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Le premier quart du XXIième siècle arrive à sa fin et le bilan est catastrophique. Les avertissements des scientifiques sur les risques systémiques ne sont toujours pas à l’ordre du jour des débats…
Voilà des mois que le contexte politique, en particulier le champ de bataille que sont devenues l’agriculture et l’écologie, me hante. Pour ne pas rester sans rien faire, j’ai écrit un texte qui, je l’espère, contribuera à éclairer les dynamiques fétides actuellement à l’œuvre. Merci d’avance pour vos partages.
Voilà des mois que le contexte politique, en particulier le champ de bataille que sont devenues l'agriculture et l'écologie, me hante. Pour ne pas rester sans rien faire, j'ai écrit un texte qui, je l'espère, contribuera à éclairer les dynamiques fétides actuellement à l’œuvre. Merci d'avance pour vos partages.
Les réserves d’eau de l’Europe s’assèchent en raison du dérèglement climatique Des scientifiques de l’UCL constatent que de vastes zones du sud de l’Europe s’assèchent, avec des conséquences « de grande envergure » […] D’immenses pans des réserves d’eau européennes sont en train de s’assécher, révèle une nouvelle analyse basée sur deux décennies de données satellitaires, montrant une diminution des stocks d’eau douce en Europe du Sud et centrale, de l’Espagne et de l’Italie jusqu’à la Pologne et certaines régions du Royaume-Uni.
Je dis toujours que les modèles ne sont pas des prédictions, mais des illustrations qualitatives de ce que pourrait être l’avenir. Cependant, à mesure que l’avenir se rapproche du présent, les modèles peuvent commencer à être considérés comme des outils prédictifs. Il s’agit de la dichotomie entre météo et climat, si habilement exploitée par les politiciens pour semer la confusion dans les débats sur le climat. À l’heure actuelle, nous nous rapprochons du point où nous pourrions prévoir un effondrement de la même manière que nous pouvons prévoir la trajectoire d’une tempête tropicale.
Compromis, mesures volontaires et absence de mention des combustibles fossiles : points clés de l’accord de la COP30 […] Le sommet des Nations unies sur le climat COP30 a fait avancer la lutte contre la crise climatique et les dommages qu’elle cause déjà aux vies et aux moyens de subsistance. Mais les mesures convenues constituent des pas en avant, plutôt que les bonds en avant nécessaires.
Ce qui me frappe dans les COP, depuis que je les suis de près ou de loin (soit depuis 2010), c’est cette insistance sur le « consensus unanime », « pour sauver le multilatéralisme ». Or il existe, représentés à l’ONU et négociateurs lors des COP, des pays comme l’Arabie Saoudite (une monarchie absolue de droit divin, une dictature cruelle qui dissout le corps d’un journaliste dans l’acide, un des régimes autoritaires les plus sanglants de la planète) et la Russie (une dictature aggressive qui torture et assassine tous ses opposants, y compris à l’étranger, et qui a déclenché la pire guerre en Europe depuis la désintégration de la Yougoslavie). Sans compter la Chine, qui est aussi une des dictatures les plus impitoyables au monde, au point de menacer directement ses critiques dans les démocraties, et dont les efforts en matière d’énergies renouvelables ne permettent pas d’annuler ses immenses émissions de gaz à effet de serre, en passe de dépasser celles, cumulées, des plus grands émetteurs historiques occiden
In Brazilië is de klimaatconferentie afgelopen. Er is een akkoord gevonden, zij het zonder een concreet plan om het gebruik van fossiele brandstoffen te beëindigen. Volg alle nieuws over de klimaatconferentie in Belém in Brazilië in deze blog.
Une analyse magistrale de 5 000 ans de civilisation soutient qu’un effondrement mondial est imminent si les inégalités ne sont pas éliminées. […] Nous ne pouvons pas fixer une date pour la fin du monde, mais en examinant les 5.000 ans de [civilisation], nous pouvons comprendre les trajectoires auxquelles nous sommes confrontés aujourd’hui et l’autodestruction est la plus probable », déclare le Dr Luke Kemp du Centre for the Study of Existential Risk (Centre d’étude des risques existentiels) de l’université de Cambridge (*).
Selon une nouvelle étude à laquelle a contribué l’Institut de recherche sur l’impact climatique de Potsdam (PIK), quatre éléments clés du système climatique terrestre sont en train de se déstabiliser. Les chercheurs ont analysé les interconnexions entre quatre éléments de basculement majeurs : la calotte glaciaire du Groenland, la circulation méridienne de retournement de l’Atlantique (AMOC), la forêt amazonienne et le système de mousson sud-américain. Tous quatre montrent des signes de diminution de leur résilience, ce qui augmente le risque de changements brusques et potentiellement irréversibles.
Les articles sur l’environnement ne trouvent plus le même écho qu’auparavant. Les écrivains, les chercheurs et les militants remarquent ce changement : les contenus sur le climat qui suscitaient autrefois l’engagement passent désormais au second plan. La question n’est pas de savoir si les gens se soucient de la planète, mais plutôt que de nombreux lecteurs dépassent le stade des discours sur la prise de conscience et l’action individuelle (ou du moins, c’est ce qu’ils devraient faire, à mon avis !). Ils veulent comprendre le pouvoir. Ils veulent comprendre les systèmes. Ils veulent un espoir ancré dans la transformation collective, et non un optimisme vendu comme une thérapie personnelle.
L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Le Moyen-Orient traverse une période de turbulences politiques et économiques intenses, plusieurs pays de la région étant en proie à des conflits. Ces conflits se déroulent dans un contexte d’aggravation de la crise climatique. En 2023, le groupe de réflexion mondial Carnegie Endowment for International Peace a conclu que les pays du Moyen-Orient « comptent parmi les États les plus exposés au monde aux effets accélérés du changement climatique causé par l’homme, notamment les vagues de chaleur, la baisse des précipitations, les sécheresses prolongées, l’intensification des tempêtes de sable et des inondations, et l’élévation du niveau de la mer ».
Dans le sud de l’Ukraine, un convoi d’aide humanitaire de l’ONU a été ciblé mardi 14 octobre par des drones kamikazes russes, qui ont détruit deux camions. Quelques heures plus tard, des blogueurs militaires russes publiaient triomphalement une vidéo de l’attaque. Des images qui permettent de décrypter les tactiques des opérateurs de drones.
En 2024, pour la première fois, la température moyenne de la Terre a dépassé 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels, un seuil critique dans la crise climatique. Dans le même temps, des conflits armés majeurs continuent de faire rage en Ukraine, à Gaza, au Soudan et ailleurs. Ce qui devient de plus en plus clair, c’est que la guerre doit désormais être comprise comme se déroulant dans le contexte de la crise climatique. La relation entre la guerre et le changement climatique est complexe. Voici trois raisons pour lesquelles la crise climatique doit remodeler notre façon de penser la guerre.
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