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Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec le groupe américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service début 2029 de la centrale nucléaire Duane Arnold, dans l'Iowa (centre), pour le développement des infrastructures de l'IA du géant californien. L'accord entre les deux entreprises vise à "répondre à la demande croissante en énergie de l'intelligence artificielle (IA) grâce à une énergie nucléaire propre et fiable", ont-elles annoncé dans un communiqué commun.
La Russie a annoncé dimanche 26 octobre avoir informé les Etats-Unis d’un essai final réussi de son missile. Mais quelles sont les caractéristiques de cette bombe ?
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
Le lancement réussi du Bourevestnik, premier missile à propulsion nucléaire, a été salué par Vladimir Poutine comme un tournant en permettant à la Russie de posséder une arme unique au monde. Si, sur le papier, ce missile peut inquiéter, il est cependant loin de constituer un atout majeur pour l’arsenal balistique russe.
Vladimir Poutine a officiellement mis fin à l'accord russo-américain sur le plutonium, signé en 2000 pour limiter les stocks de matières fissiles.
Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec l’énergéticien américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service, début 2029, de la centrale nucléaire Duane Arnold en Iowa (centre), fermée depuis 2020, une nouvelle source d’électricité pour le développement des infrastructures d’intelligence artificielle (IA) du géant californien.
Selon le chef de l’Etat-major russe, le missile «Bourevestnik» («oiseau de tempête» en russe) aurait déjà réussi un vol de 14 000 km.
Derrière son écran, l'opérateur donne le top départ: une tête laser montée sur un bras robotique s'attaque à la découpe d'une tuyauterie, une opération-test en réalité virtuelle menée au Commissariat à l'énergie atomique pour répondre aux enjeux du démantèlement des vieilles centrales nucléaires. Des outils de découpe robotisés aux drones d'investigation, ces assistants permettent aux intervenants d'"être moins exposés radiologiquement", explique Hubert-Alexandre Turc, ingénieur-chercheur au CEA, à plusieurs journalistes, lors d'une visite du site de Marcoule (Gard), berceau de l'industrie nucléaire française.
L'alimentation électrique de la centrale nucléaire de Zaporijjia en Ukraine a été rétablie après une panne record d'un mois depuis l'invasion russe, a déclaré jeudi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). La reprise de l'alimentation de la plus grande centrale d'Europe, occupée depuis mars 2022 par les forces russes est intervenue après la réparation d'une ligne à l'extérieur du site grâce à un cessez-le-feu local. Elle constitue "une étape cruciale pour la sûreté et la sécurité nucléaires", a indiqué l'organisme de surveillance nucléaire des Nations unies dans un message sur X. L'agence a ajouté continuer de travailler avec la Russie et l'Ukraine pour permettre la restauration d'une autre ligne électrique.
En cause : deux sous-marins nucléaires russes qui ont coulé il y a déjà longtemps mais qui alarment aujourd'hui les experts.
L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, Elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
L'Autorité environnementale relève des zones d'ombres concernant l'impact sanitaire, environnemental ainsi que la sûreté du chantier et de l'exploitation de deux nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 par EDF à Penly (Seine-Maritime), dans un rapport publié début octobre. Cette instance indépendante a pour mission de rendre des avis sur les conséquences pour la santé et l'environnement de grands chantiers comme des infrastructures routières ou énergétiques. Concernant le projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Penly, elle a identifié plusieurs sujets "avec des implications possibles pour le milieu et la santé humaine" que le maître d'ouvrage EDF doit "approfondir".
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Le plan pour rétablir, après une panne record de près de quatre semaines, l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a commencé à être mis en oeuvre grâce à un cessez-le-feu local, a annoncé samedi l'AIEA. "Les travaux ont commencé pour réparer les lignes électriques" autour du site, a déclaré le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, sur X. "Les réparations devraient durer environs une semaine", a précisé plus tard l'agence dans un communiqué. "Ce matin, après les activités de déminage, les travaux ont commencé pour réparer deux câbles" d'une ligne déconnectée le 7 mai, a détaillé l'AIEA.
Téhéran a affirmé samedi ne plus être tenu par les "restrictions" liées à son programme nucléaire, tout en réitérant son "engagement" pour la diplomatie, le jour de l'expiration d'un accord international conclu il y a dix ans. Un accord qui était déjà devenu caduc à la suite du retrait unilatéral des États-Unis en 2018.
L'accord historique destiné à encadrer le programme nucléaire iranien a expiré officiellement samedi. Mais il avait déjà été enterré dès la fin septembre par le rétablissement des sanctions contre l'Iran décidé à l'ONU. Signé à Vienne en 2015 par la France, le Royaume-Uni et l'Allemagne, ainsi que par les États-Unis, la Russie et la Chine, le pacte avait ensuite été entériné par l'ONU via la résolution 2231. Connu sous l'acronyme JCPOA (Joint comprehensive plan of action), il avait pour objectif de contrôler les activités nucléaires de Téhéran, soupçonné de développer militairement l'arme atomique, sous couvert de programme civil. En échange, la communauté internationale devait lever les sanctions qui asphyxiaient son économie.
Le plan "complexe" pour rétablir après une panne record de près de quatre semaines l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia a commencé à être mis en oeuvre grâce à un cessez-le-feu local, a annoncé samedi l'AIEA. "Les travaux ont commencé pour réparer les lignes électriques" autour du site, a déclaré le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Rafael Grossi, sur X. Le démarrage prochain des réparations avait été annoncé mercredi par l'agence basée à Vienne, en Autriche, qui faisait pression pour remédier à une situation "intenable". La plus grande centrale nucléaire d'Europe est occupée depuis mars 2022 par les forces russes. Le 23 septembre, elle a perdu sa connexion au réseau pour la dixième fois et il s'agit de la plus longue coupure totale d'alimentation électrique externe depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine.
Un avis de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection souligne « la grande complexité » et le manque de robustesse du plan de l’électricien pour renforcer le sol sur lequel doivent voir le jour deux EPR2.
EDF doit fournir des éléments prouvant que les mesures envisagées pour renforcer le sol pour l'implantation des deux futurs réacteurs EPR2 à Gravelines (Nord), au bord de la mer, sont sûres et fiables, selon des documents de l'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) rendus public jeudi. Dans un avis du 23 juillet, l'ASNR souligne qu'EDF devra "démontrer la robustesse de sa solution de renforcement de sol" de fondation du site de Gravelines, en soulignant le caractère inédit du système proposé par l'électricien, "d'une ampleur sans précédent, d'une grande complexité et sans retour d'expérience représentatif en France et à l'international".
Le directeur général de l'AIEA, Rafael Grossi, a dit s'attendre mercredi soir à ce que les réparations commencent "bientôt" pour rétablir l'alimentation électrique de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, la situation actuelle n'étant selon lui "pas tenable". Déconnectée du réseau depuis le 23 septembre "Je continue de consulter la Russie et l'Ukraine afin que ces travaux puissent commencer dans les prochains jours", a déclaré dans un communiqué le responsable de l'Agence internationale de l'énergie atomique.
Le réacteur nucléaire EPR de Flamanville a redémarré dans la nuit de mardi à mercredi, après quatre mois d'arrêt pour mener des opérations de maintenance après la découverte d'un problème de fuite sur des soupapes, a annoncé mercredi l'électricien EDF.
Le développement de la bombe et de l’énergie atomiques, souvent associé à la Seconde Guerre mondiale et au projet Manhattan, n’aurait jamais pu advenir sans les travaux réalisés en Europe avant le début du conflit –  notamment ceux portés en France par Irène et Frédéric Joliot-Curie.
Le Plan national pour la gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour la période 2027-2031 fera l'objet d'un débat public pendant quatre mois, à partir de lundi, a annoncé vendredi la Commission nationale du débat public (CNDP). La CNDP a été saisie fin décembre 2024 par le gouvernement pour conduire le débat, une obligation légale, sur l'élaboration du 6e PNGMDR, une feuille de route qui fixe la stratégie de la France pour gérer les matières et déchets radioactifs du territoire, quelle que soit leur origine technique.
Depuis presque vingt ans, la Chine développe un réacteur de fusion nucléaire que l’on surnomme « soleil artificiel ». Dans le cadre de ces travaux, les ingénieurs ont récemment fabriqué un robot dont la mission sera d’assurer la maintenance complexe et couteuse de cette installation. Équipée de trois bras, cette machine est notamment capable de soulever une charge d’une soixantaine de tonnes.
L'exploitant nucléaire EDF a informé le régulateur français de l'énergie qu'il retenait l'hypothèse d'une puissance de son réacteur EPR de Flamanville (Manche) plus basse que celle communiquée officiellement, en raison d'un "rendement détérioré" non expliqué à ce jour, selon les éléments d'un rapport dévoilés mercredi. Cette information, reprise par le journal La Tribune, figure dans un rapport publié le 30 septembre par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme du secteur, qui relève qu'EDF lui "a déclaré" une puissance électrique finale de l'EPR "inférieure de 35 MW à la puissance déclarée dans le cadre des données publiques".
L’accord de défense mutuelle stratégique signé le 17 septembre entre Riyad et Islamabad, qui détient l’arme nucléaire, répond à la préoccupation des Saoudiens quant à la fiabilité des garanties de sécurité américaines face à l’émergence d’Israël comme puissance hégémonique régionale.
La centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par l'armée russe dans le sud-est de l'Ukraine, ne présente pas de "danger immédiat" tant qu'elle fonctionne grâce à ses "générateurs diesel de secours", a estimé le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). "La plus grande centrale (nucléaire) d'Europe est privée d'alimentation externe depuis au moins une semaine, ce qui constitue de loin l'événement de ce type le plus long en plus de trois ans et demi de guerre" en Ukraine, a indiqué le chef de l'AIEA Rafael Grossi dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.
Le réacteur de Tihange 1 avait 50 ans et il a été mis à l’arrêt ce mardi soir. Le mettre sous cocon et espérer le redémarrer un jour est-il envisageable ? Le ministre de l’énergie Mathieu Bihet demande à Engie de ne rien entreprendre de définitif. Le bourgmestre et les échevins de la Ville de Huy viennent de rendre un avis contre le permis de démolir le réacteur.
Moscou a affirmé mercredi que la situation était "sous contrôle" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia, privée d'alimentation électrique extérieure depuis plus d'une semaine, après des propos alarmants de Volodymyr Zelensky.