l'influence du pouvoir politique dans la nomination des juges, un vote immédiatement contesté par l'opposition devant la Cour suprême. Ce vote a provoqué les manifestations les plus importantes de l'histoire du pays.
Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
Résolu à assurer son maintien au pouvoir, le Premier ministre s’efforce désormais de limoger les responsables institutionnels qui le gênent. Dans la société israélienne, la contestation s’intensifie. [...] Fou de jalousie. Observant son copain d’avant, avec qui il faisait des virées mémorables dans les bars de New York dans les années 80, lui jeune ambassadeur, l’autre déjà promoteur immobilier prometteur, Benyamin Nétanyahou n’en revient pas. Pourquoi devrait-il accepter les limites que lui impose la démocratie alors que son pote Donald Trump est libre comme l’air, poussant le luxe jusqu’à poursuivre ses ennemis sans aucune contrainte judiciaire ?
Le ministre israélien de la Défense a menacé vendredi d'annexer des parties de Gaza [...] "J'ai donné l'ordre à (l'armée) de saisir davantage de territoire à Gaza, tout en évacuant la population, et d'étendre les zones de sécurité (le long de la frontière à l'intérieur de la bande) de Gaza pour protéger les localités israéliennes", a déclaré vendredi le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, dans un communiqué.
Les bombardements font suite « au refus répété du Hamas de libérer » les otages, selon Israël. Le ministère de la santé du Hamas fait état de 330 morts à Gaza.
Le cessez-le-feu rompu. Israël a mené dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 mars des frappes d’une ampleur sans précédent sur la bande de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, il y a deux mois. Celles-ci ont fait au moins 413 morts et «des centaines de blessés», selon la Défense civile du territoire palestinien, déclenchant immédiatement de multiples réactions à l’international.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Une commission d’enquête des Nations Unies estime ce jeudi 13 mars que «les autorités israéliennes ont en partie détruit la capacité des Palestiniens à Gaza - en tant que groupe - à faire des enfants». Israël «rejette catégoriquement» ces accusations.
Alors que la trêve vacille, Tel-Aviv prive Gaza de sa dernière source d’électricité extérieure. Une stratégie qui vise à forcer le groupe islamiste à céder sur la gouvernance future de l’enclave, mais qui aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Après avoir coupé, dimanche dernier, l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé ce dimanche couper l’approvisionnement en électricité de la zone. Cette annonce a été faite par le ministre de l’Energie Eli Cohen.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Donald Trump a lancé mercredi un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort", le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Israël exige la "démilitarisation totale de la bande de Gaza" pour passer à la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de trêve conclu en janvier avec le Hamas par le biais d'une médiation internationale, a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères israélien.
L'Egypte a présenté un plan de 53 milliards de dollars pour reconstruire Gaza sur cinq ans, axé sur les secours d'urgence, la reconstruction et le développement économique à long terme, selon un projet de document que l'AFP a pu consulter.
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.

février 2025

Une enquête interne de l'armée israélienne sur l'attaque du 7 octobre a reconnu l'"échec total" de l'armée à empêcher l'attaque de commandos du Hamas à partir de Gaza, qui a fait plus d'un millier de morts en Israël, a déclaré un responsable militaire jeudi.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a proposé mardi que l'Egypte assume la responsabilité de la bande de Gaza pour huit ans une fois la guerre terminée, en échange d'un allégement massif de sa dette.
Historienne et anthropologue, directrice de recherche au CNRS, Stéphanie Latte Abdallah est spécialiste du Moyen-Orient. Elle explique à Vert pourquoi l’écologie palestienne qu’elle qualifie d’«existentielle» est une forme de résistance à la destruction d’une terre et du peuple qui y vit.
Les services secrets ukrainiens ont piégé des milliers de lunettes destinées aux opérateurs contrôlant les drones de combat russes, rapporte le New York Times. Une opération qui n’est pas sans rappeler le sabotage des bipeurs du Hezbollah par le Mossad en septembre 2024.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le Hamas est prêt à libérer tous les otages restants dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël après 15 mois de guerre, a déclaré mercredi l'un de ses responsables.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
Cette mesure, annoncée alors que le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se trouve à Washington, impose des restrictions financières et de visas aux personnels de la CPI qui aident aux enquêtes de la cour sur les citoyens américains ou leurs alliés.
Le président américain a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la CPI, accusée d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».
La porte-parole de la Maison-Blanche a tenté mercredi de clarifier les annonces faites la veille par Donald Trump sur la présence américaine dans l’enclave palestinienne.
L’administration américaine s’est efforcée mercredi de nuancer la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de Gaza, et le chef de l’ONU a mis en garde contre un «nettoyage ethnique» dans le territoire palestinien.
Les déclarations du président américain du mardi 4 février sur sa volonté de faire de Gaza la «Côte d’Azur du Moyen-Orient» se heurtent, en réalité, à bien plus d’obstacles que ne le laisse entendre le milliardaire républicain.
Donald Trump a fait une annonce extraordinaire mardi, disant vouloir prendre "le contrôle" de la bande de Gaza dévastée par la guerre, une proposition qui pourrait "changer l'Histoire" selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Le président républicain a affirmé mardi que les États-Unis souhaitaient développer le territoire palestinien et a répété que ses habitants pourraient être transférés vers la Jordanie ou l’Égypte. Une annonce extraordinaire qui, si elle était appliquée, pourrait avoir des “implications considérables” pour le Moyen-Orient, note la presse américaine.
En prônant une prise de contrôle durable de la bande de Gaza par les Etats-Unis après en avoir chassé les Palestiniens, le président américain fait sienne la vision de l’extrême droite raciste et suprémaciste israélienne et annonce un crime de guerre.
La déclaration choc du président américain, mardi, d’expulser tous les Palestiniens de l’enclave pourrait mettre à mal le troisième échange d’otages prévu ce week-end et anéantir tous les plans de paix possibles.
Après les déclarations polémiques mardi soir du président américain, Paris a affirmé ce mercredi 5 février que «l’avenir de Gaza doit s’inscrire […] dans le cadre d’un futur Etat palestinien.»
Le président américain a suscité mardi 4 février, une vague de stupeur internationale en annonçant son ambition de faire de Gaza «la Côte d’Azur du Moyen-Orient». Retour sur ses propos.
"Prendre le contrôle de la bande de Gaza" et transférer ses habitants vers d’autres pays, le projet du président états-unien Donald Trump pour l’enclave palestinienne a provoqué mercredi une vague de réactions internationales plus ou moins indignées. Le petit territoire palestinien jouit depuis le 19 janvier d’une trêve entre le mouvement islamiste du Hamas, qui le gouverne, et Israël, après plus d’un an de guerre qui l’a laissé exsangue. La suite de cette trêve est en négociation.
Les propos de Trump en faveur d'un déplacement forcé des Gazaouis ont trouvé un écho négatif dans l’ensemble de la communauté internationale, à l’exception des républicains américains et de la coalition nationaliste au pouvoir en Israël.
Steve Witkoff, émissaire de Donald Trump pour le Moyen-Orient, juge «grotesque» l’idée que la bande de Gaza puisse être habitable d’ici cinq ans, comme le prévoit l’accord de cessez-le-feu avec Israël.

janvier 2025

La neutralité est une complicité. Il est urgent que nos universités assument une responsabilité collective, défendent sans équivoque la justice et alignent leurs politiques sur leurs principes déclarés.
La fin annoncée jeudi 30 janvier des activités de l’agence officielle représente un traumatisme pour les millions de personnes qui en bénéficient, à travers écoles, soins et services essentiels, depuis des années.
Des milliers d’Israéliens, parfois des familles entières, ont quitté le pays pour s’installer à l’étranger. En cause, l’insécurité et la guerre à Gaza, mais aussi la politique du gouvernement Nétanyahou et le poids de la religion dans le pays.
L'idée lancée par Donald Trump de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers la Jordanie et l'Egypte s'est heurtée à de nouvelles critiques mardi, pendant que des milliers de Palestiniens continuaient à rentrer dans le nord du territoire, en ruines après 15 mois de guerre.
Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.
Le président américain Donald Trump a confirmé samedi avoir débloqué une livraison de bombes de 2.000 livres (907 kg) à Israël, suspendue l'an dernier par l'administration de son prédécesseur Joe Biden.
A bord d’Air Force One, le républicain a exposé samedi 25 janvier sa solution pour abriter les Gazaouis forcés au déplacement après quinze mois de bombardements sur leur territoire.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a remercié dimanche Donald Trump pour avoir fourni à son pays des "outils nécessaires", après que le président américain a laissé entendre qu'il avait débloqué la livraison à Israël de bombes de 2.000 livres.
Des milliers de personnes - 7000 selon les chiffres communiqués par la police à la RTBF - ont entamé, depuis la gare de Bruxelles-Nord dimanche à 14h, une marche pour réclamer un cessez-le-feu permanent dans la bande de Gaza. Le cortège a traversé les rues du centre-ville pour arriver vers 16h00 à la gare de Bruxelles-Midi.
Karina Ariev, Daniella Gilboa, Naama Levy et Liri Albag ont été libérées en échange de 200 prisonniers palestiniens, comme prévu par l’accord de trêve entre Israël et le Hamas.
La probable future ambassadrice américaine à l'ONU Elise Stefanik a raillé mardi la "gangrène antisémite" qui affecterait selon elle l'organisation internationale et a réaffirmé son indéfectible soutien à Israël dans son conflit avec les Palestiniens.
Le Hamas a annoncé vers 9h30 ce dimanche avoir publié les noms de trois otages israéliennes devant être libérées dans l'après-midi. Israël annonce dans la foulée que le cessez-le-feu avec le Hamas entre en vigueur à 10h15, heure belge. Le début de la trêve avec le Hamas a été reporté en raison de l'absence de cette liste d'otages à fournir par le mouvement palestinien, avait indiqué ce dimanche matin le porte-parole de l'armée israélienne.
Après 15 mois de guerre dans la bande de Gaza, Israël a annoncé dimanche la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Le retard est lié à la publication par le Hamas du nom des otages devant être libérées ce jour.
L’accord de trêve scellé entre Israël et le Hamas est appliqué dans la bande de Gaza depuis ce dimanche 19 janvier. Un “douloureux processus”, entré en vigueur avec quelques heures de retard, qui prévoit des échanges entre otages israéliens et prisonniers palestiniens et doit durer six semaines.
Même si l’arrêt des violences semble fragile, la libération des trois premières otages israéliennes après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu dimanche à Gaza fait naître un espoir dans un Proche-Orient en plein bouleversement.
Sous l’égide des États-Unis, du Qatar et de l’Egypte, l’accord entre Israël et le Hamas prévoit la libération des 98 otages aux mains du Hamas et, à terme, la reconstruction de l’enclave.
Le gouvernement israélien, qui doit donner son feu vert jeudi à l’accord annoncé par le Qatar et les États-Unis, a remercié mercredi les deux présidents américains, dont les équipes ont étroitement collaboré sur le sujet. Cette coopération “rare” à Washington, bénéficie à chacun des deux dirigeants, note la presse américaine.
L’accord porte sur trois phases de cessez-le-feu, qui comprennent la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, celle de prisonniers palestiniens, l’entrée d’aide humanitaire dans l’enclave et le retrait progressif des troupes israéliennes.
Israël et le Hamas ont accepté mercredi un accord pour un cessez-le-feu à Gaza et la libération d'otages, mettant fin à 15 mois d'une guerre qui a fait des dizaines de milliers de morts dans le territoire palestinien, a annoncé une source proche des discussions. Le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi soir que des questions restaient "à régler" dans l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas mais qu'il espérait conclure "cette nuit".
Le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, a proposé mardi d'envoyer une force internationale de sécurité à Gaza et de placer le territoire palestinien sous la responsabilité de l'ONU, à l'issue de la guerre avec le Hamas.
En utilisant une méthode statistique déjà éprouvée dans des conflits, des chercheurs ont tenté d’établir un compte des morts dans l’enclave. Ils sont parvenus au chiffre de 64 260 sur les neuf premiers mois de la riposte israélienne.
Alors que la Croix-Rouge réclame un accès "sûr et sans entrave" à la bande de Gaza, l'Unicef indique de son côté qu'au moins 74 enfants ont été tués en raison de la violence dans la bande de Gaza au cours de la première semaine de 2025, indique mercredi l'Unicef. Les victimes ont perdu la vie lors d'attaques de grande ampleur sur la ville de Gaza, Khan Younès ainsi que la zone humanitaire d'Al-Mawasi.
Nous dénonçons les injustices partout où elles se produisent. Nous condamnons autant l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 que les actes commis par Israël à Gaza, en Cisjordanie ou au Liban, ainsi que toutes les souffrances infligées aux populations civiles.
Des personnes sont mortes de froid à Gaza, dont des nourrissons, mais l’aide humanitaire reste insuffisante en raison des restrictions d’accès, a alerté vendredi la cheffe de l’agence de l’ONU pour les migrations, Amy Pope.
Le pouvoir palestinien en Cisjordanie a ordonné le 1er janvier la suspension de la diffusion d’Al-Jazeera. Une décision qui intervient après que Ramallah a critiqué la couverture médiatique par la chaîne panarabe des opérations menée à Jénine contre des groupes armés proches du Hamas.
Plusieurs dizaines de personnes ont été tuées jeudi dans la bande de Gaza par des frappes israéliennes, dont le chef de la police du Hamas, Mahmoud Salah, et son adjoint Hussam Shahwan, a annoncé le porte-parole de la Défense civile.

décembre 2024

Le Comité international de la Croix-Rouge a jugé, lundi, que le système sanitaire dans le nord de la bande de Gaza était "anéanti" après plus d'un an de bombardements menés par Israël.
Le journal israélien est l’un des rares médias du pays à montrer la réalité de la guerre du côté palestinien. Une approche critique qui lui vaut d’être en première ligne face aux attaques du gouvernement contre les médias.
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se montre incapable d’abandonner sa logique de guerre au profit d’une logique de paix, même après avoir réduit à néant la bande de Gaza et fait la preuve de la surpuissance militaire de son pays.
L'OMS a annoncé vendredi que le dernier grand hôpital opérationnel dans le nord de Gaza était "hors service" après un raid de l'armée israélienne contre des combattants du Hamas près de cet établissement, pris d'assaut selon le mouvement islamiste palestinien.
Aujourd'hui, nous joignons notre voix à celle d'autres associations pour dénoncer cette entreprise effroyable. Malheureusement, la reconnaissance de plus en plus large qu'Israël commet bien un génocide à Gaza ne suffit pas à l'arrêter ou le freiner.
L’attaque américaine intervient quelques heures après la revendication, par les rebelles, d’un tir d’un missile sur le centre d’Israël, allié de Washington, faisant 16 blessés légers.
En continuant de soutenir militairement et financièrement leur allié israélien malgré les accusations étayées qui le visent, nombre d’Etats, dont la France, se dérobent à leur responsabilité et mettent à mal le droit international.
Israël a indiqué samedi qu'un "projectile" tiré depuis le Yémen, où il a bombardé cette semaine les rebelles houthis, avait frappé son territoire près de Tel-Aviv, faisant 14 blessés.
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale des Nations unies a adopté, mercredi, une résolution non contraignante par 158 voix pour, neuf contre et treize abstentions exigeant un "cessez-le-feu immédiat, inconditionnel et permanent", un appel rejeté par Israël et les États-Unis.
Dans un rapport accablant et très documenté, publié ce jeudi 5 décembre, l’ONG assure que l’opération militaire israélienne dans l’enclave palestinienne répond à trois des cinq actes interdits au titre de la Convention de 1948.
Les recherches ont permis de rassembler suffisamment d’éléments pour conclure qu’Israël a commis et continue de commettre un génocide contre les Palestiniens et Palestiniennes dans la bande de Gaza occupée.
Le président français Emmanuel Macron a annoncé mardi qu'il allait coprésider avec le prince héritier et dirigeant de facto de l'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane une conférence sur la création d'un Etat palestinien en juin 2025.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas et le Fatah, parti du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, se sont mis d'accord sur la formation d'un comité chargé d'administrer la bande de Gaza après la guerre, a appris mardi l'Agence France-Presse.

novembre 2024

L’ancien ministre de la Défense israélien Moshé Yaalon a affirmé samedi que l’armée israélienne menait un "nettoyage ethnique" dans la bande de Gaza, provoquant un tollé au sein de la classe politique.
La bande de Gaza a sombré dans l’anarchie, avec une hausse de la famine, des pillages généralisés et des viols de plus en plus fréquents dans les camps de réfugiés, alors que l’ordre public s’est effondré, ont déclaré vendredi des responsables des Nations-Unies.
Les États-Unis et la France ont annoncé mardi qu'ils veilleront à ce que l'accord de cessez-le-feu au Liban, qui entre en vigueur mercredi, soit "mis en œuvre dans son intégralité". Un accord qui "protégera Israël de la menace que représentent le Hezbollah et les autres organisations terroristes opérant depuis le Liban", et créera les "conditions nécessaires" au rétablissement durable du "calme" selon Emmanuel Macron et Joe Biden.
Un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah au Liban, négocié entre les parties par les États-Unis et la France, est entré en vigueur à 4 heures mercredi matin (heure libanaise). Selon Benyamin Nétanyahou, cette trêve de soixante jours, qui a vocation à devenir permanente, permettra à l’État hébreu de concentrer ses efforts sur le Hamas et l’Iran.
Alors que l’élection de Donald Trump pourrait conforter Benyamin Nétanyahou dans sa stratégie meurtrière, les ancien et actuel députés européens affirment, dans une tribune au « Monde », que le mandat d’arrêt de la CPI contre le premier ministre israélien n’est pas antisémite et appellent la France à reconnaître l’Etat palestinien.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a affirmé qu'Israël devrait "conquérir" la bande de Gaza et réduire de moitié la population palestinienne locale par "une émigration volontaire".
Outre les dizaines de milliers de morts, la guerre israélienne a fait plus de 100 000 blessés parmi les habitants de Gaza, dont beaucoup d’enfants. “The New York Times” est allé à la rencontre de ceux qui ont eu la chance d’être évacués et opérés au Qatar.
La guerre d’Israël dans la bande de Gaza bafoue un des droits fondamentaux : l'accès à l’eau. Cette « instrumentalisation de l’eau » a de lourdes conséquences sur les Gazaouis, déplore l’auteur de cette tribune.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
En visite à Beyrouth au lendemain d’une frappe israélienne qui a fait 29 morts au cœur de la capitale libanaise, le haut représentant de l’Union européenne pour les affaires étrangères et la sécurité a plaidé pour un cessez-le-feu immédiat.
Après plus d’un an de conflit à Gaza, la Cour pénale internationale a provoqué la fureur d’Israël en émettant jeudi des mandats d’arrêt sans précédent contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Le ministère de la Santé du Hamas pour Gaza a averti vendredi que tous les hôpitaux du territoire palestinien devraient cesser ou réduire leurs activités "sous 48 heures" faute de carburant dont l'entrée est bloquée, selon lui, par les autorités israéliennes.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis, jeudi 21 novembre, des mandats d’arrêt à l’encontre du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et du chef militaire du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision, la première contre des dirigeants israéliens dans l’histoire de la Cour, a été qualifiée d’un nouveau “procès Dreyfus” par Nétanyahou.
Le pillage de l’aide humanitaire à Gaza "devient systématique et doit cesser immédiatement", a déclaré mardi Stéphane Dujarric, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, s’inquiétant d’informations selon lesquelles les autorités israéliennes pourraient laisser faire ces attaques.
Les frappes aériennes menées par Israël fin octobre contre l'Iran ont touché "un élément du programme nucléaire" de la République islamique, a déclaré lundi le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu. "Ce n'est pas un secret, ça été publié, un élément du programme nucléaire a été touché dans cette attaque mais le programme en soi et sa capacité à fonctionner n'ont pas encore été éliminés", a dit à la Knesset (Parlement) M. Netanyahu, dont le pays est considéré par les experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient.
Voici la réponse du sociologue Jean De Munck à l'opinion du psychologue, anthropologue et psychanalyste Francis Martens parue récemment dans La Libre, et qui a suscité de vives réactions. Le Professeur De Munck explique et argumente, point par point, les raisons de son désaccord avec M. Martens.
Le comité spécial de l’ONU chargé d’enquêter sur les pratiques israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés s’alarme notamment des “pertes civiles massives” et de l’emploi de “la famine comme arme de guerre”. Washington a lui désapprouvé “sans équivoque” les conclusions du document onusien.
L’armée israélienne favorise le pillage de l’aide humanitaire dans la bande de Gaza, en s’en prenant notamment aux forces de police palestiniennes qui tentent de le combattre, accusent vendredi 29 ONG dans un rapport commun.
La déclaration a été faite à l’issue d’un sommet de la Ligue arabe et de l’Organisation de la coopération islamique en Arabie saoudite.
Une haute responsable de l’ONU a dénoncé mardi la "cruauté quotidienne" subie par la population de la bande de Gaza assiégée et bombardée par Israël, décrivant "des actes qui rappellent les crimes internationaux les plus graves".
Une vidéo filmée dans la bande de Gaza montre l’ampleur des destructions dans l’enclave. Selon une estimation basse, au moins 58,7 % du bâti du territoire est dégradé ou détruit.
Le ministre israélien des Finances, Bezalel Smotrich, a plaidé lundi pour l'annexion de la Cisjordanie par son pays, donnant ordre à l'administration civile et militaire de préparer l'infrastructure nécessaire à cette annexion, selon le Jerusalem Post.
Les dirigeants arabes et musulmans ont réaffirmé lundi leur appel en faveur de la création d’un Etat palestinien souverain, avec Jérusalem-Est comme capitale, à l’issue d’un sommet des pays arabes et musulmans à Ryad.
La famine menace dans le nord de la bande de Gaza, dans un contexte d'intensification des opérations de l'armée israélienne et d'un arrêt quasi total de l'aide alimentaire, alerte samedi un rapport de l'ONU.
Les femmes et les enfants représentaient "près de 70 %" des victimes dans la bande de Gaza, a affirmé l'ONU vendredi. Le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme a mené une minutieuse vérification d'un décompte partiel des victimes – 8 119 sur plus de 34 500 au total – de la guerre menée par Israël contre le Hamas.
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.

octobre 2024

Malgré l'opposition des États-Unis et la mise en garde du Conseil de sécurité de l'ONU, la Knesset a adopté lundi l'interdiction pour l'Unrwa d'exercer ses activités sur le territoire israélien. Un vote lourd de conséquences humanitaires et politiques qui oblige la communauté internationale à repenser toute l'aide aux Palestiniens.