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Selon le bilan de Météo-France, 2024, marquée par de nombreuses inondations, figurera parmi les dix années les plus pluvieuses et l’une des cinq plus chaudes jamais enregistrées.
En ce début de l’été austral, le sud de l’Australie suffoque. Des températures de 5 à 12 °C au-dessus des moyennes sont enregistrées. Et les autorités craignent déjà de possibles feux de brousse.
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Il est "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" après le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire Copernicus. Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles. L'observatoire européen note également dans son bulletin de septembre des "précipitations extrêmes" sur une partie de l'Europe ainsi que des conditions plus humides que la normale sur certaines régions d'Amérique du Nord, d'Asie et d'Afrique:
Les températures moyennes mondiales en juin, juillet et août ont été les plus élevées jamais mesurées, a annoncé ce vendredi 6 septembre l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record datait seulement de l’an dernier.
L'observatoire européen Copernicus a annoncé vendredi que l'été 2024 avait été le plus chaud jamais enregistré sur la planète. De quoi augmenter la probabilité que l'année 2024 batte elle aussi un record de température.
Les records de chaleur en août sont synonymes d'" alerte rouge", a déclaré mercredi à Singapour la directrice de l'Organisation météorologique mondiale (OMM) affirmant" Nous sommes inquiets mais pas paralysés".
C’est le troisième été consécutif où les normales de saison ont été nettement dépassées en France. « L’été 2024 affiche une anomalie chaude de +0,7 °C par rapport à la normale 1991-2020 », dévoile un bilan de Météo-France publié le 2 septembre. Si le mois de juin a été conforme à la normale, le mois de juillet a été légèrement plus chaud (+0,6 °C), et le mois d’août a été nettement plus chaud (+1,5 °C).
L’Australie a enregistré ce lundi 26 août des températures hivernales record, le mercure atteignant 41,6°C dans une partie de la côte nord-ouest du pays, a annoncé le centre météorologique australien.
Pour la deuxième année consécutive, les températures de la Méditerranée battent des records, notamment jeudi, menaçant la vie marine, favorisant les espèces invasives et augmentant l'intensité potentielle des précipitations dans une région particulièrement touchée par les effets du réchauffement climatique.
Alors, ce mois de juillet ? Il a fait chaud ? Ce qui intéresse les experts du climat, ce n’est pas la météo à un moment précis, mais la tendance des moyennes à long terme. Et elle est claire : Copernicus, le Service du Changement climatique, dépendant de la Commission européenne, vient de livrer ses données pour juillet 2024.
Le continent blanc, qui se réchauffe le plus vite dans le monde, a enregistré des températures anormalement élevées en juillet et début août.
Des températures record ont été enregistrées samedi dans la province du Zhejiang, dans l'est de la Chine en proie à de fortes chaleurs, selon les autorités météorologiques.
Le mois de juin 2024 a été le plus chaud dans le monde. Depuis un an, des records de températures sont battus chaque mois. Pourtant, en Occitanie, on constatait jusqu'ici une fraîcheur anormale pour la période estivale. Comment cela est-ce possible ? La météo ne fait pas le climat.
Sous l'effet des rejets de gaz à effet de serre de l'humanité, les records de températures mondiales continuent de tomber depuis plus d'un an: juin 2024 est devenu le mois de juin le plus chaud jamais mesuré, effaçant le record déjà battu en 2023.
La température moyenne au niveau mondial a battu des records chaque mois depuis juin 2023.
Selon le CEO de Viessmann, l’électricité est trop chère pour rentabiliser un investissement dans une pompe à chaleur.
L’institut Copernicus annonce, ce mercredi 5 juin, que le mois de mai 2024 a été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre. Il s’agit du douzième mois consécutif pour lequel les records de températures mondiales sont battus.
Les températures extrêmes qui sévissent en Inde ont des conséquences graves sur la santé publique surtout dans les mégapoles du pays, ont averti jeudi des experts.Les vagues de chaleur constituent "la plus grande menace pour le bien-être de l'Inde aujourd'hui", explique à l'AFP Aarti Khosla, directrice de l'Institut de recherche Climate Trends.Les récents pics dans la région de la capitale sont, selon elle, "la preuve que la question qui se pose aujourd'hui est celle de la survie".
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The Guardian a mené un sondage pour connaître le ressenti de centaines de chercheurs en lien avec le GIEC sur le réchauffement climatique.
Plusieurs régions du Mexique, dont la capitale Mexico et ses neuf millions d'habitants, ont subi des coupures d'électricité par intermittence en raison de l'envolée de la consommation en raison de la canicule, a indiqué le gouvernement jeudi. Jusqu'à 48°C... Des coupures ont été signalées à Mexico, dans l'État de Mexico voisin et ceux du Michoacán (ouest), du Tamaulipas (nord-ouest) et Campeche (sud-est). La Commission nationale de l'eau a fait état de températures "maximales de 48 degrés et plus dans les régions de San Luis Potosi (nord-est) et Tamaulipas".
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’
Chaleur écrasante et humidité étouffante, l’Asie du Sud-est connaît des conditions météorologiques exceptionnelles. Plusieurs français en vacances ou vivant à Thaïlande ont raconté à « Libé » leur vie à plus de 50°C ressentis.
Tandis que la Chine subit des inondations historiques, l’Asie du Sud-Est étouffe sous des températures extrêmes. Une situation inquiétante.
L'Asie en première ligne des effets du réchauffement climatique. Le Continent a été "la région du monde la plus touchée par les catastrophes" liées à la météo en 2023, a indiqué l'ONU, mardi 23 avril, précisant que les inondations et tempêtes y ont fait le plus de victimes et de pertes économiques.
Les scientifiques ont constaté “un véritable saut en termes d’anomalies de température mondiale entre 2022 et 2023”. Au-delà des concentrations de gaz à effet de serre records dans l’atmosphère et divers facteurs liés à la variabilité du climat, une petite partie de cet excès de chaleur n’est toujours pas expliquée. À quoi s’attendre alors pour 2024 ?
- France24
Selon une étude du réseau World Weather Attribution publiée jeudi, le réchauffement climatique "d'origine humaine" est responsable de la vague de chaleur exceptionnelle qui a touché le Sahel du 1er au 5 avril et provoqué de nombreux décès au Mali et au Burkina Faso. Les scientifiques précisent qu'un tel épisode climatique ne survient en principe qu'"une fois tous les 200 ans".
Pour la deuxième fois en dix ans, tous les coraux de la planète connaissent un épisode massif de blanchissement du fait de températures océaniques extrêmes, alerte lundi l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA).
Une revue publiée dans PLOS One cumpulse les risques du climat pour les infrastructures. Selon l’étude, les dommages annuels moyens s’élèvent actuellement à environ 700 milliards de dollars par an. Ce chiffre devrait être multiplié par plusieurs au cours du 21e siècle en raison du changement climatique et aussi de l’expansion des actifs d’infrastructure. Le climat aura notamment des conséquences sur le transport routier et ferroviaire : les hautes températures amènent des distorsions des rails, des changements importants de températures provoquent le dégel du permafrost et des déformations du terrain. Les précipitations intenses causent des inondations, des glissements de terrain, des perturbations de l’équipement électronique, des mouvements des rails, et des dépôts sur les voies. Les vents forts déracinent les arbres et transportent d’autres objets, par exemple des tôles ondulées, qui interrompent les lignes électriques et endommagent les rails.
Pour la première fois depuis l’aire préindustrielle (1850-1900), le fameux seuil de +1.5°C a été atteint ou presque (+1.48°C signalé par Copernicus (*) à l’échelle globale pulvérisant le précédent record (2017) de +0.17°C. Depuis juillet 2023, c’est en fait tous les jours ou presque que la température bat les précédents records journaliers avec des anomalies à l’échelle globale atteignant parfois les +2°C ces derniers mois. Enfin, la hausse du niveau des mers a fait un « bon » en 2023 en augmentant de presque un facteur deux par rapport aux précédentes années. Si une telle accélération de la hausse du niveau marin a été observée, ce n’est pas à cause d’une fonte subite des calottes polaires mais, à cause de l’expansion thermique des océans qui se sont « subitement » réchauffés en 2023. En Atlantique Nord par exemple, la température de surface a augmenté de +0.4°C par rapport à 2022 alors qu’elle n’avait quasiment plus évolué sur la période 2020-2022. Mais pourquoi un tel emballement des températures des océan
Des records de chaleur ont été enregistrés en Antarctique : -9,4°C au lieu des -40°C habituels. Un constat inquiétant quand on sait que le continent a assez de glace pour augmenter le niveau des océans de 58 mètres. De quoi faire disparaître 8000 hectares de côtes en France.
Avec un nouveau record de température en mars, les douze derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, 1,58°C de plus que dans le climat de la planète au XIXe siècle, avant que se fasse sentir l'effet de la combustion des énergies fossiles, de la déforestation ou de l'agriculture intensive.
Le mois de mars 2024 a été le dixième mois d’affilée à enregistrer une température moyenne plus élevée qu’un mois de mars normal, selon le service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus.
If the anomaly does not stabilise by August, ‘the world will be in uncharted territory’, says climate expert
Les records de température sur la terre et dans les océans sont à nouveau battus pour le mois de mars 2024, révèle ce mardi 9 mars l’observatoire européen du climat Copernicus. Ces douze derniers mois sont les plus chauds jamais recensés.
Si juillet 2023 est devenu le mois le plus chaud jamais mesuré dans le monde, tous les mois depuis juin ont aussi battu leur propre record.
Professeure émérite de physique de l'atmosphère et du climat à la Sorbonne, Katia Laval a contribué au développement du premier modèle climatique français. Invitée lundi dans La Matinale, elle souligne l'urgence de comprendre les variations brutales et les événements climatiques récents, inexpliqués par les modèles actuels.
Des températures inédites pour la saison ont été enregistrées partout sur la planète. Mars 2024 est probablement le dixième mois consécutif à battre des records de chaleur à l’échelle mondiale.
Météo France annonce des températures digne d’un début d’été pour la fin de semaine, «totalement dans la logique du réchauffement climatique», estime le prévisionniste Tristan Ann.
Rouge écarlate, voire noire. L'Amérique du Sud et l'Afrique suffoquent sous des chaleurs extrêmes depuis plusieurs jours, faisant tomber les uns après les autres les records de températures. Au Soudan du Sud, les écoles ont été contraintes de fermer leurs portes, pour une durée indéterminée. Une première dans un pays où les fortes chaleurs ne sont pas rares.
Copernicus vient de lancer son atlas interactif du climat, une carte du monde qui permet de consulter l'évolution du climat passé et futur, jusqu'en 2100. Découvrez les pays qui présentent l'évolution climatique la plus extrême pour le futur et parmi lesquels figurent la France.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.
- Afp
La décennie qui vient de s'écouler est la plus chaude jamais enregistrée, provoquant en 2023 une fonte sans précédent des glaciers, a alerté l'ONU mardi.
- France24
L'ONU a alerté, mardi, qu'il y a une "probabilité élevée" que l'année 2024 affiche à son tour des températures inégalées. Une déclaration qui intervient alors que l'année écoulée vient conclure une décennie de chaleur record, poussant la planète "au bord du gouffre", selon les Nations unies.
Températures extrêmes, hausse du niveau de la mer, sécheresses, catastrophes naturelles… 2023 aura été l’année de tous les dépassements. Et 2024 pourrait encore voir les choses s’aggraver alerte l’Organisation météorologique mondiale. Seule lueur d’espoir : le recours aux énergies renouvelables n’aura jamais été aussi important.
62,3 °C ressentis à Rio de Janeiro dimanche 17 mars. Le thermomètre s’affole au Brésil — il indiquait une température réelle de 42 °C — sous les effets conjugués du réchauffement climatique et du phénomène El Niño comme l’explique France Info.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Les eaux de surface des océans du globe atteignent sans interruption, depuis mars 2023, des températures jamais enregistrées auparavant.
Février 2024 a été le mois de février le plus chaud jamais enregistré, annonce l'observatoire européen du climat Copernicus ce jeudi. Les températures de l’océan atteignent aussi un niveau record, à 21,06 °C.
Near-real time updates of key global climate variables from the the Copernicus Climate Change Service (C3S)
Les trois derniers mois ont été les plus chauds jamais enregistrés dans le monde, février s’inscrivant dans une série de neuf records mensuels consécutifs, sous l’effet de la poursuite des émissions de gaz à effet de serre et du phénomène climatique El Niño, selon Copernicus. L’observatoire européen a égrené, dans son dernier bulletin mensuel publié jeudi, une nouvelle série de chiffres chocs : avec une température de l’air de 13,54°C en moyenne, le mois passé s’est inscrit 1,77°C au-dessus d’un février moyen sur la période 1850-1900. C’est aussi 0,12°C de plus que le record précédent pour un mois de février, qui remontait à 2016.
Juillet, septembre, octobre… mois après mois, les records se suivent et se ressemblent. Février 2024 est le mois de février le plus chaud jamais enregistré dans le monde depuis l’ère pré-industrielle, a annoncé jeudi 7 mars l’observatoire européen Copernicus. C’est la neuvième fois consécutive qu’un record mensuel est battu.
Le Maroc enregistre des records de chaleur cet hiver, avec le mois de janvier le plus chaud recensé dans le royaume depuis 1940, a indiqué mercredi à l'AFP la Direction générale de la météorologie (DGM), imputant le phénomène au réchauffement climatique.
La Tunisie face à l’épreuve du changement climatique (3). La fréquence des périodes caniculaires et des infrastructures inadaptées risquent de peser lourd sur l’avenir du secteur touristique.
Jusqu’à présent, le site global-climat.com publiait les données journalières de température qui n’étaient pas facilement accessibles, à moins d’utiliser des logiciels dédiés pour extraire les données. Il fallait en outre coder en Python, un langage informatique, pour extraire des données plus détaillées sur l’historique. Mais bonne nouvelle, Copernicus a lancé un nouvel outil, et il est remarquable. Une page dédiée, « Climate Pulse », permet de visualiser les données journalières (anomalies, valeurs absolues) sous forme de graphique, de fichier CSV et de carte d’anomalies. Le lien vers cette page est le suivant : https://pulse.climate.copernicus.eu.
L’année 2023 a été classée comme la plus chaude enregistrée depuis 1850, avec 14,98 °C de moyenne sur l’ensemble du globe. La tendance continue en 2024. Le principal coupable : le réchauffement lié aux gaz à effet de serre d’origine humaine.
Le mois de février 2024 dépasse de façon spectaculaire les records de chaleur dans le monde entier. La température des océans est très élevée. La glace marine Antarctique est très réduite. Le phéno…
Des feux de forêts sur fond de record de chaleur ravagent le Texas aux Etats-Unis. Une usine d’armement nucléaire a dû arrêter ses activités face au risque des incendies.
Jonathan Watts Traduction Deepl Josette – The Guardian - Le mois de février est en passe de battre un nombre record de records de chaleur, selon les météorologues, car le réchauffement climatique d’origine humaine et le phénomène naturel El Niño font grimper les températures sur terre et dans les océans.
Rapid ocean warming and unusually hot winter days recorded as human-made global heating combines with El Niño
L’hiver serait-il déjà terminé ? Avec 25 °C au pied des Pyrénées, 23 °C sur le Pays basque, entre 17 et 20 °C dans la vallée du Rhône et 15 °C à Paris, les températures du mois de février sont particulièrement chaudes. Ceci à cause « d’un flux de sud-ouest à sud qui amène sur le pays des masses d’air très doux », selon Météo France.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré dans le monde et, pour la première fois, la barre de 1,5 °C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle a été franchie sur 12 mois consécutifs, selon les données de l'observatoire européen Copernicus.
Les fortes températures ont engendré la mort de 5 167 personnes, annonce ce jeudi 8 février Santé publique France. L’un des niveaux les plus élevés des dernières années.
Quand la grosse chaleur d’été de Rio nous met au défi.
La température moyenne au cours des 12 derniers mois est la plus haute jamais enregistrée. Elle dépasse de 1,52 °C la température moyenne de la période préindustrielle, franchissant ainsi le seuil limite fixé dans l’accord de Paris.
Les températures atteignent de nouveaux sommets, mais le monde ne réduit (toujours) pas ses émissions - Résumé analytique
Le niveau inédit de 21,1 °C en moyenne dans les eaux de surface a été atteint en août 2023, et de nouveau en janvier 2024. Un symptôme du réchauffement aux conséquences majeures sur la biodiversité et la capacité du milieu marin à stocker le CO₂.
Avec +0,6 degré pour le mois de janvier, voilà 24 mois consécutifs que les températures en France ne sont pas passées sous les normales de saison, a indiqué Météo France ce jeudi 1er février.
Si la tendance observée mercredi par Météo France se poursuit ce jeudi 25 janvier, le premier mois de l’année 2024 serait le vingt-quatrième mois d’affilée observant des températures supérieures aux moyennes.
- Belga
L’année 2023 sera la plus chaude de l’histoire après un mois de novembre “extraordinaire” qui est devenu le sixième mois consécutif à battre des records, a déclaré mercredi le service européen Copernicus en pleines négociations climatiques à la COP28.
Alors que la Cop28 bat son plein, de tristes records ont été annoncés ce mercredi.
Alors que Brasília a enregistré 37,3 °C mardi 14 novembre, un record pour un mois de novembre, les températures élevées dans tout le pays ont également généré un pic de consommation d’électricité sans précédent.
L’été caniculaire qui vient d’être vécu en 2023 autour du bassin méditerranéen est-il la préfiguration de ce qui risque de devenir une situation normale pour les années à venir, voire annonce-t-il une situation bien pire ?
Le mois de septembre 2023 a été plus chaud de 1,75 °C par rapport à un mois de septembre préindustriel, révèle l’observatoire européen Copernicus ce jeudi 5 septembre. L’année 2023 est en passe d’être la plus chaude jamais enregistrée.
- France24
Des records de températures sont prévus, lundi 2 octobre en France, au lendemain d'une chaleur déjà inédite pour un mois d'octobre, avec 32 à 34 degrés attendus dans le centre et le sud-ouest, et jusqu'à 36 dans le Béarn, prévient Météo-France.
L'été sans fin ? Avec un mois de septembre devenu très largement le plus chaud jamais mesuré en France, Allemagne, Pologne ou encore en Suisse, l'année 2023 continue d'aligner les records en Europe comme dans le reste du monde sous l'effet du réchauffement climatique.
- Belga
A peine le printemps installé, les Australiens se préparent à des températures 10 à 15 degrés au-dessus des normales saisonnières au cours des jours prochains.
Jamais une vigilance orange à la canicule (le niveau 3 sur 4) n'avait encore été déclenchée en septembre. C'est désormais chose faite. 14 départements de l'Île-de-France et du Centre-Val-de-Loire sont concernés avec des températures qui devraient encore battre des records. Novethic fait le point sur les mesures mises en place.
Parce qu’il absorbe énormément de chaleur et parce qu’il est un puits de carbone, l’océan a un rôle central. Quelles sont les conséquences des canicules marines actuelles ? Réponses avec Laurent Bopp, océanographe.
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- Afp
Aucun rafraîchissement n'est attendu avant dimanche.
L'été météorologique est terminé mais une chaleur inhabituelle englobe une grande partie de la France cette semaine, du jamais-vu. Près de 39 °C ont été enregistrés dans la Vienne lundi et des pointes à 35 ou 36 °C sont encore attendues mardi dans le centre et le sud-ouest du pays.
Alors qu’une vague de chaleur s’installe dans l’Hexagone cette semaine, lundi 4 septembre 2023 a été la journée la plus chaude observée pour un mois de septembre avec une température moyenne de 25,1 °C.
Il va encore faire très chaud cette semaine en France. Un nouvel épisode de chaleur tardive s'abat sur le pays, battant déjà plusieurs records. Il pourrait aussi être inédit par sa durée et son intensité. Il vient clôturer - on l'espère - une saison estivale marquée une nouvelle fois par le changement climatique.
Les huit jours de chaleur survenus en France après la mi-août ont battu des records de la température moyenne pour cette période de l’année.
Le mercure a grimpé jusqu'à 38 degrés jeudi midi à Genève. Il s'agit de la température la plus élevée jamais enregistrée en Suisse cette année, selon le service météorologique privé Meteonews.
Le niveau maximal de vigilance pourrait être porté dans la Drôme et l’Ardèche, voire le Vaucluse et le Gard, dans la journée de lundi, avertit Météo-France.
Un alignement rare de phénomènes aussi divers que l'activité solaire, les gaz à effet de serre et El Niño, pourrait donner des températures records et mettre en péril l'équilibre climatique de notre planète.
Des records aux "conséquences désastreuses" pour le monde: juillet 2023 a bien été le mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre, a confirmé mardi le service européen Copernicus, détaillant des données qui affolent tous les compteurs.
L’Amérique latine bout, en plein hiver austral. Le Chili et l’Argentine ont enregistré, début août, des records de chaleur de chaleur, rapporte Sciences et Avenir. Dans les Andes, des températures de 30 à 35 °C ont été relevées entre 1 000 et 1 400 mètres d’altitude, relève Futura Sciences. À Vicuña, au Chili, le thermomètre a atteint les 37 °C le 1ᵉʳ août. Du jamais vu depuis 1951. Plus au sud, à Santiago, le mercure a atteint 24 °C le 2 août.
Winter temperatures have neared 40 degrees Celsius in parts of South America, which is up to 20C higher than normal for this time of year and the equivalent of Sydney hitting 35C in the first week of August.
It’s the middle of winter in South America, but that hasn’t kept the heat away in Chile, Argentina and surrounding locations. Multiple spells of oddly hot weather have roasted the region in recent weeks. The latest spell early this week has become the most intense, pushing the mercury above 100 degrees Fahrenheit, while setting an August record for Chile.
Après trois semaines de canicules qui ont frappé un grand nombre de régions du monde, l'Autorité météorologique des Nations unies a indiqué, jeudi, que le mois de juillet de 2023 sera "très clairement le mois le plus chaud jamais mesuré" sur la planète.
La vague de chaleur qui traverse l’hémisphère Nord n’épargne pas les Etats-Unis, où plus de 1 500 records de chaleur ont été enregistrés en juillet. En Arizona, la température extrême du sol entraîne un pic de cas de brûlures.
La région, où vivent plus de 500 millions d’habitants, est en proie à la fournaise et aux incendies depuis des semaines. Elle fait partie des zones qui se réchauffent plus vite que la moyenne mondiale.
- Novethic
C'est officiel. Ce mois de juillet 2023 sera le plus chaud de toute l'histoire. Une très large partie de l’hémisphère Nord suffoque sous des chaleurs extrêmes, les océans surchauffent et la banquise antarctique peine à se reconstituer malgré l’arrivée de l’hiver… Voici cinq graphiques pour revivre ce mois de juillet hors normes.
Cet été, les incendies sont favorisés par une sécheresse et des températures parfois extrêmes. En Grèce, en Italie et en Espagne, la barre des 45°C a plusieurs fois été franchie ces derniers jours. Quel est le lien entre ces canicules et le réchauffement climatique ? Une nouvelle étude démontre les conséquences du bouleversement du climat.
Les feux depuis le début de l’année en France, Espagne, Grèce et Italie font exploser la surface totale de terres brûlées par rapport aux moyennes habituelles.
Les statisticiens peinent à prédire les records spectaculaires de chaleur. Une difficulté qui aggrave le manque de réactivité face aux canicules.
EN
Extreme heat in North America, Europe and China in July 2023 made much more likely by climate change
- World Weather AttributionFollowing a record hot June, large areas of the US and Mexico, Southern Europe and China experienced extreme heat in July 2023, breaking many local high temperature records.
La canicule a privé d'électricité et d'eau des centaines de milliers de Siciliens dans la région de Catane, ville "à genoux" selon son maire, où une réunion de crise a été organisée lundi. Le mercure y est encore monté jusqu'à 47,6°C ce lundi, selon la protection civile de Catane, dans l'est de l'île. Depuis jeudi, environ 500.000 personnes ont été privées de courant à tour de rôle, a indiqué un porte-parole de la municipalité à l'AFP.
Juillet 2023 sera probablement le mois le plus chaud jamais enregistré, a annoncé jeudi la Nasa, l'agence aéronautique américaine. De nombreux records de chaleur ont déjà été battus ce mois-ci.
Selon un groupe universitaire étasunien, la courbe de la température de la planète dépasse largement la moyenne des quarante dernières années. Un résultat cohérent avec les données de l’observatoire européen Copernicus.
Le brûlantissime mois de juillet fait rôtir la planète entière. Morts, forêts ravagées et nuits super tropicales sont les conséquences de la chaleur caniculaire qui s’étend dans l’hémisphère Nord.
Ce weekend en Grèce "risque d'être le plus chaud de ces cinquante dernières années" pour un mois de juillet, a affirmé, vendredi, un météorologue de la chaîne publique. Le pays subit une canicule qui devrait se prolonger la semaine prochaine, tout en faisant face à quelque 79 incendies encore actifs.
L’épisode caniculaire persistera dans le sud de la France mercredi, avec neuf départements placés en vigilance orange par Météo-France.
- Belga
Des Alpes aux Pyrénées, le thermomètre s'affole chez nos voisins.
- Afp
L'Europe, l'Asie et l'Amérique du Nord souffrent encore d'une chaleur extrême mercredi dans plusieurs régions où de violents feux de forêt font rage notamment en Grèce où des centaines de pompiers ont engagé "une énorme bataille" contre les flammes.
Un «dôme de chaleur» associé à une masse d’air très chaud s'est bloqué cette semaine au-dessus du Maghreb, de l'Italie, de l'Espagne, du Portugal, de la Croatie, de la Grèce et du sud est de la France. Les littoraux comme la mer sont en surchauffe.
Selon le service européen Copernicus, les quinze premiers jours de juillet ont été les quinze jours les plus chauds jamais enregistrés. Pour établir un record, il faut être sûr de l’historique, or ce dernier est débattu…
Les températures devraient atteindre des niveaux records en Italie dans les prochaines heures. 20 villes, de Bolzano au pied des Alpes jusqu’à Palerme en Sicile, en passant par Venise, Rome, Naples et Cagliari en Sardaigne sont placées en alerte rouge, une situation d’urgence pour ses possibles effets négatifs sur la santé.
- Afp
Le mercure continue de tutoyer, voire dépasser, les 40°C dans plusieurs régions d'Europe et notamment en Grèce où plusieurs incendies se sont déclarés lundi entraînant l'évacuation de zones balnéaires, tandis qu'un nouveau record de température a été établi ce week-end dans l'ouest de la Chine à 52,2°C.
L'hémisphère Nord poursuit sa semaine sous une chaleur accablante. En Europe, les températures restent au-dessus des 40 °C en Italie et en Espagne et sept départements sont désormais en vigilance canicule en France. Plusieurs records devraient tomber aux États-Unis.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.
Plusieurs régions espagnoles ont été placées mardi en alerte rouge en raison du "danger extrême" induit par la vague de chaleur, alors que les pompiers continuent de lutter contre un incendie ayant ravagé 3.500 hectares dans l'archipel des Canaries.
Des températures potentiellement record sont attendues en Europe dans les prochains jours.
Les températures s’envolent un peu partout dans le monde ces 14 et 15 juillet après le plus chaud mois de juin que la Terre ait connu. A Athènes, l’Acropole a même été fermée aux heures de pointe pour la santé des touristes.
De fortes températures sont attendues ce week-end dans plusieurs régions du globe : en Europe, en Asie, aux États-Unis ou encore en Afrique du Nord. Ces vagues de chaleur font craindre des problèmes sanitaires sur les populations, mais aussi des incendies à répétition.
Plusieurs endroits du globe sont frappés par des vagues de chaleur importantes, ce qui accroit le risque d'incendie.
En ce début d’été, les événements extrêmes se déchaînent sur la planète, attisés par le changement climatique. Aux Etats-Unis, en Méditerranée ou encore en Chine, les canicules battent des records toujours plus remarquables.
D'intenses vagues de chaleur frappent de nombreuses régions du monde et des records pourraient être battus samedi et dimanche, notamment aux États-Unis. Des vagues de chaleur qui soulignent "l'urgence grandissante de réduire les émissions de gaz à effet de serre le plus vite possible et le plus possible", selon l'Organisation météorologique mondiale (OMM).
Dans un tweet, la députée EELV Sandrine Rousseau a assuré qu’il faisait « 60 degrés en Espagne » , de quoi faire réagir plusieurs experts du climat.
Dans plusieurs régions du monde, des vagues de chaleur sont enregistrées, notamment dans l’hémisphère nord, alors que l’été ne fait que commencer
Un dôme de chaleur sévit depuis le début de la semaine au-dessus des Etats désertiques du Sud-Ouest, entraînant de sérieux risques pour la santé.
Comment les scientifiques prévoient le climat ? Comment mettent-ils à jour leurs modèles, en prenant en compte les mégafeux par exemple ? Quel est le rôle de l’océan ? Réponses avec le chercheur à Météo-France Roland Séférian.
De nouvelles données préliminaires confirment que la semaine dernière a été la plus chaude jamais enregistrée sur la planète, ce qui renforce la tendance établie le mois précédent. Juin 2023 avait en effet été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré. Nous devons ces records à l’installation d’un nouvel El Niño qui se renforcera progressivement au cours de l’hiver et aura probablement un gros impact climatique mondial au cours de l’année prochaine.
Températures records, incendies, pluies extrêmes… Juin a été marqué par de nombreux signes du dérèglement climatique. Robert Vautard, directeur de recherche au CNRS, les analyse pour « Le HuffPost ».
La Terre a connu, entre le lundi 3 et le jeudi 6 juillet 2023, ses journées les plus chaudes jamais enregistrées par les météorologues. Si la température moyenne du globe inquiétait déjà en début de semaine lorsqu’elle avait atteint 17,01 °C, elle a battu tous les records quatre jours après avec 17,23 °C. Mais à quoi sont dues ces hausses qui n’en finissent plus ? Serge Zaka, agroclimatologue, nous aide à y voir plus clair.
La température journalière au niveau mondial atteint un niveau de chaleur inédit depuis le début des relevés, en 1979, selon des mesures préliminaires issues d’un observatoire météorologique américain.
La canicule qui sévit dans l’Atlantique Nord pourrait avoir de graves conséquences sur la biodiversité. Des moules aux poissons en passant par les herbiers, la nature est exposée à ces phénomènes qui se multiplient.
L’été n’est attendu que dans quelques jours sous nos latitudes et pourtant, les températures dépassent déjà les valeurs de saison, comme le confirmait il y a quelques jours Pascal Mormal, météorologue à l’IRM (Institut royal de météorologie) dans l’émission QR. Et cela n’a rien de normal, ajoutait-il. En Europe, au sud par exemple, il fait aussi très chaud, en France, au Portugal, sans oublier le sud de l’Espagne où ce vendredi on a enregistré 39.9 °C à Almonte.
Alors que les incendies ravagent toujours une partie des forêts canadiennes, la Sibérie, cette région du nord-est de la Russie, suffoque quant à elle sous des chaleurs inédites. Début juin, le mercure a dépassé plusieurs fois les 40°C. Une mauvaise nouvelle pour la planète, mais une aubaine pour la Russie.
Mexico and the Caribbean are experiencing the most intense heatwave in their recorded history. The Mexican Plateau is being seared by harsh dry heat, while the Caribbean contends with deadly humid temperatures. On June 12, 2023, the mercury soared above 45 °C (113 °F) in several areas, including regions of high altitude. The city of Torreón, sitting at 1 123 m (3 684 feet) above sea level, saw temperatures rise to 43.3 °C (109.94 °F) on June 12, while Durango Airport, located at 1 872 m (6 142 feet) altitude, experienced 40.4 °C (104.72 °F) heat. La Bufa, perched even higher at 2 612 m (8 570 feet) above sea level, broke all-time records with a temperature of 33.4 °C (92.12 °F).
Notre planète va devenir une fournaise. Selon un nouveau bulletin publié par l’Organisation météorologique mondiale (OMM), les températures mondiales devraient battre des records ces cinq prochaines années.
Le phénomène météorologique El Nino a de fortes probabilités de se former cette année et pourrait faire grimper les températures jusqu’à battre de nouveaux records de chaleur, a mis en garde l’ONU mercredi. L’Organisation météorologique mondiale (OMM) estime désormais qu’il y avait 60% de chances qu’El Nino se développe d’ici la fin juillet et 80% de chances d’ici la fin septembre. « Cela modifiera les conditions météorologiques et climatiques dans le monde entier », a expliqué le chef de la division des services régionaux de prévision climatique de l’OMM, Wilfran Moufouma Okia, en conférence de presse à Genève.
- Afp
La surface des mers a battu en avril son record annuel et se maintient depuis à des niveaux inédits: le phénomène, alarmant mais sans surprise pour les scientifiques, illustre surtout comment les activités humaines ont transformé les océans en "bombe à retardement" du réchauffement climatique.
L’Organisation météorologique mondiale estime à 60 % les chances qu’El Niño se développe d’ici la fin juillet et 80 % de chances d’ici la fin septembre. Le phénomène accroît le risque d’évènements climatiques extrêmes.
El Niño pourrait être de retour pour nous jouer de mauvais tours. C’est en tout cas ce qu’a prévu l’Organisation météorologique mondiale (OMM), mercredi 3 mai. Selon l’agence onusienne, la probabilité que ce phénomène météorologique se développe d’ici fin juillet est de 60 %, et même de 80 % d’ici fin septembre.
En proie à une vague de chaleur printanière inédite, l'Espagne, pays européen en première ligne face au changement climatique, s'attend à des records de températures jeudi et vendredi en particulier dans le sud où le thermomètre pourrait atteindre les 37 degrés.
Une vague de chaleur exceptionnelle doit s’installer sur le pays ces prochains jours, et pourrait pousser les thermomètres jusqu’à 40 °C. Des températures encore jamais observées si tôt dans l’année.
Ce printemps est maussade en Europe centrale. Nous subissons encore les effets d'un réchauffement stratosphérique qui nous a envoyé de l'air froid, et continuera jusqu'à début mai. C'est un événement météorologique local et temporaire qui ne modifie pas le réchauffement global. En Asie par contre, la chaleur règne. Au Japon, les températures ont atteint des [...]
Le changement climatique est une réalité et il nous affecte tous… mais pas de la même façon. Au Nord, l’Arctique se réchauffe environ quarante fois plus vite que le reste du monde. En Antarctique, la situation est également critique car la neige, en fondant, devient plus foncée. Par conséquent, elle réfléchit moins les rayons du soleil, absorbe davantage de chaleur (puisqu’elle est plus foncée) et fond plus vite, on dit donc que son albédo diminue.
Des chiffres anormaux. Dans un rapport publié le 6 mars, Météo France a dressé le bilan climatique de l’hiver 2023. Tout d’abord, l’établissement météorologique souligne que la saison qui s’achève a été marquée par des températures anormalement douces, dues à un anticyclone « plus puissant que la normale ». L’hiver 2023 se classe donc au quinzième rang des hivers les plus chauds depuis 1900 – l’hiver 2020 gardant la première place. « Les précipitations ont été déficitaires d’environ 25 % en moyenne sur le pays, (...)
Environ dix zettajoules de chaleur ont été ajouté l’an dernier dans les océans, ce qui équivaut à environ 100 fois la production d’électricité sur toute la planète en 2022.
L'année 2022 a battu quantité de records en termes de températures, sécheresse du sol ou encore pénuries d’eau en France, a détaillé, vendredi, Météo-France.
L'agroclimatologue Serge Zaka s'inquiète : l'année 2022 s'est achevée comme la plus chaude depuis le début des mesures, avec un recul de plusieurs siècles pour certains pays. Dans la continuité, 2023 a commencé avec une douceur extrême, qui ne sera pas sans conséquences...
En ouverture de la COP27, les Nations unies s’alarment de voir que la période 2015-2022 sera probablement la plus chaude jamais enregistrée, marquant une accélération du réchauffement de la planète.
Vingt-quatre degrés dans le centre du pays, et peut-être 25°C en Campine. C’est que l’institut royal météorologique prévoit pour ce samedi, le 29 octobre. Les températures devraient donc battre le record journalier, puisque le 29 octobre le plus chaud s’est produit en 2005 avec 22,0°C à Uccle. “On serait donc samedi 11°C au-dessus des normales des maxima de saison qui se situent à 13°C pour un 29 octobre.” Et aujourd’hui, il devrait faire 23°C à 15 heures en région bruxelloise. Le précédent record, datant de 1913, était de 21,1°C… “Pour dimanche et lundi, nous prévoyons encore des maxima extrêmement doux dimanche, de l’ordre de 21°C et en légère baisse lundi (environ 19°C)”, relève Pascal Mormal, de l’IRM.
Cette fin d’octobre est marquée par de nouveaux records mensuels de température, y compris en altitude, et des écarts à la normale phénoménaux. Cet épisode de chaleur anormal et inédit alimente une sécheresse toujours présente en France.
Avec trois vagues de chaleur et trente-trois jours de canicule, l’été 2022 est le deuxième le plus chaud en métropole après celui de 2003, selon Météo France. Ces saisons exceptionnelles pourraient bientôt devenir la norme, alertent les météorologues.
Une centaine de pompiers ont été déployés mardi pour combattre un incendie qui a fait rage dans un village à l'est de Londres, sous une chaleur qui bat des records au Royaume-Uni, ont annoncé les pompiers.
La vague de chaleur exceptionnelle atteint son pic lundi. Des records absolus devraient être battus sur la façade atlantique, avec des températures de plus de 40 degrés notamment en Bretagne. En cause : le phénomène de la «goutte froide».
La vague de chaleur qui s'abat sur l'Europe occidentale pourrait faire tomber plusieurs records de température, lundi, en France et en Grande-Bretagne. La situation est particulièrement critique sur la façade ouest, où Météo-France prévoit "une apocalypse de chaleur". Dans le même temps, les pompiers continuent de lutter contre de violents incendies dans plusieurs pays européens.
- Afp
L'Europe est frappée de plein fouet par une vague de chaleurs. La France, l'Espagne et le Portugal sont victimes d’impressionnants feux de forêts depuis plusieurs jours.
De nombreux records absolus de chaleur ont été battus ce lundi dans l’ouest du pays, parfois dans les grandes largeurs. La chaleur se décale vers l’est du pays, qui devrait connaître des températures très élevées dans la journée de mardi.
Une idée absolument géniale a refait surface ces dernières semaines. D’abord évoquée par Christophe Cassou en 2019, plusieurs scientifiques françaises et français ont suggéré lors de la canicule de juin 2022 de nommer les aléas climatiques par les noms des sources de pollutions :
Située dans la province du Sind, dans le sud ouest du Pakistan, la ville de Jacobabad est la ville la plus chaude du monde. En plus de la chaleur, les habitants doivent faire face à l'extrême pauvreté. Deux éléments qui rendent leurs conditions de vie encore plus difficiles. Reportage de nos correspondants Shahzaib Wahlah et Sonia Ghezali.
Le mois de juin 2022 a été caniculaire partout dans l’Hexagone. Dans au moins trois stations météo, les températures maximales ont été dépassées.
Après les nombreux records absolus de température enregistrés samedi en France, la vague de chaleur extrême et précoce qui frappe le pays se décale dimanche vers l'est, où le mercure pourrait atteindre les 38 degrés.
La France a battu un record de période de chaleur au printemps avec désormais 40 jours consécutifs au-dessus des normales saisonnières.
Des records de chaleur ont été atteints ou dépassés, mercredi, dans l'Hexagone, avec plus de 33°C à Toulouse et au Cap-Ferret, au terme de plus de 37 jours consécutifs de températures anormalement élevées. Les agriculteurs s'inquiètent de la sécheresse annoncée.
Les records atteints mercredi s'entendent pour un mois de mai, qui pourtant n'est pas terminé.
Le thermomètre a atteint ce mercredi des niveaux inédits dans plusieurs villes de France, en particulier dans le sud du pays, mais pas seulement. Ce mois de mai est bien parti pour être le plus chaud jamais enregistré.
- Novethic
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Nouvelle illustration du changement climatique : le mois de mars qui s'achève en Inde est le plus chaud enregistré depuis 122 ans. Des températures records ont été enregistrées jusque dans l’Himalaya alors que les pluies se sont faites particulièrement rares.
Appelée «Conger», cette plateforme de glace s’est effondrée mi-mars, alors que les températures du pôle Sud atteignaient des records de chaleur. Cette fonte est l’un des évènement les plus significatifs en Antarctique depuis 20 ans.
En fin de semaine dernière, les températures ont battu tous les records de chaleur aussi bien en Antarctique qu'en Arctique. Non loin du pôle Sud, elles étaient jusqu’à 40 °C supérieures aux moyennes saisonnières. Des hausses liées aux caprices des “rivières atmosphériques”.
Des températures très élevées sont enregistrées dans l’hémisphère sud, où c’est l’été austral. Ces records sont le signe du réchauffement climatique. Et entraînent des conséquences multiples.
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Les records de températures élevées devraient être battus cette fin de semaine en Argentine, en Uruguay et dans le sud du Brésil. A Buenos Aires, la forte demande en électricité provoque des coupures de courant.
Les records de chaleur, mais aussi de froid, se sont multipliés aux États-Unis au cours de l’année passée. Pour le New York Times, ces extrêmes donnent “une image frappante du changement climatique”.
Après un été bouillant, voilà que l’hiver aussi se réchauffe au cercle polaire. Si les records de chaleur ne sont pas battus, le dérèglement climatique continue de faire grimper le mercure en flèche.
Nous vivons ces derniers mois une explosion de catastrophes climatiques partout dans le monde. Canicules accablantes, records de chaleur, sécheresses interminables, méga-incendies, précipitations torrentielles, inondations dévastatrices, tempêtes ravageuses…
Une vague de chaleur va s’abattre sur une bonne moitié du pays jusqu’à dimanche. Seize départements ont été placés en alerte orange canicule par Météo France. Cet épisode sera cependant beaucoup moins sévère et long que dans les autres Etats méditerranéens.
- Lyfosy
L’été n’est même pas à moitié fini, et nous avons vu vagues de chaleur dans le nord-ouest du Pacifique et au Canada avec des températures qui seraient chaudes pour la Vallée de la Mort, d’énormes incendies qui ont envoyé de la fumée à travers l’Amérique du Nord, et des inondations mortelles de proportions bibliques dans Allemagne et Chine. Les scientifiques ont mis en garde contre plus de 50 ans sur l’augmentation des événements extrêmes résultant de changements subtils du climat moyen, ...
Ici, ce sont des records de chaleur qui tombent. Là, ce sont des trombes d'eau. Et plus loin, des forêts entières qui partent en fumée. Les scientifiques nous avaient avertis de ces conséquences du réchauffement climatique. Mais eux-mêmes sont aujourd'hui surpris de leur ampleur.
Alors que l’on peut ressentir une certaine impression que cet été climatique part en vrille entre les chaleurs de 49 degrés en Californie et Canada et ensuite suivi par des incendies. L’Allemagne, le Benelux et la Suisse noyés sous l’eau. La Russie enregistre des températures records ainsi que des incendies en Sibérie. Pour compléter le tableau, des inondations monstrueuses en Chine.
Le Maroc a enregistré des "records absolus" de températures ce week-end lors d'une vague de chaleur "exceptionnelle", le mercure frôlant les 50 degrés et dépassant par endroit la normale mensuelle de 5 à 12 degrés, ont indiqué les autorités météorologiques.
Les Etats-Unis pourraient battre de nouveaux records de températures alors que plusieurs régions de l'ouest du pays et leurs 30 millions d'habitants subissent une vague de chaleur, la deuxième en quelques semaines.
Depuis plus de 40 ans, les scientifiques nous préviennent sur les canicules liées aux changements climatiques. Parler de « normales » et de « nouveaux records » n’a plus beaucoup de sens. Mais si l’on veut faire face à la crise climatique, il ne sert à rien d’appuyer sur l’idée que l’humanité « aurait dû agir plus tôt » ou que nous devrions « avoir honte de notre inaction ». Au strict plan de la communication, ça ne marche pas. Quelle serait la meilleure approche pour communiquer sur le changement climatique ?
Après le mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Finlande et dans plusieurs régions en Suède, les températures frisent depuis dimanche les records absolus dans le Grand Nord de l’Europe, avec un thermomètre indiquant entre 30 et 35°C.
L’été de tous les records ? Éthique, écologie et conservation | AOC media - Analyse Opinion Critique
- Antoine C. Dussault et Ely MermansDepuis une semaine, l’Ouest canadien est pris sous un « dôme de chaleur » et bat chaque jour des records de température, avoisinant les 50°C. Comme le montre le GIEC rapport après rapport, l’évaluation scientifique des conséquences écologiques et des implications politico-sociales de ce type d’« exploit » météorologique est catastrophique. Afin de mettre en œuvre les actions et politiques nécessaires pour y répondre, il est temps de considérer le rôle essentiel d’une éthique de l’environnement liée aux sciences de l’écologie et de la conservation.
Ecoles et centres de vaccination contre le Covid-19 fermés, épreuves de sélection olympique décalées et habitants réfugiés dans des centres de "rafraîchissement": l'Ouest du Canada et des Etats-Unis battait encore lundi de nouveaux records "historiques" de températures provoqués par un "dôme de chaleur" à l'intensité rarissime.
Un « dôme de chaleur » au-dessus de l’Ouest du Canada a fait battre de nouveaux records de températures, provoquant des alertes à la chaleur dans trois provinces et deux territoires arctiques dimanche 27 juin.
Sur la côte Pacifique étasunienne et canadienne, la population s’apprête à subir l’arrivée d’un épisode de chaleur historique. Plusieurs records absolus de températures devraient être battus, même dans les terres. Selon les météorologues, des températures dignes de celles de la vallée de la Mort sont attendues.
Aux États-Unis, en Sibérie, dans le Caucase… Un peu partout dans l’hémisphère Nord, des records de chaleur tombent. Les climatologues redoutent des réactions en chaîne, comme la libération de davantage de gaz à effet de serre avec le dégel des sols arctiques.
Les premiers 50°C de l’année 2021 dans le monde ont été relevés le 31 mai à Jacobabad et à Larkana, au Pakistan. En juin, cette barre des 50°C a été par la suite plusieurs fois dépassée dans diverses régions du globe et de nombreux records de chaleur sont tombés.
La quasi-totalité de l’ouest des Etats-Unis a été placée cette semaine en "état d’alerte" en raison d’une vague de chaleur particulièrement précoce avec des températures qui pourraient friser par endroits les 50 °C.
La Sibérie connaît ses premiers feux de l’année, attisés par un temps sec, chaud et venteux, qui devrait s’aggraver. Loin d’être isolé, ce phénomène fait partie des conséquences du dérèglement climatique, selon les experts.
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Températures moyennes, records de chaleur, émissions et concentrations de CO2 et de méthane, dégel du pergélisol, fonte des banquises et des calottes glaciaires, hausse du niveau de la mer, tempêtes, acidification des océans, courants marins, forêts, sols, biodiversité, incendies, sécheresses, inondations, déplacements de populations… Tour d’horizon d’une Terre en surchauffe.
Selon une étude majeure parue ce 13 janvier, jamais l’océan global n’avait connu une température aussi élevée qu’en 2020. Un record qui témoigne d’une tendance lourde aux nombreuses implications pour la biodiversité et les sociétés humaines. Les résultats ont été publiés dans la revue Advances in Atmospheric Sciences.
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Rapport sur l'écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions 2019
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Les témoignages venus des vallées de la Vésubie ou de la Roya dans le Sud Est de la France sont tous les mêmes : déluge brutal, coupure généralisée, plus de routes, plus d’eau, plus d’électricité ! En pleine crise du COVID 19, cette catastrophe illustre la nécessité d‘adapter nos infrastructures et nos modes de prévention à un monde de phénomènes violents, répétitifs et complexes.
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- AFP
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Le CO2 atmosphérique atteint des niveaux records, En juillet, sa concentration est montée à 414 ppm (Organisation Météorologique Mondiale rapporté par Reuters).
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En Arctique, la banquise fond plus vite que les modélisations actuelles le prédisent, ont averti mardi des chercheurs de l'Université de Copenhague. "Nos analyses des conditions dans l'océan Arctique montrent que nous avons clairement sous-estimé le taux d'augmentation de la température dans l'atmosphère au plus proche du niveau de la mer, laquelle a finalement fait fondre la banquise plus rapidement que nous l'avions prévu",...
Fonte des glaciers : 'On est en train de perdre la bataille' prévient le climatologue Hervé Le Treut
- LCI,Hervé Le TreutUn énorme bloc de 500.000 m³ menace de se détacher d'un glacier du Mont-Blanc. Des routes ont été bloquées et plus de 70 personnes ont été évacuées. L'accélération de la fonte des glaciers, à l'image de celui-ci des Grandes Jorasses près de Courmayeur, inquiète les scientifiques, à l'instar du climatologue Hervé Le Treut.
De nouvelles images satellites de la NASA montrent que les calottes glaciaires de la baie Saint-Patrick, située au Canada, ont complètement disparu.. Mark Serreze, directeur du Centre national des données sur la neige et la glace, est très pessimiste pour l'avenir des calottes glaciaires. En 2017, il alertait déjà la société du phénomène de fonte des glaces en prédisant que celles-ci allaient disparaître "d'ici 5 ans".
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Au bout du monde, au-delà du cercle polaire, deux scientifiques russes, Serguei Zimov et son fils Nikita, mènent une expérience unique : le Pleistocene Park. Ici, les Zimov restaurent l’ancien écosystème des steppes de Sibérie pour sauver la planète d’une catastrophe annoncée : la fonte du permafrost. Ce glacier souterrain contient des milliards de tonnes de carbone. En se libérant, ce dernier accélère le réchauffement climatique. Selon l’hypothèse révolutionnaire des Zimov une réintroduction des grands herbivores en Sibérie pourrait ralentir la dégradation du permafrost.
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- AFP
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cnr focusclimat co2 réchauffement climatique zéro carbone arctique russe russie toudra Verkhoïansk record de chaleur fonte des glaciers fonte des glaces pergélisol permafrost plusde2 urgence desappels augmentation des températures et de l'ensoleillement dans le Grand nord anticyclone polaire,abs_empty
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conférence d'Aurélien Barrau à la Madeleine
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- Belga
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Depuis que l’on mesure la température, jamais sa moyenne annuelle n’a été aussi élevée en France. À l’échelle mondiale, les quatre dernières années sont les plus chaudes jamais enregistrées. La concentration de gaz à effet de serre dans l’atmosphère fait peser le risque de franchir un seuil d’emballement du climat.
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Comme les sept premiers mois de l’année, août 2016 détient le record de température annonce l’équipe Nasa/Université Columbia de New York. Malgré la décrue nette du phénomène El Niño dans l’Océan Pacifique tropical, 2016 devrait donc également décrocher la première place du classement, détrônant… 2015.