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sixième

février 2024

Entre début décembre et fin février, le mercure devrait dépasser "d'environ deux degrés" les normales de saison en France, annoncé jeudi Météo France. C'est la sixième année consécutive que les températures des trois mois d'hiver sont plus chaudes d'au moins 0,8°C que les moyennes des trois dernières décennies.

décembre 2023

Le Maroc, où l’agriculture est un secteur crucial, se dirige vers sa sixième année consécutive de sécheresse en...

octobre 2023

En mars 2023, le GIEC publie son Rapport de synthèse. Ce rapport est le dernier volet du sixième Rapport d'évaluation du GIEC, dont il intègre les principales conclusions dans tous les domaines (cfr. Lettre n°23 à propos de la manière dont il a été élaboré). Cette Lettre reprend différents extraits représentatifs du Rapport de synthèse et en explicite les termes en vue de les rendre plus accessibles. Ces extraits sont mis en regard de figures et d'exemples issus du rapport.
Depuis 2015, en seulement huit ans, nous sommes passés de trois à six limites globales franchies. La dernière limite en date à avoir été dépassée est celle de l’eau douce, ressource de plus en plus rare.

septembre 2023

Une nouvelle étude sur les limites planétaires a affiné les projections et montre que désormais les seuils fixés pour le cycle de l'eau bleue, comme avant lui celui de l'eau verte, sont dépassés. Mettant à mal notre résilience.
Avec la disparition rapide de nombreuses espèces animales, les humains provoquent la perte de branches entières de l'"arbre de la vie", selon une nouvelle étude publiée lundi, qui alerte sur la menace d'une sixième extinction de masse.

août 2023

Aux portes d’Athènes, les températures élevées et les vents violents attisent les feux qui menacent des habitations et un important parc national.

mars 2023

- Changements climatiques 2023 - Messages clés du résumé à l’intention des décideurs. Notes des traducteurs : ce document est une traduction informelle qui n’engage pas le GIEC. La longueur et la complexité de certaines phrases viennent généralement du texte d’origine, notre objectif prioritaire étant d’en conserver la signification précise. Si vous constatez une erreur, merci de contacter les traducteurs (voir en fin de document).
Le résumé du sixième rapport du GIEC a été approuvé dimanche par les délégués des pays des 195 États membres. Le texte offre aux décideurs une synthèse de l'état de la science et le panorama des solutions possibles pour une réduction rapide des émissions de gaz à effet de serre.
Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) a publié, lundi, sa très attendue synthèse du sixième rapport d'évaluation sur les changements climatiques. Un document d'une trentaine de pages qui souligne les dégâts déjà causés par le réchauffement de la planète et la difficulté d'atteindre l'objectif de limiter la hausse des températures. Mais les travaux des scientifiques démontrent aussi que l'effort en vaut la peine, y compris économiquement.
Le GIEC (Groupe d’experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat, IPPC en anglais) est un organisme qui publie tous les six ou sept ans une évaluation scientifique approfondie sur l'évolution du climat, en y évaluant et synthétisant les informations scientifiques, techniques et socio-économiques sur ce sujet.<

décembre 2022

Les résumés pour décideurs des rapports des trois groupes du Giec énoncent un certain nombre d’assertions organisées par sections. Chaque assertion est (...)
La célèbre primatologue britannique Jane Goodall était de passage en Belgique. Nous l’avons rencontrée pour évoquer la crise de la biodiversité, son travail de conservation des grands singes avec le Jane Goodall Institute, et ses découvertes sur les chimpanzés.

novembre 2022

Les activités humaines provoquent la disparition d'espèces animales et végétales à un rythme jamais atteint au cours de l'histoire de notre planète. Selon une étude, six grandes extinctions de masse - et non cinq - auraient précédé la crise actuelle, la première ayant eu lieu il y a 550 millions d'années.

août 2022

Le monde politique doit sortir d’urgence du déni et de l’irresponsabilité climatique. S’il met en doute les conclusions du Giec, qu’il l’assume publiquement ; sinon, qu’il œuvre sans relâche ! Aucun groupe politique n’a le monopole de l’urgence écologique.

mai 2022

Les profondes modifications du cycle de l’eau douce, et de l’eau verte en particulier, pourraient affecter les végétaux et libérer du carbone dans l’atmosphère.
Une étude parue dans la revue "Nature" révélait il y a quelques jours que l’humanité avait franchi la sixième limite planétaire. Une sixième limite sur neuf, établies par les scientifiques, qui concerne cette fois le cycle de l’eau douce. Mais que signifient ces "limites", est-on déjà au bord de la catastrophe planétaire ? Déclic a tenté d’y voir clair.

avril 2022

Une sixième limite planétaire vient d'être franchie selon plusieurs scientifiques. Elle concerne le cycle de l'eau et plus particulièrement l'eau verte, celle qui est absorbée par les végétaux. En Amazonie, mais partout ailleurs, l'humidité des sols change et les forêts se transforment en savanes en raison du changement climatique et de la déforestation. Le monde compte neuf limites planétaires, seules trois n'ont donc pas encore été franchies.
Ce dernier volet du sixième rapport du Giec, publié lundi, s'intéresse aux moyens de limiter nos émissions de gaz à effet de serre et le réchauffement climatique.

mars 2022

C’est l’un des rapports scientifiques les plus importants de notre histoire. Le nouveau volet du dernier rapport du GIEC est vertigineux. Même le secrétaire général de l’ONU, qui en a lu, des rapports, le dit : "rien n’est comparable à celui-ci". Pourtant, ce document nous parle de nous, de notre avenir, et même de solutions. C’est la raison pour laquelle cette semaine, je vous propose un format un peu différent avec l’activiste Camille Etienne, pour décrypter ce sixième rapport du GIEC.
Dans le deuxième volet de leur sixième rapport, les experts du Giec se penchent sur les effets du changement climatique sur l’humanité et le fait de s’y adapter.

février 2022

Le Giec a dévoilé ce lundi le deuxième volet de son sixième rapport de synthèse. Un exercice qui dresse l’état des connaissances actuelles sur les impacts déjà perceptibles des dérèglements du climat, les risques encourus et les mesures d’adaptation qui ont commencé à voir le jour pour faire face à cette nouvelle réalité. Conclusion : une dangereuse impréparation.
Le sixième rapport d'évaluation (RE6) du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies s'inscrit dans une série de rapports destinés à évaluer et synthétiser les informations scientifiques, techniques et socio-économiques relatives au réchauffement climatique. Il conclura le « sixième cycle d’évaluation du climat » effectué par le GIEC1, décidé à sa 41e session (février 2015)2.
Le Giec a dévoilé ce lundi le deuxième volet de son sixième rapport de synthèse dans lequel il pointe notre impréparation à faire face aux dérèglements climatiques.
Les scientifiques du Giec publient, lundi, le deuxième volet de leur sixième rapport. Dans ce nouvel opus, ils abordent les effets du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes et rappellent la nécessité de renforcer les moyens de s'y adapter, en multipliant les mesures de réduction des émissions de CO2.
Le second volet du sixième rapport d’évaluation du Giec a été dévoilé ce 28 février. Traitant du thème «  impacts, adaptation et vulnérabilité  », il confirme les prédictions des précédents travaux du groupe d’experts sur l’évolution du climat. Explications avec Wolfgang Cramer, qui en a coordonné l’un des chapitres.
Le second volet du sixième rapport du GIEC (Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat) vient d’être publié ce lundi. Après un premier rapport sur les bases physiques du climat, celui-ci s’intéresse aux impacts du dérèglement climatique ainsi qu’aux adaptations. Et plus que jamais, les nouvelles ne sont pas bonnes. Il s'agit même de l'avertissement le plus sévère jamais lancé sur les effets du changement climatique sur l'humain et la nature.
Le sixième rapport du Giec sur la physique du climat a été dévoilé au mois d’août 2021 après plusieurs années d’élaboration [1]. On rappelle que le rapport complet repose sur le travail de trois groupes :

janvier 2022

Les températures océaniques viennent de battre un nouveau record pour la sixième année consécutive. Dans le monde entier, la température des océans augmente à un rythme effréné alors que l’homme continue de modifier l’atmosphère qui les entoure. En 2021, selon une nouvelle synthèse de deux ensembles de données internationaux, la vague de chaleur dans nos océans a atteint un nouveau pic, éclipsant l’influence des épisodes régionaux plus frais.
Les neuf dernières années font partie du "top 10" des années les plus chaudes jamais enregistrées sur Terre, et 2021 se place au sixième rang, selon le rapport annuel d'une agence scientifique américaine de référence, publié jeudi.
Les neuf dernières années font partie du "top 10" des années les plus chaudes jamais enregistrées sur Terre, et 2021 se place au sixième rang, selon le rapport annuel d’une agence scientifique américaine de référence, publié jeudi.
Dans une étude publiée lundi, des scientifiques calculent que 7,5% à 13% des 2 millions d’espèces connues pourraient déjà avoir disparu depuis l’an 1500, soit bien plus que les 0,04% avancés par l’Union internationale pour la conservation de la nature.
Dans une étude publiée lundi, des scientifiques calculent que 7,5% à 13% des 2 millions d’espèces connues pourraient déjà avoir disparu depuis l’an 1500, soit bien plus que les 0,04% avancés par l’Union internationale pour la conservation de la nature.
L’ampleur de la sixième extinction de masse est pire que ce que suggère la liste rouge de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) dès lors qu’on prend en compte les invertébrés, alertent les auteurs d’une étude (en anglais) publiée lundi 10 janvier 2022 dans Biological Reviews. Selon l’analyse de la situation des mollusques terrestres (escargots et limaces), il n’y aurait pas 0,4 % d’espèces animales et végétales disparues dans le monde depuis l’année 1500, mais entre 7,5 et 13 % — soit 150 000 à 260 000 espèces éteintes.

décembre 2021

Jean-Marc Jancovici est ingénieur et président de The Shift Project, une association qui oeuvre en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone. Nous revenons avec lui sur les enjeux liés à la transition écologique : comment élaborer un nouveau modèle économique et social pour limiter le réchauffement de la planète et la sixième extinction en cours.
L'assureur Aon estime que 2021 sera la sixième année, et la quatrième consécutive, où les catastrophes naturelles dans le monde ont causé plus de 100 milliards de dollars de dommages.
Cyril Dion, le réalisateur du documentaire Animal – en salle depuis le 1er décembre – raconte à Amandine Lepoutre, présidente du think tank Thinkers & Doers, son engagement contre la sixième extinction de masse. Le militant écologiste appelle les décideurs économiques et politiques à penser leurs engagements au prisme du vivant. Pour durer.

novembre 2021

Insectes, poissons, mammifères : partout sur terre le constat est le même, la faune et la flore disparaissent à un rythme effrayant. D’où cette question : l’Homme est-il en train de massacrer la planète et ses habitants ?

octobre 2021

Après une première réunion virtuelle en ce mois d'octobre, la quinzième rencontre (COP15) des membres de la Convention sur la biodiversité se tiendra en présentiel en Chine, en avril prochain. Il y a urgence, car tout ce qui constitue la vie sur Terre est menacé. Selon le sixième rapport d'évaluation du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), durant les années 2011-2020, la température à la surface du monde a été plus élevée de 1,09 °C que lors des années 1850-1900, qui servent de référence préindustrielle.
Le 9 août dernier, le GIEC rendait le premier volet de son ultime rapport d’évaluation. L’occasion de revenir sur quelques chiffres-clés.

septembre 2021

Si le sixième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) déposé le 9 août contenait les mêmes signaux d’alarme que dans ses précédentes éditions, la différence était cette fois dans le langage plus robuste. Cela vient du fait qu’en 30 ans, on a accumulé quantité de mesures sur les océans et l’atmosphère: ces mesures n’ayant cessé de gagner en précision, la marge d’incertitude s’est rétrécie. Le Détecteur de rumeurs a identifié 5 éléments dont on peut désormais dire qu’ils ne laissent plus place au doute.
Si le sixième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) déposé le 9 août contenait les mêmes signaux d’alarme que dans ses précédentes éditions, la différence était cette fois dans le langage plus robuste. Cela vient du fait qu’en 30 ans, on a accumulé quantité de mesures sur les océans et l’atmosphère: ces mesures n’ayant cessé de gagner en précision, la marge d’incertitude s’est rétrécie. Le Détecteur de rumeurs a identifié 5 éléments dont on peut désormais dire qu’ils ne laissent plus place au doute.
Dans la plupart des États, les animaux et les écosystèmes naturels restent généralement soumis au « régime des choses ».Or cette manière de les appréhender juridiquement constitue un échec, la sixième extinction de masse étant à l’œuvre. À l’ère de l’anthropocène, les humains ne peuvent plus se permettre d’agir comme s’ils étaient les seuls habitants d’une planète aux ressources inépuisables.
Près de 30% des espèces étudiées par l'UICN sont "menacées", selon une actualisation de la célèbre "Liste rouge" de la plus grande organisation mondiale de conservation de la nature, rendue publique samedi à Marseille.
Le sixième rapport d’évaluation du GIEC, programmé pour septembre 2022, fera la synthèse des rapports des trois groupes de travail (WG pour « Working Group »). Le premier (WG1), rendu public le 9 août, se penche sur les bases scientifiques. Il sera suivi du WG2 consacré à l’adaptation face aux impacts du réchauffement, puis du WG3 traitant des politiques d’atténuation du réchauffement.

août 2021

Changement climatique, érosion de la biodiversité, évolution démographique, pollution atmosphérique, détérioration des sols, catastrophes naturelles, accidents industriels, crises sanitaires, mobilisations sociales… Voici le premier atlas réunissant l'ensemble des données sur la crise écologique de notre temps.
Même conscientisé par les rapports précédents, on sort bouleversé de la lecture du rapport du GIEC (1), "Summary for policymakers" (2) publié dans le cadre plus vaste du sixième rapport d’évaluation de l’organisation dont la publication complète est prévue pour mars 2022.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) a publié le 9 août le premier chapitre de son sixième rapport, qui porte sur les bases physiques du changement climatique. Celui-ci fait un état des lieux des connaissances sur le climat et ses perspectives d'évolution en fonction des émissions de gaz à effet de serre. En voici cinq chiffres clés.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a publié le 9 août 2021 le premier volet de son sixième rapport d’évaluation (Assessment Report 6) "Changements climatiques : les éléments scientifiques". Ce rapport, dont la rédaction a débuté en 2017-2018, rassemble les connaissances scientifiques les plus récentes et les plus complètes du système climatique et des changements climatiques à ce jour. Le précédent rapport de ce type datait de 2013-2014.
Le sixième rapport d'évaluation (RE6) du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations unies s'inscrit dans une série de rapports destinés à évaluer et synthétiser les informations scientifiques, techniques et socio-économiques relatives au réchauffement climatique.
Avec cette prévision qui fait office d'alerte rouge : on devrait atteindre les +1.5°C en 2030, soit dix ans plus tôt que la dernière estimation, qui datait de 2018. Actuellement, la planète a atteint les +1.1°C.
Cette semaine, des scientifiques et des représentants de 195 pays sont réunis à l'occasion de la 54e session du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) pour examiner l'évaluation la plus complète au monde de notre climat : le sixième rapport d'évaluation (en anglais). Les rapports du GIEC ont historiquement étayé l'action climatique mondiale et influencé les décisions de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

juillet 2021

Astrophysicien et philosophe, Aurélien Barrau décrit la sixième extinction massive (anéantissement biologique global) actuellement observée par les naturalistes.
Le Giec, créé en 1988, a déjà dressé cinq rapports d’évaluation dont le dernier a été finalisé en 2013-2014. Il entame à présent la publication de son sixième rapport qui se décompose en trois volets : le premier, sur les éléments scientifiques les plus récents concernant le changement climatique, sortira le 9 août.

juin 2021

Les publications du GIEC sont très attendues, elles sont la boussole de la lutte contre le réchauffement climatique. Un brouillon du sixième rapport, dont la publication est prévue pour début 2022, a fuité dans la presse. Sécheresse, famine, niveau insuffisant de préparation...Les conclusions sont alarmantes et pires encore que les dernières de 2014. Prudence cependant, alertent les scientifiques et le GIEC lui-même, le travail est encore en cours et le document va fortement évoluer.
Il reste des millions d’espèces d’insectes à décrire, et le temps presse pour les spécialistes avant que la destruction de leurs habitats ne les fasse disparaître. Alors qu’une sixième extinction de masse fait disparaître la biodiversité à grande vitesse, les biologistes partout dans le monde tentent de classifier les millions d’espèces animales et végétales encore inconnues.
La sixième extinction de masse, est l’un des défis critiques auxquels nous sommes confrontés au XXIe siècle.Elle ressemble à plusieurs égards à la cinquième extinction de masse, datant d’il y a 66 millions d’années et qui a mis fin au Crétacé. Cette dernière aurait éradiqué environ 76 % des espèces de la planète. De nombreuses espèces sont aujourd'hui menacées à cause des impacts humains directs ou indirects : changement climatique, pollution, surexploitation des terres et destruction de l’environnement, entre autres. Les scientifiques cherchent à savoir en combien de temps la biodiversité s’est effondrée, puis régénérée par le passé.

mai 2021

Président du Muséum national d'histoire naturelle, paléontologue et biologiste marin, Bruno David vient de publier « A l'Aube de la sixième extinction, comment habiter la Terre », aux éditions Grasset.

janvier 2021

Au cours de sa longue existence, notre planète a connu plusieurs crises majeures, qui, à chaque fois, ont transformé en profondeur le vivant et entraîné l’extinction de la majorité des espèces. Les crises de la biodiversité avancent masquées, en silence. Aujourd’hui, tout laisse à penser que nous sommes à l’aube d’une sixième extinction qui arrive à une vitesse foudroyante : on estime que 500 000 à un million d’espèces sont en train de décliner et que d’ici quelques décennies elles pourraient s’éteindre. L’homme et sa consommation sans cesse croissante d’espace et d’énergie en est la première cause.

juin 2020

Les plus éminents climatologues et biologistes du monde entier estiment que nous nous dirigeons vers l’effondrement de la civilisation, et qu’il est peut-être déjà trop tard pour changer de cap.