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Alors que les citoyens du monde entier s’efforcent de réduire leur empreinte carbone, qu’ils renoncent à la voiture, limitent leur consommation de viande et investissent dans des panneaux solaires, un rapport publié lundi par plusieurs ONG révèle une réalité glaçante : depuis 2021, vingt-huit méga-projets d’extraction d’énergies fossiles ont été lancés dans le monde. Chacun d’eux générera plus d’un milliard de tonnes de CO2. Bienvenue dans l’ère des bombes carbone.
Des données inédites révèlent que des projets d’exploitation déjà planifiés à travers la planète sont susceptibles de rejeter à eux seuls des quantités de CO₂ largement supérieures au budget carbone restant à l’humanité pour limiter le réchauffement global à 1,5 °C.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde. Les organisations autrices du nouveau décompte (Lingo, Data for Good, Reclaim Finance, Eclaircies) estiment que 28 projets de ce type ont démarré entre 2021 et 2025, et 12 ont été annulés. Leur décompte total est de 601, dont 365 projets dont les émissions sont encore évaluées à plus d'1 milliard de tonnes. La différence est due aux projets ayant été consommés ou réévalués. Leur analyse se fonde sur des bases de données des secteurs énergétiques et financiers.
À deux semaines de la conférence mondiale sur le climat au Brésil, un consortium d’ONG publie de nouvelles données sur les «bombes carbone», ces projets d’extraction fossile qui pourraient générer des quantités faramineuses de CO2 sur l'ensemble de leur durée de vie. Pétrole, gaz, charbon : les associations ont recensé 601 mégaprojets.
Vingt-huit projets d'extraction de pétrole, gaz ou charbon de grande ampleur sont entrés en exploitation depuis 2021 malgré leur catastrophique impact à venir sur le climat, selon des données publiées lundi par plusieurs ONG. Les "bombes carbone" ont été définies en 2022 dans un article de recherche comme des projets d'énergies fossiles capables de générer chacun plus d'un milliard de tonnes de CO2 sur leur durée de vie. Les auteurs en dénombraient alors 425 dans le monde.
Les nouveaux projets miniers, pétroliers et gaziers risquent d’émettre 11 fois plus de carbone que la limite à ne pas dépasser pour maintenir le réchauffement à 1,5 °C, selon les données compilées par quatre associations.
Le monde compte désormais 600 bombes carbone et plus de 2 300 projets fossiles, selon l'actualisation de la carte carbonbombs publiée ce lundi 27 octobre par quatre associations, dont Data for Good et Reclaim Finance. Une tendance à la hausse alors que le scénario 1,5°C de l'Accord de Paris impose la fin de tout nouveau projet fossile depuis 2021.
TotalEnergies s’apprête à relancer une « bombe carbone ». Quatre ans après avoir suspendu un mégaprojet de gaz naturel liquéfié au Mozambique, le groupe français a annoncé samedi 25 octobre avoir levé l’état de « force majeure » pesant sur le chantier. Pour redémarrer, celui-ci ne doit plus qu’avoir le feu vert du gouvernement mozambicain.
En cause : deux sous-marins nucléaires russes qui ont coulé il y a déjà longtemps mais qui alarment aujourd'hui les experts.
L’année 2024 vient de marquer un tournant climatique que les scientifiques redoutaient depuis des décennies. Pour la première fois depuis le début des enregistrements, le dioxyde de carbone a atteint un niveau record qui ne laisse aucune place au doute : notre planète s’engage vers un réchauffement dont les effets se feront sentir pendant des siècles. Ce n’est pas une hypothèse, c’est un constat établi par l’Organisation météorologique mondiale.
Les chiffres tombent, et ils racontent une histoire que personne ne peut plus ignorer. Septembre 2025 vient d’entrer dans les annales climatiques avec un statut qui en dit long sur la trajectoire de notre planète. L’observatoire européen Copernicus, référence mondiale en matière de surveillance climatique, a publié jeudi des données qui confirment une tendance désormais installée : la Terre continue de se réchauffer, et les records s’enchaînent avec une régularité troublante.
Depuis le 16 juillet 1945 dans le désert du Nouveau-Mexique, notre planète a tremblé sous l’impact d’au moins 2056 explosions nucléaires. Un chiffre glaçant qui révèle l’ampleur d’une contamination planétaire orchestrée pendant des décennies par les grandes puissances mondiales. Entre course aux armements et expérimentations secrètes, ces tests ont libéré dans notre environnement des quantités monumentales de radiations, dont les conséquences se font encore sentir aujourd’hui. Derrière ces statistiques se cache une réalité troublante : l’humanité a délibérément transformé sa propre planète en laboratoire nucléaire géant.
L’industrie militaire turque vient de franchir un cap décisif avec la présentation de deux bombes révolutionnaires lors du salon IDEF 2025 d’Istanbul. Ces nouvelles armes, baptisées Gazap et NEB-2 Ghost, redéfinissent les standards de la puissance de frappe conventionnelle et positionnent la Turquie comme un acteur incontournable sur l’échiquier géopolitique mondial. Leur capacité destructrice approche dangereusement celle des armes nucléaires tactiques, soulevant des questions majeures sur l’évolution de la guerre moderne.
Révélées par une étude récente, les décharges américaines émergent comme des sources inattendues et préoccupantes d'émissions de méthane, mettant en lumière l'urgence de repenser notre gestion des déchets pour contrer le changement climatique.
Donald Trump a salué "un succès militaire spectaculaire" après les frappes américaines sur trois sites nucléaires iraniens, affirmant que les principales installations d'enrichissement d'uranium de l'Iran "ont été complètement et totalement détruites". France 24 fait le point sur cette opération qui marque l'entrée officielle des États-Unis dans le conflit opposant Israël à l'Iran.
Ces bombardiers stratégiques furtifs, seuls capables de transporter des puissantes bombes anti-bunker de type GBU-57, ont décollé de la base de l’armée de l’air Whiteman dans le Missouri et ont été repérés au large de la Californie par des sites de suivi de vol.
Le président américain Donald Trump a confirmé samedi avoir débloqué une livraison de bombes de 2.000 livres (907 kg) à Israël, suspendue l'an dernier par l'administration de son prédécesseur Joe Biden.
Rejoignez-nous pour explorer le concept d'un hiver nucléaire et ce qu'il faudrait pour qu'il se produise réellement.
Un bébé de trois semaines est mort ce dimanche 29 décembre en raison du froid, ont annoncé les autorités sanitaires de l’enclave, alors que le dernier hôpital fonctionnel du nord de la bande a été bombardé et vidé.
L’épidémiologiste et chercheuse au médialab de Sciences Po Camille Besombes souligne, dans une tribune au « Monde », que le commerce d’animaux sauvages, la déforestation et l’agriculture intensive, entre autres, contribuent grandement à la réémergence de maladies infectieuses en Afrique.
Alors que le monde a les yeux rivés sur les JO de Paris, un grand nombre de records climatiques sont tombés dans l'indifférence générale.
Dans un rapport publié le 7 août 2023, la Fondation Rockefeller alerte sur la nécessité d’accompagner les pays les plus pauvres dans leur transition énergétique. Sans cela, ils seront bientôt responsables des trois quarts des émissions de gaz à effet de serre.
L’accumulation des déchets, la stagnation d’eaux usées ou la prolifération d’insectes rendent la situation sanitaire intenable dans l’enclave palestinienne, où beaucoup craignent l’apparition d’épidémies.
Une grande partie de la Bavière et du Bade-Wurtemberg est sous les eaux depuis ce week-end, rapporte la “Süddeutsche Zeitung”. Face aux dégâts humains et matériels, le journal munichois s’interroge sur les causes d’une telle catastrophe.
Alors que la COP 28 vient de conclure ses travaux et que le GIEC entame un nouveau cycle, les émissions de gaz à effet de serre demeurent au centre des débats sur les changements climatiques. Diverses zones riches en carbone organique, telles que le pergélisol ou les tourbières, sont affectées par les changements climatiques et contribuent à des émissions qui s'ajoutent à celles des combustibles fossiles. Afin de mieux appréhender les enjeux mondiaux liés à ces phénomènes, nous avons interviewé la Pre Sophie Opfergelt, géologue et maître de recherches FNRS à l'UCLouvain (Institut ELI), à propos de ses travaux sur le pergélisol en Alaska. Nous avons ensuite abordé le thème des tourbières tropicales avec le Pr Suspense Averti Ifo, enseignant-chercheur à ’Université Marien N'Gouab (Brazzaville, République du Congo). En fin de Lettre, l’agenda reprend des événements liés aux changements climatiques et aux activités du GIEC.
L’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) a analysé le sang et l’urine de 121 adolescents et “les résultats sont interpellants” : “Une augmentation des concentrations en polluants avec la proximité des broyeurs est constatée”.
En entrant en dormance pendant des siècles, les plantes invasives pourraient être plus dangereuses pour l'écosystème que nous le pensions.
Engagée depuis des décennies pour protéger les civils des armes explosives, l’ONG Handicap International n'a de cesse de mettre en garde contre la contamination par les restes d’explosifs de guerre israéliens dans la bande de Gaza. Les conséquences sont très lourdes : pertes humaines, blessures complexes et invalidantes, traumatismes psychologiques, ou encore freins à l’acheminent de l’aide humanitaire et à la reconstruction...
Dans l’enclave palestinienne menacée par la famine et pilonnée sans relâche, le bilan de la riposte israélienne ­à l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre a franchi la barre des 30 000 morts. En grande majorité des femmes et des enfants.
La COP28 récemment réunie à Dubaï a fait l’objet d’amples débats autour de la nécessité d’engagements des États de sortir des fossiles, en plus du respect des engagements de réduction des émissions de carbone pris après l’accord de Paris de 2015. Les militants du climat proposent de mettre en place des mécanismes contraignants ciblant les exploitations de charbon, de pétrole et de gaz dans tous les pays disposant de ressources, sans tenir compte des responsables des émissions directes de CO2 que sont les consommateurs de fossiles.
Plus de 400 projets pétroliers et gaziers ont été officiellement approuvés dans le monde en 2022 et 2023, en dépit des appels à renoncer à tout nouveau projet d'hydrocarbures pour avoir encore une chance de limiter le réchauffement de la planète.Au total, 437 projets impliquent environ 200 entreprises privées et publiques, dans 58 pays, selon des chiffres de l'ONG Reclaim finance analysés à partir des données du cabinet Rystad Energy et obtenus par l'AFP.- Point chaud de la COP28 -
Reporterre publie une carte inédite de près de 70 nouveaux projets fossiles amorcés par TotalÉnergies. Développés au mépris des recommandations de l’Agence internationale de l’énergie, ils emmènent l’humanité dans le mur.
Quelque 96% des 700 compagnies productrices de pétrole et de gaz poursuivent l'exploration et le développement de nouvelles réserves d'hydrocarbures, indique mercredi un rapport d'ONG, qui rappelle que selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE) ces projets "ne sont plus nécessaires".
Les gouvernements prévoient de produire environ 110 % de plus de combustibles fossiles en 2030 que le niveau qui serait compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5°C, et 69 % de plus que ce qui serait compatible avec une hausse de 2°C, selon un rapport de l’Onu.
Qui se cache derrière les « bombes carbone » ? Ces bombes sont des mégaprojets d’extraction de ressources fossiles dont les émissions de gaz à effet de serre sont estimées à plus d’un milliard de tonnes. Baptisées également « bombes climatiques », elles ont été référencées par Kjell Kühne, auteur d’une étude parue en 2022 dans la revue Energy Policy. Le Monde et un collectif de médias internationaux ont eu accès en exclusivité à des données fusionnées et analysées par les ONG Data for Good et Eclaircies (dont celles de Kjell Kühne). Les résultats de ce travail sont publiés sur CarbonBombs.org et révèlent l’implication des entreprises, banques et Etats dans le développement de ces bombes. A un mois de l’ouverture de la 28e conférence mondiale sur le climat (COP28), le 30 novembre, ces données permettent de montrer l’ampleur des bombes carbone en développement, et la constellation d’acteurs qui leur permettent d’aller de l’avant.
VIDÉO. Aucun des 422 sites d’extraction de pétrole, de gaz et de charbon qualifiés de « bombes carbone » ne se situe en France. Mais plusieurs entreprises françaises sont liées à ces projets ou les financent.
CarbonBombs.org is a tool to follow the evolution of carbon bombs in the world.
À ce jour, 425 "bombes climatiques" - c'est-à-dire des gisements de gaz, charbon ou pétrole qui devraient causer chacun l'émission d'au moins un milliard de tonnes de CO2 - sont recensées dans le monde, en activité ou à l'état de projet.
En 2022, l’étude de Kühne & al. 2022 révélait l’existence de 425 bombes carbone, où des projets pétroliers et gaziers gigantesques entraîneraient chacun au moins un milliard de tonnes d’émissions de CO2 au cours de leur durée de vie.
Les gouvernements sont appelés à cesser d’octroyer de nouveaux permis d’extraction de charbon, de pétrole et de gaz, alors que dix pays concentrent plus des trois quarts des sites les plus émetteurs de CO2.
C'est une mine d'informations. La plateforme CarbonBombs, mise en ligne ce mardi 31 octobre, cartographie l'ensemble des 425 bombes climatiques présentes dans le monde, ces sites d'extraction de charbon, gaz et pétrole qui peuvent émettre chacun au moins un milliard de tonnes de CO2 et mettre en péril nos engagements climatiques. Elle permet aussi d'identifier les entreprises et les banques associées à ces projets climaticides.
De l’Ouganda au Kazakhstan, de l’Arctique russe à la Norvège ou au Brésil, le groupe français est lié à au moins vingt-trois sites géants d’extraction d’hydrocarbures.
Si le projet Eacop/Tilenga mené par Total en Ouganda et en Tanzanie fait régulièrement la Une, la major est en réalité impliquée dans de nombreux projets climaticides. L'ONG Greenpeace a recensé 33 bombes climatiques, des projets super-émetteurs à plus d'un milliard de tonnes de CO2, qui vont sérieusement mettre en péril l'objectif 1,5°C.
À travers le monde, TotalÉnergies est impliquée dans trente-trois projets super-émetteurs, qui risquent de « faire exploser le climat ». Tel est le résultat d’un rapport publié par Greenpeace, le 25 octobre, intitulé « Les bombes climatiques de TotalÉnergies, la forêt derrière l’arbre Eacop », qui liste les projets fossiles auxquels la major participe.
Après une nuit de pluies diluviennes, Hong Kong s’est réveillé sous l’eau le vendredi 8 septembre. Deux personnes au moins sont mortes. Et certains s’interrogent sur le manque de préparation des autorités.
Avec le Mercosur, l’Europe va « puiser dans les pays du Sud les matières premières nécessaires pour maintenir quoi qu’il en coûte nos modes de vie », résume l’économiste Maxime Combes dans cette tribune.
Sur fond de changement climatique, les incendies, sécheresses et autres catastrophes ont considérablement affaibli les forêts, qui perdent leur capacité d’absorption de CO2. Un désastre annoncé si l’exécutif ne revoit pas sa stratégie.
Des chercheurs ayant pris part à une étude internationale dont les conclusions ont été publiées le 17 avril ont estimé que la Terre avait piégé, en un demi-siècle, une énergie équivalente à 25 milliards de bombes atomiques.
Jeudi 16 mars, Emmanuel Macron reçoit Sultan Al Jaber, président de la COP28 sur le climat et... PDG d’une compagnie pétrolière. Cette nouvelle doit provoquer un « électrochoc », espèrent les auteurs de ce texte. Nicolas Haeringer est activiste climat à 350.org et Maxime Combes est économiste spécialiste des questions climatiques. La présidence de la COP28, qui va héberger les prochaines négociations climatiques internationales en décembre 2023, a été confiée à Sultan Al Jaber. Il est à la fois ministre de (...)
Le modèle productif, la compétition entre pays et les besoins de rentabilité des firmes ont tous contribué, à leur niveau, à la pénurie actuelle de médicaments. Des usages détournés de médicaments contre le diabète mis en avant par des influenceurs pour les effets amaigrissant perturbent également les approvisionnements. Au détriment des malades.
Alors que les scientifiques ne cessent de marteler que la planète doit sortir de son addiction au pétrole, au gaz et au charbon pour lutter efficacement contre le dérèglement climatique, des projets d'exploitation d'hydrocarbures continuent à voir le jour. Plusieurs pays, villes et ONG appellent à la mise en place d'un traité de non-prolifération des énergies fossiles.
Attendre de la COP27 sur le climat qu'elle résolve ce que les 26 COP précédentes n'ont pu empêcher n'est que folie. Mais condamner les COP parce que les gouvernements des Etats qui la composent refusent de transformer de fond en comble leurs politiques économiques nous mènera nulle part. Ce ne sont pas les COP qu'il faut enterrer, mais les décisions climaticides des Etats et des entreprises.
Ce mardi 8 novembre, Emmanuel Macron reçoit à l’Élysée les dirigeants des 50 sites industriels les plus polluants de France pour échanger sur les « solutions décarbonées » et peut-être annoncer de nouveaux soutiens publics. Pourtant, les industriels concernés bénéficient déjà d’aides publiques conséquentes. Via le marché européen du carbone, ils ont bénéficié entre 2015 et 2020 de l’équivalent de 3 milliards d’euros d’allocations gratuites.
Les 425 bombes climatiques qui pourraient réduire à néant la lutte contre le dérèglement climatique
Alors que la menace d’utilisation d’armes nucléaires grandit, que ce soit du côté de la Russie ou de la Corée du Nord, la discussion tourne essentiellement autour du recours aux bombes dites "tactiques". Une famille d’armes nucléaires présentées comme "moins puissantes". Au risque de rendre plus acceptable l'utilisation d'armes de destruction massive ?
Avec 141 projets d’extraction de combustibles fossiles, la Chine est le pays qui compte le plus de “bombes climatiques” sur son territoire.
L’extension du Terminal 2 de l’aéroport de Nice vise à accueillir d’ici 2030 plus de 20 millions de passagers, soit une hausse de 50 % de la fréquentation. Le projet, toujours d’actualité malgré la crise sanitaire, est vivement contesté pour son impact climatique, avec une projection de plus de 28 millions de tonnes équivalent CO2 émis sur trente ans. Toute la semaine, Novethic vous propose un tour de France des projets les plus climaticides, en s’appuyant sur l’étude "Projet local, impact global" publiée en mai dernier par le cabinet BL Évolution et l’association Terres de luttes*.
La France a traversé deux vagues de chaleur en seulement deux mois. L’économiste Maxime Combes propose de les nommer d’après leurs responsables afin de « repolitiser » ces évènements climatiques extrêmes.